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Qui est le prochain?
31 mars 2004
L'escalier de la rue Champlain (vers 1900)
Source : Carte postale de la Montreal Import Co.
Photo revisit�e en d�cembre 2003
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30 mars 2004
La phase 1 d'un nouveau projet de condos est en train de se construire sur le chemin Sainte-Foy. Le tout est situer du c�t� Nord, entre l'avenue Moreau et de Villers. Avant, c'�tait une villa historique (selon le promoteur) qui �tait l� et elle a �t� transf�r�e (ils lui ont fait faire un 180� !) sur la rue d'en bas (sur Biencour). Le projet consiste en gros � 25 condos (entre 130 000$ et 250 000$ je crois) et on peut voir un rendu sur le site du promoteur. Il y a des stationnements int�rieurs et ext�rieurs (en bas). Les condos le plus proches seront � 30 pieds du Chemin Ste-Foy. Voil� ! Un projet semblable de moindre envergure et qui s'appelle �les villas St-Jean a �t� construit il y a quelques ann�es.
[Texte de Martin Par�]
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Le projet d'h�tel dans l'ancien YMCA de l'avenue Laurier est en p�ril. Le promoteur, la firme Cogires, songe � modifier son projet. L'h�tel ferait place � 75 � 100 unit�s d'habitations en copropri�t�.
Il s'agirait bien entendu de condo de luxe qui se vendrait � un prix minimum de 200000 $.
Aucune image pour le moment, malgr� que ce nouveau projet ait franchi la moiti� des �tapes d'approbation � la Ville.
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Le quartier Saint-Sauveur (vers 1875)
La rue Victoria m�ne � l'�glise reconstruite en 1867; l'ann�es pr�c�dente le feu avait ravag� le village de Saint-Sauveur o� plus des deux tiers des habitations, soit trois milles, furent d�truites
Source : Calendrier de photos ancienne, 1983 (Soci�t� historique de Qu�bec)
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�tant donn� que le reste des articles de Patrick Lagac� ne porte pas directement sur l�urbanisme, je vais les mettre dans le forum. Enjoy and debate
PS: Mon h�bergeur � �prouv� quelque probl�me ce matin. Il se peut que quelques commentaires ayant �t� �crit cette nuit ait �t� perdu. D�sol� si c'est le cas!
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29 mars 2004
Coll�ge des J�suites (vers 1870)
En 1725, on construit et on agrandit le coll�ge des J�suites. Sa fa�ade donne sur la rue des Jardins, tout comme l'�difice qui l'a remplac�, l'actuel H�tel de ville de Qu�bec. Le coll�ge est r�quisitionn� par Murry et sert de caserne aux soldats anglais jusqu'en 1871. Il est d�moli en 1878
Source : Calendrier de photos ancienne, 1983 (Soci�t� historique de Qu�bec)
Photo revisit�e via des billets pr�c�dent:
L'h�tel de ville et ses environs vus des airs, 1930
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Le Journal de Montr�al publie ce matin � Qu�bec, c�est beau�un peu. � Il s�agit du premier d�une s�rie d�article ayant pour th�me � Pourquoi je ne vivrais jamais � Qu�bec �
J�ai d�j� �labor� sur le sujet dans un pr�c�dent billet : Qu�bec et son mythe.
La rumeur veux que Denis Gravel (CHOI FM) ait une r�plique dans le journal de Montr�al : � Pourquoi je ne vivrais jamais � Montr�al. �
Merci � Isabelle Armand pour la num�risation.
Note : Si vous �tes sur Internet Explorer et que l�article est trop petit pour la lecture, passer votre souris dans le coin inf�rieur droit de l�image. Cliquez sur le carr� qui appara�t.
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28 mars 2004
Voyage dans le temps : Rue St-Joseph, � l'angle de la rue de l'�glise (vers 1940)
Vue vers le sud, depuis le parvis de l'�glise Saint-Roch. Plusieurs se rappelleront le magasin Laura Secord, au sous-sol de la banque situ� � l'extr�me gauche
Source : Photos ancienne, 1984 (Soci�t� historique de Qu�bec)
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27 mars 2004
Source : Calendrier de photos ancienne, 1983 (Soci�t� historique de Qu�bec)
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26 mars 2004
Quelqu�un conna�t une salle ayant un plafond de 15 pieds ou plus (id�alement au moins 18), d�une grandeur �quivalente � trois ou quatre terrains de volley-ball et qu�il est possible de louer � long terme une fois par semaine les vendredis ou samedis? Les salles communautaires comme le centre Lucien Borne ou le centre Monseigneur Marcoux sont exclues.
