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Qui est le prochain?
31 d�cembre 2004
C'est une sc�ne du film Deux secondes. Laurie, jou�e par Charlotte Laurier, fait la connaissance de Lorenzo, un curieux marchand de v�lo interpr�t� par Dino Tavarone. Lors de leur premi�re rencontre dans la boutique de l'Italien, un client lui demande :
� Combien pour ce v�lo?
� 2000 $
� Mais c'est donc bien cher!
� Hey...
� Et celui-l�, il est combien?
� ce moment, Lorenzo met le client � la porte. Intrigu�e, Laurie lui fait remarquer qu'il ne vendra s�rement pas beaucoup de v�lo s'il s'occupe de tous ses clients de cette fa�on. � Ce gars ne magasinait pas un v�lo �, r�pond-il. � Il magasinait un prix. Moi je ne vends pas des prix, je vends des v�los �
Acheter un prix, voil� exactement ce que font les gens magasinant chez Wal Mart et autres m�gas r�cemment b�tis le long des autoroutes. Depuis trop longtemps, les publicit�s au Qu�bec n'ont focus� que sur les bas prix, comme si les Qu�b�cois �taient cheaps de nature. C'�tait le cas des Zellers d'hier (� o� le prix le plus bas fait loi. Tous les jours! �), c'est toujours le cas avec les Wal Mart aujourd'hui (� mais madame, c'est nos bas prix de tous les jours! �).
En allant chez Wal Mart, on va dans un stationnement laid, le long d'une autoroute laide, dans un b�timent laid, et on essaie de trouver l'article le moins cher, article qui brisera vraisemblablement quelques mois apr�s la fin de la garantie.
� force de se faire gaver de � la madame �tait ben contente �, les Qu�b�cois auraient-ils fait une indigestion? Rien n'est moins s�r, mais une accalmie semble poindre � l'horizon avec l'ouverture tr�s r�cente de nombreux commerce.
Chez Atelier toutou, on ne magasine pas un prix. On magasine une exp�rience d'achat et un produit personnalis�
Chez Villa, on ne magasine pas un prix. On magasine un produit exclusif et original.
Chez Baltazar, on ne magasine pas un prix. On magasine un produit de qualit�, un produit durable.
Que ce soit chez Flirt, Le Blanchet, la maison de th� Camellia-Sinensis, MEC ou Benjo on n�a jamais l'impression d'essayer de trouver � le meilleur deal en ville �. On ne cherche qu'� trouver � le meilleur produit pour nos besoins �.
Esp�rons que ce n'est pas qu'une tendance passag�re.
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30 d�cembre 2004
29 d�cembre 2004
24 d�cembre 2004
Les restaurants haut de gamme et les magasins hupp�s ouvrent leurs portes les uns apr�s les autres dans le quartier Saint-Roch. Chaque semaine apporte son lot de surprises, sa petite nouveaut�. Si votre portemonnaie vous le permet, vous pouvez d�sormais vous offrir une table d'h�te � 50 $, vous payer un bijou somptueux et vous procurer un soutien-gorge hors de prix dans un rayon de 25 m�tres. Tout un changement pour un quartier autrefois boud� par les gens de la haute... Mais on a oubli� un �l�ment essentiel dans cette m�tamorphose, un �l�ment qui contribuerait encore plus � l'essor du quartier : des salles de cin�ma toutes neuves et bien �quip�es.
Faites vous-m�me l'exercice. Improvisez-vous une petite soir�e dans le quartier Saint-Roch et vous verrez bien que le vrai cin�ma vous manquera. Pour les nostalgiques, Place Charest peut toujours avoir son charme. Avec ses toilettes psych�d�liques et ses fauteuils d�lav�s, il est vrai qu'on a l'impression d'�tre encore dans les ann�es 70, ce qui peut plaire aux �ternels partisans du flower power. Il est vrai, aussi, que la programmation refl�te les grandes tendances du march� et qu'on y offre des billets � prix r�duit. Mais ce quartier tout pimpant devra offrir mieux que des salles d�fra�chies et un cin�ma en d�cr�pitude avanc�e s'il aspire � devenir un centre-ville vraiment branch�.Parce qu'un centre-ville sans cin�ma, c'est comme un No�l sans neige ou sans musique. C'est d�primant, c'est ennuyeux. �a nous donne envie d'�tre ailleurs et de quitter l'endroit au plus vite. Le quartier a tout ce qu'il faut pour rendre les gens heureux. Les restos, les magasins, la biblioth�que, les th��tres... Mais l'oeuvre serait beaucoup plus compl�te si on permettait aux visiteurs d'aller au cinoche, de prendre un ap�ro et de se payer une bonne bouffe dans le m�me secteur. Combien de personnes renoncent � venir manger au centre-ville parce qu'elles veulent aller au cin�ma apr�s ou avant le souper et ne peuvent supporter l'inconfort et l'odeur de Place Charest ?
On peut aussi regarder le probl�me sous un autre angle. Tous les chambardements qui affectent le monde des festivals du cin�ma de Montr�al auront in�vitablement des effets sur Qu�bec. L'�quipe Spectra, qui a remport� l'appel d'offres pour l'organisation d'un nouveau festival dans la m�tropole, n'a pas l'intention pour l'instant de copier Serge Losique et d'exporter sa formule dans la capitale. Et malgr� toutes ses bonnes intentions, Serge Losique pourrait bien devoir renoncer � son minifestival � Qu�bec, qui �tait d'ailleurs � l'agonie depuis quelques ann�es. Ce qui veut dire qu'il pourrait bien y avoir de la place dans le calendrier d'automne pour un nouvel �v�nement cin�matographique d'envergure. Ne reste qu'� trouver des gens et de l'argent pour l'organiser... Et une salle digne de ce nom pour le pr�senter.
Le Festival de cin�ma des 3 Am�riques (FC3A), lui, poursuivra ses activit�s au printemps et n'entend pas changer de cap � court terme. De toute fa�on, il y a de la place pour deux f�tes du cin�ma � Qu�bec, dans la mesure o� chacune a une identit� et une mission bien d�finies. Avec l'incertitude qui s�vit pr�sentement � Montr�al quant � l'avenir de l'ex-FFM, la capitale a donc la chance de se positionner davantage au plan national avec des produits cin�matographiques originaux et diff�rents. Mais pour parvenir � ses fins, elle devra d'abord et avant tout doter son centre-ville d'un complexe de cin�ma moderne et plus accueillant.
Le pr�sident du FC3A, Yves Lacasse, admet d'ailleurs que la d�su�tude de Place Charest fait partie des irritants lorsque vient le temps d'accueillir des vedettes de l'�tranger. "Chaque ann�e, on se demande si Place Charest sera encore l� pour le festival. Et si Od�on d�cide de fermer ce cin�ma, o� va-t-on aller ? On essaie de convaincre des producteurs et des vedettes de l'Am�rique du Sud de venir ici en vendant les charmes de Qu�bec, et on les am�nerait dans la banlieue, au StarCit� ? �a n'a pas de bon sens", dit-il.
C'est vrai. �a n'a pas de bon sens. Surtout que ce festival attire ici des producteurs qui pourraient �tre tent�s de venir tourner des films dans la r�gion de la capitale un de ces jours. On ne parviendra s�rement pas � les convaincre de la beaut� des paysages et des charmes de la vieille ville en les confinant � la limite de Sainte-Foy ou en les invitant � prendre un verre dans le superbe foyer de Place Charest.
Remarquez, je pr�che un peu dans le d�sert, parce que ni vous ni moi n'avons la capacit� d'influencer les d�cisions d'Od�on. Qui semble d'ailleurs assez satisfaite des recettes que lui rapporte Place Charest pour l'instant. Mais � force de frapper sur le m�me clou, le message finira peut-�tre par se faire entendre. Il y a beaucoup, beaucoup d'argent � faire avec un bon cin�ma au centre-ville. C'est incroyable de constater que les promoteurs pr�f�rent investir dans la banlieue et construire des citrons qui ne font pas n�cessairement de profits.
Chaque fois que je passe devant le StarCit� et le Cin�plex Sainte-Foy, je ne peux m'emp�cher de penser que ces deux compagnies avaient perdu le sens des grandeurs lorsqu'elles ont construit leurs deux monstres. On devrait peut-�tre les sortir de leur bureau de Toronto et les amener faire un petit tour sur la rue Saint-Joseph pour qu'ils r�alisent � quel point ils sont en train de manquer le bateau. Hey guys ! C'est dans Saint-Roch que �a se passe. C'est l� qu'il faut investir. Saint-Joseph, c'est notre rue Sainte-Catherine � nous. Et vous �tes � deux pas de l� sans vraiment en profiter, sans vraiment saisir votre chance. Demandez donc un billet d'avion pour Qu�bec au p�re No�l. Nous vous offrirons une petite visite guid�e...
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23 d�cembre 2004
La Ville de Qu�bec a abandonn� toute id�e de changer les noms de rue. En revanche, elle s'appr�te � �liminer du paysage les noms des anciennes villes.Dans quelques jours, cela fera trois ans que les villes de Charlesbourg, Saint-�mile et autres Beauport ont cess� d'exister. Il est temps, juge-t-on � la Ville de Qu�bec, d'enlever les pancartes et la signature visuelle des anciennes municipalit�s. Question de clart� et de coh�rence, ajoute-t-on.
A l'h�tel de ville, deux tendances se sont affront�es : les uns auraient voulu "peindre" la ville en bleu Qu�bec tandis que les autres souhaitaient le moins de changements possible."Des villes comme Gatineau et Trois-Rivi�res ont chang� les pancartes d�s le d�but de la fusion, explique Richard S�vigny, directeur du service des communications. On ne voulait pas prendre une approche de rouleau compresseur."
Une fois les d�fusions pass�es, il a finalement �t� d�cid� de faire les remplacements de pancartes et de logos sur une p�riode de deux ans, soit jusqu'en 2006, avec le gros du travail durant l'ann�e qui vient.
Les huit bureaux d'arrondissement seront parmi les premiers � exp�rimenter la nouvelle signature, une affiche aux allures de fanion bleu o� est �crit le nom de l'arrondissement.
