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Qui est le prochain?
31 octobre 2004
30 octobre 2004
� la place des graffitis, je verrais bien une fresque sur ce grand mur de brique. Pas vous?
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29 octobre 2004
�a, c'est la bonne nouvelle de la semaine!
La Ville de Qu�bec envisage de d�molir le reste du toit du mail de la rue Saint-Joseph, dans le quartier Saint-Roch, au cours de l'ann�e 2006. Ces travaux co�teraient de quatre � cinq millions de dollars.
Suite du texte sur Radio-Canada
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28 octobre 2004
Oui, il est possible d'int�gr� des m�gas en milieu urbain : Urban Big Boxes in Chicago. J'aime particuli�rement le Home Depot. Il n'y a pas qu'� Chicago que cette compagnie adopte un look urbain. Celui de New-York est fort impressionnant!
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On a proc�d� aujourd'hui � l'inauguration des nouveaux locaux de la biblioth�que Charles-H.-Blais La biblioth�que occupe les locaux r�am�nag�s de l'ancien h�tel de ville de Sillery, au 1445, avenue Maguire.
La transformation de l�ancien h�tel de ville de Sillery en biblioth�que concr�tise la r�alisation d�une priorit� pour le Conseil d�arrondissement de Sainte-Foy�Sillery, soit celle de d�velopper un p�le culturel majeur sur l�avenue Maguire, au c�ur de la vie des gens.
� l�int�rieur de ce nouveau lieu de diffusion culturelle, deux �l�ments importants de l�ancien h�tel de ville ont �t� conserv�s et adapt�s : l�escalier central s�est refait une beaut� alors que la vo�te est devenue un espace beaucoup plus ludique o� il fait bon dire � Il �tait une fois� �.
En outre, la biblioth�que Charles-H.-Blais r�serve une place de choix � l�histoire de Sillery. En effet, elle est devenue la gardienne des armoiries et des drapeaux de l�ancienne ville et elle conserve en ses murs les photographies des maires et des conseillers qui ont servi les Sillerois au fil des ans.
Quant aux abonn�s de la biblioth�que Charles-H.-Blais, tout a �t� mis en �uvre afin de leur offrir des services de qualit� dans un environnement chaleureux et confortable. Ils profiteront d�sormais de plusieurs nouveaut�s telles que la location de disques compacts, l��coute musicale sur place, 11 postes d�acc�s � Internet, un salon de lecture avec vue sur l�avenue Maguire ainsi qu�un coin envo�tant pour les jeunes. La collection de la biblioth�que compte quelque 56 000 documents dont une impressionnante quantit� de livres en langue anglaise.
Partage des investissements
Outre l�am�nagement de la biblioth�que Charles-H.-Blais, le projet de transformation de l�ancien h�tel de ville de Sillery inclut des salles polyvalentes disponibles pour l�ensemble de la communaut� au sous-sol de l��difice ainsi que le r�am�nagement de la caserne de pompiers adjacente.
Place Maguire
Jumel�e � la biblioth�que, la premi�re phase d'am�nagement d�une nouvelle place publique, la place Maguire, a �t� r�alis�e. Ces travaux contribuent � embellir et � animer la principale art�re commerciale de Sillery. Outre le parvis de la biblioth�que Charles-H.-Blais, la place Maguire se d�finit comme un lieu convivial avec son agora o� se tiendront des spectacles � l�occasion.
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These pages feature the basic building blocks of great streets, with galleries of the best design elements from street projects across the countryThese pages provide case studies where great streets have been the centerpiece of a renewed main street or downtown
Beaucoup d'inspiration pour Qu�bec!
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Le pr�sident de la Maison Simons, M. Peter D. Simons, a annonc� aujourd'hui le don de la Fontaine Tourny � la population de Qu�bec. Cette fontaine sera install�e en 2007, en vue du 400e anniversaire de Qu�bec, au centre du carrefour giratoire de l'avenue Honor�-Mercier, face � l'H�tel du Parlement.
Cette fontaine repr�sente une pi�ce monumentale mesurant pr�s de 7 m�tres de haut. R�alis�e par le sculpteur fran�ais, Mathurin Moreau, elle a re�u une m�daille d'or � l'occasion de l'Exposition universelle de Paris, en 1855. Elle a �t� install�e pendant pr�s d'un si�cle, soit de 1857 � 1960, dans les all�es de Tourny au centre-ville de Bordeaux, ville jumel�e � Qu�bec.
� Ce don, offert au nom de ma famille et de mes anc�tres, symbolise notre loyaut� envers une ville qui nous a accueillis il y a 164 ans, a expliqu� M. Simons. Il repr�sente aussi un hommage aux dizaines de milliers de personnes exceptionnelles qui ont mis leur c�ur dans l�entreprise depuis le d�but et celles qui poursuivent encore aujourd�hui ce m�me objectif. Depuis 1840, la Maison Simons est fi�re de partager son histoire avec les citoyens de la ville de Qu�bec et d�offrir la Fontaine de Tourny en hommage � leur fid�lit�. �
Pour le premier ministre du Qu�bec, le geste de la famille Simons est une autre preuve de leur g�n�rosit� et de leur implication dans la vie sociale et �conomique de la ville de Qu�bec. � En offrant cette magnifique fontaine qui ornera le carrefour devant l�H�tel du Parlement, les membres de la famille Simons laissent aux gens de Qu�bec un souvenir durable, qui soulignera de fa�on remarquable le 400e anniversaire de la ville de Qu�bec � a soulign� M. Charest.
� Ce don constitue un �v�nement marquant pour Qu�bec, a pr�cis� M. L'Allier. Il permettra non seulement aux g�n�rations actuelles et futures de profiter d'un am�nagement grandiose mais �galement de souligner de fa�on exceptionnelle le 400e anniversaire de Qu�bec. La valeur de ce don est inestimable, particuli�rement parce qu'il est fait par une entreprise dont le succ�s commercial est un symbole pour Qu�bec. De plus, cette fontaine permettra d'enrichir le paysage urbain; toutes et tous pourront en convenir au moment de son installation. �
Acquisition et installation
La Maison Simons fait don de cette fontaine et assume les frais d'acquisition, de transport, de restauration et d'assemblage qui totalisent pr�s de 4 millions $. La Ville de Qu�bec et le gouvernement du Qu�bec, d�fraieront les co�ts d'am�nagement et d'installation incluant l'�clairage, �valu�s � 1,8 million $. La fontaine devrait �tre install�e en 2006, pour �tre fonctionnelle au printemps 2007.
Long reportage vid�o de Radio-Canada.
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27 octobre 2004
Une conf�rence de presse aura lieu demain. Le Premier ministre Charest et le maire de Qu�bec annonceront un � important don � d'une compagnie priv�e dans le cadre des f�tes du 400e. Plus de d�tail ici m�me demain.
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Sur la rue Jules Verne, tout juste derri�re le nouveau Canadian Tire, verra bient�t le jour un centre commercial accueillant uniquement des boutiques sportives. L'Entrep�t du hockey, Swing de Golf, Boutique chasse et p�che, Liquida Sports, Chaussures Sports et Andr� Lalonde Sport ont d�j� confirm� leur pr�sence.
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Le Complexe fun�raire de la Cit� sera situ� sur la rue Le Gendre, � Sainte-Foy. La fin des travaux est pr�vue pour le printemps 2005. Il sera b�ti sur trois �tages et s��tendra sur une superficie totalisant 19,000 pieds carr�s. � l�ext�rieur, 100 espaces de stationnement seront disponibles. Dot� d�une architecture contemporaine, le b�timent sera fait de pierres et de verre.
Il abritera un vaste columbarium, 3 salles d�exposition, une chapelle, 2 salles de r�ception et une aire de jeux pour les enfants. Tous les services fun�raires d�usage seront regroup�s sous ce m�me toit.
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Me Marcel Aubut lance un message assez clair en vue des F�tes du 400e anniversaire de la ville de Qu�bec. "J'ai entendu beaucoup parler de projets culturels, et j'en suis bien content, mais il ne faudrait pas oublier qu'une grande ville comme Qu�bec doit avoir des installations sportives de prestige et �a passe par la construction d'un nouveau Colis�e ou d'un complexe sportif d'envergure."
L'ancien propri�taire des ex-Nordiques ne veut et surtout ne peut commenter ce qui passe dans la Ligue nationale de hockey. "Ne me demandez rien � ce sujet. A titre d'aviseur de la Ligue nationale au sujet de la loi canadienne, je ne peux faire aucun commentaire. Il y a le propri�taire des Trashers d'Atlanta qui a parl� derni�rement et �a lui a co�t� une amende de 250 000 $US."C'est ensuite que Marcel Aubut a plaid� en faveur des installations sportives pour la ville de Qu�bec. "Il aurait m�me fallu que les d�marches soient d�j� faites. Je trouve que c'est le bon temps pour que la r�gion se lance dans un projet rassembleur et motivateur et les gouvernements devraient n�cessairement s'impliquer."
