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Qui est le prochain?
31 octobre 2005
Cinq semaines apr�s la derni�re photo (billet pr�c�dent), la structure de ce futur �difice � logements s'impose de plus en plus dans le paysage du quartier: cette fois, une vue vers le sud sous un autre angle.
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Projet d'am�nagement de la promenade Samuel-De Champlain entre le pont Pierre-Laporte et la c�te de l'Eglise � Qu�bec - DEBUT DE L'AUDIENCE PUBLIQUE LE 14 NOVEMBRE 2005
QU�BEC, le 31 oct. /CNW Telbec/ - La commission du Bureau d'audiences publiques sur l'environnement (BAPE), compos�e de M. William J. Cosgrove, pr�sident, et de M. John Haemmerli, commissaire, tient la premi�re partie de l'audience publique sur le projet d'am�nagement de la promenade Samuel de Champlain entre le pont Pierre-Laporte et la c�te de l'Eglise � Qu�bec par la Commission de la capitale nationale du Qu�bec. L'audience publique aura lieu le 14 novembre 2005 � 19 heures et se tiendra � la salle Frontenac de l'h�tel Gouverneur, situ� au 3030, boulevard Laurier � Sainte-Foy. Les s�ances se poursuivront les jours suivants, selon les besoins du public et de la commission.
UNE AUDIENCE EN DEUX PARTIES
1. S'informer
L'audience publique se d�roulera en deux parties. En pr�sence du promoteur et des personnes-ressources invit�es dans le but de r�pondre aux questions des participants, la premi�re partie permettra � la population et � la commission de s'informer sur le projet afin d'en prendre connaissance et de mettre en lumi�re tous ses aspects.
2. S'exprimer
Lors de la deuxi�me partie de l'audience publique, qui d�butera le 12 d�cembre 2005 � 19 heures au m�me endroit, la commission recueillera l'opinion et les suggestions du public. Elle entendra alors toute personne, tout organisme, tout groupe ou toute municipalit� qui d�sire s'exprimer sur le projet, que ce soit sous forme de m�moire ou de pr�sentation verbale.
La commission dispose d'un d�lai maximal de quatre mois pour accomplir son mandat. Le rapport du BAPE sera remis au plus tard le 14 mars 2006, au ministre du D�veloppement durable, de l'Environnement et des Parcs, M. Thomas J. Mulcair. Par la suite, le ministre dispose de 60 jours pour rendre public le rapport.
OU CONSULTER LA DOCUMENTATION SUR LE PROJET ?
Vous pouvez consulter les documents relatifs au projet au bureau du BAPE � Qu�bec, � la Biblioth�que centrale de l'Universit� du Qu�bec � Montr�al ainsi qu'� l'endroit suivant :
- Biblioth�que Charles-H. Blais, 1445 avenue Maguire, Sillery (acc�s gratuit � Internet).
Vous pouvez �galement consulter le site Internet du BAPE concernant le projet � l'adresse suivante : www.bape.gouv.qc.ca .
LE PROJET
Ce projet repr�sente le premier des deux volets du projet de la Promenade Samuel-De Champlain. La Commission de la capitale nationale du Qu�bec propose de r�am�nager le corridor du boulevard Champlain � Qu�bec. A cette fin, elle pr�voit reconfigurer le boulevard Champlain pour en faire une promenade urbaine et restaurer les berges en y am�nageant des espaces publics et des habitats fauniques. Elle pr�voit �galement restaurer les paysages des terrains vacants et en d�contaminer les sols. Le projet vise le tron�on de 4,2 km
compris entre le pont Pierre-Laporte et la c�te de l'Eglise. Le boulevard r�am�nag� comprendrait deux voies de circulation dans chaque direction et serait bord� d'un c�t� par une bande de stationnement de 5 m et un trottoir de 2 m. La vitesse autoris�e y serait de 70 km/h. Un carrefour giratoire serait implant� � l'intersection du boulevard Champlain avec la c�te Ross. De plus, une piste pour cyclistes, patineurs et pi�tons, am�nag�e entre le boulevard et le fleuve, relierait le quai Irving � la c�te de l'Eglise et, ult�rieurement, � la Place-Royale. En deux endroits, le trac� du boulevard serait d�plac� vers le nord afin de d�gager des espaces publics riverains et de favoriser le d�veloppement de deux p�les d'activit�s, soit le p�le �cologique de la Station Victoria situ� au pied de la c�te Ross et le p�le culturel de la Station du Jardin s'�tendant entre la c�te � Gignac et la c�te de l'Eglise. Le projet pr�voit notamment la cr�ation d'un marais, la protection du bois� Irving, la restauration d'un quai ainsi que l'am�nagement de jardins en s�rie consacr�s aux th�mes de l'art, de l'histoire et de la nature. Les co�ts globaux du projet sont estim�s � 70 M$. Le promoteur pr�voit d�buter les travaux en mai 2006 et les compl�ter pour juillet 2008.
Pour plus ample information, vous pouvez communiquer avec Danielle Dallaire, coordonnatrice du secr�tariat de la commission, en composant le 418 643-7447 ou, sans frais, le 1 800 463-4732. Vous pouvez �galement joindre la commission par courrier �lectronique � l'adresse suivante:
champlain@bape.gouv.qc.ca .
QU'EST-CE QUE LE BAPE ?
Le BAPE est un organisme d'information et de consultation publiques qui permet aux citoyens de s'exprimer sur un projet et d'intervenir dans le processus d�cisionnel menant � l'autorisation ou non d'un projet. Le BAPE accomplit les mandats qui lui sont confi�s par le ministre du D�veloppement durable, de l'Environnement et des Parcs, notamment le mandat d'information et de consultation publiques d'une dur�e de 45 jours ainsi que celui d'audience publique d'une dur�e maximale de 4 mois et celui de m�diation d'une dur�e d'environ 2 mois.
