Québec Urbain

L’Urbanisme de la ville de Québec en version carnet…


Résultats du référendum sur le projet Maria-Goretti

Par Envoyer un courriel à l’auteur le 16 juin 2024 Commentaires fermés sur Résultats du référendum sur le projet Maria-Goretti

À la clôture du vote, les résultats sont les suivants :

Personnes habiles à voter : 1023

Personnes ayant exercé leur droit de vote : 492, pour une participation de 48 % des électeurs (489 votes valides et 3 rejetés)

Votes en faveur du oui : 305
Votes en faveur du non : 184

Le communiqué

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Voir aussi : 0 - Revue de presse, Arrondissement Charlesbourg, Consultation publique, Densification.

La CAQ se lance dans la réalisation d’un 3e lien

Par Envoyer un courriel à l’auteur le 13 juin 2024 22 commentaires

Stéphanie Martin
Taïeb Moalla
Rémi Nadeau
Journal de Québec

Malgré le rapport de la CDPQ Infra, qui affirme qu’un troisième lien n’est pas justifié, le gouvernement Legault annoncera jeudi qu’il se lance dans la réalisation d’un pont autoroutier entre Québec et Lévis.

François Legault le confirmera jeudi, sans annoncer d’échéancier.

Selon les informations de notre Bureau parlementaire, le gouvernement caquiste créera un comité interministériel qui sera chargé de mettre sur les rails un projet de pont à l’est, en ciblant le corridor reliant le secteur de la sortie Monseigneur-Bourget, sur la Rive-Sud, à la croisée de l’autoroute 40 et de Dufferin-Montmorency, du côté nord.

La CDPQ Infra ne recommandait pas la construction d’un 3e lien routier, mais dans les scénarios qu’elle a analysés, c’est celui-ci, à la pointe de l’île d’Orléans, qu’elle percevait comme le plus envisageable.

Le comité, impliquant en premier lien le ministère des Transports, sera piloté par la secrétaire générale du Conseil exécutif, Dominique Savoie.

M. Legault en fait une question de sécurité économique et commerciale pour l’est du Québec.

Il faudra donc que ce pont permette le passage du transport de marchandises, et il deviendrait une police d’assurance, notamment en cas de fermeture partielle ou complète du pont Pierre-Laporte, nous dit-on.

Experts internationaux

Une source gouvernementale confie que des experts internationaux seront sollicités pour conseiller ce comité, et le plus rapidement possible.

«C’est un projet complexe, il y a un défi d’insertion, alors on va fouiller ça», admet-on.

Plus tôt en journée, la Caisse de dépôt et placement du Québec (CDPQ) Infra avait affirmé qu’un troisième lien n’était pas justifié du point de vue de la mobilité. Parce que le réseau routier de Québec a une limite de capacité d’accueil, le gain de temps moyen pour la période de pointe du matin pour un navetteur de Lévis utilisant les ponts actuels serait d’à peine cinq minutes, calcule-t-on.

Ainsi, l’ajout d’un autre lien routier n’aurait pas l’effet de soulager la congestion, selon la CDPQ Infra.

Aucun des six différents corridors étudiés ne justifie la construction, et la CDPQ Infra ne préconise donc pas sa réalisation.

Cette dernière note aussi que 13% de l’ensemble des déplacements dans la région se font sur la Rive-Sud, surtout d’est en ouest, soit deux fois plus que ceux qui traversent le fleuve.

Cela dit, la CDPQ Infra note que plusieurs parties prenantes des discussions «ont émis des préoccupations quant à la sécurité et la redondance des ponts existants, en particulier que toute réduction de capacité sur le pont Pierre-Laporte aurait des impacts sur le transport de marchandises, les liens commerciaux entre les régions et leur vitalité économique».

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Le communiqué officiel du gouvernement du Québec

Voir aussi : 0 - Revue de presse, Projet - Troisième lien, Transport.

CDPQ dépose un plan de mobilité de 15 G$ sur 15 ans pour la région de Québec

Par Envoyer un courriel à l’auteur le 12 juin 2024 9 commentaires

Radio-Canada

Tramway, service rapide par bus (SRB), amélioration du réseau d’autobus : CDPQ Infra dépose un plan de mobilité pour la région de Québec qui s’échelonne sur 15 ans et coûterait 15,48 milliards de dollars.

Le Plan circuit intégré de transports express (CITÉ) proposé par la Caisse totalise 95 kilomètres de nouveaux corridors dédiés au transport collectif. À terme, 40 000 personnes emprunteraient ce réseau quotidiennement, selon la CDPQ Infra.

Comme le rapportait Radio-Canada mardi, le réseau de tramway proposé par l’administration Labeaume fait partie intégrante du plan.