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25 mars 2004
La rue Saint-Joseph au coin de la rue de la Couronne (1928)
La rue Saint-Joseph au coin de la rue de la Couronne en 1928. Le Syndicat fait sa vente de 42e anniversaire. Le policier, coiff� comme ses confr�res de Londres, attend les rares autos qui ne viennent pas.
Source : Calendrier de photos ancienne, 1983 (Soci�t� historique de Qu�bec)
J'ai d�j� publi� une autre photo de ce coin de rue.
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24 mars 2004
En marge d'un billet sur Vancouver, je vous ai pr�sent� le projet scolaire de Julie Vaillant, �tudiante � l'Universit� Laval.
Cette demoiselle n'est pas la seule � collaborer avec GIRBa. �lisabeth Boucher m'a-t-elle aussi fait parvenir la partie graphique de son projet de fin d'�tudes de la ma�trise professionnelle en architecture
le but premier du projet ne vise pas une densification douce, ni une augmentation du nombre de logements abordables. Je cherchais plut�t � am�liorer la qualit� des espaces ext�rieurs des immeubles dont leur cour arri�re donne sur l'autoroute Duplessis et � favoriser l'appropriation de ces espaces par les r�sidants. La structuration des parcelles favorisant une meilleure relation int�rieur/ext�rieur est donc une partie importante du projet. Le projet propose ensuite de reconfigurer les logements du rez-de-chauss�e et de construire de nouveaux immeubles dans certains interstices.
La premi�re image pr�sente le projet alors que les deux autres sont plus graphiques. Dans les trois cas, les images sont de grandes dimensions et relativement lourdes
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Place D'Youville (fin des ann�es 1940)
Voil� bien un paysage familier de la fin des ann�es 1940: une place d'Youville dont la perspective est charg� par la toile des fils �lectriques des tramways. Il est amusant de constater que c'�tait d�j� la mode des bermudas pour les estivants. � cette �poque une succursale de la Banque de Montr�al logeait au coin de l'�difice du Y.M.C.A. De plus, nous pouvons voir une partie de l'enseigne du Capitol. On reconna�t, au-del� de la courtine Saint-Jean, la chapelle de la Congr�gation des hommes et l'�cole Nationale
Source : Calendrier de vue anciennes de Qu�bec, 1994 (Soci�t� historique de Qu�bec)
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23 mars 2004
Le Villebrequin est l'�trange nom du site Web du journal des �tudiants en urbanisme de l�UQAM. Au menu, des liens vers des textes � saveur urbanistique (comme cet article du Devoir sur le tramway), mais aussi des textes de la plume des �tudiants.
Int�ressant
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La construction des condos Quai 107 est maintenant termin�e. Il est maintenant possible de comparer le r�sultat final aux dessins qui avaient d'abord �t� pr�sent�s. Pour ceux qui ont la m�moire courte, voici ce qui s'y trouvait avant.
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Vue vers l'ouest du Chemin Ste-Foy, � l'angle de l'Avenue Cartier (29 mai 1929)
Source : Calendrier de photographies anciennes de Qu�bec, 1987 (Soci�t� historique de Qu�bec)
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La ville de Qu�bec n'a pas l'intention de donner suite au projet d'implanter un march� public sur le boulevard Langelier. Elle pr�f�re concentrer ses �nergies au march� du Vieux-Port et sur l'ouverture prochaine de trois nouveaux petits march�s publics.Il n'est pas question de d�placer ou de fermer le march� du Vieux-Port, affirme le conseiller Jean-Marie Matte. Au contraire, des investissements sont pr�vus. � On veut am�liorer ce qu'on a et on veut concentrer le march� public � l'endroit actuel o� il est situ� �, d�clare le conseiller.
Suite du texte et reportage audio sur Radio-Canada
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Apr�s les entreprises des nouvelles technologies qui ont ressuscit� le centre-ville de Qu�bec, des promoteurs r�vent d'implanter d'ici 2008 un grand march� public du c�t� ouest du boulevard Langelier, aux limites des quartiers Saint-Roch et Saint-Sauveur.