Pour donner suite aux demandes d'audience publique qui ont �t� transmises au ministre du D�veloppement durable, de l'Environnement et des Parcs par les citoyens, groupes, organismes ou municipalit�s, le BAPE a re�u le mandat de tenir une audience publique sur le projet d'am�nagement de la promenade Samuel-De Champlain entre le pont Pierre-Laporte et la c�te de l'Eglise par la Commission de la capitale nationale du Qu�bec.
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29 octobre 2005
LE BULLETIN DE SANT� DES CANADIENS ET DES CANADIENNES 2005 : La banlieue, un mauvais r�ve?
(...) Les preuves sont concluantes : notre d�pendance � la voiture nous tue. Nous devons centrer notre mode de vie sur des habitudes saines et cesser de se faire mener par les � services � l�auto �, dit Dr George Honos, porte-parole de la Fondation des maladies du coeur et cardiologue. (...)
Selon la Fondation, chez les personnes vivant en banlieue, dans les petits centres et en milieu rural, ce faux sentiment de s�curit� pourrait leur imposer de plus grands risques de maladies cardiovasculaires et d�accident vasculaire c�r�bral qu�aux citadins. Les recherches de la Fondation indiquent que les citadins ont deux fois plus de chances de marcher, de faire du v�lo ou de prendre les transports publics que les gens de l�ext�rieur. De plus, une plus grande proportion de citadins font leurs emplettes quotidiennes � pied ou en v�lo. (...)
Cette �tude, qui inclut diverses recommandations aupr�s des gouvernements et de la population, peut �tre consult�e sur le site de la Fondation des maladies du coeur (Bulletin de sant� 2005, f�vrier 2005).
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28 octobre 2005
Source: Alain Bouchard, Le Soleil, 28 octobre 2005.
Le d�put� f�d�ral de Beauport-Limoilou a lanc� hier un projet de centre r�cr�o-nautique de 5 millions $ qui pourrait, � son avis, combler tous les besoins d'am�nagement de la baie de Beauport. Christian Simard, du Bloc qu�b�cois, esp�re voir cette initiative prendre forme � l'occasion du 400e anniversaire de Qu�bec, qui aura lieu en 2008.M. Simard est rendu � l'�tape de s'allier le patron du Port de Qu�bec, apr�s avoir re�u l'appui de la Ville de Qu�bec, de l'Association touristique de la baie de Beauport, de la Soci�t� des gens de baignade, et surtout l'enti�re collaboration d'Acc�s Saint-Laurent-Beauport. (...)
En r�sum�, tel que pr�sent� dans Le Soleil, le coeur du projet consiste en un b�timent ail� au toit v�g�tal inclin�, con�u par l'architecte R�mi Morency. Cet immeuble remplacerait tous les petits b�timents d'appoint actuels. On y retrouverait principalement une salle polyvalente, des espaces de rangement et une piscine ext�rieure/int�rieure ouverte � l'ann�e.
Par ailleurs, le projet pr�voit diverses facilit�s pour les bateaux et les utilisateurs du site (consacr� "paradis de la voile"), lequel pourrait du m�me coup devenir accessible par la rue d'Estimauville.
Voir aussi billet pr�c�dent.
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Source: Simon Boivin, Le Soleil, 28 octobre 2005.
La France envisage d'offrir � Qu�bec, pour son 400e anniversaire, un r�am�nagement majeur du parc de l'Am�rique-Fran�aise, � c�t� du Grand Th��tre, a appris LE SOLEIL, hier. Un projet de plusieurs millions de dollars.De tous les sc�narios de participation avec lesquels jongle la France, celui du parc de l'Am�rique-Fran�aise d�tient une bonne longueur d'avance, selon des informations �manant du gouvernement fran�ais.
� Ce n'est pas juste planter trois arbres, souligne une source. On parle d'un vrai am�nagement paysager avec une sculpture qui sera offerte par la France et un design fait par des paysagistes fran�ais. C'est un ensemble. Ce n'est pas simplement niveler le terrain. C'est beaucoup plus que �a. �
Voir aussi le projet avort� de l'enl�vement des bretelles de l'autoroute Dufferin...
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27 octobre 2005
Merci � Pierre Maltais, �diteur du journal de rue La Qu�te, pour avoir g�n�reusement fourni � Qu�bec Urbain ces images de la "16e Nuit des sans-abri" (billet pr�c�dent), lesquelles devraient �tre publi�es dans l'�dition de d�cembre.
Toujours sous le th�me de l'exclusion sociale, c'est � la salle Multi de M�duse que le Collectif (...) parenth�se pr�sente en premi�re son premier film Un toit, un droit qui jette un regard humain sur la crise du logement. Ce documentaire devrait �tre pr�sent� � T�l�-Qu�bec en 2006.
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Les propri�taires d�Aliments de Sant� Laurier (ASL) ouvre un nouveau et deuxi�me magasin du M�ga Centre Duplessis.
Suite � de nombreux agrandissements � Place Laurier, ASL a d�cid� d�investir plus de 4.5 MILLIONS de dollars pour l�achat d�un terrain et la construction d�une b�tisse de 30,000 pieds carr�s (15 000 pieds carr�s d�espace locatif), en vue de l�ouverture, le 3 novembre prochain, d�un deuxi�me magasin de 15,000 pieds carr�s.
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Historiquement, deux �v�nements au moins ont modifi� consid�rablement le d�veloppement urbain de la ville de Qu�bec au XXi�me si�cle:
- l'�rection du pont de Qu�bec (et plus tard, celle du pont Pierre-Laporte)
- le d�m�nagement de l'Universit� Laval (du quartier latin vers les hautes plaines de Sainte-Foy)
Favoris�s par ces deux d�cisions administratives, le trafic ferroviaire et le trafic routier ont engendr� graduellement le d�veloppement de Sainte-Foy et des villages environnants. L'h�pital Laval, Place Laurier, les autoroutes, les h�tels, les si�ges sociaux, etc.
Nous vivons encore aujourd'hui avec les cons�quences de ces constructions. Comme dans un mariage: pour le meilleur et pour le pire!