Le rapport qui conclut 6 mois de travaux propose deux nouvelles lignes de tramway qui relieront Québec et ses secteurs centraux d’est en ouest ainsi que vers le nord, sur une distance de 28 kilomètres composée de 40 stations, ouvertes 20 heures par jour.

À plus long terme, « selon la densification du pôle Desjardins à Lévis, une deuxième ligne de tramway de 7 km pourrait relier les centres-villes des deux rives, en tunnel, comportant trois stations ». Ce lien construit autour de 2035, serait strictement réservé aux transports du tramway, et non un lien autoroutier.

À lui seul, le tramway représente un investissement de 7,06 milliards de dollars, soit plus de la moitié des coûts du projet. Une contingence de 30 % est comprise dans les coûts des contrats majeurs.

Le tunnel, lui, coûterait près de 3.8G$.

CDPQ Infra propose également un réseau de SRB à Québec et Lévis, un dans l’axe Charest à Québec et l’autre dans les axes du boulevard Guillaume-Couture et de la route des Rivières à Lévis, totalisant 30 kilomètres de corridors dédiés.

Dans une première phase, une ligne de SRB circulerait sur le boulevard Charest via la côte de la Pente-Douce serait créée. Sur la Rive-Sud, la première ligne serait installée sur le boulevard Guillaume-Couture.

Le plan s’articule aussi autour de différentes mesures préférentielles pour autobus totalisant environ 30 kilomètres à Québec et Lévis. Ces mesures permettraient « le déploiement de lignes d’autobus fréquentes et express pour desservir les banlieues nord et la couronne périphérique de la Rive-Sud », explique CDPQ Infra.

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* Le rapport de CPDQ Infra 140 pages

La conférence de presse du Maire de Québec

Mise à jour: Poilievre n’investirait «pas une cenne» du fédéral dans un tramway à QuébecTVA

Voir aussi : 0 - Revue de presse, Projet - Tramway, Transport en commun.

Un centre de surf intérieur bientôt à Québec

Par Envoyer un courriel à l’auteur le 12 juin 2024 Commentaires fermés sur Un centre de surf intérieur bientôt à Québec

Source : Elisa Cloutier, Journal de Québec, le 11 juin 2024

PHOTO FOURNIE PAR COMPLEXE ALOHA

Un nouveau complexe sportif de 20 M$, incluant un centre de surf offrant la plus grosse vague au Canada, verra le jour à Québec à l’automne 2025.

L’idée du projet a d’abord germé il y a cinq ans, à partir de l’«idée folle» de deux frères, Jean-François et Laurent Paquin, de Québec.

Le premier, âgé de 41 ans, est un entrepreneur de Québec, ayant notamment œuvré dans le domaine des technologies de l’information. Son frère, Laurent, âgé de 35 ans, est un enquêteur aux crimes majeurs de la Sûreté du Québec. Ensemble, ils caressaient le rêve d’ouvrir un centre de surf à Québec. «Est-ce qu’on est de grands surfeurs? Non. Mais, nous sommes passionnés […] Surfer en océan c’est excessivement dur, mais dans un centre de surf intérieur, c’est accessible. On peut changer et adapter la hauteur et l’angle de la vague», décrit celui qui affirme avoir visité la «presque totalité» des centres de surf dans le monde pour peaufiner son rêve.

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Voir aussi : Arrondissement Les Rivières, Infrastructures sportives.

Divergence d’opinions sur la sort de la maison Bégin-Létourneau

Par Envoyer un courriel à l’auteur le 12 juin 2024 1 commentaire

Source : Jean-François Racine, Journal de Québec, le 12 juin 2024

PHOTO JEAN-FRANÇOIS RACINE

Le propriétaire de la maison Bégin-Létourneau a l’intention de contester en appel la décision de la Ville de Québec qui a refusé sa demande de démolition en estimant qu’il est possible de remettre en état la structure du bâtiment.

Malgré le délabrement évident de la bâtisse, la Ville de Québec s’appuie sur la «valeur patrimoniale supérieure de la maison Bégin-Létourneau», située au 2151 boulevard Père-Lelièvre, dans le quartier Duberger. Il semble que les coûts associés à la remise en état de la structure ne sont pas jugés déraisonnables par l’administration municipale.

La Commission d’urbanisme et de conservation de Québec s’appuie sur l’analyse de l’ingénieur Luc Pelletier, qui affirme «qu’il est possible d’effectuer les réparations».

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Mise à jour du 22 juin 2024 : La commission autorise finalement la démolition.

Voir aussi : Arrondissement Les Rivières, Patrimoine et lieux historiques.

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