�videmment, certains travaux seront plus spectaculaires que d'autres. L'enl�vement de "Ville de Sainte-Foy" sur l'ancienne "maison" d'Andr�e Boucher, route de l'�glise, ne risque pas de passer inaper�u... "Mais �a peut �tre l'occasion pour les gens de Sainte-Foy de renommer leur h�tel de ville du nom d'un personnage illustre du secteur", sugg�re le conseiller en communications Jacques Perron.
Les gens de Vanier ont d'ailleurs d�j� exp�riment� la chose : avant la fusion, ils ont renomm� plusieurs de leurs �difices et espaces publics, comme le parc industriel Fran�ois-Cardinal.
Les entr�es de la ville seront aussi harmonis�es, les pancartes "Bienvenue � Beauport" c�dant leur place � un "Bienvenue � Qu�bec". Les parcs, les �difices de loisirs et les autres b�timents municipaux auront aussi droit � leur affiche.
La Ville n'a pas l'intention d'arracher syst�matiquement les pancartes pour en reposer de nouvelles. "On a une approche �conomique, assure Jacques Perron. Partout o� l'on pourra, on va recycler les bases de b�ton, les poteaux et les structures existantes. �a vient couper le co�t en deux."
Malgr� tout, l'op�ration d'affichage pourrait co�ter quelques centaines de milliers de dollars.
Toujours pas d'adresse � Qu�bec
Par ailleurs, trois ans apr�s les fusions et apr�s deux ans d'efforts pour harmoniser les noms des rues de la nouvelle ville, les deux tiers des citoyens n'ont pas d'adresse � Qu�bec. L'administration L'Allier a en effet d�cid� de faire marche arri�re, en septembre dernier, � la grande surprise du Comit� de toponymie, qui avait d�pos� un rapport favorable et optimiste.
La ville compte donc encore 800 doublons de noms de rue sur l'ensemble de son territoire. Par exemple, on retrouve huit rues des �rables. Autre incongruit�, l'a�roport local se trouve � Sainte-Foy, une ville qui n'existe plus, et non � Qu�bec. Cette situation inconfortable signifie que l'int�gration des habitants des anciennes villes de banlieue fusionn�es n'est pas pour demain.
Les citoyens de la ville de Qu�bec font bande � part sur cette question. En effet, l'harmonisation des noms de rue s'est faite sans trop de probl�mes dans des villes comme Gatineau, Trois-Rivi�res, Saint-Hyacinthe, Victoriaville, Saint-Jean-sur-Richelieu et Alma. On apprend que Rimouski vient d'embarquer dans le bateau.
Tout semblait pourtant baigner dans l'huile, en janvier dernier, alors que le conseiller Jacques Joli-Coeur, pr�sident du Comit� de toponymie, s'appr�tait � d�poser son rapport devant le comit� ex�cutif.
Le conseiller de l'arrondissement de La Cit� r�v�lait qu'une dizaine de dossiers seulement faisaient encore probl�me et que les citoyens avaient obtenu satisfaction sur 122 demandes.
Le Comit� de toponymie avait tenu 13 s�ances de consultation publique, le plus souvent houleuses, dans autant d'anciennes villes fusionn�es de la Communaut� urbaine.
La table �tait donc mise pour l'�limination des doublons de noms de rue quand, � la surprise g�n�rale et � celle du Comit� de toponymie, l'administration L'Allier d�cide de remettre � plus tard toute l'op�ration, pourtant bien engag�e.
Au cours d'une entrevue, hier, le responsable de l'op�ration, Jacques Joli-Coeur, estimait que la d�cision de tout arr�ter et d'attendre les prochaines �lections municipales, dans moins d'un an, a �t� d'ordre politique avant tout. "Mon rapport, dit-il, �tait plus que favorable et les irritants �taient somme toute peu nombreux."
Le responsable de ce dossier � la Commission de toponymie du Qu�bec, Jacques Toussaint, confirme les propos du conseiller Joli-Coeur. "L'harmonisation du nom des rues de la nouvelle ville de Qu�bec �tait une chose parfaitement faisable. Les seuls points d'interrogation concernaient les villes de Saint-Augustin et de L'Ancienne-Lorette, qui avaient vot� pour la d�fusion."
M. Toussaint confirme que tous les membres du Comit� de toponymie de la Ville sont tomb�s en bas de leur chaise quand le maire L'Allier a annonc� l'annulation de l'op�ration. Quant au conseiller Joli-Coeur, il croit que tout le travail de consultation servira un jour prochain � quelque chose. Et que la prochaine administration municipale ne pourra �viter de se pencher sur le probl�me des doublons de noms de rue.
� Le moulin des J�suites � Charlesbourg? Facile boss! C'est au coin de Rochette/80e/St-Joseph/Bastien/Des �tudiants et de la 1ere Avenue/Isaac-B�adard/Henri-Bourassa/Du Jardin/Notre-Dame �
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Quel avenir pour les m�dias alternatifs sur le Web, tel Qu�bec urbain? Monaerik du Cornichon se pose la question. Sommes-nous tous condamn�s � faire cela plus ou moins b�n�volement et de ne jamais esp�rer pouvoir en tirer un v�ritable revenu?
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22 d�cembre 2004
Nouveau petit immeuble, angle Chemin Sainte-Foy et rue Sherbrooke, sur un site abandonn� pendant plusieurs ann�es � la suite d'un incendiePhoto Jean Cazes
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21 d�cembre 2004
Les jours des Galeries Sainte-Anne semblent plus que jamais compt�s. La Ville de Qu�bec a d�cid� d'en acheter le terrain et les b�timents pour un montant de 4 millions $ dans le cadre de la revitalisation du secteur d'Estimauville. Les immeubles sont vou�s � une d�molition �ventuelle, mais aucun projet concret n'est encore attach� � cette acquisition.
"On travaille actuellement avec un promoteur sur un projet d'�difice � bureaux et on recherche avec lui des locataires qui pourraient l'occuper, dit le conseiller municipal Claude Larose. On esp�re lancer ce projet dans le courant de l'ann�e 2005. (...) Il ne sera peut-�tre pas n�cessaire de raser tout de suite, cela d�pendra de la fa�on dont cela va se pr�senter."M. Larose pr�cise qu'il n'y a "rien � faire avec les �difices actuels". Il reste encore quelques commerces qui devront quitter le centre commercial lorsque leurs baux se termineront.
D'apr�s des sources aux Galeries Sainte-Anne, certains baux seraient valides pour encore quelques ann�es. La Ville prendra des arrangements avec les commerces concern�s pour les d�dommager, si besoin est, assure M. Larose.
Ce dernier ne s'inqui�te pas outre mesure du fait que Qu�bec ach�te l'ensemble avant que des promoteurs (ou des clients pour leurs locaux) se soient commis dans le dossier. "C'est le m�me pari qu'on a fait dans Saint-Roch, o� on partait de pas mal plus loin que dans D'Estimauville", dit-il.
M. Larose souligne qu'il s'agit d'un endroit bien situ�, "� cinq minutes du centre-ville" et proche de la baie de Beauport, o� des d�veloppements r�cr�otouristiques majeurs sont pressentis.
"Les promoteurs nous disent que cela ne sera pas si difficile que cela � relancer. Il s'agit de trouver les clients, poursuit M. Larose. (... Mais) il faut d'abord amener des travailleurs avant d'amener du r�sidentiel. Il faut que les gens sentent que �a devient un p�le."
A l'origine, ce "premier �difice" devait accueillir des fonctionnaires provinciaux, mais le gouvernement lib�ral avait d�cid� de reporter ind�finiment le projet au lendemain des derni�res �lections.
"On a convenu avec eux que ce sera le premier endroit d�sign� s'ils ont besoin de nouveaux espaces � bureaux", pr�cise M. Larose. Il se pourrait que le f�d�ral y loue aussi des locaux.
Sans promoteur et press�e par la fin prochaine de sa mise en r�serve - qui emp�chait de faire des travaux ou des r�novations sur les terrains et b�timents concern�s - , la Ville avait reconduit sa r�serve et d�clar� son intention de proc�der � des achats � la fin de novembre.
Les 4 millions $ de la transaction �taient d�j� inscrits au Programme d'immobilisation 2005-2007 et au budget 2005. Le propri�taire des lieux, Capanen (Sainte-Anne) inc., a accept� l'offre la semaine derni�re. La transaction est conditionnelle aux r�sultats d'une caract�risation des sols, qui devra �tre conforme aux lois environnementales.
Aucune des personnes jointes par LE SOLEIL aux Galeries Sainte-Anne n'�tait au courant de la vente.
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20 d�cembre 2004
D�but 2004, le d�veloppement r�sidentiel Les M�andres �tait mis en route. Fin 2004, c'est le Faubourg Le Rapha�l, au nord, qui commence. Un projet titanesque.En effet, a eu lieu il y a 10 jours la conf�rence de presse inaugurale du chantier de 2200 r�sidences individuelles, jumel�es, en rang�e et en copropri�t�s. Dans la mire, aussi : des logements pour les gens du troisi�me �ge.
Le Faubourg est situ� le long du boulevard Chauveau, entre les boulevards L'Ormi�re et Saint-Joseph.La construction s'�chelonnera sur sept ans, selon les uns. Dix ans, d'apr�s les autres. Il entra�nera la cr�ation de 17 kilom�tres de rues et une mise de fonds graduelle des particuliers de 350 millions $. La construction a d�but�. Le tiers des 185 terrains de la premi�re phase auraient d�j� trouv� preneurs.
La Ville de Qu�bec y va d'une contribution de 250 000 $ pour les infrastructures et la r�alisation d'un parc. Cet apport est pris � m�me la provision financi�re de 1 million $ tir�e de la vente d'un peu plus de 2 millions de pi ca de terrain au promoteur (Gely Construction), lequel en poss�dait d�j� pr�s de 5 millions.
Un r�sidu de 2,5 millions de pi ca, r�sultant du d�placement vers l'ouest du projet de prolongement de l'autoroute Du Vallon, reste � disposer.
Heureux
Le conseiller municipal et vice-pr�sident du comit� ex�cutif de Qu�bec, Claude Larose, se f�licite de ce quartier en devenir pr�s duquel se trouvera l'autoroute du Vallon telle qu'elle sera prolong�e.
Du coup, dit-il au SOLEIL, l'ensemble immobilier est en lien continu avec l'ancienne ville de Qu�bec, Saint-�mile, Loretteville et Neufch�tel.