Un quadrilat�re de 1000 m2 o� serait �rig�e une halle centrale avec tout autour des petits commerces : boulangerie, charcuterie, chocolaterie, herboristerie, aliments naturels, etc. Mais d'ores et d�j�, l'administration L'Allier a fait savoir, hier, que ce projet de march� n'entrait pas dans ses priorit�s.Or, le concept d'am�nagement du march� Langelier tel que vu par ses promoteurs, copie le mod�le du march� By � Ottawa, qui est devenu au fil des ans une des principales attractions de la capitale f�d�rale. St�phane Boutin, pr�sident de la Corporation des gens d'affaires de Qu�bec pense qu'il pourrait faire la m�me chose sur Langelier. "Nous avons le potentiel pour r�aliser cet exploit, a-t-il dit en conf�rence de presse. Il ne manque que la volont� politique.
Rien � faire avec Le Vieux-Port
Mais contrairement � Ottawa, Qu�bec a d�j� un march�, celui du Vieux-Port, qui se d�m�ne depuis cinq ans pour attirer des clients. Et son directeur g�n�ral, Andr� Filteau, soulignait hier qu'un deuxi�me march� serait de trop. De plus, il d�plore que les promoteurs de Langelier ne l'aient jamais contact� � ce sujet. "Nous aurions pu discuter, d�couvrir ensemble des opportunit�s pour mieux desservir les citoyens des autres quartiers de Qu�bec. Il propose notamment des journ�es itin�rantes de march� dans certains coins de la ville.
Malgr� les critiques formul�es � son �gard, M. Boutin pense pour sa part qu'il n'y a rien � faire avec le Vieux-Port. Que le site est trop isol�, trop ferm� pour devenir un p�le commercial dynamique. Pour lui, la solution est d'explorer d'autres endroits mieux situ�s. "C'est bien beau, dit-il, d'avoir des milliers de gens qui travaillent dans Saint-Roch, mais encore faudrait-il les garder apr�s 17h, les amener � d�velopper des habitudes de consommation dans le quartier. Et de ce point de vue, M. Boutin est convaincu que le site de Langelier a tout ce qu'il faut pour remplir cette fonction.
Pas d'engagement de la Ville
A la Ville de Qu�bec, le conseiller Jean-Marie Matte, responsable du dossier des march�s publics, d�clare ne s'�tre engag� d'aucune fa�on aupr�s des promoteurs de Langelier. De toute fa�on, dit-il, nous avons d�j� manifest� l'intention d'injecter 4 millions $ au march� du Vieux-Port et �a reste notre priorit�."
Or M. Boutin pense pour sa part que la Ville devrait r�fl�chir � deux fois avant de r�investir au Vieux-Port, car c'est de revitalisation dont il est question.
Malgr� le bel optimisme des promoteurs de Langelier, des difficult�s semblent pointer � l'horizon. Outre l'argent � trouver dont 10 millions $ pour la phase I du projet, les plans d'am�nagement obligeraient � exproprier des r�sidants, � d�m�nager l'Arm�e du Salut, � glaner des places de stationnement ici et l�, � int�grer les commerces dans des b�timents historiques et � respecter la vocation r�sidentielle du quartier.Des probl�mes que Marie-Andr�e Bernier, pr�sidente du Conseil du quartier Saint-Sauveur ne traite pas � la l�g�re. Le projet nous int�resse au plus haut point, dit-elle. Les gens de Saint-Sauveur ont d�j� exprim� le souhait d'avoir des petits commerces de proximit�. Par contre, nous ne voulons pas que des maisons historiques soient d�molies, que des gens soient expropri�s, que les rues soient encombr�es, que notre qualit� de vie soit r�duite. Nous appuyons le projet, mais nous aimerions en fixer les balises", conclut-elle.
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Saint-Roch pour se r�approprier un terrain vague peu s�curitaire et peu recommandable, le groupe d'animation de l'Ilot Fleurie est rendu � une difficile crois�e de chemins. Ses membres dirigeants sont � bout de souffle et r�clament l'apport de nouveaux b�n�voles pour perp�tuer l'oeuvre du sculpteur et artiste peintre Louis Fortier, aujourd'hui d�c�d�."On ne peut pas inventer une raison d'�tre", a pr�venu le tr�sorier de l'organisation, Martin April, hier soir, lors d'une assembl�e r�unissant une quinzaine de personnes au centre communautaire Lucien-Borne. "L'organisme est en bonne sant� mais les membres sont �puis�s."