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26 octobre 2005
Source: Jean-Fran�ois Cliche, Le Soleil, 26 octobre 2005.
La course � l'h�tel de ville soul�ve un int�r�t plut�t mitig� � Qu�bec. Seulement 51% des personnes interrog�es ont d�clar� � la maison de sondage CROP �tre "tr�s" ou "assez int�ress�es" par la campagne municipale, sans diff�rence significative entre les quartiers centraux et la banlieue. Cette proportion chute � 33% chez les 18 � 34 ans, alors que 58% de leurs a�n�s disent suivre la course �lectorale.
C'est chez les partisans de Claude Larose, chef du Renouveau municipal, que la campagne suscite le plus d'attention, 79% se d�clarant assez ou tr�s int�ress�s.
Lire le r�sum� du sondage CROP-Le Soleil-Premi�re Cha�ne de Radio-Canada. Voir �galement billet pr�c�dent (�lections municipales en vue!).
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Le Groupe pour la promotion de l'usage du v�lo comme alternative � la voiture, V�lomobile, tient � souligner dans son activit� grand public tout le bienfait que peut apporter la pratique du v�lo, tant pour la personne qui roule que pour la communaut�. "En plus de nous tenir en forme, elle contribue � am�liorer la qualit� de l'air et diminue la congestion automobile."
"Il est important de venir en tr�s grand nombre afin de dire aux futurs �lus municipaux et aux automobilistes que vous avez votre place dans la circulation et que vous voulez plus d'am�nagement pour favoriser l'usage du v�lo en milieu urbain. Nous pensons que plus d'am�gement cyclables sont n�cessaire pour insiter les gens � utiliser leur v�lo comme moyen de transport."
"C'est ce vendredi � 16h, en face des abribus de l'avenue des sciences humaine sur le campus de l'universit� Laval que vous pouvez passer � l'action, libre � vous de venir costum� ou de d�corer votre v�lo. Nous tenons � ce que l'ambiance demeure festive et conviviale, afin de montrer aux gens combien il est agr�able de se d�placer en v�lo."
Pour plus d'information: www.quebecavelo.tk
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25 octobre 2005
Malgr� l'aspect mena�ant de ce ciel typique de l'arriv�e de nos grandes temp�tes d'automne, les citoyens r�cemment inond�s peuvent se rassurer: finalement, l'ex-ouragan Wilma, pr�sentement au large de la Nouvelle-Angleterre, ne fera que fr�ler la r�gion aujourd'hui en s'abattant plut�t sur les Maritimes...
M�t�o Environnement Canada: Qu�bec.
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24 octobre 2005
Source: Pierre Champagne, Le Soleil (rubrique Commerce et Affaires), 19 octobre 2005.
Le promoteur et entrepreneur g�n�ral, Les constructions Nouveau Site inc., donnera cette semaine [semaine derni�re] le coup d'envoi des travaux de construction de son projet immobilier Les Condos Loretteville, sis au coin de la rue Saint-Luc et du boulevard des �tudiants. Il s'agit d'un vaste complexe r�sidentiel de 14 millions $ qui comprendre 128 copropri�t�s une fois compl�t� dans trois ans. Au total, huit phases de 16 unit�s, r�parties sur quatre �tages, sont pr�vues. (...)
D�tails: le site du projet.
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22 octobre 2005
Source: Claudette Samson, Le Soleil, 22 octobre 2005.
(...) L'inauguration hier du premier toit v�g�tal r�alis� par l'organisme Vivre en ville, au 870, avenue de Salaberry, � Qu�bec, donne mati�re � r�flexion.Selon les calculs r�alis�s lors de pluies de diff�rentes intensit�s, la r�tention d'eau de ce toit (deux, en fait) variait de 100% � 98,2%. Il est vrai que la plus forte pr�cipitation calcul�e n'�tait que de 18 mm (contre pr�s d'une centaine ce fameux 26 septembre), pour une quantit� de 161 litres d'eau. Mais il n'en reste pas moins que la terre absorbe une quantit� importante de liquide, avant de la laisser aller graduellement, ce qui permet de prot�ger les r�seaux d'�gout d'un envahissement soudain. (...)
Les gens de Vivre en ville, et en t�te la charg�e de projets V�ronique Jampierre, n'�taient pas peu fiers de leur r�alisation de deux toits et d'un mur v�g�taux sur l'ancienne �cole qui abrite le Centre de la culture et de l'environnement Fr�d�ric Back et divers organismes.� cette r�alisation s'ajoute en outre la construction r�cente de corniches v�g�tales, qui viennent tout juste d'�tre r�alis�es par une douzaine de participants aux Chantiers jeunesse, un organisme favorisant la r�alisation de projets b�n�voles par des jeunes de divers pays. (...)
Voir aussi le communiqu� de Vivre en ville.
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21 octobre 2005
Tout un contraste avec la sc�ne croqu�e au m�me endroit) en mai dernier: les couleurs crues de cette fin de journ�e laissent pr�sager une nuit froide pour l'activit� qui se d�roulera � quelques pas de l� sous le th�me "Personne n'est � l'abri" (billet pr�c�dent et article du Soleil)...
Et comme par hasard, un autre record m�t�o � pr�voir en cette nuit "citoyenne": le gel le plus tardif jamais enregistr� � Qu�bec!
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20 octobre 2005
Question de faire d�couvrir cet immense bois� � ceux qui ne le connaissaient pas, je voulais y retourner prochainement, apr�s l'avoir visit� en hiver et... en automne. Or, il semble bien que l'ensemble soit un domaine priv�, si j'en juge par la nouvelle suivante. Les commentaires des habitu�s et des gens mieux inform�s sont les bienvenus, naturellement.
En attendant, aff�tez vos skis, le site est superbe et comme toujours, en pleine ville!!