"Le Faubourg vient remplir un trou au milieu de la ville nouvelle", pr�cise M. Larose. Cependant que les 2200 r�sidences � faire s'inscrivent dans un ensemble de 30 000 qui devraient �tre �lev�es d'ici 2020 dans certaines zones vacantes "constructibles" de Charlesbourg, Beauport, Cap-Rouge (secteur Chaudi�re) et des Rivi�res.
La croissance d�mographique ne sera pas retentissante au cours des 15 prochaines ann�es, ajoute-t-il. N'emp�che qu'elle devrait donner lieu � la formation de 30 000 m�nages.
Non ! se d�fend M. Larose, le Faubourg Le Rapha�l n'est pas de l'�talement urbain. Car cette zone, inclusive � la nouvelle ville, est � port�e des transports en commun, des services de protection contre les incendies, d'enl�vement des ordures m�nag�res et d'entretien de la voie publique. Elles sont greffables aux r�seaux d'aqueduc et d'�gout et � proximit� des grandes voies routi�res, commerces, �coles et encore.
Le Faubourg, g�n�ralement d�pourvu d'arbres matures, comprendra un sentier, des commerces de desserte, des espaces verts et r�cr�atifs. D'un autre c�t�, il sera connect� aux "grands axes cyclables".
Les r�sidences sont de calibre interm�diaire. Leur valeur moyenne sera de 160 000 $. Souvent de 200 000 $. Le lotissement sera r�parti en trois secteurs: l'un de faible densit� (cottages), de densit� moyenne (maisons jumel�es et en rang�e) et densit� forte (copropri�t�s). On ne m�langera pas les genres, promet le pr�sident de Gely Construction, Henri G�linas.
Sur un m�me c�t� de rue, on n'int�grera pas un bungalow l� o� les cottages sont souverains. Ou des maisons de grand luxe dans un train de maisons de calibre moyen.
D'un autre c�t�, cet ensemble r�sidentiel sera sans poteau. Le c�blage d'�lectricit� et de t�l�phone sera enfoui.
Aux acheteurs, pour la construction de leur r�sidence, seront propos�s les services de huit entreprises de construction dont le promoteur plaide la fiabilit�. Il s'agit de Castella, Chaudi�re, GS, JC Blais, JP Pouliot, Omni, Meunier et Rousseau.
A la toute fin, le choix de l'entrepreneur leur incombe. Il peut �tre ou non au nombre de ceux qui lui seront sugg�r�s.
Selon des observateurs, les acheteurs potentiels devront mener leur enqu�te sur la cr�dibilit�, les sens du service et du devoir de l'entreprise qu'il choisiront. De m�me que pour toute autre, en mati�re de fourniture et d'installation d'�quipements m�caniques tels une thermopompe par exemple, que le constructeur leur sugg�rerait.
Renseignements : (418) 871-3368
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2008. La date r�sonne dans toute la ville. Mais pour huit familles de la r�gion, elle n'�voque pas que les F�tes du 400e. Elle sonne avant tout l'aboutissement d'un premier projet de cohousing � Qu�bec. Marre de l'appart, du condo ou de la maison ?Le cohousing est n� � Copenhague, au Danemark, en 1964. Il s'agit d'un "am�nagement de logements qui conservent les b�n�fices de la maison priv�e, tout en permettant la vie en communaut�", expliquait Michel Desgagn�s, mordu du concept, lors de ses r�unions d'information tenues cet automne.
Une quarantaine de personnes y ont assist�, tent�es par une invitation qu'il a diffus�e dans Internet. Puis l'id�e a germ� puisque le 6 d�cembre, 12 personnes sont revenues le rencontrer avec l'intention de d�marrer un projet.M. Desgagn�s est on ne peut plus pr�t � se lancer, apr�s des mois de r�flexion et de pr�paration. Avec sa compagne, Val�rie Jamin, il m�ditait depuis longtemps sur son mode de vie et de logement qui ne lui convenait pas vraiment.
En ville ou en banlieue, "o� l'on ne se d�place qu'en voiture", il remarque notamment un "d�clin des communaut�s et de l'esprit de famille, une diminution du civisme". Il d�plore aussi toutes ces cl�tures, install�es partout, qui d�montrent "la peur du voisin".
Il s'est mis � r�ver d'un voisinage plus humain et plus �colo, tout en restant urbain. "J'ai un c�t� grano, mais aussi un c�t� techno", lance l'informaticien math�maticien.
En naviguant dans le Net, il a atterri sur le site des �covillages am�ricains et il a eu envie d'aller voir ce qui s'y passait. D'avril � septembre 2003, il a visit� avec sa compagne une quarantaine de ces sites aux �tats-Unis et au Canada. Au pays, sept cohousings existent d�j� et 15 autres sont en gestation.
Durant sa tourn�e, le couple en a vu de toutes les couleurs. Des communaut�s spirituelles "avec ou sans gourou". Des communes d'inspiration hippie. Des �covillages, qui pr�nent "l'�veil de la conscience dans le respect du d�veloppement durable". Et enfin le cohousing, bas� sur la communaut� et le bon voisinage.
C'est avec moult photos et des anecdotes plein la t�te que M. Desgagn�s est revenu au pays avec la volont� ferme d'�tablir un cohousing � Qu�bec. "Si �a ne marchait pas, je serais pr�t � d�m�nager."
En image, il montre des regroupements de maisons neuves priv�es, reli�es les unes aux autres par de petits sentiers qui doivent "faciliter les rencontres improvis�es". Les stationnements sont situ�s en p�riph�rie du site. "Combien de temps �a prend pour quitter sa voiture et rentrer dans son unit� cohousing ? interroge M. Desgagn�s. Quarante minutes et deux bi�res. Parce qu'on prend le temps d'arr�ter pour parler avec les gens."
Au coeur du d�veloppement tr�ne toujours la maison commune, qui se veut le lieu de rassemblement, d'�changes. "Deux ou trois fois par semaine, quelques membres en alternance pr�parent le repas pour tout le monde. Beaucoup participent � ces soupers, mais de fa�on totalement volontaire", pr�cise M. Desgagn�s.
Lors de la conception du site, Mary Kraus, architecte am�ricaine sp�cialis�e dans les cohousings et l'architecture �cologique, encourage � mettre l'accent sur cette maison commune, plus imposante que les autres. "On y retrouve une grande salle � manger, qui sert pour toutes sortes de rencontres, la cuisine collective, un salon, une salle de jeux pour les enfants, une chambre d'amis pour les visiteurs, une buanderie et parfois un atelier de travail", �num�re celle qui pourrait venir aider au projet qui se profile pour Qu�bec. Elle-m�me vit depuis 10 ans au Pioneer Valley Cohousing, au Massachussetts, et est toujours aussi emball�e par cette fa�on de vivre. "C'est encore mieux que ce que j'avais pens�."
Mais pour appr�cier pleinement la vie en cohousing, les gens doivent avoir envie de participer et de s'impliquer, insiste M. Desgagn�s. Les r�sidants sont responsables de l'administration et de l'entretien du site. "Toutes les d�cisions sont prises par consensus", ajoute-t-il. Dans le contexte, mieux vaut aussi partager les m�mes valeurs d'amiti�, d'entraide, de communication.
M�lange des �ges
Durant le p�riple de 2003, Mme Jamin a bien aim� le d�m�nagement auquel ils ont assist� dans un cohousing. Un couple dont les enfants venaient de partir �changeait sa maison devenue trop grande contre celle plus petite d'une jeune famille en expansion.
Le m�lange des �ges, le c�t� interg�n�rationnel, est d'ailleurs tr�s important dans le cohousing et assure une dynamique int�ressante, insiste M. Desgagn�s. Les enfants, que tout le monde conna�t et dont tout le monde prend soin, ont bien s�r leur place, assure-t-il. "Vous connaissez le proverbe africain qui dit que �a prend un village pour �lever un enfant ?"
Dans les cohousings visit�s, il a aussi pu constater que ce sont les plus vieux qui viennent souvent accueillir les visiteurs le jour et qui assurent alors une certaine surveillance des lieux.
A 58 ans, Paul-Henry April ne voyait pas les choses tout � fait de la m�me fa�on. Rencontr� lors d'une soir�e d'information, il pensait plut�t d�marrer un cohousing pour retrait�s seulement. Mais il a chang� d'id�e. "J'ai r�alis� � la r�union qu'un contexte interg�n�rationnel �tait plus stimulant. Il y avait l� une �nergie � laquelle je ne m'attendais pas."
Sylvie Ferron, 29 ans, est aussi enthousiaste que lui. La jeune femme qui se lance dans l'aventure avec son conjoint ne voulait pas s'�tablir "dans une banlieue impersonnelle et froide".
"En voyage, j'ai l'habitude de fr�quenter les g�tes du passant. J'aime l'id�e de rencontrer des gens dans un endroit chaleureux, o� on peut partager les repas. Je recherche un milieu qui n'est pas anonyme, individualiste."
L'ann�e 2008, elle trouve �a un peu loin, "mais l'�ch�ancier pr�sent� par M. Desgagn�s est r�aliste".
Lors de la derni�re r�union, le groupe a convenu de la localisation du futur cohousing de Qu�bec. Dans un rayon de 15 kilom�tres du centre-ville, ce sera du c�t� ouest de la rivi�re Saint-Charles. Un point auquel tient beaucoup Mme Ferron : l'accessibilit� au transport en commun.
Contrairement aux coop�ratives d'habitation, les r�sidants du cohousing sont propri�taires de leur unit� de logement. M. Desgagn�s indique que de fa�on g�n�rale, les co�ts se rapprochent de ceux d'une maison unifamiliale. "Mais dans ce cas-ci, les membres ont acc�s en plus � beaucoup d'espaces int�rieurs et ext�rieurs et � des �quipements communs importants."
C�t� hypoth�que et pr�ts individuels, M. Desgagn�s est confiant de voir les banques coop�rer. Andr� Fortin, conseiller en financement aux entreprises collectives pour la caisse d'�conomie solidaire Desjardins, conna�t le concept de cohousing.
"Le projet que pr�sente M. Desgagn�s est int�ressant en termes communautaires. On n'a pas re�u de plan d'affaires, rien n'est fix�. Mais il y a une ouverture."
