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Qui est le prochain?
30 novembre 2005
C�te d'Abraham, 11 novembre 2005: en attendant ce projet d'h�tel qui se laisse toujours attendre sur le site de l'ancien patro Saint-Vincent-de-Paul...
Voir billet pr�c�dent.
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29 novembre 2005
Source: Le Soleil, 29 novembre 2005.
(...) Pourquoi Hugo Boss (...) choisit-elle d'ouvrir une boutique de 5000 pieds carr�s sur deux �tages et ayant n�cessit� un investissement de 2 millions $, au 505, rue Saint-Joseph Est � Qu�bec? "Pourquoi pas?", a expliqu� l'investisseur, Marc Julien (...). "C'est un tr�s beau quartier sur le parvis d'une �glise qui est en fait une cath�drale. Un quartier qui deviendra de plus en plus fr�quent� pour la qualit� de ses commerces. (...)"
Dans Saint-Roch, ce nouvel investissement commercial qui a fait r�cemment l'objet de reportages (voir Cyberpresse) est justapos� � l'�difice Reitman dont on ach�ve l'�rection de la structure (billet pr�c�dent).
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26 novembre 2005
Les ventes de maisons haut de gamme se stabilisent
Selon l'�tude de march� men�e par Royal Lepage, ce sont les cadres locaux qui sont les plus actifs sur le march� des maisons de luxe, bien que les acheteurs et les investisseurs �trangers se font de plus en plus pr�sents.
Dans les r�gions m�tropolitaines de Qu�bec et de Montr�al,
il semble que les ventes de maisons haut de gamme ont atteint des niveaux records au cours du premier semestre de 2005, r�v�le le rapport sur les propri�t�s haut de gamme publi� r�cemment par les Services immobiliers Royal LePage. Cependant, malgr� le nombre record de ventes, le taux de croissance sur douze mois du march� qu�b�cois des propri�t�s de luxe commence � se stabiliser apr�s une p�riode de croissance exceptionnelle au cours des cinq derni�res ann�es.
Dans l'ensemble du pays, la vigueur et la capacit� d'absorption du march� des maisons cossues t�moignent du solide rendement de l'�conomie canadienne. Bon nombre des principaux march�s ont connu des augmentations sur douze mois de plus de 40 % au cours du premier semestre de 2005 (comme l'indiquait le 15 septembre le Carriage Trade Report � l'�chelle nationale), mais la croissance des ventes dans le march� des maisons de luxe au Qu�bec a suivi un rythme plus lent.
Situation � Qu�bec
Dans la r�gion de Qu�bec, les ventes de maisons haut de gamme ont continu� de suivre une croissance vigoureuse, affichant un nombre record de 27 unit�s de 450 000 $ et plus vendues au cours du premier semestre de 2005. Cela repr�sente une augmentation de 17,4 % par rapport � la p�riode correspondante de 2004 (23 unit�s vendues). Depuis l'ann�e 2000, les ventes de maisons de cette fourchette de prix ont affich� une croissance consid�rable, grimpant de seulement deux ventes en 2000 � 39 unit�s vendues en 2004, une augmentation vertigineuse de 1 850 %. C'est particuli�rement remarquable lorsqu'on fait la comparaison avec l'ensemble du march�, qui a suivi une croissance des ventes d'unit�s de 8,6 % au cours de la m�me p�riode.
Selon l'�tude de Royal Lepage, l'activit� sur le march� des maisons de luxe � Qu�bec s'est intensifi�e au cours des derni�res ann�es, les ventes de maisons haut de gamme continuant d'augmenter � un rythme sup�rieur � celles du reste du march�. Toutefois, les p�riodes d'inscription au registre des fiches descriptives pour les maisons de luxe au Qu�bec sont tout de m�me plus longues que celles des maisons dont le prix est plus pr�s de la moyenne et restent donc affich�es plus longtemps, soit entre cinq et six mois.