N� spontan�ment de la r�volte des citoyens du quartierEn tout et partout, une cinquantaine de personnes, selon lui, sont membres du groupe. Toutefois, au moins une vingtaine d'artistes ont adh�r�, l'an pass�, pour pouvoir participer � une activit�. Mais, selon l'administrateur Louis Par�, ils sont � peine quatre ou cinq pour maintenir l'organisme � flot. Or, l'Ilot Fleurie, c'est plus qu'une activit� d'un soir. C'est un concept qui am�ne les gens du milieu � se rencontrer et � participer � une pl�iade d'activit�s �clat�es.
Au d�but de 1991, a-t-on rappel�, l'Ilot Fleurie a pris forme dans une portion de l'ex-Jardin Saint-Roch. Des dizaines de gens venaient chaque fin de semaine y am�nager un coin de verdure, de jardin ou de sculpture. Avec l'av�nement du parc, en 1998, le site a �t� relocalis� sous les piliers de l'autoroute Dufferin-Montmorency. Mais il a perdu aussi sa vocation de jardin communautaire. L'an pass�, le Groupe d'animation de l'Ilot Fleurie a �t� interpell� � plusieurs reprises par des organismes et des individus qui voulaient faire reconna�tre leurs projets. "On est devenu un interlocuteur accept� et nous avons m�me obtenu des subventions pour mener � terme certains projets", note Louis Par�.
Mais sans l'apport de nouveaux b�n�voles pour r�aliser les projets d'animation de l'�t�, l'Ilot Fleurie aura de la difficult� � vivre. Quelques citoyens se sont laiss�s convaincre. "Mais attention, a pr�venu l'un d'eux, issu d'un groupe populaire. Je ne fais pas de b�n�volat. Je fais du militantisme."
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22 mars 2004
Malgr� les dires de P.D.G. du port ayant �t� rapport� dans les m�dias et Qu�bec urbain, L�once Naud croit toujours en son projet. � En fait, le concept
d'ouvrir la t�te du bassin Louise � l'usage de toute la population se
porte mieux que jamais �.
Selon lui, le projet � secret � du port ne se r�alisera pas. � nous connaissons bien le projet en gestation �secr�te� pour occuper la t�te du bassin Louise �, me mentionne-t-il myst�rieusement, et � il nous surprendrait que la Loi maritime du Canada donne le mandat � des ports de se lancer dans la Culture... �
Selon le color� personnage, la plage qu'il envisage n'est en fait que ce qui avait �t� promis et pr�vu lors du r�am�nagement des quais lors du tristement c�l�bre Qu�bec 84
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2e Rue en regardant vers l'est, coin 4e Avenue (fin XIXe)
Vue vers l'est de la 2e Rue � la crois�e de la 4e Avenue dans le quartier Limoilou (autrefois Hedleyveille), fort probablement � la fin du XIXe si�cle
Source : Calendrier de photographies anciennes de Qu�bec, 1987 (Soci�t� historique de Qu�bec)
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Des travaux importants seront effectu�s au printemps, entre les mois d'avril � juin, rue Saint-Jean dans le Vieux-Qu�bec.
Suite du texte sur Radio-Canada.
Bien peu d'information, malheureusement.
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Voici quelques mots cl�s �tranges ayant �t� utilis�s dans les engins de recherche pour arriver sur Qu�bec urbain:
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Quatre ans de travaux et quelque 85 millions de dollars. Voil� ce qui manque avant que Qu�bec re�oive son cadeau de 400e anniversaire, une rivi�re Saint-Charles propre et renaturalis�e. Bilan du sauvetage d'un cours d'eau urbain.
Le chantier de d�pollution et la renaturalisation de la rivi�re Saint-Charles a retenu l'attention des participants au Salon des technologies environnementales, la semaine derni�re. Pour les sp�cialistes qui �taient sur place, il s'agit d'un important chantier d'�co-ing�nierie. Pour le Qu�b�cois moyen, c'est la promesse de retrouver en pleine ville tout ce qu'un cours d'eau peut offrir : canot, p�che, promenade sur les berges, observation de la faune. Tout, sauf la baignade.Jacques Grantham, du service de l'environnement de la Ville de Qu�bec, a trac� un portrait �loquent du chemin parcouru jusqu'ici et de ce qui reste � faire.