M. Fortin souligne par ailleurs que Montr�al aussi pr�pare son premier cohousing. La province se met tranquillement au parfum.
Au fil du temps, le groupe de Qu�bec esp�re s'agrandir pour arriver � r�unir 25 � 30 familles. Un nombre id�al, semble-t-il, pour vivre en cohousing. L'an prochain, 34 rencontres sont pr�vues au calendrier.
Puis, � la fin juin, un voyage est organis� pour visiter quelques cohousings. Du pain sur la planche en attendant 2008.
Le site de cohousing Qu�bec sera en ligne le 7 janvier 2005
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Vous avez s�rement entendu parler que des citoyens du nord de Montr�al ont d�pos� un recours collectif contre le passage des motoneiges pr�s de leurs r�sidences. Ces gens-l�, et beaucoup d'autres, sont �coeur�s du bruit. Le gouvernement a peur que le mouvement fasse boule de neige. Un projet de loi sp�cial a �t� d�pos� jeudi pour calmer le jeu. Vous voyez �a si tous les sentiers de motoneige au Qu�bec devaient passer � deux kilom�tres de toute r�sidence. Ce serait la mort d'une industrie touristique qui rapporte un max � l'�tat.
Vous savez quoi ? Moi aussi, si j'avais � supporter le flot incessant de caravanes de motoneiges pendant tout l'hiver, j'en aurais peut-�tre plein mon casque. Sans doute me d�brouillerais-je pour d�m�nager, je ne sais trop. La motoneige, que voulez-vous, je ne suis pas capable. Pour moi, ce n'est pas un sport, c'est une v�ritable agression. Si on veut profiter de la nature et de la for�t, c'est en ski de fond et en raquettes qu'il faut le faire, pas au volant de ces engins. Si vous d�sirez partir un d�bat sur le sujet, vous savez o� je loge, c'est-�-dire � l'enseigne �cologique. Des propri�taires ne veulent plus entendre parler des motoneiges pr�s de chez eux. D'accord, on peut comprendre. Mais voil�, si l'intol�rance continue � fleurir avec une aussi belle �nergie, on va faire quoi tant�t ?Cette semaine, c'est la motoneige. La semaine d'avant, c'�tait le projet de port m�thanier. Les habitants de Beaumont ont dit non, pas question que �a se fasse chez eux, allez ailleurs. Gaz M�tro veut implanter son port � L�vis, mais l� aussi on n'en veut pas. Alors, on le met o� le port m�thanier, dans le fond de notre poche ?
On connaissait le syndrome "pas dans ma cour" [Note de Francis: en anglais, on appele cela le "NYMBY", Not In My BackYard], mais il y aussi son corollaire, encore plus corrosif, le syndrome Banana, pour Build Absolutely Nothing Anywhere Near Anything, qu'on pourrait traduire grossi�rement par : interdiction de construire quoi que ce soit, o� que ce soit.
Vite comme �a, je dirais qu'on nage en plein syndrome de la banane au Qu�bec. Je ne dis pas que c'est bien, je ne dis pas ce que c'est mal, chacun a ses raisons, j'essaie seulement de voir comment on va r�ussir � trouver une solution entre la libert� des uns et les droits des autres. Pas une mince affaire, je vous l'accorde.
La motoneige et le port m�thanier ne sont pas les seuls exemples. Il y a quelques mois, on a voulu ouvrir une maison pour d�ficients intellectuels dans un quartier de Qu�bec. Les gens ont cri� haut et fort contre le projet, au point que ses promoteurs ont �t� forc�s de faire marche arri�re. Il y a deux ans, c'�tait une maison de personnes �g�es qui a d�fray� la manchette. Un foyer pour vieux, imaginez, comme si �a pouvait manger le monde.
Vous en voulez d'autres ? Il y a pas si longtemps, des citoyens de Grande All�e se sont �lev�s contre la transformation de l'�glise Sacr�-Coeur en bar. Trop bruyant, ont-ils dit. Avant eux, il y a eu les propri�taires de condos sur le bord de la falaise et leurs plaintes contre le bruit au port de Qu�bec. Il y a aussi eu l'histoire d'un ventilateur d'entreprise que des gens de Sainte-Foy voulaient faire dispara�tre.
On s'en va o� avec cette mont�e d'intol�rance ? L'exasp�ration contre le bruit des motoneiges, la crainte d'avoir un port m�thanier en pleine figure, les ex-psychiatris�s et tout, je peux comprendre, mais arrivera un jour un moment o� il faudra saisir qu'on vit en soci�t� et que le bien commun impose d'avoir � faire des choix qui ne peuvent pas plaire � tout le monde, que ce soit � la ville ou � la campagne. (...)
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19 d�cembre 2004
La structure ext�rieure de L'INRS est pratiquement termin�e. Finalement, sans �tre d'une beaut� fracassante, c'est bien mieux que le premier croquis qu'on nous avait pr�sent�.
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18 d�cembre 2004
La restauration de la terrasse Dufferin co�terait pr�s de 8 millions de dollars.Un rapport command� par Parcs Canada, et dont Radio-Canada a obtenu copie, r�v�le qu'une partie de la structure d'acier qui supporte le tablier de la terrasse est tr�s d�t�rior�e. De plus, une portion du mur de fortification doit �tre stabilis�e rapidement, pour pr�venir toute rupture, dont les cons�quences pourraient �tre importantes.
Suite du texte et reportage vid�o sur Radio-Canada
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Out : Le restaurant tournant du Concorde � Qu�bec
In : Les appartements tournants de Curitiba au Br�sil
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17 d�cembre 2004
16 d�cembre 2004
Le concept est d'abord n� au Mont Tremblant. Suite � son succ�s, Atelier toutou d�barque � Qu�bec. Sise au 28 C�te de la Fabrique, la boutique originale ouvrira demain le 17 d�cembre. Il ne s'agit pas d'un magasin de toutou comme on peut en trouver ailleurs puisque le client doit lui-m�me confectionner sa peluche. L'op�ration prend de quinze minutes �... quelques heures!
Il faut d'abord s�lectionner le mod�le de base parmi un choix d'environ 25 toutous. Un commis nous aide ensuite � remplir la peluche gr�ce � une machine � bourrer. � Chaque personne d�termine alors la fermet� de son toutou.... � l'aide de tests de c�lins �.
On peut par la suite ajouter une puce sonore � l'int�rieur, permettant � notre futur ami de chanter, de donner des bisous, etc.. Il est m�me possible d'enregistrer notre voix. J'ai tout de suite pens� � un papa divorc� qui ne voit son petit tr�sor qu'une fin de semaine sur deux voulant dire un � je t'aime � � tous les soirs � son marmot.
L'�tape suivante : habiller le toutou! Le choix de costumes �tant vaste et original, la s�lection peut �tre longue! Apr�s avoir pris une photo pour le passeport officiel et d'avoir fait la promesse, main sur le coeur, de prendre soin de notre nouvel ami, on peu enfin passer aux douanes (� la caisse, en d'autres mots!). Voici Freudounet, cadeau destin� � Camille de la part de son parrain pr�f�r�.
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Certains projets des f�tes du 400e de la Ville de Qu�bec pourraient �tre financ�s par le gouvernement f�d�ral. La liste de ces projets prioritaires pour Ottawa vient a �t� d�voil�e au conseil municipal.
Reportage audio de Radio-Canada
[Merci � Jean-Thomas Lortie]
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Le gouvernement du Qu�bec investira plus de 4,5 milliards de dollars dans le transport en commun d'ici 10 ans. Mais pour financer ses projets, le ministre des Transport pourrait permettre aux villes de charger une taxe sur les stationnements.
Reportage vid�o de Radio-Canada expliquant la situation pour Qu�bec. Vous pourrez en prime mettre un visage sur Christian Savard qui �crit souvent dans les commentaires et le forum.
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La premi�re phase des travaux de r�novation de la Villa Ringfield a �t� inaugur�e aujourd'hui. Apr�s avoir abrit� des bourgeois cherchant � fuir l'agitation de la ville au 19e si�cle, servi de maison de chambres et accueilli une entreprise d'entreposage de bo�tes de carton, la Villa Ringfield s'ouvre au domaine du loisir.
En effet, le Centre communautaire Jean-Guy-Drolet qui a fait l'acquisition de la villa au d�but de l'ann�e 2002, a recycl� le rez-de-chauss�e du b�timent pour r�pondre � des besoins d'espace pour la tenue d�activit�s communautaires, culturelles et de loisirs.
La phase 2 des travaux consiste essentiellement � rendre le rez-de-chauss�e utilisable � des fins publiques. Le hall d'entr�e, deux salles polyvalentes et les toilettes ont �t� r�nov�s. Les travaux r�alis�s comprennent �galement la r�fection de la toiture, la stabilisation d'un mur au sous-sol, ainsi que la mise aux normes de la partie r�nov�e du b�timent. Les co�ts des travaux s'�l�vent � 135 000 $.
Pour r�aliser la premi�re phase des travaux de r�novation de la Villa Ringfield, le Centre communautaire Jean-Guy-Drolet a b�n�fici� de l'appui financier de la Ville de Qu�bec, qui a vers� une subvention de 100 000 $. La Caisse populaire Desjardins de Limoilou a vers� la somme de 25 000 $ et plusieurs donateurs et donatrices, amis et amies de la Villa Ringfield ont ajout� leur contribution.
Le conseil d'administration du Centre communautaire Jean-Guy-Drolet entend r�nover et occuper progressivement la villa dans le respect des normes r�gissant les op�rations de sauvegarde de b�timents patrimoniaux.
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15 d�cembre 2004
La R�sidence Ste-Genevi�ve des soeurs du bon Pasteur, situ� au 545 rue St-Amable, pourrait �tre transform�e � l'automne 2005 en centre de services pour immigrants. Elle offrirait des services d'h�bergement, de francisation, d'aide � la recherche d'emplois et d'adoption internationale.
Le YMCA de Qu�bec, qui a d� quitter le 650 avenue Wilfrid-Laurier en 2002, pourrait profiter de cette conversion de l'immeuble en maison interculturelle pour s'y loger.