�La demande comprim�e a aid� le march� des maisons de luxe � Qu�bec � soutenir une croissance vigoureuse au cours des cinq derni�res ann�es. Les acheteurs qui s'�taient tenus � l'�cart pendant la p�riode de conjoncture �conomique plus faible des ann�es 1990 ont alors commenc� � faire leur entr�e sur le march�, indique Paul-Henri Everell, courtier chez Royal LePage Inter-Qu�bec. Au cours des prochains mois, la sant� de l'ensemble de l'�conomie de la province et l'am�lioration de la demande maintiendront l'accessibilit� �conomique de l'habitation et m�neront � une croissance plus lente mais stable du march� des maisons de luxe.�
D'apr�s les agents immobiliers Royal Lepage actifs dans la capitale provinciale, les acheteurs faisant l'acquisition de maisons de luxe � Qu�bec recherchent souvent des propri�t�s offrant une vue sur le fleuve Saint-Laurent, un grand terrain et un emplacement pratique pr�s du centre-ville dans des secteurs comme Sillery, Sainte-Foy, Cap-Rouge et Saint-Augustin. Les maisons comprenant entre quatre et six chambres � coucher, de grandes pi�ces destin�es au divertissement, des terrasses, de grands garages et, selon l'emplacement, une piscine, ont la cote aupr�s de ces acheteurs.
Situation � Montr�al
Du c�t� de Montr�al, les ventes de maisons dont le prix est de 750 000 $ et plus ont augment� de 5,2 %, sur douze mois, au cours du premier semestre de 2005 et atteignent un sommet historique de 181 unit�s. Au cours de la p�riode correspondante de 2004, 172 unit�s ont �t� vendues dans cette fourchette de prix. Les ventes de maisons haut de gamme ont connu une croissance sans pr�c�dent au cours des cinq derni�res ann�es, les ann�es 2002 et 2003 ayant affich� les gains sur douze mois les plus importants (98,8 % et 50,9 %, respectivement). En 2004, les ventes unitaires de maisons de cette fourchette de prix ont progress� de 30,5 pour cent, sur douze mois, ce qui �tait nettement sup�rieur � la croissance de l'ensemble du march�, soit 2,9 %.
Le rythme de la croissance du march� des maisons de luxe se stabilise, mais il reste sup�rieur � celui des ventes de l'ensemble du march� montr�alais, lesquelles ont progress� de 0,3 %, sur douze mois. Le stock de maisons sur le registre des fiches descriptives a augment� en 2005, att�nuant la pression exerc�e sur les prix et permettant aux acheteurs de prendre plus de temps pour choisir leurs maisons.
�Le march� des maisons de luxe, soutenu par une �conomie provinciale vigoureuse, des taux d'int�r�t faibles et de bons niveaux de demande, a continu� d'afficher une croissance sup�rieure � la moyenne � Montr�al au cours du premier semestre de 2005, d�clare Diane M�nard, vice-pr�sidente et directrice g�n�rale, Royal LePage Heritage, Westmount. Cependant, nous pr�voyons que la stabilisation de la croissance des ventes d'unit�s se poursuive puisque l'accroissement des stocks sur les registres de fiches descriptives cr�e une conjoncture �quilibr�e dans le march� haut de gamme.�
Les secteurs les plus pris�s par les acheteurs de maisons de luxe sont Westmount, Ville Mont-Royal, Senneville, Beaconsfield et Baie d'Urf�. Les fa�ades en pierre, les cuisines enti�rement r�nov�es avec appareils m�nagers en acier inoxydable et r�frig�rateurs Sub-Zero, des plafonds cath�drale et des finitions de luxe comme le granite et le marbre sont toutes des caract�ristiques populaires aupr�s des acheteurs.
Fran�ois Cattapan
francois.cattapan@transcontinental.ca
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"Voici une photo prise mercredi dernier au lever du soleil, avec la nouvelle neige qui venait de tomber. Au loin, j'entendais ce qui ressemblait � une symphonie de grattage de pare-brise et de bruit de remorqueuses. Ah! la r�alit�..."
Merci � Patrick Matte pour cette magnifique "carte postale � l'ancienne" du Vieux-Qu�bec! Voir aussi billet pr�c�dent.
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Source: Jean-Fran�ois Cliche, La Soleil, 26 novembre 2005.
SECTEUR D�ESTIMAUVILLE: Un centre majeur de recherche en neurologie sur le point de s��tablir
� Je ne veux pas faire d�annonces. Ce n�est pas � moi de les faire. (...) Mais le f�d�ral pourrait venir appuyer un projet comme celui-l�, soit en en finan�ant une partie, soit en en faisant un centre national de recherche scientifique �, a dit M. Simard [d�put� bloquiste de Limoilou-Beauport] lors d�une conf�rence de presse o� il a exprim� sa volont� d�amener Ottawa � investir dans ce quartier d�favoris�. (...)