Pour l'avocat qu�b�cois, l'occasion est belle de replacer la ville sur l'�chiquier des grandes confrontations sportives. "Prenez l'exemple de Winnipeg o� la situation �conomique est semblable � celle de la r�gion de Qu�bec. La ville a perdu les Jets un an apr�s que les Nordiques eurent d�m�nag� � Denver, mais ils sont en train de parachever un nouvel amphith��tre et qui sait ce qui peut arriver. Qu�bec n'a pas ce stade moderne, avec loges corporatives et � la fine pointe de la technologie. Ce qui emp�che de recevoir des �v�nements sportifs d'envergure et m�me des groupes musicaux internationaux ne veulent plus s'y arr�ter parce que le Colis�e actuel est d�suet au point de vue technologique."
Un nouvel amphith��tre pourrait-il favoriser le retour d'une formation de la Ligue nationale de hockey ? "On ne sait jamais, il y a tellement de choses qui peuvent se passer. Si la ville �tait pr�te quand le moment arriverait, ce serait un grand pas de fait. Avec un �difice moderne d�j� existant �a donnerait une meilleure chance. Si ce n'est pas un amphith��tre de hockey, ce pourrait �tre un stade multisports. La Ligue canadienne de football est toujours int�ress�e � s'�tablir � Qu�bec mais �a prend un endroit qui peut accueillir quelque 30 000 personnes et qui pourrait servir � bien d'autres manifestations sportives."
Sans compter qu'un projet de cette taille cr�erait une activit� �conomique importante. "Il y aurait une pouss�e �conomique incroyable avec ce genre de construction d'envergure. C'est le temps ou jamais de faire des grands projets. Les F�tes du 400e anniversaire de la fondation de la ville de Qu�bec doivent servir de catalyseur dans ce sens."
Puis, commentant une blague qui voulait qu'il se pr�sente � la mairie de Qu�bec, il a conclu en disant : "C'est justement une blague."
En entrevue � TQS, le maire a comment� la nouvelle en pr�cisant qu'il n'�tait pas question de r�aliser ce genre de projet. Pour le sport, et contrairement � la culture aurais-je le go�t d�ajouter, il a une vision � grande publique � et non � �lite �.
Il semble oublier que les jeunes sportifs, tout comme les jeunes artistes, ont besoin de mod�les de haut niveau pour les motiver � progresser. Le sport, �a se construit en pyramide. L'�lite, une �quipe professionnelle, sert de catalyseur. Il faut ensuite une �quipe par universit�, une �quipe par coll�ge, une �quipe par �cole secondaire, et enfin des � ligues de garage � pour ceux qui ne sont plus dans le r�seau scolaire.
Combien d'�quipes de football sont n�es dans les �coles secondaires depuis l'arriv�e du Rouge et Or?
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26 octobre 2004
Et une boutique de plus!
Marie-�ve me pr�cise qu'� droite de la bijouterie Mademoiselle B, elle m�me � droite de Peak Perfromance, ce sera une boutique de lingerie fine. � On pouvait voir par la porte entrouverte de beaux soutiens-gorge en satin et des petites dentelles pr�tes � �tre class�es �, me pr�cise-t-elle. Le nom de la boutique serait � Les voisines �
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25 octobre 2004
� L�enfouissement des fils est un des �l�ments majeurs visant � mettre en valeur les attraits du Vieux-Cap-Rouge, a mentionn� M. Chatigny, conseiller municipal de Cap-Rouge. Ce secteur est d�j� un des plus beau de la ville, il n�en sera que plus agr�able � admirer �.
Une �tude de mise en valeur du Vieux-Cap-Rouge, rendue publique au printemps, sugg�rait l�enfouissement de ces fils. Deux autres gestes pr�vus dans cette �tude ont �t� r�alis�s ou amorc�s soit :
-l�am�nagement des terrains de la plage Jacques-Cartier appartenant � l�ancienne Ville de Sainte-Foy mais situ� sur le territoire de l�ancienne ville de Cap-Rouge;
-la mise en lumi�re de l��glise de Saint-F�lix de Cap-Rouge, en partenariat avec la Commission de la capitale nationale du Qu�bec et la Fabrique de la paroisse de Saint-F�lix de Cap-Rouge.
La Ville investira 242 000 $ dans l�enfouissement des fils, sur un total de 2,5 millions $, et 1,05 million $ de plus pour r�am�nager la c�te de Cap-Rouge.
Le Vieux-Cap-Rouge b�n�ficie d�attraits naturels comme la falaise, le fleuve et la rivi�re, auxquels se sont ajout�s au fil des ans des b�timents maintenant patrimoniaux, le tracel et la marina, qui ont cr�� une ambiance des plus remarquable.
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24 octobre 2004
Le nouveau � Le Cartier � r�cemment r�nov� sur Charest accueille depuis environ deux ans des fonctionnaires aux rez de chauss�s. Erreur.
Dans un immeuble se trouvant sur une art�re commerciale, l'�tage qui se trouve � la hauteur des passants doit �tre un commerce. Jamais des bureaux. Dans le cas qui nous concerne, les vitres sont teint�es et les travailleurs baissent les v�nitiennes pour s'isoler des passants et se prot�ger du soleil aveuglant, cr�ant ainsi un long � mur � pour les passants.
Make the building front "permeable" (i.e., no blank walls)Connect the inside of the building and the sidewalk outside with windows ans doors.
Life attract life. If you can't see the merchandise for sale or the patrons mingling, you won't stop to go in. It's a basic rule of retailing and practical urbain design the world over. Flaunt it. Don't hide it with a blank wall. Place windows and opening along the sidewalk.
Of course, not only must people be able to see in and out, they must be able to enter. Therefore put your front doors where they are visible from and directly face the sidewalk.
Making the building open to the sidewalk is a commin denominator of a healthy neighborhoods and potential urbain villages.
Sub-rule: prohibit mirrored glass or window coverings that block visibility
Creating connection between humans inside the building and outside it is the essence of creating pedestrian-oriented streets. So it follows that mirrored glass, or blinds, or any other device to block visibility is a rule breaker, as would be mirrored sunglass in a t�te-�-t�te. If you have experienced the discomfort of talking with someone wearing mirrored sunglass, which deliberately limit contact, you understand what I mean. No matter what advantage it might otherwise offer, such as energy saving or privacy, blocking visibility is inimical to a pedestrian-oriented streed.
City comfort, how to build an urban village (p. 48-49). David Sucher
� court terme, le propri�taire de l'immeuble s'est trouv� un locataire. � long terme, ce locataire pourrait avoir des cons�quences d�sastreuses sur son environnement imm�diat.
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23 octobre 2004
Bernard Bastien est r�sidant de St-Roch et me fait r�guli�rement parvenir des rapports de situation sur ce qui se passe dans son quartier. Voici son plus r�cent envois.
Le projet de la Falaise Apprivois�e s'en vient bien. La construction devrait d�buter d'ici quelques semaines. L'�difice � logements qui fait face � l'�difice Le Soleil est vide depuis le d�but juillet et les choses seraient pr�tes pour le lancement du chantier. Cet �difice (en fait c'est deux �difices attach�s) sera d�moli, et la nouvelle construction couvrira aussi l'espace occup� par les deux stationnements de chaque c�t� de l'�difice. 200 places de stationnement, des ateliers d'artiste et des logements, je ne me rappelle plus de la quantit� mais c'est un projet assez majeur.Le projet d'h�tel sur les lieux de l'ancien Patro St-Vincent-de-Paul semblait mort vu l'absence d'Activit�s sur le chantier depuis plusieurs mois. En fait rien n'est compromis, c'est qu'il y a un changement important, les promoteurs attendraient d'avoir le OK de la ville pour d�molir l'�difice. Le projet initial pr�voyait son int�gration, mais il semble que l'immeuble soit contamin� � l'amiante et qu'il ne soit pas r�cup�rable.
Il y a eu des rumeurs sur un nouveau projet de d�veloppement coin Charest/Dorchester, �a l'air que finalement rien n'est fait, tous les terrains sont toujours � vendre je crois bien, mais �a restera probablement pas longtemps comme �a, ils sont "zieut�s"!
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22 octobre 2004
Cette fois, c'est � Limoilou. D�tails et photo (en PDF!?!?) sur le site de la ville de Qu�bec
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21 octobre 2004
Je vous annon�ais de fa�on tr�s fragmentaire le 9 octobre pass� l'arriv�e d'un commerce du domaine de l'alimentation entre Baltazar et Mec. Catheryne Cat me pr�cise qu'ils ont pos� une enseigne qui dit � Le Blanchet � P�tisserie et �picerie fine �. Les r�novations int�rieures sont semblent-il bien avanc�.