Source: Denis Fortin, Journal Qu�bec Hebdo
"Les randonneurs p�destres qui aiment sillonner les sentiers en p�riode automnale de m�me que les adeptes de v�lo de montagne doivent prendre note qu�il leur est interdit d�emprunter les sentiers du Centre de ski de fond Charlesbourg car les dirigeants du centre ont obtenu des droits de passage des 75 propri�taires priv�s o� les pistes passent pour la saison hivernale seulement."
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Cette reconnaissance revient au Dominion 1912, du Groupe Germain.
Source: Pierre Champagne, Le Soleil, 20 octobre 2005.
(...) Il a remport� ce grand honneur, lundi soir, � New York, lors de la huiti�me remise des Reader's Choise Award du r�put� magazine touristique am�ricain Cond� Nast Traveler. Ces prix, d�cern�s par les lecteurs du magazine, sont remis annuellement afin de souligner l'excellence en tourisme dans le monde. (...)
Rappelons que cet automne, le Vieux-Qu�bec s'est vu classer avantageusement, au plan international, par un autre prestigieux magazine (billet pr�c�dent).
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19 octobre 2005
Vue vers l'ouest � partir de la piste cyclable du Corridor du littoral, sous l'autoroute Dufferin-Montmorency. Au-del� de la zone industrielle de la Canardi�re, la Fresque de Limoilou (vue rapproch�e, boulevard des Capucins) enjolivant un mur du Centre Horizon.
La Fresque de Limoilou est l'oeuvre de Murale Cr�ation. Voir aussi billet pr�c�dent (Muralistes de l'autoroute Dufferin)
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18 octobre 2005
Source: Site de la Ville de Qu�bec, octobre 2005.
(...) Le th�me de la Nuit, Personne n�est � l�abri , nous rappelle que l�itin�rance r�sulte avant tout d�une histoire de vie et qu�elle peut nous atteindre, tous et toutes, � un moment ou l�autre. Le visage de l�itin�rance �volue continuellement : son rajeunissement, sa f�minisation, ainsi que la d�sinstitutionalisation modifient de plus en plus l�image pr�con�ue du ph�nom�ne.Ils sont 28 000 individus recens�s dans les seules villes de Montr�al et Qu�bec. Ils sont de plus en plus jeunes. On les dit toxicomanes ou malades mentaux ; ils sont avant tout pauvres, isol�s et ne disposent que de bien minces perspectives pour donner un sens � leur existence. Souvent contraints � vivre dans la rue, ils doivent s'y adapter tant bien que mal, en esp�rant des jours meilleurs. (...)
D�tails et horaire de l'�v�nement dans le communiqu� de la Ville de Qu�bec.
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17 octobre 2005
Plus de peur que de mal, ce week-end...
Source: Jean-Fran�ois N�ron, Le Soleil (cyberpresse), 17 octobre 2005.
L'Ancienne-Lorette: � Les nerfs m'ont poign� ! �Trois semaines presque jour pour jour apr�s l'inondation majeure survenue � L'Ancienne-Lorette, l'eau a de nouveau envahi certaines rues de ce secteur vuln�rable de la ville de Qu�bec dans la nuit de samedi � hier. Dans le c�ur des sinistr�s, l'inqui�tude et la r�signation cohabitent avec l'espoir.
Il �tait tomb� hier matin quelque 85 millim�tres de pluie depuis vendredi. Au maximum, 15 autres �taient pr�vus d'ici la fin des averses. Une situation qui a oblig� la Ville � accro�tre sa surveillance de la rivi�re Lorette et � effectuer des travaux pr�ventifs tout au long de la fin de semaine.Le pompage des �gouts sanitaires pour �viter le refoulement dans les r�sidences a � possiblement emp�ch� � l'inondation de certains sous-sols. Toutefois, les pr�cipitations soutenues ont d�pass� la capacit� de r�cup�ration des eaux par l'�gout pluvial. R�sultat, des rues ont encore une fois �t� inond�es pendant quelques heures.
Voir billet pr�c�dent.
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Puis� dans la banque des cartes postales que nous sugg�rait Jean.
Une Saint-Jean-Baptiste dans Saint-Sauveur (sans jeu de mots � propos des quartiers de Qu�bec).
1912, deux ans avant la "Grande guerre", qui n'�tait en fait qu'une des plus gigantesques boucheries que l'Humanit� ait connue. Les Qu�b�cois applaudissent les soldats, comme on fait partout dans le monde � cette �poque. Drapeaux et uniformes excitent les esprits, qui n'ont pourtant que le coeur � la f�te.
Bient�t, des millions de gens vont mourir.
Pour comprendre un peu:
- Voir le film "Un long dimanche de fiancailles"
- Lire les romans de Pierre Miquel.
- Ou se documenter sur les d�buts de la "Guerre totale", o� tous les �l�ments de la soci�t� sont sollicit�s pour parvenir � gagner la guerre des empereurs: soldats, agriculteurs, ouvriers en usines, artistes pour la propagande, etc. Tout le monde �tait mobilis�. D�j�, en 1914, on parlait de la guerre entre le "bien" et le "mal".
Qui a gagn�, finalement?
Autre photo, dans le temps que Saint-Sauveur �tait encore un village dans la ville, un village dans le "gros village".
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16 octobre 2005
Quelques trucs int�ressants � Toronto et qui pourraient int�resser les gens de Qu�bec.
Les fauteuils motoris�s pour handicap� sont autoris�s sur les trottoirs, mais pas les segways. Dans le courrier du lecteur du Toronto Star, un lecteur s'interroge : If scooters are okay for sidewalks, why not Segways?
La semaine pass�e. un groupe de r�sidents et commer�ants de la rue St-Clair West (Toronto) on gagn� en cours contre la ville, faisant d�railler un projet de donner la priorit� (right of way) aux streetcars (St. Clair ruling derails city plans).
Aujourd'hui, le Toronto Star s'interroge. Est-ce que les NYMBYs (Not In My Backyard � pas dans ma cour) peuvent �tre positifs dans une ville (The power of Nimbyism)?
L'�ditorial du quotidien de la ville reine est quant � lui beaucoup plus tranch� : Narrow self-interest injures all Ontarians.