La d�gradation de la rivi�re ne date pas d'hier : "Le dernier arbre coup� sur le bord de la Saint-Charles a probablement permis � Jacques Cartier de se chauffer le premier hiver !" a lanc� M. Grantham en boutade.De fait, le pass� industriel p�se lourd sur la rivi�re. Dans les ann�es 60, elle servait carr�ment de d�potoir et d'�gout � ciel ouvert.
Les berges de b�ton ont �t� �rig�es dans les ann�es 70. Puis, deux usines de traitement de l'eau furent construites. Ces usines n�cessitaient la construction de bassins de r�tention, pour aider � contenir le trop-plein d'eau durant les averses. Mais l'argent a manqu� pour les bassins. Sans ces r�servoirs, la rivi�re est � la merci des d�versements d'�gouts, puisque quatre millim�tres de pluie suffisent. Cela se produit de 50 � 70 fois par ann�e.
R�sultat : la Saint-Charles, dans sa partie aval, a le triste honneur d'�tre la rivi�re la plus pollu�e par les coliformes f�caux au Qu�bec. Elle d�passe de 36 fois la norme pour la baignade, et de sept fois la norme pour les contacts secondaires. Aucun contact n'est possible avec l'eau, le risque est trop �lev� pour la sant�. Un risque th�orique, croyez-vous ? Demandez � ce travailleur qui, malgr� des gants et une cr�me antiseptique, a attrap� une solide gastro en repiquant les plantes aquatiques...
Renaturalisation de 16,2 millions $
Le groupe Rivi�re vivante a pouss� tr�s fort sur le projet. Chaque printemps, depuis 10 ans, et malgr� la pollution, il organise une descente de la rivi�re en canot, � laquelle participent des centaines de personnes. Sous l'impulsion de Rivi�re vivante, et forte de la promesse non tenue des bassins de r�tention, la Ville a donc entrepris le chantier de la Saint-Charles en 1996.
Le traitement se d�roule sur deux fronts : d�pollution, par la construction des bassins de r�tention, et renaturalisation, par la destruction des berges b�tonn�es et le fa�onnement de nouvelles rives. Des rives qu'on veut naturelles, irr�guli�res, entrecoup�es d'�tangs qui permettront aux petites esp�ces fauniques de s'y installer � demeure.
C�t� d�pollution, six bassins sont d�j� construits, au co�t de 32 millions $. Ils ne sont pas encore en fonction. Le reste des travaux est estim� entre 70 et 75 millions $
Les travaux de renaturalisation, quant � eux, sont planifi�s en six phases, dont deux sont d�j� r�alis�es : les parcs Cartier-Br�beuf et de la Jeunesse. La Ville pr�voit cette ann�e la phase III du chantier, soit deux kilom�tres de berges entre le pont Scott et le pont Lavigueur, sur la rive gauche. Co�t de cette phase: 4,4 millions $.
L'an prochain, ce sera la rive droite du m�me segment (3,35 M $). En 2006 : la Pointe-aux-Li�vres, et le pont Dorchester jusqu'au fleuve (2,65 M $). En 2007 : la rive gauche du parc Cartier-Br�beuf (2,6 M $). Co�t total de la renaturalisation : 16,25 millions $.
Cet �ch�ancier d�pend de la participation des gouvernements sup�rieurs, souligne � grands traits M. Grantham. Il faudra aussi synchroniser les travaux de renaturalisation avec ceux de d�pollution.
Mais d�j�, l'exercice a donn� des r�sultats. Les herbiers aquatiques patiemment plant�s ont pris racine, malgr� les difficult�s de la premi�re ann�e. Les am�nagements paysag�s aussi. Les habitats fauniques nouvellement fa�onn�s commencent � trouver preneurs. Et 10 ans apr�s la premi�re descente, des centaines de Qu�b�cois participent toujours � la descente printani�re de la Saint-Charles en canot...
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21 mars 2004
C�te d'Abrahame, coin d'Youville (date inconnue)
Cette vue de la c�te d'Abraham, � la hauteur de la rue d'Youville nous permet de d�couvrir u visage des faubourgs et leur maison de bois et de brique. On distingue les clochers de l'�glise Saint-Vincent-de-Paul �rig�s entre 1895 et 1898 par Fran�ois-Xavier Berlinguet. Ces maisons et une partie du � patro � seront d�molies � la fin des ann�es 1960 pour le passage de l'autoroute Dufferin-Montmorency.
