Québec de la tour du Parlement (date inconnue)
Source : Magic Lantern slide #264 de la Keystone View Company
Québec de la tour du Parlement (date inconnue)
Source : Magic Lantern slide #264 de la Keystone View Company
Voir aussi : Voyage dans le temps.
Carré d’Youville vu de la portes St-Jean (1958)
Crédit photo : André Voyer
Carré d’Youville vu de la portes St-Jean (1980)
Crédit photo : André Voyer
Photos revisitées en février 2004:
Carré d’Youville vu de la portes St-Jean
Voir aussi : Voyage dans le temps.
Vue aérienne du centre-ville (vers 1940)
Cette photographie aérienne du centre-ville, vers 1940, le fait voir encore peu affecté par les démolitions et les transformations. Nous découvrons, entre autres, l’édifices Price, l’Hôtel de ville, l’Académie commerciale et son dôme, l’église Saint-Patrice, l’Hôtel-Dieu, la gare du Palais, le bureau de Poste et la gare de Sainte-Anne-de-Beaupré
Source : Calendrier de vue ancienne de Québec, 1990 (Société historique de Québec)
Voir aussi : Voyage dans le temps.
Vue de Québec prise de la tour du Parlement (1899)
Cette vue de la capitale vers les contreforts des Laurentides, permet de découvrir le faubourg Saint-Jean-Baptiste, le pont Dorchester et celui du chemin de fer, ainsi que Limoilou, reconnaissable par la première église Saint-Charles. Parmi les autre bâtiments, on remarque le Y.M.C.A., le nouveau pensionnat Saint-Louis de Gonzague de l’architecte David Ouellet (1899), le couvent des soeurs de la Charité et le patronage Saint-Vincent, construit entre 1895 et 1898 par François-Xavier Berlinguet.
Source : Calendrier de vue ancienne de Québec, 1997 (Société historique de Québec)
Voir aussi : Voyage dans le temps.
Cette photographie présente le paysage urbain de la Basse-Ville de Québec avant les grands travaux de réaménagement du lit de la rivière Saint-Charles à la fin des ann.es 1950. Le parc Victoria, acquis des religieuses de l’Hôpital Général de Québec en avril 1896, est une presqu’Île qui forme, avec celle de la Pointe-aux-Lièvres, le grand méandre de la Saint-Charles. Le parc, d’abord nommé en l’honneur du maire Simon-Napoléon Parent, est inauguré le 22 juin 1897, le jour même du 60e anniversaire du couronnement de la reine Victoria dont il prend ce nom. L’aménagement paysager est dessiné par Sébastien Siné, jardinier en chef de la ville. Sur la rive opposé, nous remarquons à droite les bâtiments de l’Hôpital Général, la Rock City Co. et, à côté, l’hospice Saint-Charles (l’ancien hôpital de la Marine), construit en 1832-1834 et démoli après l’incendie de 1962, ainsi que les abris du marché Saint-Roch.
Source : Calendrier de vue ancienne de Québec, 1997 (Société historique de Québec)
Voir aussi : Voyage dans le temps.
Vue aérienne de Québec (vers 1926)
Attention: image de 2000 X 1195 px pour 335kb
Cette photographie présente le visage de la capitale au beau milieu de l’Entre-deux-guerres. La colline parlementaire se compose alors de l’édifice du Parlement(1884), ainsi que des édifices Pamphile Lemay (1915) et Honoré Mercier (1922). Le quartier Saint-Louis n’est pas encore entamé par les démolitions massives pour la construction des édifices « D » et André Laurendeau en 1932, puis Marie-Guyart en 1968. Parmis les autres pointes d’intérêt de ce cliché, soulignons les maisons de la Grande Allée, site du futur « Bunker », la halle Montcalm remplacé par le Palais Montcalm en 1932, l’ensemble conventuel de l’église Saint-Vinvent-de-Paul, les méandres de la Saint-Charles et les presqu’Îles de la Pointe-aux-Lièvres et du parc Victoria où nous remarquons l’aréna érigé en 1913 et incendié en 1932. Enfin, l’embouchure de la rivière Lairet et le parc de l’Exposition et son hyppodrome semble en pleine campagne
Source : Calendrier de vue ancienne de Québec, 1997 (Société historique de Québec)
Voir aussi : Voyage dans le temps.
Château Haldimand et la place d’Armes (1865)
En 1786, le gouverneur Frederick Haldimand fait construire un édifice en face du vieux château Saint-Louis. Ce dernier, incendié en 1834, est remplacé par une terrasse et les vices-rois quittent l’endroit pour Spencer Wood. Le château Haldimand devient, en 1837, l’École normal Laval, après avoir connu diverses vocations, dont celle d’avoir servi d’atelier au peintre Antoine Plamondon. Le bâtiment sera détruit en 1892 pour faire place aux premières ailes de l’hôtel Château Frontenac. Les maisons de la rue des Carrières et de la rue Saint-Louis tomberont sous le pic des démolisseurs pour permettre les agrandissement sucessifs de l’hôtel [de] 1897 à 1924
Source : Calendrier de vue ancienne, 1991 (Société historique de Québec)
Voir aussi : Voyage dans le temps.
L’étude de cette photographie aérienne permet à l’observateur de découvrir le paysage de la Capitale entre les deux guerres. L’avion survole la Grande-Allée, les résidences et édifices qui la bordent vers la ville intra-muros. Au premier plan, nous remarquons Le Claridge en construction, le couvent des Franciscaines de Marie (1898), la maison et les jardins de la famille J.-T. Donohue, l’église Saint-Coeur-deMarie (1919) et, à l’arrière, le domaine du Bon-Pasteur, enfin, les appartement Grande-Allée et les édifices parlementaires. En face du Claridge, s’élève le Female orphan asylum, constuit en 1862 dans un style médiéval sur l’emplacement de l’actuel ministère des Affaires culturelles, puis, en remontant la Grande-Allée, le petit château de la famille Ch.-A. Parent, la maison du juge P.-A. Choquette et les autres habitations des notables de Québec. Le regard porte, enfin, vers le Vieux-Québec où l’on reconnaît le Château Frontenac, l’hôtel des Postes, les clochers des églises et chapelles et, même les poutres d’acier de l’édifice Price en construction
Source : Calendrier de vue ancienne, 1993 (Société historique de Québec)
Voir aussi : Voyage dans le temps.
L’escalier de la rue Champlain (vers 1900)
Source : Carte postale de la Montreal Import Co.
Voir aussi : Voyage dans le temps.
Le quartier Saint-Sauveur (vers 1875)
La rue Victoria mène à l’église reconstruite en 1867; l’années précédente le feu avait ravagé le village de Saint-Sauveur où plus des deux tiers des habitations, soit trois milles, furent détruites
Source : Calendrier de photos ancienne, 1983 (Société historique de Québec)
Voir aussi : Voyage dans le temps.