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15 octobre 2005
Je suis toujours �tonn� de constater � quel point le domaine Maizerets, attraction majeure du secteur de Limoilou, semble m�connu de beaucoup de r�sidents de la haute-ville ou de la p�riph�rie... Et pas besoin d��tre un grand photographe pour immortaliser au fil des saisons des images magnifiques de ce coin de campagne et de nature en plein coeur de la ville!
Soci�t� du Domaine Maizerets. Source : Qu�becPlus.
Un site exceptionnel. Le domaine Maizerets est un v�ritable oasis situ� au c�ur de la ville. Un clich�, direz-vous? Visitez-le et vous abonderez dans le m�me sens. D'une superficie de 27 hectares, ce domaine constitue un site tout � fait exceptionnel, o� la nature s'est enracin�e en milieu urbain. Les nombreux sentiers qui le sillonnent guident le visiteur � travers des milieux naturels tant sauvages qu'am�nag�s.De tout pour tous. Pendant toute l'ann�e, le domaine est un lieu de rendez-vous id�al pour les familles et les adeptes du plein air et des loisirs scientifiques. Incidemment, divers organismes de loisir se concertent pour offrir des expositions, conf�rences, concerts, ateliers culturels, observation de la nature, baignade, cyclisme, patinage et ski de randonn�e. Il s'y tient aussi de nombreux �v�nements sp�ciaux pendant l'�t�.
Une voli�re � papillons. Ce site enchanteur propose d'�tonnantes surprises telles l'arboretum et un jardin horticole de 7 hectares. L'arboretum du domaine, accessible de mai � septembre, compte au total pr�s de 16 000 arbres, arbustes et plantes vivaces. Les visiteurs peuvent d�ambuler dans un r�seau de sentiers p�destres qui, l'hiver, est int�gr� au r�seau de pistes de ski de fond du domaine. Autre sujet d'�merveillement, la voli�re � papillons � l'int�rieur de laquelle le public c�toie ces insectes en toute qui�tude. De la mi-juin � la fin ao�t, il s'y succ�de des esp�ces comprenant des papillons diurnes et nocturnes.
Activit�s de neige ou en salle. Le domaine Maizerets propose toute l'ann�e durant une multitude d'activit�s telles que des ateliers d'ornithologie, d'astronomie, de mycologie et de sp�l�ologie. En hiver, on y trouve cinq (5) pistes de ski de fond, un anneau de glace de 1200 m�tres carr�s ainsi qu'une glissade sur use-culotte. Le site propose �galement deux sentiers pour la marche ou la raquette (4,5 km et 2,5 km). On peut y louer un �quipement de ski, des raquettes, des patins ou des tra�neaux pour la glissade.
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14 octobre 2005
Comme le rappelle le site de la Ville de Qu�bec
(Histoire et patrimoine), "dans les ann�es 1990, on entreprend la revitalisation du quartier Saint-Roch, l'ancien centre-ville. En partenariat avec divers organismes et groupes de citoyens, la Ville s'engage directement dans ce mouvement en am�nageant d'abord, en un geste symbolique, le jardin de Saint-Roch. L'arriv�e de fonctionnaires municipaux et de l'�cole des arts visuels de l'Universit� Laval, la concr�tisation du projet M�duse et la mise sur pied d'un programme d'aide � l'acquisition d'ateliers d'artistes acc�l�rent la revitalisation."
Du 14 au 16 octobre, la coop�rative M�duse invite la population � venir d�couvrir le dynamisme culturel, artistique et communautaire des dix groupes qui la composent (Programmation).
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Source: Claude Vaillancourt, Le Soleil, 14 octobre 2005.
Inondations du 26 septembre: 5 millions $ pour deux ponts et 19 millions $ pour les �gouts
L'ampleur des dommages caus�s par les inondations qui ont accompagn� les pluies diluviennes du 26 septembre, sur la totalit� du bassin versant de la rivi�re Saint-Charles, incluant la rivi�re Lorette, commence � se mesurer.
Au cours d'une premi�re grande soir�e d'information entre les dirigeants de la Ville de Qu�bec et les sinistr�s qui vivent dans le secteur du boulevard Hamel, � l'�cole polyvalente L'Ancienne-Lorette, la conseill�re Ann Bourget, responsable des dossiers d'infrastructures au comit� ex�cutif de la Ville, a annonc� que la Ville va consacrer, � court terme, environ 24 millions $, au total, pour d'abord corriger deux ponts qui g�nent la capacit� hydraulique (5 millions $) de la zone et, aussit�t l'arriv�e du printemps, � un minimum de 19 millions $, pendant les deux prochaines ann�es �, pour consolider le r�seau d'�gouts, qui n'a pas suffi � la t�che. Du c�t� des sinistr�s, ceux-ci avancent des pertes globales d'environ 45 millions $ � leurs r�sidences et commerces.� Dans le pass�, le programme d'infrastructures municipales servait surtout � am�liorer le r�seau d'eau potable, de dire la conseill�re Ann Bourget. Il est clair que, dor�navant, nous devrons changer nos orientations. �
Voir billet pr�c�dent.
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13 octobre 2005
Exceptionnellement, parlons � revitalisation, rue principale � (Montmagny) et � reconnaissance au plan culturel � (Trois-Rivi�res), deux sujets qui ont fait r�cemment la manchette et succeptibles �ventuellement de servir d�exemples � suivre pour le grand Qu�bec r�unifi�...
� Montmagny, l�ancienne usine Whilpool, sise sur la rue principale Saint-Jean-Baptiste, pourrait faire l�objet d'un vaste projet de recyclage dont les co�ts sont �valu�s de 40 � 60 millions $.
D�autre part, Trois-Rivi�res vient de recevoir, en regard des efforts de promotion et de d�veloppement en lien avec la pr�sence et le rayonnement du Festival International de la Po�sie, un prix international: le � 2005 Downtown Achievement Award �.