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De toute �vidence, le pont de Qu�bec ne sera pas sur son trente-six pour les f�tes du 400e. Les n�gociations sont au point mort quant � la poursuite des travaux. A un point tel qu'une poursuite se profile � l'horizon.L'entente de 60 millions $ pour la r�fection du pont cantilever le plus long au monde arrivera � terme en 2006. A ce moment, les poutrelles rouill�es y seront encore largement majoritaires. "Entre 30 et 40 % du pont aura �t� compl�t�", affirme Andr� Caron, du minist�re des Transports du Qu�bec (MTQ). Environ 50 millions $ suppl�mentaires seraient n�cessaires, selon lui, pour terminer le travail.
Tant du c�t� d'Ottawa que de celui de Qu�bec, on se tourne vers le propri�taire du pont, le Canadien National (CN), pour relancer les pourparlers. "C'est s�r qu'il y a certaines pressions en raison du 400e de Qu�bec et 2008, indique Pierre Leclerc, porte-parole du CN. On comprend �a, mais la direction a pris des d�cisions r�fl�chies. Aujourd'hui, l'information est toujours qu'on n'investira pas plus de sous pour la r�fection du pont de Qu�bec."Et, m�me si les sommes �taient au rendez-vous, il est loin d'�tre certain que les travaux seraient termin�s pour les c�l�brations. "�a ne semble pas possible techniquement de r�aliser l'ensemble des travaux pour 2008, ajoute M. Caron, du MTQ. (...) Techniquement, �a semble tr�s difficile, mais les param�tres financiers sont les plus contraignants."
Ratifi�e en 1997, l'entente sur 10 ans pr�voit un partage des co�ts entre le CN (36 millions $), Qu�bec (18 millions $) et Ottawa (6 millions $). Divers impr�vus, dont un resserrement des normes environnementales, ont gonfl� la note de plusieurs dizaines de millions de dollars.
"Le CN est le propri�taire du pont et nous n'avons pas eu d'autres demandes pour des fonds suppl�mentaires, indique le porte-parole de Transports Canada, Brian McGregor. Le CN est responsable."
M�me chose au MTQ, qui, apr�s avoir manifest� un int�r�t pour la poursuite des travaux, attend que le propri�taire se positionne. "Actuellement, il n'y a aucune n�gociation", indique M. Caron.
Au CN, on dit que les 36 millions $ convenus auront �t� investis et que la priorit� �tait les travaux de s�curisation du pont. Il est maintenant "s�curitaire pour de nombreuses ann�es", assure-t-on. Consciente de "l'irritant potentiel visuel", l'entreprise n'a toutefois plus de programme pour repeindre les ponts. "Il y a de l'entretien, mais on ne repeint plus les ponts � travers le r�seau, affirme M. Leclerc. (...) Avoir une couche de peinture am�ne une protection suppl�mentaire, cependant, lorsqu'on voit la rouille sur un pont, �a devient aussi une couche protectrice."
Poursuites
Pour le pr�sident de la Coalition pour la sauvegarde et la mise en valeur du pont de Qu�bec, Jacques Jobin, l'�quation est simple : un pont qui rouille est un pont qui se d�t�riore. Laisser la situation perdurer revient � condamner la structure.
La Coalition a remis le dossier dans les mains d'un avocat et doit obtenir un avis juridique d�s le d�but de l'ann�e prochaine. Si l'avis est positif, l'organisme compte mettre des proc�dures en branle rapidement. "Le pont a �t� class� �l�ment du patrimoine national par le gouvernement canadien et est consid�r� de par le monde comme une oeuvre du g�nie humain, affirme M. Jobin. Et le monde va voir, en 2008, comment nous traitons une oeuvre du g�nie humain. On la laisse rouiller."
Il est de la responsabilit� du gouvernement f�d�ral, estime M. Jobin, d'agir en tant que gardien des ententes sur la r�fection du pont. Si le CN ne consent pas � terminer les travaux, dit-il, Ottawa doit redevenir le propri�taire du pont et des terrains qui ont �t� c�d�s � la compagnie en 1993.
Le minist�re des Transports du Qu�bec n'exclut pas non plus la possibilit� d'emprunter la voie des tribunaux pour que la r�fection soit compl�t�e. "On pense que l'esprit de l'entente concernait la restauration compl�te du pont, dit Andr� Caron, du MTQ. (...) Effectivement, ces �l�ments (obligations l�gales) vont �tre examin�s tant de notre c�t� que chez Transports Canada. Il y a des v�rifications qui vont �tre faites sur le plan l�gal, mais on n'est pas rendu l�. Ce n'est pas la premi�re voie � explorer."
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Qu�bec s'est associ�e � Canards illimit�s pour r�pertorier les milieux humides sur son territoire. Le projet de conservation sera ensuite �tendu � toute la Communaut� m�tropolitaine de Qu�bec (CMQ) afin de d�velopper le territoire en respectant l'environnement et en �vitant les cons�quences f�cheuses sur ceux qui l'habitent.
Au-del� de la pr�servation des �cosyst�mes, et donc de la faune et de la flore qui les composent, il s'agit d'applications pratico-pratiques pour contrer l'�rosion, les inondations, etc., dont les r�sidants de la r�gion sont de plus en plus fr�quemment victimes.A chaque action, une r�action : la disparition d'un �tang ou d'un marais peut parfois entra�ner un affluent � sortir de son lit lors d'une crue subite des eaux... Pas �vident de se lever les pieds dans l'eau.
"Les probl�matiques d'inondation et de pollution sont li�es � la conservation des milieux humides", explique Judith Kirby, am�nagiste du territoire � la soci�t� de conservation Canards illimit�s.
Car en plus d'absorber les surplus d'eau comme une �ponge, le r�le premier des milieux humides est de filtrer l'eau, la d�barrassant de jusqu'� 90 % de ses bact�ries. Qui plus est, ils ont la capacit� d'absorber et d'emmagasiner les gaz � effet de serre.
Il n'y a pas meilleur exemple, dans la r�gion de Qu�bec, des effets d�vastateurs du d�veloppement sur un plan d'eau que celui du lac Saint-Augustin, qui �touffe. Les effets sont les m�mes � plus petite �chelle.
C'est pourquoi on r�pertorie les milieux humides, des plus petits (0,1 hectare) aux plus grands (50 hectares). On veut les conserver, bien s�r, mais aussi se demander, quand on conna�t leur existence, s'il est bien rentable, dans une optique de d�veloppement durable, de construire � ces endroits.
Subvention de 150 000 $
Canards illimit�s a obtenu une subvention de 150 000 $ du gouvernement du Qu�bec, par l'entremise du Fonds d'action qu�b�cois sur le d�veloppement durable. Le minist�re de l'Environnement veut d'ailleurs cartographier les milieux humides dans l'ensemble des parties habit�es du Qu�bec, dans le cadre de sa strat�gie triennale sur la diversit� biologique.
La contribution de la Ville de Qu�bec est de 70 000 $, pour l'embauche du personnel sp�cialis�.
Une fois le territoire de Qu�bec pass� au crible, on �largira le processus � l'ensemble du territoire de la CMQ, qui comprend L�vis ainsi que les 24 petites municipalit�s r�unies dans les trois MRC de la Jacques-Cartier, de la C�te-de-Beaupr� et de l'Ile-d'Orl�ans.
Cette cartographie du milieu humide sera prise en consid�ration pour le d�p�t du sch�ma d'am�nagement de la CMQ, pr�vu pour 2006. Le sch�ma guide les interventions d'une ville sur son territoire en mati�re de logement, d'agriculture, de diversification �conomique, de transport, etc.
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14 d�cembre 2004
Situ�e sur l'avenue Royale, au c�ur de l'arrondissement historique de Beauport, la maison Rainville a �t� choisie pour accueillir la premi�re grande fresque murale en trompe-l'�il � �tre r�alis�e dans l'arrondissement de Beauport qui c�l�brera cette ann�e le 370e anniversaire de sa cr�ation.
La fresque de la maison Rainville relate des faits marquants et souligne l'importance de quelques personnalit�s qui ont b�ti Beauport, par une s�rie de tableaux constituant " la galerie du temps ". Se retrouvant dans un d�cor montrant le manoir Montmorency qui surplombe la chute, le spectateur est invit� � visiter une galerie en trompe-l'�il et � prendre part aux derniers pr�paratifs de l'exposition. On peut notamment y voir M. Rainville, qui fut propri�taire de la maison, posant pour le peintre Jean Paul Lemieux, autrefois r�sident et digne repr�sentant de la vitalit� culturelle du milieu.
Des ouvriers manipulent une immense toile encadr�e montrant l'avenue Royale et la premi�re caisse Desjardins de Beauport. �l�ment central de la fresque, cette toile t�moigne de la volont� de Desjardins d'�tre, hier comme aujourd'hui, pr�sente au c�ur du quartier. Sur le mur, sont accroch�s les portraits d'�tienne Parent et de Charles Michel d'Irumberry de Salaberry, ainsi que des tableaux repr�sentant des travailleuses de la Dominion Textile, le moulin sur la rivi�re Beauport, le couvent de Beauport et bien d'autres sujets et sc�nes de la vie beauportoise.
Les Ma�tres Muralistes Canadiens, un regroupement d'artistes de Qu�bec et de L�vis, sont fiers d'avoir �t� choisis pour mettre en sc�ne cette fresque en trompe-l'�il, image des moments forts qui ont marqu� Beauport depuis sa fondation en 1634.
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13 d�cembre 2004
Y-a-t-il moyen de cr�er des lieux d'�change � Qu�bec au lieu d'y d�velopper des autoroutes? Pourquoi Qu�bec ne deviendrait-elle pas la ville d'Am�rique du Nord offrant le plus grand nombre de pistes cyclables? Pourquoi n'y retrouverait-on pas le plus grand r�seau de pistes de ski de fond au Qu�bec? Ces r�ves, Pierre Thibault les a faits � voix haute, alors qu'il participait au d�bat de la s�rie Participe pr�sent ayant pour th�me "Qu�bec est-elle condamn�e � un avenir de carte postale?" qui a eu lieu le 6 d�cembre au Mus�e de la civilisation. Architecte de renom, charg� de cours � la Facult� d'am�nagement, d'architecture et des arts visuels, Pierre Thibault parcourt le monde pour son travail et ses loisirs. En somme, il pourrait tr�s bien vivre ailleurs. Mais c'est � Qu�bec qu'il choisi d'�lever ses enfants, � cause de la qualit� de vie offerte par cette ville "� la fois am�ricaine et europ�enne".