Source : Calendrier de vues anciennes de Qu�bec, 1990 (Soci�t� historique de Qu�bec)
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20 mars 2004
Canon SLR Rebel EOS 300D
Lentille 18-55 et 75-300
Pour votre plaisir... et surtout le mien!
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The Auditorium and Young Men's Chritian Association (date inconnue)
Construit en 1903, l'Auditorium est l'un des plus beaux exemples de style Second Empire � Qu�bec. Les architectes W.S. Painter, F.X. Berlinguet et R.P. Lemay, utilisent toutes les possibilit�s de l'emplacement. Ils cr�ent un b�timent dont la fa�ade en h�micycle d�gage une grande majest�. Fruit d'un concours d'architecture, le Young Man Christian Association est construit par l'architecte Ferdinand Peachy en 1878. � cette �poque, le � Y.M.C.A � fit scandale avec sa piscine o� les hommes se baignaient nus. En 1945, l'association emm�nage boulevard Saint-Cyrille; le vieil �difice est alors amput� d'une partie de sa fa�ade et des installations sportives pour la construction du Cin�ma de Paris
Source: calendrier de vue ancienne de Qu�bec, 1991 (La Soci�t� historique de Qu�bec)
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Cela fait longtemps que je ne vous ai pas mise � jour sur la construction de la Tour de la Cit�. Elle n'est pas tout � fait termin�e, mais nous avons une tr�s bonne id�e du r�sultat final.
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19 mars 2004
Petite Rue Champlain (date inconnue)
Source: carte postale de Lorenzo Audet Enr.
Photo revisit�e en d�cembre 2003
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18 mars 2004
Source: Carte postale d'origine inconnue
Photo revisit� en d�cembre 2003: Rue St-Augustine, coin St-Jean
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Jusqu'en 1989, le plan de zonage de la ville de Vancouver d�courageait les promoteurs � d�velopper des unit�s r�sidentielles aux �tages sup�rieurs des �difices � vocation commerciale. La situation �tait donc semblable � ce que nous vivions actuellement � Qu�bec.
� la suite de l'immigration massive venant d'Asie pendant les ann�es 80, la m�tropole de la Colombie britannique a fait face � un manque important de logements. La ville ne peut s'�tendre ind�finiment : elle est prise en �taux entre l'oc�an et les montagnes.
Press� de revoir son plan d'urbanisme, Vancouver cr�e en 1989 les corridors commerciaux. Sur certaines art�res importantes, mais pas sur toute leur longueur, la ville oblige les promoteurs � b�tir des immeubles de deux � quatre �tages � vocation mixte. Le rez de chauss� doit accueillir des commerces alors que les �tages sup�rieurs sont r�serv�s � des appartements ou des condominiums.
Le quartier de Kitsilano, au sud-ouest du centre-ville, a servi de tremplin � cette nouvelle r�glementation. Le sc�nario s'est r�p�t� � de nombreuses reprises: Un promoteur ach�te un immeuble commerciale ainsi que le stationnement l'accompagnant, d�truit le b�timent, creuse deux ou trois �tage de stationnements soutairains, et b�tis ensuite un immeuble de quatre �tages avec commerce au rez-de-chauss� donnant sur la rue (sans recule).
Sur une zone typique de 70 par 100 pieds accueillants auparavant un seul commerce dans un �difice d'un �tage, on peut maintenant retrouver une douzaine d'unit�s de logement au dessus d'un ou plusieurs commerces.
Au d�but, ces logements furent populaires aupr�s des c�libataires et des couples sans enfants. Avec le temps, et � la surprise des planificateurs, de plus en plus de familles se sont appropri� les lieux, attir�es par une vie de quartier vivante: des caf�s-terrasses, de petits march�s d'alimentations, des librairies, etc.
Avec le temps, diff�rentes exp�rimentations ont �t� faites. Par exemple, les �tages sup�rieurs ont �t� recul�s de quelques pieds pour les isol�s de la lumi�re et du bruit des activit�es commerciales des du rez-de-chauss�. Cet essai n'est cependant pas venu sans controverses puisque, selon certain, moins de logements peuvent ainsi �tre construits. la ville planche donc sur diff�rentes solutions, comme un meilleur contr�le sur l'�clairage commercial et sur la forme des b�timents pour mieux prot�ger l'intimit� des r�sidants.