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Aucun rapport avec l�urbanisme, mais vous savez que j�aime bien vous tenir au courant des visites de navire dans le Vieux-port. D�s demain arrivera la fr�gate de classe Halifax NCSM Ville de Qu�bec. Elle sera accompagn�e de 5 autres navires de l�OTAN faisant partis de la flotte permanente de l�Atlantique. Ils seront en ville pour quelques jours.
MAJ: Plus de d�tails
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20 octobre 2004
Pour ajouter quelques information sur l'article du Soleil... Le concept de BENJO vient litt�ralement r�volutionner l�industrie du jouet � Qu�bec. Il faut dire qu�avant de prendre forme, l�id�e a longtemps germ� dans la t�te des deux promoteurs qui voulaient se distinguer en faisant na�tre une �tincelle de merveilleux dans le regard de chaque enfant qui franchissait la porte de son univers. Inspir� de concepts glan�s ici et � l��tranger, BENJO comporte deux divisions : la partie magasin et la partie atelier RESTO BRICO qui comprend un atelier de bricolage, une salle de f�te d�enfant et un restaurant.
� l�int�rieur du magasin, une quinzaine de d�partements ont �t� cr��s pour stimuler l�imaginaire des petits visiteurs. Jouets de construction, piste de course g�ante, train �lectrique qui sillonne le magasin, avion, poste d�essence, th��tre de marionnettes, fabrique de toutous et de bijoux, laboratoire, biblioth�que, cirque miniature, mur de LITE BRITE �
Leur site Internet s'est d'ailleurs enrichi de quelques images fort impressionnantes (cliquez sur les "d�partements" en haut), rappelant les magasins de jouet que l'on voit dans les films.
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19 octobre 2004
Une fresque en trompe-l��il � r�cemment �t� inaugur�e sur le grand mur aveugle du Centre Horizon. D�tails et photos sur le site de la CCNQ
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La Ville de Qu�bec a r�serv� quatre millions pour r�gler le probl�me de la circulation dans le secteur de l'axe Saint-David Montpellier dans l'arrondissement de Beauport.
Suite du texte sur Radio-Canada
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18 octobre 2004
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Voici la liste des principaux projets � port�e locale qui sont inscrits au PTI 2005-2006-2007 et qui devraient se r�aliser au cours des trois prochaines ann�es.
Dans l�arrondissement de Beauport, des am�liorations seront apport�es aux installations de plusieurs parcs de voisinage, dont ceux des parcs Boisvert, La Sabli�re, Blancardin, No�l-Langlois, Lourmel, Chevalier, de la Ribambelle et Montmorency. Des montants sont par ailleurs pr�vus pour poursuivre l�am�nagement du parc lin�aire de la rivi�re Beauport et la mise en valeur de la baie de Beauport ainsi que pour bonifier certains �quipements du camping municipal. L�am�nagement d�un terrain de soccer est �galement pr�vu. Un local d�di� exclusivement � la pratique de la gymnastique verra de plus le jour pour r�pondre aux besoins grandissants en ce domaine. C�t� am�nagement urbain, des enveloppes budg�taires seront r�serv�es pour l�enfouissement de fils dans les quartiers anciens, pour la mise en valeur de l�avenue Royale ainsi que pour l�am�nagement d�un parc d�agr�ment au coin de la rue du Manoir et de l�avenue Royale. Des sommes sont �galement pr�vues pour l�am�lioration de la s�curit� routi�re autour de l��cole de la Ribambelle et l�am�nagement d�un lien pi�tonnier entre les rues Viger et Paquet. En ce qui a trait � la culture, une enveloppe budg�taire est r�serv�e pour la r�novation des locaux de l��cole de musique des Cascades.
Dans l�arrondissement de Charlesbourg, plusieurs parcs b�n�ficieront d�am�liorations � leurs am�nagements et installations sportives, notamment les parcs Terrasse Bon-Air, Saint-Viateur et Maria-Goretti. L�am�nagement d�un terrain de soccer est notamment pr�vu. Une piste cyclo-pi�tonne sera am�nag�e le long du boulevard de l�Atrium, entre le boulevard des Gradins et l�avenue de l�Is�re. En ce qui a trait � l�am�nagement urbain, des enveloppes budg�taires sont pr�vues pour apporter plusieurs am�liorations au secteur historique du Trait-Carr�. Des travaux de r�novation seront de plus effectu�s au presbyt�re Saint-J�r�me afin d�y loger l��cole de musique Musique et Mascarade de fa�on permanente. Des sommes sont �galement pr�vues pour la modernisation et l�installation de signaux lumineux afin am�liorer la s�curit� routi�re � certains endroits.
Dans l�arrondissement de La Cit�, les installations de plusieurs parcs seront am�lior�es, notamment ceux des parcs Saint-Sacrement, Durocher, Lucien-Borne, Berthelot, du Petit-Moulin et des Saints-Martyrs. Des sommes sont �galement r�serv�es pour effectuer divers travaux aux centres communautaires Saint-Roch, Monseigneur-Bouffard et Lucien-Borne. De plus, l�am�nagement du coteau Sainte-Genevi�ve se poursuivra le long de la falaise. C�t� am�nagement urbain, des enveloppes budg�taires sont pr�vues pour r�am�nager la c�te du Palais, l�escalier Saint-Denis, les espaces publics entourant la biblioth�que Gabrielle-Roy et pour mettre en valeur l��lot des Palais. Des sommes seront �galement investies dans le cadre des plans directeurs des quartiers Saint-Sauveur, Vieux-Qu�bec/Haute-Ville et Saint-Roch. De plus, des investissements sont pr�vus pour la r�habilitation de la Pointe-aux-Li�vres, la mise en oeuvre de la gestion int�gr�e des d�placements dans le Vieux-Qu�bec et l�enfouissement des fils �lectriques dans les quartiers anciens.
Dans l�arrondissement de La Haute-Saint-Charles, plusieurs parcs verront leurs am�nagements et installations sportives bonifier, notamment les parcs des Eaux-Fra�ches (phase 2), du Grand-Oasis (phase 3), V�ga, Kabir-Kouba et du Bois-Enchant�. L�am�nagement d�un terrain de soccer est notamment pr�vu, de m�me que l�am�nagement d�un nouveau parc au lac � la Grenouille. Une enveloppe budg�taire est r�serv�e pour la mise en oeuvre d�un centre d�interpr�tation, en collaboration avec l�Association pour la protection du lac Saint-Charles et des Marais du Nord. Un gymnase double sera construit � l��cole l�Accueil de Saint-�mile, en association avec la commission scolaire de la Capitale. Une piste cyclable sera de plus am�nag�e le long de la rue de V�nus. C�t� am�nagement urbain, une enveloppe budg�taire est r�serv�e pour la mise en valeur de la rue Racine et la r�alisation du plan directeur du quartier Neufch�tel. Des sommes sont �galement pr�vues pour la modernisation et l�installation de signaux lumineux afin am�liorer la s�curit� routi�re.
Dans l�arrondissement Laurentien, plusieurs installations r�cr�atives seront am�lior�es, notamment au parc Trois-Saisons et au bois� Sainte-Genevi�ve. De plus, trois terrains de soccer seront construits, dont un synth�tique. Une enveloppe budg�taire est �galement r�serv�e pour le r�am�nagement de la base de plein air de Sainte-Foy et l�assainissement des lacs Laberge. Un montant est de plus pr�vu pour la poursuite du programme d�assainissement des eaux du lac Saint-Augustin et l�am�nagement d�un parc riverain. Le projet de stabilisation et de mise en valeur de la rivi�re du Cap Rouge se poursuivra �galement. C�t� am�nagement urbain, des sommes sont r�serv�es pour la construction d�un axe routier, entre l�avenue Industrielle et le parc industriel de Val-B�lair. L�am�nagement d�un �cran acoustique dans le secteur Les Sources, pour r�duire les nuisances sonores en provenance de l�autoroute F�lix-Leclerc, se poursuivra en 2005 et 2006. Un montant est �galement pr�vu pour la mise en oeuvre du plan directeur du quartier Cap-Rouge et le r�am�nagement de la c�te de Cap-Rouge. En ce qui a trait � la culture, une somme est r�serv�e pour l�agrandissement de la biblioth�que F�lix-Leclerc.