Suite du texte sur Au fil des �v�nements
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La CCNQ vient d'inaugurer deux projets dans le cadre de son plan de mise en lumi�re. Il s'agit de la porte St-Jean et de l'�glise St-F�lix de Cap-Rouge.
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12 d�cembre 2004
10 d�cembre 2004
Les travaux d'agrandissement qui tripleront la superficie de la biblioth�que de Charlesbourg d�buteront � la mi-avril. L'octroi des quelque 10 millions $ n�cessaires � la r�alisation de l'ensemble du projet sera annonc� mardi.
Le minist�re de la Culture et des Communications (MCC) vient tout juste de d�gager les 3,7 millions $ repr�sentant sa part du financement des travaux dans le Trait-Carr�, a appris LE SOLEIL, hier. Il ne manquait que ce feu vert pour que la Ville de Qu�bec, qui assurera la ma�trise d'oeuvre du projet, mette en branle le processus d'appel d'offres. Le surplus budg�taire de l'ancienne ville de Charlesbourg doit aussi financer pr�s du tiers des investissements, a-t-on indiqu� lors de l'annonce du projet, l'an dernier.La conseill�re et membre du comit� ex�cutif Linda Cloutier a indiqu�, hier, que si les informations du SOLEIL s'av�rent justes, les appels d'offre seront lanc�s d�s janvier.
"Les travaux pourraient donc d�buter d�s la mi-avril et �tre compl�t�s en mars 2006, a-t-elle indiqu�. �a fait un certain temps que nous sommes pr�ts. Ce sera quelque chose de vraiment int�ressant pour les gens de Charlesbourg."
Il faudra d'abord d�molir l'�cole Saint-Charles, juste � c�t� de la pr�sente biblioth�que, pour reconstruire un nouveau b�timent. Comme on pr�voit un agrandissement de 3000 m�tres carr�s, la Ville a r�serv� une somme pour l'achat de livres.
Les travaux s'inscrivent dans une strat�gie globale de mise en valeur du quartier historique du Trait-Carr� de Charlesbourg comprenant l'enfouissement des fils �lectriques. L'an dernier, l'architecte urbaniste Peter Murphy indiquait aussi que "l'objectif est de cr�er une vaste zone pi�tonni�re d'un kilom�tre de long en bordure de la rue du Trait-Carr� et de r��quilibrer ainsi la circulation des pi�tons et des automobiles".
La Commission de la capitale nationale caresse �galement un projet de mise en lumi�re de l'�glise Saint-Charles-Borrom�e, voisine imm�diate de la biblioth�que de Charlesbourg.
Il y a deux mois, le maire de Qu�bec, Jean-Paul L'Allier, d�non�ait l'inaction du gouvernement du Qu�bec dans le dossier. Craignant de voir les co�ts du projet augmenter si les travaux tardaient trop, il n'avait pas manqu� de critiquer le caucus r�gional des d�put�s lib�raux de la r�gion. Il n'a pas �t� possible de parler au d�put� lib�ral de Charlesbourg, �ric R. Mercier, hier.
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09 d�cembre 2004
Je test un nouveau syst�me de gestion de publicit�. Vous pouvez acheter une pub sur Qu�bec urbain en ligne avec une carte de cr�dit. �tant donn� que je test le syst�me, vous pouvez profiter d'un tarif tr�s bas. Profitez-en en cliquant sur � Votre pub sur Qu�bec urbain! � en haut de la page.
Malheureusement, le syst�me d'achat est en anglais.
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La Ville de Qu�bec a proc�d� � la vente de terrains, situ�s au nord-est de l�intersection de l�avenue Chauveau et du boulevard Saint-Jacques, dans l�arrondissement des Rivi�res, � G�ly Construction afin de permettre le d�veloppement du projet r�sidentiel le Faubourg Le Rapha�l.
Ce projet domiciliaire pr�voit la construction d�ici sept ans de 2 025 unit�s de logement r�parties en sept unit�s de voisinage. Les terrains vendus par la Ville au co�t d�un peu plus de 1 million $ accueilleront les trois premi�res unit�s de voisinage.
� Ce secteur fait partie des zones prioritaires de d�veloppement identifi�es par la Ville, a expliqu� M. Claude Larose, vice-pr�sident du comit� ex�cutif de la Ville. Avec le prolongement confirm� de l�autoroute Du Vallon, les futurs r�sidents b�n�ficieront d�un quartier r�sidentiel facilement accessible, tout en habitant un milieu de vie tranquille. �
Pour la phase I du projet, la Ville investira une somme de 250 000 $ � titre de contribution pour la r�alisation des infrastructures de rues et pour am�nager un parc. Cette somme sera puis�e � m�me le produit de la vente des terrains.
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Le comit� ex�cutif de la Ville de Qu�bec a pris acte du plan directeur d�am�nagement du parc Chauveau, situ� dans l�arrondissement des Rivi�res, qui a �t� r�alis� par la firme Option am�nagement.
Ce plan pr�voit des gestes de mise en valeur et des am�nagements r�cr�atifs et sportifs sur une p�riode de dix ans.
Ainsi, il est entre autres recommand� de :
Le parc Chauveau, avec une superficie totale d�approximativement 120 hectares, est le plus grand parc de Qu�bec, d�passant m�me les plaines d�Abraham qui ont une superficie de 108 hectares.
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La reine Victoria va retrouver la t�te que lui avait fait perdre le Front de lib�ration du Qu�bec. Pour 2008, la Soci�t� des f�tes du 400e projette en effet de r�installer dans le parc du m�me nom la statue de bronze dynamit�e le 12 juillet 1963, selon les informations du SOLEIL.Sans mauvais jeu de mots, l'occasion sera belle de redonner ses lettres de noblesse � ce beau parc m�connu, situ� au bout du boulevard Langelier, plaide Fran�ois Marchand. L'avocat, urbaniste et ex-conseiller municipal en fait son cheval de bataille depuis une dizaine d'ann�es, un projet "magnifique" qui permettrait de donner une "bouff�e d'oxyg�ne" aux quartiers Saint-Roch et Saint-Sauveur. Sa suggestion a trouv� un �cho favorable, semble-t-il.
L'installation de la statue � l'entr�e du parc s'inscrirait dans un projet plus vaste de prolongement du boulevard Langelier en face de l'H�pital g�n�ral, jusqu'� la rue du Chalutier, ce qui r�soudrait "un probl�me de circulation" dans ce secteur. Il y a quelques ann�es, lors de travaux d'am�nagement du cimeti�re de l'H�pital, la Commission de la capitale nationale (CCN) et la Ville avaient examin� la possibilit� de cette perspective sur le parc, mais par un lien pi�tonnier, sans toutefois donner suite."Les projets (de 2008) doivent avoir une dimension historique et contribuer � am�liorer la ville", estime M. Marchand. Malgr� l'attentat terroriste qui a �branl� Qu�bec, et surtout � cause de lui, il consid�re qu'il peut s'agir d'un projet rassembleur.
"Nous devons �tre fiers, comme peuple colonis�, d'avoir su pr�server notre langue et d�velopper notre culture. Nous avons assez de maturit� pour regarder l'histoire telle qu'elle est", croit celui qui dit n'�tre "ni felquiste, ni monarchiste".
Il ne veut pas non plus en faire une (autre) guerre entre la France, qui doit �tre au coeur des c�l�brations du 400e, et l'Angleterre, m�me si on pourrait solliciter la contribution financi�re des Anglais pour ce projet particulier dont les co�ts demeurent du domaine de l'hypoth�tique. Le clin d'oeil historique serait en effet ironique puisque, pour le 300e de la capitale, la patrie de Victoria avait offert � Qu�bec les plaines d'Abraham... Et que le parc Victoria fut longtemps aux gens de la basse ville ce que sont encore les Plaines pour ceux de la haute ville...
Car au fil des ans, l'apparence g�n�rale du parc Victoria conna�tra d'importantes modifications, notamment parce que la construction de divers b�timents r�duira consid�rablement la superficie de cet espace vert.
Forte explosion
Bon, mais avant que Victoria ne remonte sur son socle, encore faudra-t-il voir si on est capable de la restaurer. La "formidable explosion" qui l'a fait tomber de son pi�destal il y a 40 ans fut si violente qu'elle fut "entendue dans toute la ville", �crit Jos Hardy dans LE SOLEIL. La t�te a roul� ( !) et on a retrouv� le sceptre et autres signes de la royaut� 50 pieds plus loin. Bref, la reine �tait magan�e.
Le Centre de conservation du Qu�bec a effectu� une restauration de la t�te en 1985 et une autre, sommaire, du corps en 1988. A l'�poque, on jugeait impossible de remettre la t�te de la statue sur ses �paules. Si bien que le corps s'est retrouv� au sein de l'exposition permanente du Mus�e de la civilisation, dans la section M�moire refoul�e ( !), et la t�te, � la Ville de Qu�bec (qui l'a depuis confi�e � la R�serve nationale du Mus�e).
Donc, r�unir les parties ne serait pas une mince affaire, juge Murielle Doyle, directrice du Centre de conservation. En effet, le corps a souffert de l'outrage. On pourrait d�cider de restaurer avec les stigmates de l'attentat terroriste. Ou se servir d'une statue assez similaire, qui est � Montr�al. La num�risation en 3D permettrait la confection d'un moule et le coulage d'un nouveau bronze. Une forme de d�doublement d'identit�, en somme.
Et le socle ? Pendant tout ce temps, il est rest� au parc Victoria. L'oeuvre du sculpteur britannique Marshall Good y fut install�e en 1897 pour comm�morer le 60e anniversaire du couronnement de la reine Victoria et l'inauguration du parc, en pr�sence du prince de Galles. La petite-fille de Georges III, couronn�e en 1837 � l'�ge de 18 ans, fut reine de Grande-Bretagne et d'Irlande jusqu'en 1901.
Geoffroy condamn�
Sa statue y coulera des jours paisibles jusqu'en 1963, alors qu'on attaquera ce symbole de la monarchie honnie en des temps d'affirmation nationale. On n'a jamais vraiment retrouv� les coupables de l'attentat. Le 7 mars 1969, Pierre-Paul Geoffroy plaide coupable � 124 chefs d'accusation, prenant la responsabilit� de tous les attentats � la bombe commis au nom du FLQ. Il sera lib�r� en 1981.