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Jean, permets-moi de profiter de ton billet sur le Parc Chauveau pour insister aupr�s des habitu�s de Qu�bec Urbain: si vous n'avez pas encore visit� ce bois�, allez-y!!
Saviez-vous qu'il est plus vaste en �tendue que les Plaines d'Abraham?... Travers� par la rivi�re Saint-Charles, ses kilom�tres de sentiers nous font vite oublier qu'on circule en ville!
Pour s'y rendre: de part et d'autre de la rue Chauveau, � l'est de l'Ormi�re. Vers le nord, on d�bouche � Loretteville!
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D'entr�e de jeu, il faut reconna�tre les efforts de la Ville de Qu�bec visant � am�liorer son r�seau cyclable (billet pr�c�dent).
Mais pour ceux et celles qui ont adopt� la bicyclette comme principal moyen de transport, il y aurait peut-�tre lieu de s'interroger sur la courte "saison" qui leur est allou�e (cinq mois!), du moins sur les bandes cyclables en bordure de certaines art�res...
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Source: communiqu� de la Commission de la capitale nationale, 13 octobre 2005.
La Ville de Qu�bec, la Commission de la capitale nationale du Qu�bec et le Centre de formation professionnelle de Neufch�tel de la Commission scolaire de la Capitale ont d�voil� aujourd'hui un buste � la m�moire du premier premier ministre du Qu�bec, Pierre-Joseph-Olivier Chauveau, et inaugur� le parc comm�moratif portant son nom, en pr�sence notamment de M. Renaud Auclair, pr�sident de l'arrondissement de La Haute-Saint-Charles et de M. Pierre Boulanger, pr�sident et directeur g�n�ral de la Commission.Ce lieu de m�moire a �t� r�alis� dans le cadre d'un partenariat liant la Ville de Qu�bec et la Commission de la capitale nationale du Qu�bec et est l'h�te d'un buste de l'artiste qu�b�coise Suzanne Gravel. Mme Gravel, dipl�m�e de l'�cole des Beaux-Arts de Qu�bec, con�oit et r�alise des monuments et des murales depuis 1966. Ses �uvres d'art public et religieux rehaussent des �glises et des immeubles � travers le Qu�bec.
Le buste de Pierre-Joseph-Olivier Chauveau est install� au c�ur d'un am�nagement paysager r�alis� par des jeunes en apprentissage et en exp�rimentation professionnelle, en face du parc Chauveau. Dans le cadre du projet Succ�s au sommet, plusieurs disciplines en formation professionnelle ont �t� mises � contribution. Cette r�alisation initi�e par le CFP de Neufch�tel a un caract�re social, historique et partenarial. Il permet de cr�er ainsi un lieu de d�tente am�nag� pour les visiteurs et les citoyens qui b�n�ficieront d'une vue imprenable sur Qu�bec. Cette r�alisation a �t� rendue possible gr�ce � la participation de nombreux autres partenaires, tant publics que priv�s.
La Ville de Qu�bec et la Commission de la capitale nationale du Qu�bec sont fi�res de marquer de fa�on durable dans la capitale la m�moire du premier ministre Pierre-Joseph-Olivier Chauveau, en poste de 1867 � 1873 et dont la carri�re fut entre autres consacr�e au d�veloppement et � la promotion de l'�ducation aupr�s des jeunes du Qu�bec.
Merci � Jean-Pierre Chamard pour sa pr�cieuse collaboration.
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Source: Simon Boivin, Le Soleil, 13 octobre 2005.
(...) "�a fait certainement partie des des hypoth�ses", a indiqu� au SOLEIL le pr�sident du conseil d'administration de la Soci�t� des parcs en sciences naturelle (SPSNQ), Danys Larose, hier.L'impatience se fait sentir chez les gestionnaires du jardin zoologique et du parc de l'aquarium. D��us par un achalandage estival qui n'a pas �t� � la hauteur des attentes, ils d�plorent de ne pas avoir les outils pour r�ussir. "Les gens s'attendent � ce qu'il y ait du nouveau, explique M. Larose. Tant qu'il y a des tergiversations, il n'y a pas d'investissements et on ne peut innover. (...) Les r�sultats sont plut�t d�cevants."
(...) La saga du zoo et de l'aquarium a �t� riche en rebondissements depuis cinq ans: r�novation au co�t de 66,9 millions $ qui n'a permis de faire que 70% des travaux, r�ouverture h�tive, prix d'entr�e prohibitif, cr�neau de sp�cialisation peu appr�ci�, d�ficits r�p�t�s. L'�pisode du "chiffon rouge" a men� au refus, par le gouvernement du Qu�bec, d'une participation de 18 millions $ d'Ottawa, qui n'a pas remis un sou depuis. (...)
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12 octobre 2005
L'Auberge Saint-Antoine nouvellement agrandie (photo) est l'un des neufs projets soumis au vote du public sur le site de la ville (M�rites architecturaux) � compter d'aujourd'hui et ce, jusqu'au 17 novembre 2005.
Voir aussi billet pr�c�dent.
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11 octobre 2005
Source: Pierre-Andr� Normandin, Le Soleil, 11 octobre 2005.
D'importants travaux perturberont la tranquillit� du quartier Petit Champlain au cours des deux prochains mois. L'escalier Casse-Cou sera remis � neuf, alors que des travaux de solidification de la falaise seront entrepris aujourd'hui.Depuis trois ans, les ing�nieurs de la Ville sugg�raient de refaire le lien entre la c�te de la Montagne et la rue du Petit-Champlain. On esp�re ainsi �viter que l'escalier Casse-Cou ne porte tristement son nom.
Sa construction remonte � 1968 et des signes �vidents de vieillesse sont apparus ces derni�res ann�es. Le sel utilis� en hiver pour �viter que les passants ne tombent aurait s�rieusement attaqu� sa structure. (...)
La Ville avait planifi� faire au printemps les travaux �valu�s � 575000 $ qui devraient prendre fin en d�cembre. (...)
Paroi rocheuse
La Coop�rative des artisans et commer�ants du quartier Petit Champlain profite �galement de l'accalmie touristique pour renforcer la falaise qui surplombe l'art�re commerciale. (...)