Dans l�arrondissement de Limoilou, plusieurs �quipements r�cr�atifs seront am�lior�s, notamment aux parcs Lairet, l�Anse-�-Cartier, Marchand, Sainte-Odile, Saint-Albert, Stadacona et au jardin communautaire Conway. Une enveloppe budg�taire est aussi r�serv�e pour la r�novation du centre Monseigneur-Marcoux. Le projet de renaturalisation de la rivi�re Saint-Charles se poursuit �galement : la prochaine phase visera les berges situ�es entre le parc Cartier-Br�beuf et le pont-tunnel Joseph-Samson. C�t� am�nagement urbain, le carrefour form� du boulevard Sainte-Anne et de l�avenue D�Estimauville sera mis en valeur et la r�fection du secteur du pont Drouin se poursuivra. De plus, la rue Soumande sera prolong�e, entre la rue du Colis�e et les installations de la laiterie Natrel. Des sommes sont �galement r�serv�es pour la mise en oeuvre du plan directeur du quartier Maizerets. En regard de la culture, une enveloppe budg�taire est pr�vue pour parachever la r�novation des locaux de L�Autre Caserne.
Dans l�arrondissement des Rivi�res, les installations de plusieurs parcs seront bonifi�es, notamment, aux parcs Chauveau, des Brumes et de l�Accueil. L�am�nagement du parc lin�aire des rivi�res Saint-Charles et du Berger se poursuivra �galement. De plus, deux terrains de soccer synth�tiques seront am�nag�s. Une enveloppe budg�taire est �galement pr�vue pour des travaux de r�novation aux centres communautaires Lebourgneuf et Charles-Auguste-Savard ainsi que pour la reconstruction de la Maison des jeunes au parc Sainte-Monique. Une place publique sera construite � l�angle des boulevards Masson et P�re-Leli�vre. Le boulevard des Gradins sera r�am�nag�, entre le boulevard Lebourgneuf et la rue Bouvier, afin d�y am�liorer la s�curit� routi�re. Le prolongement du boulevard La Morille est �galement pr�vu et une enveloppe budg�taire est r�serv�e pour la mise en chantier du prolongement de l�autoroute du Vallon en boulevard urbain (tron�on Lebourgneuf/Chauveau). C�t� culture, des sommes seront consacr�es � l�am�nagement d�un kiosque � musique sur le site de la Maison O�Neill ainsi que pour r�nover les locaux du centre d�art La Chapelle.
Dans l�arrondissement de Sainte-Foy�Sillery, plusieurs installations sportives, telles que les piscines et les terrains de tennis, seront r�nov�es aux parcs Chapdelaine, Saint-Yves et Saint-Denys. La construction de deux terrains de soccer synth�tiques est �galement pr�vue pour r�pondre aux besoins grandissants en ce domaine. La voie cyclable du chemin des Quatre-Bourgeois se verra prolonger entre l�avenue B�gon et le boulevard Pie-XII. Des sommes seront �galement investies pour la mise en valeur et la protection du bois� de la falaise de Sainte-Foy. C�t� am�nagement urbain, des enveloppes budg�taires sont r�serv�es pour l�am�nagement d�un nouveau parc de voisinage sur la rue Bourbonni�re, � proximit� du cimeti�re de Sillery, et pour la mise en valeur de l�espace public entourant la biblioth�que de Sillery. L�enfouissement des fils dans certains sites patrimoniaux se poursuivra. Des sommes sont �galement pr�vues pour la modernisation et l�installation de signaux lumineux afin d�am�liorer la s�curit� routi�re � certains endroits. En ce qui a trait � la culture, une enveloppe budg�taire sera consacr�e � l�agrandissement de la biblioth�que Monique-Corriveau.
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16 octobre 2004
Jeu : Cet immeuble est tr�s particulier pour tous les lecteurs de Qu�bec urbain. Quelqu'un ose proposer une explication de la raison?
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15 octobre 2004
� la fin de l'ann�e 2002, le gouvernement p�quiste annon�ait l'am�nagement d'�difices pour loger des fonctionnaires dans le secteur d'Estimauville. Cela devait marquer le d�but d'un vaste plan de d�veloppement de cet endroit. Apr�s avoir mis ce projet en veilleuse, le gouvernement Charest a annonc� au d�but du mois d'octobre qu'il l'abandonnait d�finitivement.Mais le d�veloppement de l'avenue d'Estimauville et de ce secteur demeure n�anmoins une priorit� pour la Ville de Qu�bec. Le conseiller � la Ville de Qu�bec, Claude Larose, indique qu'il y aura tout de m�me un ou des �difices � bureaux dans ce secteur
Suite du texte sur Radio-Canada
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La population du quartier Saint-Sauveur a accueilli avec un esprit int�ress� et pragmatique la proposition de r�am�nagement du boulevard Charest Ouest que lui a soumis son conseil de quartier, en pr�sence de repr�sentants de la Ville de Qu�bec, hier, au Patro Laval.
C'est surtout l'�limination du stationnement sur la partie nord du boulevard, entre certaines rues plus dens�ment peupl�es, et les difficult�s appr�hend�es de d�neigement des beaux trottoirs avec des plates-bandes au milieu qui pr�occupent les r�sidants du secteur, eux qui, hiver comme �t�, font face � de multiples d�placements dans cette zone.Mais, pour l'ensemble, ils accueillent avec joie le d�sir de la Ville de Qu�bec de r�parer la "cicatrice urbaine" qu'a �t� l'am�nagement, dans sa forme actuelle, du boulevard Charest-Ouest, en 1965.
"Cela a eu pour effet, note la conseill�re Louise Lapointe, de scinder le quartier en deux." Pour m�moire, la Ville de Qu�bec avait expropri� tous les gens qui habitaient la rue Morin pour permettre, en lieu et place, la construction de ce boulevard.
Le concept mis de l'avant par la soci�t� d'architectes urbains ABPC divise en quatre zones le boulevard qui fait 2,5 kilom�tres de longueur, entre les rues Langelier et Saint-Sacrement. A l'ouest, il y a d'abord la zone du parc industriel. En se dirigeant vers le Vieux-Port, on croise ensuite une zone mixte qui se termine � Marie-de-l'Incarnation, puis un secteur r�sidentiel et, enfin, l'axe form� par l'intersection des rues Langelier, Saint-Vallier et Charest, avec chacun leurs probl�mes particuliers.
C'est une premi�re partie du secteur r�sidentiel, entre Montmigny et Saint-Luc, que la Ville de Qu�bec esp�re mettre en chantier, d�s l'an prochain. Un budget de 4 100 000 $ serait n�cessaire pour cette t�che qui am�nerait la disparition du terre-plein au centre de la voie carrossable, l'�largissement des trottoirs avec des baies pour le stationnement des v�hicules sur le c�t� sud, le remplacement des feux de circulation et l'am�nagement des voies de traverse. "On souhaite la fin de tous les travaux pour 2007", a pr�cis� Mme Lapointe.
La conseill�re Lapointe souhaite aussi que la Commission de la capitale nationale participe au financement de la r�fection de l'ensemble du boulevard, comme elle l'a fait dans d'autres secteurs de la ville. "On lui demande 2 millions $ par ann�e, pendant trois ans, de r�v�ler la conseill�re. Mais la CCN n'est pr�te qu'� un demi-million, selon ce qu'elle nous dit."
Elle a ajout� que la Ville devra, de son c�t�, r��tudier l'ensemble de sa politique de subvention � la r�novation pour permettre aux propri�taires des maisons qui habitent en bordure du boulevard d'effectuer des am�liorations � leurs propri�t�s, dans l'esprit du caract�re vert qu'on veut donner au quartier "Pour ce qui est de la rue Saint-Vallier, c'est un dossier tout � fait � part. Comme il s'agit d'une art�re commerciale, on �tudie certaines propositions avec les gens d'affaires. Cela pourrait �tre amorc� dans deux ans."
Le conseil de quartier fera ses recommandations au conseil d'arrondissement La Cit� qui, � son tour, fera une analyse du projet pour approbation par le conseil municipal.
J'�tais sur place et j'ai retenu certaines choses...
Des 6 voies qu'il y a pr�sentement, dont deux �tant r�serv�s au stationnement sur rue, il en restera cinq, incluant une pour le stationnement. Le rapport de la firme externe pr�cise qu'il pourrait y avoir, � long terme, des voies r�serv�es pour le transport en commun. Selon moi, c'est une belle phrase pour faire gentil avec les �colos. Si ce n'est pas mis en place d�s le d�but, cela ne se fera jamais. Comment penser que la ville fasse passer le boulevard � une voie seulement pour les voitures alors que ce coin bouchonne fortement avec les deux actuelles? Impensable : la population n'acceptera jamais cela.
Au grand d�plaisir de certains ici, c'est effectivement les lampadaires de type � Qu�bec �, affectueusement appel� � lampadaire de la mort �, qui seront utilis�s.
Malheureusement, on mettra en place des feux exclusifs pour pi�ton.
Il a �t� question de � terrasse et de zone d'�talage mara�cher � dans le coin du boulevard Langelier. Un demi-march� By? � mon humble avis, il s'agit d'un �l�ment qui ne sera pas retenu par la ville.
Un bon pas en avant, on veut de nouvelles constructions en fa�ade entre Marie de l'Incarnation et St-Sacrement pour boucher les trous et stationnement qui existent.