Suite de l'article. Voir aussi billet pr�c�dent.
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25 novembre 2005
Vingt-cinq novembre 1988, 18H48: le plus fort s�isme depuis le tremblement de terre de 1925 secoue violemment Qu�bec.
Moins lourd que dans le r�gion du Saguenay, le bilan du s�isme � Qu�bec fait tout de m�me �tat, selon les journaux de l'�poque, de d�g�ts bien visibles dans la basse-ville, notamment � l'�cole Wilbrod-Bh�rer, � l'h�pital Saint-Fran�ois d'Assise, au centre commercial Place-Fleur-de-Lys, � la centrale de police de Qu�bec et � la succursale de la SAQ de Ville Vanier, sans oublier toutes ces vitres bris�es et murs l�zard�s dans des r�sidences. La Ville de Qu�bec �valuera par ailleurs � quelque 1,3 million $ les dommage � ses �difices et infrastructures, entre autres au pont-tunnel Joseph-Samson. Enfin, dans la grande r�gion, la polyvalente Louis-Jacques-Casault de Montmagny fut gravement touch�e par ce ph�nom�ne naturel qui restera longtemps grav� dans notre m�moire collective.
Notons que depuis ce fameux tremblement de terre, trois autres ont plus ou moins �t� ressentis � Qu�bec. En ordre d'importance, il s'agit des s�ismes de Cap-Rouge (5 novembre 1997), de Rivi�re-du-Loup (6 mars 2005) et de Sable Fork NY (20 avril 2002). (Source: site de la Commission g�ologique du Canada)
� consulter: les archives sonores de reportages � Radio-Canada (8 min 01 s), avec des liens int�ressants, qui nous plongent vraiment dans l'atmosph�re surr�aliste r�gnant au Qu�bec en cette douce soir�e de novembre...
PS: Je souhaite, � temps perdu, cr�er une page Web sur le S�isme du Saguenay. Vous avez des photos � me faire parvenir? N'h�sitez pas � le faire!
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24 novembre 2005
Premi�re temp�te! De courte dur�e, certes, elle aura tout de m�me d�pos� une quinzaine de cm de neige sur le sol de la r�gion tout en r�duisant la visibilit� presque � z�ro en apr�s-midi et en d�but de soir�e.
Pr�visions Environnement Canada. Voir aussi billet pr�c�dent.
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Source: Fran�ois Cattapan , Journal Qu�bec Hebdo
"Tel qu'annonc� quelques jours avant l'�lection municipale du 6 novembre, la Ville de Qu�bec a proc�d� � l'ex�cution de travaux correctifs sur un tron�on de la rivi�re Lorette, dans le secteur de L'Ancienne-Lorette."
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Source: Fran�ois Cattapan, Qu�bec Hebdo, 15 novembre 2005.
Propri�t� de la famille Price, l'Auberge Saint-Antoine a joint r�cemment les rangs de la prestigieuse cha�ne h�teli�re Relais & Ch�teaux. Pour la r�gion de Qu�bec, il s'agit d'un premier �tablissement � afficher les couleurs et surtout � �tre r�pertori� parmi les 457 h�tels et restaurants que compte la banni�re implant�e dans 50 pays r�partis sur les cinq continents. (...)
Suite de l'article. Voir aussi billet pr�c�dent.
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23 novembre 2005
Source: Isabelle Rodrigue, Cyberpresse, 23 novembre 2005.
Des ann�es apr�s le d�but des travaux et 60 millions $ plus tard, il est encore impossible de savoir quand la restauration du pont de Qu�bec sera termin�e, constate la v�rificatrice g�n�rale, Sheila Fraser, qui invite Transports Canada � trouver un moyen de r�gler la question une fois pour toute. (...)
Suite de l'article. Voir aussi billet pr�c�dent.
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22 novembre 2005
Sous la plume de Louis-Guy Lemieux, Le Soleil du 7 d�cembre 1988 rapportait la construction, d�s mars 1989, d'un immeuble � fonctions multiples repr�sentant un investissement de 30 M $...