Cons�quence de la r�glementation municipale limitant les promoteurs � n'offrir qu'un seul espace de stationnement (plut�t que les deux au d�but du projet), certains �difices ont �t� construits sans stationnements arri�re, pr�f�rant utiliser cet espace pour un patio ou un jardin. Plusieurs r�sidants ont m�me abandonn� totalement la voiture, rassur�s par la pr�sence d'un syst�me de transport en commun � haute fr�quence assur� par des trolleybus.
Dans un avenir rapproch�, la Ville s'attaquera � l'�tape suivante : la planification de zone interm�diaire entre ces corridors commerciaux et les zones r�sidentielles � faible densit�. Une des solutions envisag�es est la construction de maisons en rang�es avec cours partag�e. Les planificateurs estiment que ces zones interm�diaires devraient attirer de jeunes familles investissant dans une premi�re propri�t� et des personnes � la retraite quittant une maison familiale ne r�pondant plus � leurs besoins
Maintenant, comment Qu�bec pourrait-elle s'inspirer de ce qui s'est fait sur les rives du Pacifique?
Imaginez les boulevards Henri-Bourassa, de l'Ormi�re ou Rochette d�barrass�s de leurs stations d'essence et de leurs bo�tes carr�es � fast food au profit de commerces et logements directement sur rue. Imaginez des zones suffisamment denses pour justifier un service de transports en commun rapide et fr�quent.
Mais � quoi bon r�ver? Le maire pr�f�re aller voir comment on fait � Bordeaux plut�t qu'� Vancouver. C'est beaucoup plus glamour et culturel en France. Et ils ne parlent pas anglais...
[Inspir� de New Urban News de Janvier-f�vrier 2004, p11-13: Vancouver sets the standard for housing atop stores]
Alors m�me que j'en �tais � la r�alisation de ce billet, Le Soleil publiait un article fort semblable : Crise du logement; Revitaliser les petits immeubles de banlieue
Boulevard des Quatre-Bourgeois, face au Carrefour de la P�rade. Une s�rie de walk-up, petits �difices � logements tristounets, perdus au milieu de leurs grands stationnements. Mais s'ils devenaient une solution � l'actuelle crise du logement ?C'est l'hypoth�se que soul�ve le Groupe interdisciplinaire de recherche sur les banlieues (GIRBa), dans une r�cente �tude.
Si vous �tes locataire et r�sidant de la vieille banlieue de Qu�bec, soit Beauport, Charlesbourg, Sainte-Foy, Sillery et Duberger, il y a de fortes chances que vous demeuriez dans l'un des 3000 walk-up qui repr�sentent 81% des �difices multifamiliaux de la premi�re couronne.
Ces �difices, b�tis surtout dans les ann�es 60 et 70, sont appel�s ainsi parce qu'ils sont d�nu�s d'ascenseur. Seul un escalier permet de monter jusqu'aux appartements du troisi�me �tage.
Pour la plupart recouverts de brique, les walk-up sont divis�s en logements comptant pour la plupart de trois � six pi�ces.
Les walk-up vieillissent de plus en plus : les fen�tres vont �tre � refaire, de m�me que les toitures et les balcons. N�anmoins, ces petits �difices ont un fort potentiel de d�veloppement, estiment Genevi�ve Vachon et Gianpiero Moretti, professeurs � l'�cole d'architecture de l'Universit� Laval et codirecteurs du GIRBa. "Les walk-up sont strat�giquement localis�s pr�s des autoroutes, pr�s des centres commerciaux locaux et pr�s du transport en commun, �num�re Genevi�ve Vachon. "Et ils occupent seulement 25 % de l'espace, ajoute Gianpiero Moretti. Le reste, c'est de l'asphalte."
Les chercheurs du GIRBa ne proposent pas une simple r�novation, mais une v�ritable densification de ces walk-up, qui procurera du coup plus de logements � la Ville.
L'�tudiante Julie Vaillant a mont� un projet pour la s�rie d'�difices qui font face � Place Naviles. Elle a combl� les trous entre les �difices par de nouveaux b�timents, o� pourraient s'installer par exemple des condos, des ateliers pour travailleurs autonomes, des logements adapt�s pour les personnes �g�es.