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Dans l'ensemble, Qu�bec ne fait pas piti� en �quipements r�cr�atifs et culturels. Mais ses �quipements accusent leur �ge. La Ville devrait investir 111 millions $ suppl�mentaires d'ici 2010 simplement pour les maintenir en �tat. Et il y a des manques criants de terrains de soccer, de piscines publiques et de parcs ad�quats. Sans parler des installations pour ses visiteurs...
Ce sont les principaux constats du plan directeur des �quipements r�cr�atifs et culturels pr�sent� par le consortium form� des firmes Plurem et Sodem Recherche et D�veloppement � la Ville de Qu�bec. On recommande aussi, c'est dans l'air du temps, d'analyser l'opportunit� de recourir au priv� pour l'administration de certains �quipements.Le rapport "est un bon outil de gestion pour que les arrondissements puissent �tablir leurs priorit�s", estime Guylaine No�l, la pr�sidente de la commission consultative sur les loisirs, les sports et la vie communautaire.
Une vue plus globale de la situation permettra aussi des choix plus judicieux. Comprendre : dans un contexte budg�taire serr�, il faudra faire des choix - parfois douloureux.
Le rapport parle d'un "d�ficit d'entretien". Il sugg�re �galement d'autres moyens que des sommes suppl�mentaires pour maintenir en bon �tat les �quipements, comme rationaliser le parc immobilier et profiter des opportunit�s d'acquisition des �difices publics.
La conseill�re consid�re que le montant de 111 milions $ para�t beaucoup plus �lev� qu'il ne l'est en r�alit�. Il y a, dit-elle, d�j� beaucoup de choses qui se font en donnant en exemple l'arrondissement Sainte-Foy-Sillery qui investira l'ensemble de ses 400 000 $ en 2005 dans un terrain synth�tique de soccer - le central versera les 800 000 $ manquants. Beauport aussi se dotera d'un tel terrain (peut-�tre deux) l'an prochain, � proximit� de l'ar�na Giffard.
La Ville consacre un peu plus de 7millions $ par ann�e au chapitre du fonctionnement et des investissements, mais il est impossible de savoir combien d'argent va � l'entretien des �quipements. Chaque arrondissement g�re les sommes, qui sont puis�s dans divers postes budg�taires, au gr� des responsables locaux.
De tous les arrondissements, Sainte-Foy-Sillery est celui dont la d�su�tude des �quipements est la plus pr�occupante et qui demanderait les plus importants investissements : 23 millions $. Mais les trois arrondissements de Qu�bec suivent de proche. Sans surprise, compte tenu de leur d�veloppement plus r�cent, les arrondissements de la Haute-Sainte-Charles et Laurentien demandent peu d'efforts de conservation.
Lorsqu'on consulte le rapport, certaines urgences sautent aux yeux. Pour ce qui est des terrains de soccer, par exemple, la demande est forte dans tous les arrondissements (sauf Laurentien) alors que l'offre est faible. La situation est un peu moins pr�occupante pour les gymnases, sauf dans La Cit� o� il faudrait y rem�dier le plus t�t possible.
Vieillissement
Le vieillissement de la population et l'�talement urbain contribuent aussi � certaines situations paradoxales. La Cit� compte sur de nombreuses salles de spectacles pour la demande alors qu'� Beauport, la demande est tr�s forte et l'offre, tr�s faible.
Autre signe des temps et du d�clin de la popularit� du hockey, la fr�quentation des patinoires int�rieures s'annoncent faible dans les prochaines ann�es alors que Qu�bec compte sur un r�seau, sauf exception, bien d�velopp�.
N�anmoins, le rapport recommande des �tudes suppl�mentaires pour mesurer l'ampleur et l'ad�quation entre les �quipements et les besoins pour les gymnases, les piscines et les ar�nas ainsi que les �quipements culturels de proximit� et communautaires.
Toutefois, � l'approche du 400e de Qu�bec, "le d�veloppement progressif en mati�re d'�quipements r�cr�atifs et culturels ne doit absolument pas se limiter � combler les besoins de ses citoyens. Elle doit �galement pouvoir offrir des exp�riences de calibre international � ses visiteurs", conclut le rapport.
Surtout que le r�seau d'�quipements sportifs int�rieurs et ext�rieurs de Qu�bec s'adapte difficilement aux besoins des athl�tes de haut niveau de m�me qu'� la tenue d'�v�nements sportifs de grande envergure.
Le rapport recommande donc la mise en place d'un comit� de concertation pour que les projets, comme l'agrandissement du PEPS ou le Centre aquatique de Qu�bec, soient compl�mentaires et r�pondent � une strat�gie d'ensemble.
PROJETS PRIORITAIRES PAR ARRONDISSEMENT
La Cit�
- R�am�nagement des parcs Lucien-Borne et Berthelot
- �tude pour une biblioth�que dans Saint-SauveurDes Rivi�res
- �quipements sportifs et pavillon de services au parc de l'Escarpement
- Mise aux normes de plusieurs �dificesSainte-Foy-Sillery
- Relocalisation de la piscine du parc Saint-Thomas
- Voies cyclables chemins Sainte-Foy, Saint-Louis et des Quatre-BourgeoisLaurentien
- Construction d'une piscine int�rieure
- Expansion des pistes de ski de fond de la base de plein air Val-B�lairBeauport
- Voies cyclables et raccordement de celles-ci aux autres arrondissements
- Local sp�cialis� pour la gymnastiqueLimoilou
- R�novations majeures du centre Monseigneur-Marcoux
- Am�nagement de parcs de voisinageHaute-Saint-Charles
- Am�nagement des parcs existants et nouveaux parcs de voisinage
- Construction d'un gymnase � l'�cole AventureCharlesbourg
- R�am�nagement des parcs des Verveines, Terrasse Bon Air et Notre-Dame
- R�fection de la piscine et des vestiaires de l'Arpidrome
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14 octobre 2004
Imaginez un sentier p�destre qui serpente au fil des m�andres de la rivi�re Saint-Charles : 30 kilom�tres de nature � couper le souffle, du Vieux-Port au lac Saint-Charles. Un r�ve ? Non, la r�alit�. A tel point d'ailleurs que Qu�bec compte bien avoir termin� l'am�nagement � temps pour son 400e anniversaire, en 2008.D�j� la moiti� du parcours est compl�t�e, de la rue P�pin, dans Duberger, jusqu'au boulevard Johnny-Parent � Loretteville. Petit � petit, depuis quatre ans, Qu�bec trace le sentier de poussi�re de pierre � travers les feuillus qui bordent la Saint-Charles.
Des perc�es visuelles spectaculaires et des belv�d�res offrent des points de vue saisissants en surplomb des escarpements, avec flore et faune ail�e pour agr�menter la randonn�e. Hier, avec les couleurs d'automne et le soleil resplendissant, le parcours invitait au farniente de la nature en ville.Illustration de la volont� de la Ville de redonner la rivi�re � ses citoyens, ce volet est "moins spectaculaire", comme disait la conseill�re Odile Roy, compar� � l'assainissement de la rivi�re et � la d�molition des murs de b�ton. Ce projet de 10 millions $ (dont 5 millions $ ont d�j� �t� investis) se distingue n�anmoins � plus d'un titre.
D'abord par son accessibilit� pour toute la population, mais aussi, ensuite, parce que plusieurs tron�ons des sentiers sont l'oeuvre de jeunes d�crocheurs. Le projet Chantiers urbains leur a donn� une "exp�rience de travail et de citoyennet�".
Tout un h�ritage
Reste que ce qui retient surtout l'attention, c'est que l'intention remonte � plus de 25 ans. Des �lus ont commenc� � mettre des terrains en r�serve. "Il fallait qu'ils soient visionnaires. Ils nous laissent un h�ritage extraordinaire", souligne Mme Roy, responsable du dossier au comit� ex�cutif.
Ces 60 km aller-retour, une fois le sentier reli�, prendraient trois jours � parcourir. Mme Roy souhaite qu'�ventuellement, des g�tes se greffent dans la partie plus au nord, notamment � Wendake et sur la rue Racine. "Ils vont se d�velopper � l'usage, croit-elle, un peu comme les services se sont d�velopp�s le long du corridor des Cheminots."
Le secteur nord, des zones de conservation surtout, sera r�alis� en 2006-2007. Qu�bec est en processus d'acquisition des terrains situ�s entre le ch�teau d'eau, � Loretteville, et le lac Saint-Charles.
Familles � accommoder
En attendant, la Ville doit s'entendre avec les cinq familles de la rue Allard, � proximit� du parc Chauveau, qui protestent, du fait que le sentier empi�terait sur une partie de leurs terrains. Qu�bec a examin� diverses options et quels am�nagements �taient possibles. Elle communiquera les r�sultats de sa r�flexion aux citoyens lors d'une s�ance de consultation publique, le 1er novembre.