Ces travaux devraient prendre environ deux semaines et entra�ner quelques inconv�nients aux r�sidents du secteur. (...)
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10 octobre 2005
D�j� connu de plusieurs "habitu�s" de Qu�bec Urbain, le site Emporis (version fran�aise) est "un fournisseur de donn�es sur les b�timents. Le secteur de la construction utilise Emporis pour publier et analyser des informations sur les march�s de l'immobilier et de la construction. Emporis est aussi la premi�re ressource mondiale sur les gratte-ciel (...)"
� titre d'exemple, dans la page Qu�bec, on recense 60 immeubles de 12 �tages ou plus, le plus �lev� �tant l'�difice Marie-Guyart (126 m). Cette section du site est illustr�e de nombreuses photos, notamment celles de Daniel O'Brady et Fr�d�ric Marcil.
SkyscrapersPage.com, pour sa part, illustre les gratte-ciel des villes recens�es sous forme de diagrammes. Parmi les sections du site particuli�rement int�ressantes, citons bien s�r la page de Qu�bec, celle des projets en cours au Canada, et le Forum consacr� � des villes canadiennes telles que Victoria et Halifax, des capitales provinciales pr�sentant des projets immobiliers qu'on pourrait qualifier d'audacieux.
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07 octobre 2005
Source: Michel B�dard, Journal Beauport Express
"Une autre page de la riche histoire de Beauport a �t� �crite la semaine derni�re sur l�avenue Royale, cette fois avec les pinceaux des Ma�tres Muralistes Canadiens qui ont mis en valeur leurs talents pour r�aliser la Fresque Desjardins de Beauport; une immense toile � ciel ouvert intitul�e La galerie du temps regroupant sur un mur de la maison Rainville une s�rie de tableaux soulignant des faits historiques et culturels, ainsi que l�importance de personnalit�s qui ont contribu� � b�tir Beauport."
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Source: Site de Radio-Canada, 7 octobre 2005.
La Commission de la capitale nationale est maintenant propri�taire des terrains du Canadien National � l'anse au Foulon.La transaction de 3,6 millions de dollars vient consacrer le caract�re public de cette lisi�re fluviale d'une superficie de 345 000 m�tres carr�s.
La Commission de la capitale nationale pourra maintenant r�aliser son projet d'am�nagement sur les terrains o� se trouvaient des r�servoirs de la compagnie Irving.
Ces terrains ont fait l'objet d'un programme de d�contamination.
D�tails dans le communiqu� de la CCNQ.
Merci � Jean-Pierre Chamard pour sa pr�cieuse collaboration!
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Ce mois-ci, "Le mensuel le plus lu au Qu�bec", S�lection du Reader's Digest, consacre sa couverture arri�re � deux jeunes artistes qui sont "pass�es ma�tres dans l'art de rendre belles les laideurs urbaines"...
Source: S�lection du Reader's Digest, octobre 2005.
En 2000, Gitane Caron est, avec d'autres �tudiants en beaux-arts, recrut�e par deux artistes, H�l�ne Fleury et Pierre Lafor�t, pour un projet fou: faire des dessous de l'autoroute Dufferin, monstre de b�ton qui d�figure la basse-ville de Qu�bec, un �lot d�di� � l'art. Pendant ces trois ans, des dizaines d'artistes se relaient sur les piliers, mais c'est la jeune femme de Rimouski qui devient l'�me et la m�moire du projet, organisant les �quipes, se battant chaque ann�e pour obtenir des fonds... En 2001, Gitane rencontre M�lanie Guay sur le chantier. Ensemble, elles fondent le Groupe muraliste de Qu�bec, et, depuis, elles sillonnent la province pour l'enjoliver de leurs fresques.
Voir aussi ce billet (d�molition projet�e des bretelles de l'autoroute Dufferin).
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06 octobre 2005
Source: Baptiste Ricard-Ch�telain, Le Soleil, 6 octobre 2005.
Pour la xi�me fois depuis le milieu des ann�es 90, un gouvernement promet aux a�n�s de la r�sidence Saint-Charles qu'ils quitteront leur "�tablissement d'une autre �poque".(...) "Son am�nagement ne r�pond pas aux normes, �a fait longtemps", convient le ministre Couillard, qui donne sa parole que les travaux commenceront l'�t� prochain. Fin 2007, d�but 2008, les pensionnaires devraient donc pouvoir d�m�nager dans un �difice sis sur l'avenue de Vitr�, juste en face de l'h�pital de l'Enfant-J�sus.
Le CHSLD passera de 96 � 128 lits. Un CLSC et un centre de jour pour a�n�s s'y grefferont. (...)
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05 octobre 2005
Le journal Voir rapportait r�cemment: "Le National Geographic Traveler classe le Vieux-Qu�bec au 6e rang parmi les 115 destinations touristiques �valu�es de par le monde. Ce cachet unique, la prestigieuse revue l'attribue � l'effervescence de la vie culturelle � Qu�bec, au caract�re historique des b�timents, que les restaurations ont su conserver, ainsi qu'aux excellentes perspectives d'avenir qui s'offrent � la ville en mati�re de d�veloppement durable. "
V�rification faite sur le site du prestigieux magazine par Jaco, le Vieux-Qu�bec se positionnerait plut�t au 10e rang, tout de m�me dans le peloton de t�te domin� par les fjords norv�giens: "D'apr�s les sites choisis, commente Jaco, on voit la pr�f�rence de la revue pour des sites cleans, �cologiques, associ�s aux nouveaux concepts de d�veloppement durable..."
Merci � Jaco pour sa pr�cieuse collaboration!
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Le conseil municipal de la Ville de Qu�bec a autoris� aujourd'hui la vente de terrains municipaux en vue de poursuivre le d�veloppement r�sidentiel Faubourg Le Rapha�l. L'entente de cession pr�voit que le promoteur r�alisera le raccordement du boulevard Johnny-Parent au boulevard du Vallon, d�s 2007, achevant ainsi le bouclage du r�seau routier dans le secteur.