Les grands stationnements sont transform�s en cour centrale remplie de verdure et les espaces d�di�s aux voitures sont redistribu�s le long des rues. Pour cr�er une unit�, l'�tudiante a aussi trac� un sentier p�destre � travers tout le parc de walk-up, sorte d'�pine dorsale verte, explique Genevi�ve Vachon.
Dans ce sc�nario, le propri�taire des �difices gagnerait des logements et ne perdrait pas de stationnement. Les locataires, eux, se retrouveraient avec un environnement beaucoup plus agr�able. "L'id�e, c'est qu'il y ait de la mixit�, dit Genevi�ve Vachon. Il continuerait d'y avoir des logements � 500 $ par mois, mais rien n'emp�che qu'il pourrait y en avoir d'autres � 700 $ ou � 1000 $ par mois et le propri�taire y verrait donc des avantages."Les chercheurs du GIRBa savent que les propri�taires des walk-up auront besoin d'incitatifs pour faire de telles m�tamorphoses. "Pourquoi pas un projet pilote, sugg�re Genevi�ve Vachon. Avec un partenariat entre la Ville, la CORPIQ (les propri�taires) et la Soci�t� d'habitation du Qu�bec."
A la Ville, la conseill�re municipale responsable des dossiers d'am�nagement du territoire, Odile Roy, est convaincue que pour �viter que les citoyens partent s'�tablir toujours plus au nord, il faut s'occuper de la premi�re couronne. Un programme de subventions ou d'aide � la r�novation est-il envisageable ? "Pas juste des subventions, nuance Mme Roy. Mais il faut rendre la densification possible avec des programmes d'acquisition cibl�s."
Isabelle Mathieu, 16 mars 2004. Reproduit avec autorisation
J'ai pris contact avec GIRBa et surtout avec Julie Vaillant. Cette derni�re m'a gentiment fait parvenir son projet. Attention! C'est une image g�ante de 2000x1517 px et de 589kb. Cela en vaut cependant la peine!
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Trop d'opposition : La ville de Qu�bec modifiera le projet de la Maison Gomin. La Ville �tudie donc diff�rentes possibilit�s pour rendre le projet plus attrayant aux yeux de la population des alentours.
Selon le Journal de Qu�bec, on pense entre autres � � retirer l'usage d'un cr�matorium qui serait autoris� dans le projet de r�glement actuel. [...] On songe aussi � permettre des usages r�sidentiels;s � l'int�rieur de la Maison Gomin, � rendre obligatoire la r�alisation d'un mus�e, promise par les promoteurs pour rappeler la vocation carc�rale du b�timent patrimonial. �
� trop vouloir plaire � tout le monde, � force de changer d'orientation tous les trois mois, le projet de la Maison Gomin se dirige tout droit dans un mur. Ach�teriez-vous une unit� d'habitation dans un immeuble abritant un mus�e et un salon mortuaire, avec toutes le vas et viens que cela impose?
Je ne dis pas que l'id�e du cr�matorium �tait la meilleure. Peut-�tre qu'un autre type de commerce serait plus appropri�. Ou peut-�tre QUE des condos (ou logements)... Mais l'id�e d'un � cr�matorium-immeuble � logement-mus�e � me semble peu viable.
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Finalement, c'est fait! Qu�bec urbain turbine maintenant sous Movable Type. Il reste quelques petits d�tails � r�gler, principalement au niveau des gabarits (template). D'ailleurs, si quelqu'un pouvait me dire comment modifier le gabarit de la page des r�sultats de recherche, ce serait tr�s appr�ci�. D'ici l�, il y aura quelques traces d'anglais � gauche et � droite. Cependant, mes amis de l'OQLF seront heureux : le petit calendrier est d�j� en fran�ais...
Si la charte graphique cloche sur votre navigateur, n'h�sitez pas � m'en faire part.
Merci aux gens d'iXm�dia pour l'aide apport�e.
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Le 18 mars 2004, Qu�bec urbain � chang� son outil de publication. Vous trouverez le reste des billets de Qu�bec urbain dans les archives de l'ancien syst�me
Notez que tous les billets plus vieux que celui-ci (et qui se retrouve probablement plus bas dans cette page) ne servent qu'� faire le pont entre les deux syst�mes de publication.
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