Ceux qui veulent d�ambuler dans les sections accessibles noteront que des aires de stationnement et des supports � v�lo sont situ�s � proximit�. On peut y acc�der par l'avenue Chauveau (parc Chauveau), le centre Michel-Labadie, le boulevard Saint-Jacques, le boulevard Hamel-rue Foucault (parc Duberger-Les Saules) et le boulevard Central (parc Duberger). Des tables et des bancs antivandalisme (en granit) permettent de s'y d�tendre.
Avantage non n�gligeable, le parc lin�aire des rivi�res Saint-Charles et du Berger finira par d�sengorger les sentiers de la rivi�re Jacques-Cartier, si les Qu�b�cois en prennent l'habitude...
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13 octobre 2004
La Ville de Qu�bec souhaite am�liorer la section du boulevard Charest comprise entre le boulevard Langelier et l'avenue Saint-Sacrement gr�ce � des travaux dont les co�ts s'�l�veraient � pr�s de 20 millions de dollars.
Suite du texte et surtout reportage vid�o sur Radio-Canada.
3 ans pour faire la premi�re phase de deux ou trois kilom�tres, est-ce vraiment s�rieux?
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12 octobre 2004
Se mettre en � quatre flasheurs � permet � un automobiliste de se stationner inconditionnellement n'importe o�, n'importe quand, et ce, pour une dur�e ind�termin�e.
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11 octobre 2004
Vrai, ce n'est pas tr�s urbain comme photo. Mais la chute fait maintenant partie de la ville de Qu�bec, non?
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La Seigneurie Gabrielle-Vall�e, � la pointe Ste-Foy. Deux immeubles; un compl�t�, un qui le sera bient�t. Immeuble de brique, faible recule par rapport � la rue, stationnement souterrain et � l'arri�re. Resterait � avoir un zonage mixte et ce serait presque parfait!
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10 octobre 2004
09 octobre 2004
Un tout petit restaurant italien, qui semble jouer dans le haut de gamme, vient d'ouvrir dans le Mail Centre-Ville, � c�t� de Artek. C'est le Garbo. Il jure un peu dans le d�cor, mais je lui souhaite bonne chance.
L'ouverture de Peak Performance est imminente. Les bo�tes entrent, et les �talages sont presque pr�s.
Tout juste � c�t� du Benjo, ce sera � 'Mademoiselle B �, une bijouterie. Belle enseigne!
� droite de cette Mademoiselle, on r�nove un autre local, mais aucune indication sur les locataires n'est indiqu�e.
Mes grandes oreilles ont saisi une conversation qui ne m'�tait pas destin�e concernant le local � droite de Baltazar. Ce local accueillait, si je me souviens bien, le Carnaval du dollar. Ce sera dans le domaine de la restauration. J'ai entendu � table sur le trottoir � et � croissant �. C'est tr�s fragmentaire comme information, mais c'est mieux que rien!
� c�t� du Delicatessen, il y aura une maison de th�. Ouverture pr�vue dans trois semaines
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08 octobre 2004
La construction d'un �difice � bureaux rue d'Estimauville et d'une tour � bureaux suppl�mentaire � la Place-Qu�bec ne se r�alisera pas. Les deux �difices devaient accueillir des fonctionnaires.
Suite du texte sur Radio-Canada
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06 octobre 2004
Vous le savez comme moi, ce n'est jamais facile de trouver le bon cadeau. La plupart du temps, on ne sait pas quoi acheter. Est-ce que la personne va l'aimer, cette lampe feng shui qui s'�teint et s'allume lorsqu'on tape dans les mains, cet ensemble de serviettes de bain aux couleurs de l'arc-en-ciel, ce nouveau livre de recettes sans gras trans ni cholest�rol, mais bourr�es d'omega-3 ?
On ne veut pas non plus payer trop cher, on ne veut pas passer pour un gratte-la-cenne itou. Non vraiment, ce n'est pas toujours un cadeau de trouver le bon cadeau, ceci dit sans aucune volont� sadique de ma part de vous signaler, juste comme �a, en passant, qu'il reste seulement 81 jours avant No�l.Dans ma grande na�vet�, je croyais que la t�che �tait plus facile lorsque celui qui recevait le cadeau nous aidait � magasiner et qu'il ramassait la facture. C'est encore pire. Regardez ce qui se passe entre la Ville de Qu�bec et la France au sujet des F�tes du 400e...
Maintenant que le projet d'escAllier monumental est mort et enterr�, le maire L'Allier s'arrache les cheveux pour aider nos amis fran�ais � nous d�nicher un cadeau qui a de l'allure. Le Tour de France, c'�tait bien beau, mais �a n'avait pas grand-chose � voir avec un "geste urbain durable". Pas plus que l'id�e, comme l'ont sugg�r� certains, de se faire offrir des �gouts neufs. Non mais, �a va pas la t�te...
En fin de semaine, Jean-Paul L'Allier a indiqu� qu'il n'�cartait pas l'id�e de sugg�rer � nos g�n�reux cousins de regarder ce qu'ils pourraient faire pour donner plus d'�clat � place de Paris.
Quoi ? Vous ne savez pas o� est place de Paris ? Et si je vous disais que c'est l� o� se trouve un gros bloc de marbre blanc, qui jure dans le paysage de place Royale autant qu'un bouton sur le nez de Monica Bellucci. Un gros bloc monolithique qu'on croirait sorti du film 2001: L'odyss�e de l'espace et qui repr�sente, �a tombe bien, un homme du futur, la ressemblance est tellement �vidente, ouvrez-vous les yeux. Un gros bloc sans �me et qui, malgr� son attirante blancheur, n'a jamais �t� victime des amateurs de graffitis, allez comprendre quelque chose aux vandales...
Si l'id�e d'une place de Paris rafra�chie vous sonne une cloche, c'est peut-�tre que vous l'avez lue ici m�me, dans cette page, il y a deux ans et demi. Car cette chronique, toujours � la recherche du gros bon sens, m�me s'il n'y en a jamais de facile, sait aussi faire dans la proph�tie, ou du moins, dans le conseil qui se tient debout. Ainsi, au sujet de ce gros cube Rubik, t�moignage de l'affection infinie des cousins fran�ais � notre �gard, et affectueusement baptis� Colosse, je me demandais, le 23 avril 2002, s'il n'y aurait pas moyen de l'enjoliver, de lui faire subir une transformation extr�me, une sorte de m�tamorphose miraculeuse comme c'est devenu la mode � la t�l�, bref, n'importe quoi en autant qu'on le remarque un peu moins, ou qu'on le remarque, mais pour les bonnes raisons.
A l'�poque, je terminais m�me ma chronique par une suggestion � faire faire un salto arri�re triple vrille � Nostradamus dans sa tombe : tiens, ce serait un bien beau projet pour les F�tes du 400e...
Non mais, si ce n'est pas de la grosse proph�tie ou du pif au cube, �a, dites-moi ce que c'est, nom d'une Bobinette, que je me force un peu plus les m�ninges afin de d�couvrir o� se trouve le tombeau de Champlain...
A l'origine, il est bon de le rappeler, le projet de place de Paris n'�tait pas seulement une histoire de gros bloc tomb� du ciel. Un urbaniste de la Ville de Qu�bec, Jean Jobin, m'avait montr� les plans originaux de l'ensemble de l'oeuvre, telle qu'elle devait appara�tre une fois termin�e. Colosse �tait toujours dans le d�cor, regardant platement le fleuve comme seul un beau bloc blanc peut le faire, mais il avait les pieds dans l'eau. Des marches conduisaient jusqu'au monument, depuis un bassin construit en continuit� avec le fleuve. On devait am�nager un petit pont dans la rue Dalhousie, � l'image de ceux qui traversent la Seine, � Paris. En face, les quais auraient subi une cure de rajeunissement pour am�liorer le coup d'oeil.
Le projet avait de la gueule et du panache. Tout � coup, Colosse apparaissait moins orphelin. On donnait une signification � son insignifiance. Le projet ne s'est jamais r�alis�. A l'�poque, on �valuait le co�t des travaux entre 15 et 20 millions $. C'�tait il y a 17 ans, allez savoir ce qu'il en co�terait aujourd'hui. Facilement le double, peut-�tre davantage. En plus, imaginez le bonheur, il n'y aurait rien � d�molir, pas m�me une vieille bretelle d'autoroute qui arrive dans un mur. Il faudrait seulement d�placer Colosse pour quelque temps, voir le fleuve sous un autre jour pourrait lui �tre b�n�fique, le pauvre.
C'est un projet qui vaudrait peut-�tre la peine de sortir des boules � mites. Le temps presse, 2008, c'est bient�t, il va bien falloir qu'on s'entende un jour avec nos donateurs fran�ais, sinon ils vont finir par le donner � un autre pays, leur cadeau. Et ils auront raison de le faire.