C'est maintenant au tour de la statue de la reine Victoria d'�tre r�habilit�e...
Lors de la lecture de cet article, plusieurs interrogation me son venu. Le courriel de David St-Pierre est venu confirmer mes doutes.
Premi�re question: C'est quoi cette histoire de prolonger le Boulevard Langelier? Pour moi, il s'agit d'une nouvelle en tout cas. Je ne me souviens pas d'avoir jamais vu ce projet. Cela implique-t-il que le boulevard passe dans ce qui est maintenant le stationnement de l'h�pital G�n�ral? Si oui, cela me semble une "mauvaise" solution aux probl�mes de circulation dans le coin. Pour habiter juste a cote et me rendre souvent au Parc Victoria, je sais qu'il est d�j� difficile comme pi�ton de s'y rendre, alors avec le boulevard d�bouchant directement sur le Parc?... En plus, il me semble que d�boucher sur la rue des Chalutiers ne va que d�placer d'un coin de rue les probl�mes de circulation.Deuxi�me question: Cette id�e de ramener la statue de Victoria elle-m�me me semble absurde! En termes purement logiques, compter "revitaliser" un parc ou "donner un souffle nouveau" a des quartiers en r�cup�rant un monument d�truit il y a plus de 35 ans est pour le moins curieux. Ensuite, c'est politiquement assez suspect et plut�t maladroit. Que l'on soit souverainiste ou f�d�raliste, qui veut vraiment rendre cet hommage a la Reine Victoria aujourd'hui, en 2004?? En 1897, a l'inauguration du Parc, c'�tait logique, on f�tait le 60e anniversaire de son couronnement et elle �tait encore souveraine. Mais la? Aujourd'hui? Toutes les tentatives de reculer l'horloge de l'histoire me semblent suspectes, en particulier quand c'est pour r�tablir des statues d�truites, que ce soit par le FLQ ou d'autres... Ca sent le sovietisme et la vieille nostalgie malsaine!
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08 d�cembre 2004
Apr�s un toit pour l'anneau de glace Ga�tan-Boucher, on parle d'un autre �quipement sportif d'envergure pour 2008. Cette fois, il s'agit d'un v�lodrome de classe 1, le 2e en �quipement de cette cat�gorie en Am�rique du Nord apr�s celui de Los Angeles.
En plus d'une piste de 250 m�tres et des estrades d'au moins 2500 spectateurs, l'espace int�rieur pourrait accueillir au besoin des courts de tennis (on esp�re y faire d�m�nager le Challenge Bell) et des matchs de basketball et de volley-ball universitaire. Lors de l'utilisation de la zone centrale, des estrades temporaires pourraient �tre am�nag�es pour porter la capacit� � 8000 personnes.
Naturellement, on a pens� � Expo-cit� et au PEPS pour accueillir ce nouvel �quipement. Dans le cas du PEPS, � d'autres projets qui se mijotent pourraient cependant �liminer ce site potentiel �, rapporte le Journal de Qu�bec. Myst�re!
Lorsque Los Angeles a annonc� la construction de son v�lodrome, elle a obtenu coup sur coup les championnats du monde junior et �lite. � Qu�bec, on esp�re avoir le m�me honneur. On aimerait �galement que Qu�bec devienne une �tape de la coupe de monde.
Les co�ts estim�s sont de 20 millions, dont une partie pourrait �tre pay�e par la France pour remplacer le projet d'escalier. Une �tude de faisabilit� devrait �tre r�alis�e durant le premier trimestre de 2005.
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La p�tisserie-�picerie fine De Blanchet au 435 rue Saint-Joseph Est, est officiellement ouverte depuis peu. Aux fourneaux du restaurant le Saint-Amour pendant pr�s de 20 ans et chef p�tissier du m�me �tablissement pendant 14 ans, Roland-Alain Blanchet ouvre avec sa conjointe une boutique enti�rement vou�e aux plaisirs gastronomiques.
Dans l�espace r�serv� � la charcuterie-fromagerie se regroupent des produits d�ici et d�ailleurs de premi�re qualit�. Au menu : foie gras, terrines maison, fromages import�s, fromages au lait cru et pr�dominance de fromages qu�b�cois, tous servis � la coupe. Les propri�taires se feront d�ailleurs un plaisir de concocter pour vos r�ceptions des plateaux charcuterie, fromages, fruits et noix � la fois originaux et raffin�s.
Existe aussi la division �picerie fine qui regorge de produits d�importation et du terroir soigneusement s�lectionn�s. Olives, p�tes alimentaires, infusions, huiles, fruits s�ch�s, confitures�
De son c�t�, la division boulangerie artisanale offre, entre autres, des croissants et des eaux embouteill�es. Naturelles ou p�tillantes, elles arrivent de tous les coins du monde dans leurs jolies bouteilles color�es.
Enfin, la p�tisserie! Des douceurs riches, cr�meuses faites de vrai beurre, d��ufs frais, de cr�me 35%, de chocolat Valhrona, de b�tons de cannelle, de gousses de vanille�
De Blanchet offre aussi un service de traiteur.
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Quelques recherches effectu�es sur Google (ou d'autres moteurs de recherche) ayant amen� quelques visiteurs ici:
Yep.
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07 d�cembre 2004
Le maire de Qu�bec, M. Jean-Paul L�Allier, a annonc� aujourd�hui le versement d�une subvention de 1 million $ � la Literary and Historical Society of Qu�bec (LHSQ) et a sign� en compagnie du pr�sident de l'organisation, M. David Blair, la cession de l��difice du Morrin College, rue chauss� des �cossais, par contrat d�emphyth�ose d�une dur�e de 99 ans. La subvention ainsi accord�e permettra de restaurer et de mettre en valeur l�int�rieur du b�timent.
En c�dant l��difice, la Ville s�assure que l'immeuble sera mis aux normes et permet � la LHSQ de jouer pleinement son r�le de ma�tre d��uvre du projet, tant aupr�s de ses partenaires que des bailleurs de fonds. Les travaux, qui s�amorceront au d�but de 2005, visent � faire de l�endroit un centre culturel, le Morrin Centre, lequel deviendra un lieu phare pour la communaut� anglophone, notamment dans le contexte des F�tes du 400e anniversaire de Qu�bec.
� Ce projet de centre culturel permettra de faire conna�tre la contribution de la communaut� anglophone au d�veloppement de Qu�bec, a soulign� M. L�Allier. L�histoire des anglophones est aussi celle de la ville de Qu�bec; voil� pourquoi il est important de mettre en �vidence leur apport exceptionnel. En devenant accessible aux gens de Qu�bec ainsi qu�aux touristes, le Morrin Centre repr�sentera un lieu incontournable pour conna�tre et reconna�tre la dynamique culturelle de cette communaut�. �
Un h�ritage historique important
L��difice du Morrin College a �t� construit entre 1808 et 1812 par l�architecte Fran�ois Baillairg� et a servi de prison, la premi�re � Qu�bec mais �galement au Canada. En 1867, l��difice a �t� transform� par l�architecte Joseph Ferdinand Peachy pour devenir le Morrin College. La biblioth�que de la Literary and Historical Society s�y est install�e la m�me ann�e. Cet �difice exceptionnel rec�le, encore aujourd�hui, des tr�sors historiques et architecturaux, notamment ses cellules.
En 1981, l�immeuble a �t� class� bien culturel par le gouvernement du Qu�bec et monument historique par le gouvernement du Canada. La Ville de Qu�bec en a fait l�acquisition en 1989 et en a restaur� l�ext�rieur au d�but des ann�es 1990, avec l�aide financi�re du gouvernement du Canada et de l�Entente sur le d�veloppement culturel la liant au minist�re de la Culture et des Communications du Qu�bec. La chauss�e des �cossais, o� se trouve l��difice du Morrin College, a �galement �t� r�am�nag�e, mettant en �vidence ce lieu ainsi que les b�timents qui l�entourent.
Un premier jalon
La restauration int�rieure de l��difice du Morrin College n�cessitera des investissements totaux de 3 millions $, dont le tiers est vers� par la Ville de Qu�bec. Par l'octroi de cette subvention, la Ville r�affirme l'importance qu'elle accorde � la r�alisation de ce projet.
De cette subvention de 1 million $, 620 000 $ proviennent de l�Entente sur le d�veloppement culturel, intervenue entre la Ville de Qu�bec et le minist�re de la Culture et des Communications du Qu�bec. Cette entente porte sur l�acc�s et la sensibilisation aux arts, � la culture et au patrimoine. Elle concerne �galement la recherche et la mise en valeur du patrimoine, la consolidation des acquis en mati�re de culture et le rayonnement culturel de la capitale.
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06 d�cembre 2004
PS: Pourquoi "LES" Plaines d'Abraham? Il y en a plusieurs? Ne devrait-on pas dire "LA" Plaine d'Abraham?
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Le parc des Champs-de-Bataille pourrait �tre agrandi pour souligner le 400e anniversaire de Qu�bec. Un projet conjoint entre le port et la Ville est pr�sent� au gouvernement f�d�ral pour int�grer l'anse Brown.
Reportage vid�o de Radio-Canada
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05 d�cembre 2004
Voyage dans le temps + Qu�bec vu d'en haut = photos a�rienne historique
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Zut! Je commen�ais � �tre � l'aise avec mon appareil photo, a conna�tres les lumi�res, � savoir d'instinct quel r�glage utilis�. M�me chose dans Photoshop. Rapidement, je pouvais faire deux ou trois ajustements pour am�liorer un peu la photo. Mais l�, avec la neige, c'est un tout nouveau monde. J'ai l'impression de repartir � z�ro!
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04 d�cembre 2004
Le domaine Ch�teau de Bordeaux est situ� sur le chemin St-Louis sur une propri�t� de 12 �cres. sur le site de l'ancienne communaut� des Soeurs de la Ste-Famille de Bordeaux, � Sillery. La phase 2 sera situ�e sur le domaine juste � c�t� de la phase 1 (ancien couvent).
La construction de cette nouvelle r�sidence haut de gamme pour personnes retrait�es autonomes devrait d�buter en mars 2005, pour occupation en juin 2006. Il s�agit d�un projet total de pr�s 30 millions.