Cette transaction permettra de r�aliser de nouvelles phases du projet de Faubourg Le Rapha�l, qui pr�voit la construction d'environ 2 025 unit�s de logement sur une p�riode de 15 ans. Cet important d�veloppement r�sidentiel est situ� au nord de l'avenue Chauveau et � l'est du boulevard Saint-Jacques.
Le trac� d�finitif du boulevard du Vallon �tant maintenant connu, les terrains municipaux r�siduels situ�s � l'ouest peuvent donc �tre c�d�s au promoteur, G�ly Construction. Ces terrains repr�sentent une superficie de 222 895 m�tres carr�s. La Ville retirera de la transaction pr�s de 2,5 millions $, soit 11,19 $ du m�tre carr�.
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04 octobre 2005
Dans le secteur de la baie de Beauport, cette vue en direction sud montrant le ciel typiquement brumeux, rempli de smog (billet pr�c�dent), de ces matin�es caniculaires qui ont caract�ris� l'�t� 2005...
Hier, un maximum de 24,5C. Aujourd'hui, 24,8C. Demain? Possiblement un troisi�me record quotidien cons�cutif battu en pr�s de soixante ans d'observations � l'a�roport de Qu�bec!
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Source: Jean-Pierre Cliche, Le Soleil, 4 octobre 2005.
La d�molition des Galeries Sainte-Anne est commenc�e. Achet�es par la Ville de Qu�bec au co�t de 4 millions $ en d�cembre dernier, leur terrain devrait servir � poser les premi�res pierres de la revitalisation du secteur D'Estimauville. Aucun projet n'a toutefois �t� annonc� jusqu'� pr�sent. (...)
Voir billet pr�c�dent.
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03 octobre 2005
Un �tablissement 4 �toiles comprenant 40 chambres a ouvert ses portes aujourd'hui en face du Mus�e de la Civilisation: l'H�tel 71.
Le 71, rue Saint-Pierre, �difice de prestige de huit �tages orn� d�une fa�ade magnifique, a longtemps abrit� le premier si�ge social de la Banque Nationale du Canada � partir du d�but du 19e si�cle.
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Source: Anne Drolet, Le Soleil, 2 octobre 2005.
Bons samaritains demand�s(...) "L'aide des autorit�s, �a ne vient pas vite", d�plore Denis Lavoie, porte-parole du Rassemblement Sinistr�s Entraide. Il esp�re que celle des citoyens se fera plus rapide. (...)
Le comit� a fait du porte-�-porte, hier [samedi] pour informer les gens des nouveaux d�veloppements et identifier les r�sidents qui ont besoin d'un coup de pouce. "Il y a des personnes qui sont vraiment d�munies et qui sont en train de respirer des moisissures", illustre Denis Lavoie.
Les bons samaritains n'auront qu'� porter attention aux b�tons orange plant�s sur les terrains pour savoir � qui ils peuvent pr�ter main-forte. Le p�rim�tre couvert comprend les rues Papillon � DesGroseillers, et de Saint-Andr� � Saint-Eug�ne. (...)
Voir billet pr�c�dent.
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Source: Fr�d�rick Masson, Le Qu�bec Express
Autre ruban, autre inauguration... L'ancien presbyt�re Saint-Pascal devient la R�sidence Sain-Pascal. La Fondation Robert-Giffard y a am�nag� seize logements sociaux.
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Jean-Claude Desroches, pr�sident du Conseil de bassin du Lac Saint-Augustin, proc�dait hier apr�s-midi � l'inauguration officielle des sentiers du Parc Riverain, dont je vous parlais derni�rement, en pr�sence de Marcel Corriveau, pr�sident de l'arrondissement Laurentien et de France Hamel, d�put�e de La Peltrie.
Plusieurs dizaines de citoyens participaient � la c�r�monie. Elle fut suivie d'une randonn�e durant laquelle M.Desroches nous a pr�sent� l'historique et les progr�s de la revitalisation de ce plan d'eau unique.
En bref, il reste beaucoup � faire, de nombreux intervenants doivent coop�rer, le financement n'est pas toujours �vident. Pourtant, le dossier avance. L'am�nagement de ce parc, en plus de freiner le d�veloppement domiciliaire irrespectueux du milieu et d'assurer la filtration des eaux d'�coulement en cet endroit, en est une preuve encourageante.
Pour des informations d�taill�es, visitez le site du Conseil.
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01 octobre 2005
Je n'ai pas cherch� � savoir pourquoi on a attribu� l'�pith�te "lin�aire" � ce parc car tout ici n'est que courbes et m�andres!
Le calme des lieux n'est perturb� que par la rumeur du trafic urbain.
La r�cente crue de la Lorette a transform� certaines zones en mini-bayous et d�stabilis� certains ponceaux. Mais les quelques 3 kilom�tres de sentiers (*) demeurent fort agr�ables et tout � fait praticables.
Pour s'y rendre:
Le parc est situ� entre Du Vallon et Henri-IV. Une entr�e se trouve sur le boulevard P�re-Leli�vre et l'autre sur le boulevard Hamel.
(*) Note: Le Soleil d'aujourd'hui parle de sentiers de 18 kilom�tres... Mes mesures sont toujours un peu arbitraires dans cette s�rie de billets!!
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Trois paquebots imposants mouillent aujourd'hui � Qu�bec! Au quai 22 (face au Mus�e de la Civilisation), il y a l'Oriana et l'Enchantment of the Seas (301 m, photo 1).
Pour sa part, le plus gros transatlantique du monde, le Queen Mary 2 (345 m), fait une br�ve escale de quelques heures au quai 103 de l'Anse-aux-Foulon (photo 2): � l'avant plan, ce n'est pas une quelconque banquise que l'on observe, mais bien des poches de bicarbonate de soude! ;-)
Voir billet pr�c�dent et l'horaire des bateaux du Port de Qu�bec.
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