Puisque je suis un ind�crottable proph�te, j'y vais de ce pas d'une autre pr�diction � vous d�friser les couettes : si le projet original de place de Paris commence � faire parler de lui, quelqu'un trouvera bien une fa�on de monter une cabale au village pour dire que c'est le genre de cadeau dont on pourrait se passer...
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04 octobre 2004
Et c'est reparti!
Toujours � la recherche d'un " geste urbain durable " pour marquer les 400 ans de la fondation de Qu�bec en 2008, le maire Jean-Paul L'Allier n'�carte pas l'id�e de r�am�nager la controvers�e place de Paris.M. L'Allier l'a laiss� entendre, en fin de semaine, au terme d'une visite de quatre jours dans la capitale fran�aise.
Vendredi, le maire a �t� re�u par son homologue parisien, Bertrand Delano�. Celui-ci a confirm�, � cette occasion, que sa ville s'associerait aux comm�morations. Il est encore trop t�t, �videmment, pour dire de quelle mani�re se traduira cet engagement. Le maire Delano� souhaite en tout cas que l'�v�nement soit soulign� dans les deux capitales.A Qu�bec, le maire L'Allier, fid�le � ses pr�occupations, aimerait que Paris pose un " geste " qui marquerait de mani�re intelligente le paysage urbain. Pourquoi pas une place publique, puisque " les Fran�ais savent en faire " ?
Mais la Vieille Capitale poss�de d�j� une place de Paris, au milieu de laquelle se dresse le fameux " Dialogue avec l'histoire ", un bloc recouvert de carreaux de marbre blanc r�alis� par Jean-Pierre Raynaud. La sculpture n'a jamais fait l'unanimit�, on le sait. En l'inaugurant en 1987, Jacques Chirac, alors maire de Paris, avait lui-m�me port� sur l'oeuvre un jugement assez exp�ditif, avaient racont� � l'�poque des t�moins de la sc�ne.
Jean-Paul L'Allier admet que l'endroit pourrait �tre modifi� pour " mieux correspondre " � ce qui l'entoure. Sur l'�tendue d'un �ventuel r�am�nagement de la place, le maire ne s'avance pas. " On n'en est qu'au d�but des discussions ", rappelle-t-il.
Pendant sa visite � Paris, Jean-Paul L'Allier n'est pas revenu par ailleurs sur l'�chec du projet de place de France, qu'il �tait venu pr�senter lui-m�me au pr�sident et au premier ministre, il y a un an.
Cette fois-ci, M. L'Allier n'a vu ni son ami Jacques Chirac ni Jean-Pierre Raffarin, mais une certitude demeure : la France accepte d'�tre l'invit�e d'honneur des f�tes de 2008. Pour ce qui est de l'id�e de relier la haute et la basse ville par un escalier monumental, " la page est tourn�e ", dit le maire.
" Il passe � c�t� d'un beau projet, c'est son probl�me, maintenant qu'il se d�brouille ", a lanc� M. L'Allier, � propos du gouvernement Charest, qui a refus� de financer la d�molition des bretelles inutiles de l'autoroute Dufferin.
Selon lui, le gouvernement fran�ais est toujours pr�t � s'engager financi�rement dans les comm�morations du 400e anniversaire de Qu�bec. " Nous, on n'est plus en demande. Les Fran�ais attendent les suggestions du gouvernement Charest. Mais ils veulent un projet intelligent. Ils ne paieront pas pour un stade ou un r�seau d'�gout ", a-t-il pr�venu.
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L'�lot Berthelot est de nouveau orphelin. Apr�s avoir d�cid� de revoir son projet de condos de luxe, propos� il y a deux ans, le groupe Casot a d�cid� de se retirer du dossier.
" Casot avait vu un march� de grand luxe, pour des condos � 250 000 $ en moyenne, mais je ne suis pas s�r qu'il y avait un march� directement sur Ren�-L�vesque, qui est un coin achaland�, pour des habitations � ce prix-l�, observe Claude Larose, vice-pr�sident du comit� ex�cutif de la Ville de Qu�bec. Ils ont essay� de faire d'autres projets et ils sont arriv�s � la conclusion que c'�tait difficile pour eux de faire quelque chose de rentable. "Le groupe Casot avait d�pos� ses premiers plans il y a deux ans. N'ayant pas trouv� suffisamment de clients, on avait tent� de le modifier sans succ�s. Le promoteur aurait finalement annonc� � la Ville sa d�cision d'abandonner le tout, il y a peu.
L'�chec de l'aventure Casot ne met pas en p�ril la construction des 30 unit�s de logement coop�ratif, qui devait �tre r�alis�e parall�lement. Pour remplacer ce qui devait �tre des condos de luxe, M. Larose sugg�re l'implantation de coop�ratives � capitalisation, destin�es � la classe moyenne. Les copropri�taires doivent mettre une mise de fonds pouvant varier entre 5000 $ et 10 000 $, afin d'acqu�rir l'immeuble de fa�on collective. La somme ainsi investie a pour but de diminuer le montant emprunt� et celui subventionn�, ce qui permet de mettre sur pied une habitation du genre.
" C'est un nouveau concept qui est en train de se mettre au point au Qu�bec, souligne M. Larose. Les gens d�posent une mise de fonds, se regroupent collectivement, ensuite essaient de monter un projet et lorsqu'il quittent, ils peuvent reprendre leur mise de fonds. "
Discussions en cours
Selon M. Larose, il y aurait de la place pour faire environ 50 unit�s de logements sur le site, qui seraient b�ties par la F�d�ration des coop�ratives d'habitation de Qu�bec. Des discussions auraient d�j� eu lieu, mais M. Larose refuse de s'avancer sur la date o� le projet pourrait prendre forme.
A la Soci�t� d'aide et de services aux coop�ratives (SOSACO), on ne r�agit pas de fa�on n�gative � l'abandon du projet de Casot. Tout en d�plorant le temps perdu, on esp�re que de nouvelles id�es permettront d'aller de l'avant.
" On n'est pas malheureux, parce que �a peut �tre l'occasion pour la Ville de mettre plus de logements coop�ratifs sur ce terrain-l�, ce qui �tait d'ailleurs la demande des gens dans le quartier, indique Alain Marcoux, agent de d�veloppement pour SOSACO, �voquant l'occupation des lieux par des squatters, en 2002. C'est juste dommage d'avoir d� faire deux ans de d�marches pour arriver � �a.. " Le dossier de l'�lot Berthelot tra�ne en longueur depuis maintenant cinq ans, p�riode � laquelle le premier appel d'offres avait �t� fait.
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Dans le Qu�bec d'antan, les enfants dormaient les uns sur les autres dans la m�me chambre. Dans le Qu�bec d'aujourd'hui, l'enfant et demi par famille a sa propre chambre, une autre pour recevoir ses amis, une salle pour les devoirs, une pour les jeux, pour le cin�ma... Et encore, quand enfant il y a. Ces immenses maisons qui poussent comme des champignons sont donc construites pour qui et pourquoi ?Depuis une dizaine d'ann�es, les maisons anglaises monumentales, que certains nomment manoirs, semblent devenir la norme dans plusieurs quartiers.
L'architecte Suzanne Bergeron doit fouiller dans sa m�moire pour trouver la derni�re maison d'un �tage qu'elle a con�ue. Denis Fortin, designer et architecte de formation, estime que les premiers cottages d'il y a 10 ans couvraient 24 pieds sur 28 pieds et que ceux d'aujourd'hui font plut�t 30 pieds sur 40 pieds.Et la grandeur du terrain, elle, reste stable, souligne Andr� Rousseau, propri�taire d'Andr� Rousseau Construction.
En fait, cette multiplication de grandes maisons, souvent luxueuses et construites avec des mat�riaux chers, intrigue. Les gens du milieu se disent surpris de la persistance de l'engouement, eux qui croyaient � un essoufflement apr�s cinq ans.
Une premi�re explication � tout cela est bien entendu d'ordre financier. Il y a de plus en plus de couples de professionnels (souvent sans enfant) avec un revenu important, analyse Richard Di Muro, directeur g�n�ral des plans de garantie de l'Association de la construction du Qu�bec (ACQ). "Ces gens ont la capacit� de se payer une hypoth�que d'envergure."
Tom O'Farrell, directeur g�n�ral de la caisse populaire Desjardins Bellevue de Qu�bec, indique que la moyenne d'emprunt est beaucoup plus �lev�e qu'elle ne l'�tait, attribuable � une bonne capacit� de payer, mais aussi � l'augmentation du prix des maisons et aux faibles taux d'int�r�t. "Le pr�t moyen actuel est de 106 000 $ alors qu'il y a sept ans, avant la flamb�e des prix, il tournait autour de 65 000 � 70 000 $." M. O'Farrell remarque aussi que certains jeunes m�nages s'endettent davantage pour acheter une grande propri�t�, encourag�s par l'assurance hypoth�caire. Ce programme leur permet de ne d�bourser que 5 % du prix d'acquisition.