Ce nouveau complexe immobilier accueillera quelques 144 unit�s de logements, de 3 �, 4 � et 5 pi�ces et �
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03 d�cembre 2004
Les travaux pour le prolongement de l'autoroute du Vallon sont devanc�s de deux ans. Les automobilistes pourront circuler sur ce nouveau boulevard urbain � la fin de 2006.Les travaux pour le prolongement de la section comprise entre Lebourgneuf et Chauveau commenceront d�s le printemps prochain. La vitesse sera limit�e � 70 km/h dans cette section.
Suite du texte et reportage audio sur Radio-Canada
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02 d�cembre 2004
Le directeur g�n�ral de la F�d�ration de patinage de vitesse du Qu�bec, Robert Dubreuil, a confirm� au Journal de Qu�bec qu'un projet visant � donner un toit � l'anneau de glace Ga�tan-Boucher �tait en pr�paration. Il est question d'une structure en aluminium, technologie �prouv�e en Scandinavie et des colonnes int�rieures. Des estrades de 500 places seraient �rig�es et 2000 places suppl�mentaires pourraient �tre install�es au besoin.
� Si le Canada a r�ellement le d�sir d'�tre un pays dominant aux Jeux de 2010, il est important pour nous de nous positionner en ce sens. Il nous faut cette installation pour d�velopper le plus grand potentiel possible de m�dailles", mentionnait Jean Dupr�, directeur g�n�ral de PVC dans l'�dition du 2 d�cembre du Journal de Qu�bec. On croit �galement avoir de bonne chance d'obtenir les championnats mondiaux de 2008 si le projet se r�alise.
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De nouveaux d�veloppements r�sidentiels, dans l'arrondissement Charlesbourg, ach�vent l'urbanisation de la Montagne des roches. Les m�dias couvrent convenablement la revitalisation de Saint-Roch, ainsi que la construction des �difices publics � travers la ville. Toutefois, les d�veloppements r�sidentiels en banlieue se font � l'insu des citoyens et sont ainsi exclu du d�bat public. L'exemple du Domaine Marigot d�montre bien comment l'information fait d�faut. Sans information publique, sans d�bat public, de nombreuses questions ne sont m�me pas pos�es. Par exemple, la Ville peut-elle se permettre d'�tendre son reseau d'�gout et de rues ? Est-ce que le nombre de personnes qui habiteront ce quartier justifie le sacrifice de terres agricoles, de for�ts, de marais ?
Dans la Montagne des roches, c'est autour de 20 ha de terres qui auront �t� consomm�es en 2004-2005 par l'urbanisation, sans que les citoyens en ait �t� inform�s. (L'espaces sans rue entre Jean Talon, Car� Tracy et les lignes � haute tension au sud de Ch�teau-Bigot que l'on peut contempler sur la carte du site internet de la Ville de Qu�bec) Le sacrifice des terres agricoles et autres �cosyst�mes s'est fait sans que l'on en ait d�batu publiquement, alors que l'on payera collectivement pour ces �quipements.
Pendant qu'on laisse les entrepreneurs �tendre la ville au rythme de la croissance �conomique, les absurdit�s se multiplient. Sur cette photo, on voit l'espace qu'occupera une rue et l'exploitation agricole qui sera prise en �tau entre deux parties du nouveau quartier. � Saint-Augustin, on pourrait parler de l'impact qu'on eu les d�veloppements sur le lac. Autre absurdit�, on ne sait pas combien de temps les nouveaux quartiers continuerons � �tre attrayants. Est-ce qu'une fois qu'on se sera tann� du style on les d�truira comme c'est la vogue ailleurs ? Est-ce que le ph�nom�ne de d�sertion, de destruction puis de reconstruction qu'on connu D'Estimauville et Lebourneuf va se transmettre au domaine de l'immobilier ?
Il me semble qu'il devrait y avoir au moins un espace sur le site de la Ville o� les projets seraient communiqu�s. Mais l'id�al serait qu'il y ait des consultations publiques sur l'orientation que prend le d�veloppement de la ville.
La photo de Car� Tracy Ouest montre comment l'ouverture de nouveaux d�veloppements est destructeur. L'autre photo montre les arbres de ce que l'entrepreneur a appell� le Bois� du Bourg-Royal. La suivante montre ce qui reste de la for�t d'�rables remplac�e par le D�-Bois� de la Montagne des roches.
Le d�veloppement de la Montagne des roches � partir de la toute premi�re phase a certe provoqu� des d�bats, mais jamais autant que le projet de la place de France. C'est vrai que la banlieue n'a pas valeur de symbole (elle le serait peut-�tre si elle ne ressemblait pas � n'importe quelle banlieue de Montr�al, Laval, Sherbrooke... ) et que le co�t de sont d�veloppement n'est pas aussi publicis� que celui du projet du maire. Pourtant, il s'agit d'un projet qui influencera tout autant l'avenir de la ville. Il faut ici choisir l'autre ville, celle que l'on emprunte aux g�n�rations futures, et son interaction avec le territoire. Il faut que l'on puisse r�pondre � toutes ces questions qui restent, pour le moment, sans r�ponse.
[Texte et photo par Jean-Thomas Lortie]
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Imagine, for example, a neighborhood park bordered on one side by a commercial street and on another by a public library. These urban elements work together to form a single place, yet in a typical city that area would likely be managed by a number of public entities, each operating independently of the others. Instead of a unified approach to improving the place, we likely end up with atomized spheres of influence. The Department of Transportation promotes fast traffic on the roadway with little concern for pedestrians, park users, or patrons of local businesses. Park officials don't factor in library patrons or local shoppers when programming activities. You wind up with a park without popular activities, a street where people don't feel comfortable walking to the park or library, and local institutions cut off from the surrounding neighborhood.
What If We Built Our Cities Around Places?
Pourquoi est-ce important? Car un tout est toujours plus important que la sommes de ses composants
It's really a matter of offering a variety of things to do in one spot -- whose quality as a place then becomes more than the sum of its parts. A park is good. A park with a fountain, playground, and popcorn vendor is better. A library across the street is even better, more so if they feature storytelling hours for kids and exhibits on local history. If there's a sidewalk caf� nearby, a bus stop, a bike trail, and an ice cream parlor, then you have what most people would consider a great place.
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01 d�cembre 2004
Samedi pass�, je devais me rendre � Drummundville pour un contrat de photo. Entre l'autoroute 20 et mon point de destination, dans le sud de la ville, je devais emprunter le boulevard St-Joseph. Il s'agit d'une art�re importante qui traverse la ville d'un bout � l'autre.
Pendant 10 � 15 minutes d�file � ma droite et � ma gauche tout ce qui existe comme commerce franchis� au Qu�bec. J'y ai vu un McDonarld, un Brunet, un Jean-Coutu, un Mike's, un PFK, un Subway's, un Benny's, un St-Huberts, un Dollarama, un Stratos, un IGA, un p�tro-Canada, un Irving, un Shell, des concessionnaires Honda/Toyota/Ford/GM/Hyunday, un Poulet Fus�, un East Side Mario's, et bien d'autre.
Dieu que c'�tait laid. Et c'est l� que le doute m'assaillit : suis-je bien � Drummundville? Peut-�tre me suis-je tromp�, que je m'en vais chez mes parents et que je suis sur le Boulevard Henri-Bourassa, � Charlesbourg? Ou peut-�tre que je voulais aller chez Meuble Napert et que je suis en fait sur le Boulevard Kennedy � L�vis? Qui sait, peut-�tre suis-je � Laval! Ha non, je suis s�rement � Mississauga en Ontario! Ou en banlieue de Boston? Qui sait? Quel est mon point de rep�re?
Une route � deux voies dans chaque direction. Des feux de circulation � intervalle r�gulier (au moins, ceux de Drummundville sont parfaitement synchronis�s!). Des bo�tes carr�es de chaque c�t�, en arri�re d'un immense stationnement. Et de toute part ces m�mes enseignes qui enl�vent tout caract�re particulier � nos villes et villages du Qu�bec. Drummundville, Chicoutimi, St-George-de-Beauce. Dites-moi, quelle est la diff�rence maintenant?
Don't get me wrong, comme on dit en polonais. J'adore �tre conscient que si j'ai besoin d'un muffin et d'un caf� pour la route, lorsque je vais � Drummundville par exemple, je n'ai qu'� chercher une enseigne Tim Horton. Il est rassurant de savoir qu'en voyant le logo � Second Cup �, je peux p�n�trer dans le commerce et demander un d�licieux � Moccaccino avec cr�me fouett�e pour boire ici S.V.P. � et que cela me co�tera cinq dollars, pourboire inclus.
Mais alors, quel est le probl�me avec les franchises? Leur trop grand nombre? L'uniformit� de leur architecture partout en Am�rique du Nord? Leur f�cheuse tendance � se regrouper le long des boulevards? Le laxisme des autorit�s municipales qui leur permet d'imposer � la vue de tous leur vestiaire � bagnoles (merci � Jean Richard pour l'image) en face de leur �tablissement? Toutes ces r�ponses?
Vous voyez, cela fait 4 jours que ce texte me trotte dans la t�te et ce n'est que ce soir que je me d�cide enfin � l'�crire. Avant d'en discuter avec vous, je voulais en venir � une conclusion, pouvoir affirmer � voil� le probl�me, voil� la solution �. Je dois malheureusement me rendre � l'�vidence, je ne peux rien faire d'autre que de constater le probl�me et me dire que ce n'est pas cette semaine que je vais refaire le Monde.
Ce qui me fait le plus peur, je crois, c'est que nous ne semblons pas apprendre de nos erreurs. L'uniformisation de nos villes � d�but� une nouvelle phase tr�s rapide et qui semble trop bien avanc�e pour �tre contr�e. Que ce soit � Qu�bec, Montr�al, Toronto, Sherbrooke ou Laval, les bo�tes carr�es poussent comme du chiendent et deviennent encore plus immenses. D'un simple stationnement en fa�ade, elles sont maintenant comme une �le au beau milieu d'un oc�an d'asphalte. Les franchises poussaient auparavant le long des boulevards, ces nouveaux m�gas immigrent le long des autoroutes. Les nouveaux joueurs s'appellent WallMart, Cin�plex Od�on, Rona l'entrep�t, Home Depot, Canadian Tire et Cosco.
Merde.
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Droit d'auteur concernant le mat�riel produit par Qu�bec urbain
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