Un placement
M. Di Muro croit que les gens pr�f�rent investir dans du concret, dans l'immobilier. "Aujourd'hui, les maisons prennent de la valeur. C'est un placement s�r. Il se fait de la sp�culation dans l'immobilier : les gens revendent, construisent plus gros, plus luxueux."
Mais il tient � nuancer que tout le monde ne s'offre pas une maison � 350 000 $. 75 % des nouvelles constructions se situent plut�t entre 100 000 $ et 200 000 $ et couvrent encore une surface de 24 pieds sur 28 pieds.
Au-del� de ces consid�rations mon�taires, Andr�e Fortin, professeure de sociologie � l'Universit� Laval, voit un d�sir de consommer de l'espace. "Chaque pi�ce doit avoir son attribution et chaque personne, sa pi�ce." Ce qui va dans le sens du cocooning, o� les gens restent � la maison, �coutent leurs films sur �cran g�ant, s'entra�nent dans une salle avec �quipements...
Mme Bergeron r�sume : ces maisons sont compos�es d'un garage double et de cinq chambres, dont deux transform�es en bureau et en chambre d'amis. "Car on ne re�oit plus les gens au sous-sol."
Au rez-de-chauss�e, salon, salle familiale (salle de jeux qui �tait aussi autrefois au sous-sol), grande cuisine, salle � manger et coin d�nette se partagent l'espace. Les salles d'eau ont tendance � se segmenter : une salle de bain, une salle de douche et une salle de toilette.
Le sous-sol est, lui, habit� par la table de billard, le cin�ma maison, un impressionnant coin rangement et la salle de m�canique (thermopompe et tout le reste). Tout �a gruge du pied carr�.
L'architecte estime par ailleurs que les plans d'implantation et d'int�gration architecturale (PIIA) impos�s dans certains secteurs encouragent un grossissement des maisons. "On donne alors un gabarit, une largeur minimale parfois importante, un nombre d'�tages, g�n�ralement deux", d�plore-t-elle, ajoutant qu'aux �tats-Unis, des gens se battent contre ces "d�cors de pi�ce de th��tre".
Richard No�l, architecte � la Ville de Qu�bec, affirme pour sa part que les PIIA et les r�glements de zonage (les premiers imposant des normes plus qualitatives et les seconds, des normes plus quantitatives) donnent des dimensions minimales, "mais jamais de l'ampleur de ce qui se construit � l'heure actuelle".
Pierre Boulanger, professionnel en urbanisme pour l'arrondissement Laurentien, fait remarquer que les maisons sont aussi grosses dans les quartiers avec ou sans PIIA.
Difficile toutefois de faire modeste quand les PIIA du secteur stipulent que "la volum�trie, l'�chelle et l'alignement de chaque b�timent doivent �tre en harmonie avec ceux des b�timents avoisinants" et que ceux-ci sont d�mesur�s. Il ne reste qu'� magasiner ailleurs, philosophe M. Fortin.
Mais la demande vient avant tout des gens qui aiment l'image de r�ussite que projette une grosse propri�t�. "Le besoin de se valoriser socialement � travers une maison va au-del� des commodit�s", dit le psychologue Yves Dalp�. L'effet d'entra�nement, de mim�tisme ne serait pas non plus � n�gliger.
Il a beau raisonner, Denis Fortin s'�tonne tout de m�me de ce qu'il voit dans les nouveaux quartiers. "A toute la recherche et les technologies pouss�es devraient correspondre des maisons r�volutionnaires alors qu'on construit des ch�teaux moyen�geux !"
Andr�e Fortin se questionne pour part sur la viabilit� � long terme de ces propri�t�s avec la population vieillissante. Car ces maisons � �tages ont des escaliers qu'il devient difficile de monter avec les ann�es. "Je ne pense pas qu'il s'en construira encore des masses et des masses."
M. Di Muro croit que des gens riches, il y en aura de plus en plus. Certes, mais si les taux d'int�r�t montent ? "Est-ce que �a va freiner l'effervescence ? Je ne sais pas, tout d�pend de la hausse. Mais il y a beaucoup de confiance dans le march� et l'emploi va bien", dit M. O'Farrell.
LA MAISON ID�ALE
Selon un sondage L�ger Marketing command� par l'Association provinciale des constructeurs d'habitations du Qu�bec :
- Le besoin d'espace additionnel est la principale motivation � l'acquisition d'une propri�t� neuve.
- Les dimensions de la surface habitable obtiennent une note de 8,5 sur 10 comme crit�re de s�lection d'une nouvelle propri�t�.
- La superficie minimale que doit avoir la nouvelle propri�t� (surface habitable + terrain) se situe entre 1001 pi� et 2000 pi� pour un peu plus du tiers des sond�s et entre 5001 pi� et 10 000 pi� pour le cinqui�me des sond�s.
- Pour l'achat ou la construction d'une nouvelle propri�t�, la pr�f�rence des Qu�b�cois va aux cottages (28 %).
- Les maisons � trois niveaux (sous-sol inclus) recueillent l'approbation de la majorit� des sond�s (80 %).
- Id�alement, pour convenir aux besoins des Qu�b�cois, une nouvelle propri�t� devrait contenir cinq � sept pi�ces, dont trois chambres � coucher et deux salles de bains.
- Pour la majorit� des sond�s (52 %), la salle familiale doit �tre s�par�e de la salle de s�jour.
- La disponibilit� d'une pi�ce suppl�mentaire faisant office de bureau obtient une note d'importance de 6,9 sur 10 comme crit�re d'�valuation pour l'int�rieur d'une propri�t�.
Les 235 personnes qui ont r�pondu � ces questions ont construit ou achet� une propri�t� neuve au cours des deux derni�res ann�es ou ont l'intention de le faire au cours des 12 prochains mois.
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01 octobre 2004
Le dernier trou de la rue Saint-Joseph Est sera bient�t combl� par un �difice � la fois r�sidentiel et commercial gr�ce � une subvention de 1,4 million $ de la Ville de Qu�bec. Le projet n'est pas fiscalement rentable � court terme, dit le conseiller municipal Claude Larose, mais contribuera � la relance commerciale de Saint-Roch.L'�difice de 11 �tages sera b�ti d'ici l'automne prochain par GM D�veloppement sur ce qui a d�j� �t� les magasins Reitmans et Miniprix, � l'angle de la rue de l'�glise et Saint-Joseph.
Les deux premiers �tages seront lou�s � des commerces - encore non identifi�s - , le troisi�me et le quatri�me serviront � des bureaux et les �tages 5 � 11 seront am�nag�s en 27 logements de quatre ou cinq pi�ces. Un stationnement souterrain sera construit. Co�t de r�alisation du projet : 6,8 millions $.Besoin en logements
En raison d'un taux de location des logements trop bas, le projet n'aurait pu se faire sans l'aide de la Ville, dit le conseiller responsable de l'habitation Claude Larose. "Ce building-l� n'est pas rentable et des projets r�sidentiels, il faut en faire au centre-ville, rappelle-t-il. Tant qu'� en subventionner, aussi bien le faire sur ce site-l�."
Depuis deux ans, la Ville et les promoteurs Genevi�ve Marcon et Jean Campeau ont essay� de trouver une vocation plus payante au futur �difice, le dernier � construire dans ce qui �tait encore le mail il y a quelques ann�es.
Un petit h�tel ? Aucun promoteur ne s'est montr� int�ress� et le quartier est d�j� bien pourvu en h�bergement pour touristes. Des bureaux pour entreprises ? La demande est presque inexistante dans Saint-Roch ces temps-ci et il y a d�j� des locaux administratifs vacants. Des condos ? La configuration du lot emp�chait ce type de construction.
La partie r�sidentielle sera donc subventionn�e gr�ce au programme de R�novation Qu�bec-Volet construction neuve pour 500 000 $ et le reste de l'immeuble, avec une subvention de 900 000 $. GM D�veloppement investira 5,4 millions $.
"Pour nous, l'objectif est de mettre du r�sidentiel dans le secteur, rappelle Genevi�ve Marcon, de GM D�veloppement. Il faut aussi reconstruire la trame de la rue, on ne pouvait pas se retrouver avec un trou."
La Ville de Qu�bec affirme que sur une p�riode de 15 ans, ses investissements de 21 millions $ dans Saint-Roch lui auront rapport� 27 millions $.
11 �tages? je suppose que cela veux dire que ce projet est abandonn�.
�trange qu'il soit question d'un stationnement souterrain puisqu'on vient tout juste de b�tonner le rez-de-chauss� du terrain.
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