(...) Cette construction repr�sente 260,000 pieds carr�s de surface totale r�partie en quatre sections � vocation distincte � savoir: des commerces, des bureaux, une section de 32 condominiums et, enfin, une partie comprenant 56 appartements-h�tels.Le projet comprend deux blocs principaux reli�s entre eux par un vaste atrium. Une tour de 10 �tages, coin Saint-Cyrille [Ren�-L�vesque] et Saint-Michel, repr�sente la partie la plus haute du projet. Rendue � la rue Berthelot, la b�tisse ne d�passe pas trois �tages. (...)
Voir billet pr�c�dent concernant l'�lot Berthelot et cet article portant sur l'historique d'une longue "r�sistance urbaine" dans ce secteur.
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Source: Isabelle Mathieu, Le Soleil, 22 novembre 2005.
Des citoyens de Loretteville veulent un r�f�rendum sur la cession de terrains par la Ville de Qu�bec aux Hurons-Wendat ainsi que sur le projet d�h�tel qui, disent-ils, viendra briser leur qualit� de vie. (...)
Suite de l'article. Voir aussi billet pr�c�dent.
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21 novembre 2005
Source: Sofie Bienvenu, Journal Voir, 17 novembre 2005.
� Qu�bec, que ce soit dans le quartier Saint-Roch ou dans le Vieux, il n'est pas rare de croiser un �difice commercial au cachet historique. Par leur architecture, ou � cause des illustrations murales dont ils sont orn�s, ces b�timents procurent un cachet �norme � la ville.V�ritables miroirs des quartiers, les art�res commerciales symbolisent une vie urbaine avec beaucoup de mixit�. On pense � la rue Saint-Jean [photo 1], avec en particulier la Maison Simons [photo 2] qui s'abrite sous un magnifique �difice de pierres grises, et � la rue Saint-Joseph, o� la fa�ade des �difices rivalise d'int�r�t avec la vitrine des boutiques. (...)
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19 novembre 2005
Source: Fr�d�rick Masson, Qu�bec Express, 19 novembre 2005.
1,5 million plus tardLe campus de Qu�bec du C�gep Limoilou, sis sur la 8e Avenue, mise maintenant sur une toute nouvelle entr�e principale. Connu sous le th�me "Dynamique et lumi�re", le projet de r�novation de 1,5 M $ avait pour objectif de faire de l'�tablissement un endroit � l'image des �tudiants. (...)
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18 novembre 2005
Autre photo: billet pr�c�dent.
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� quelques dizaines de m�tres � l'ouest du "terrain vague" de Place Hauteville (billet pr�c�dent), voisin de la Colline parlementaire, voici donc en partie ce fameux �lot Berthelot, t�moin de grandes "luttes urbaines" depuis des lustres...
Voir ces deux billets de Francis.
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17 novembre 2005
Ce projet est sur le point de se r�aliser dans la r�gion de Qu�bec. Un communiqu� de la Commission de la Capitale Nationale du Qu�bec nous en apprends un peu plus, avec un site internet qui y est consacr�:
La Promenade Samuel de Champlain
"La Commission a mis en ligne un nouveau site Internet sur le projet de la promenade Samuel-De Champlain. Ce site a pour objectif de donner l'information la plus compl�te possible tout au long de ce projet nous menant vers 2008.
Des travaux ont d�j� commenc� sur le corridor du Littoral, projet connexe � la promenade.
Vous voulez en savoir plus, nous vous invitons donc � une premi�re visite qui sera le pr�lude � plusieurs autres, nous le souhaitons. Si tel est votre int�r�t, vous pourrez vous abonner aux "Nouvelles" et aux "Info-chantier" touchant ce projet en particulier."
Communiqu� de la Commission.
A noter que les audiences sur le projet se tiennent actuellement aupr�s du B.A.P.E (Bureau des audiences sur la protection de l'environnement) et que des modifications sont apport�es au projet initial qui devrait �tre r�duit sur ses objectifs annonc�s au d�part. L'$ .....
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Ce soir, j'avais le go�t de faire plaisir � quelqu'un.
Non, je n'ai pas regard� l'�mission "Donnez au suivant" � TQS ce soir!!!
Mais il me semble que le temps est bien choisi pour souligner le travail de Jean Cazes, qui a tenu le fort depuis plusieurs mois, en l'absence "relative" de Francis. Et qui le tient toujours, pour votre plus grand plaisir!
Qu�bec Urbain est la cr�ature de Francis mais des fois, dans la vie, il faut quelques appuis pour continuer une oeuvre. Ce soir, donc, pourquoi ne pas donner au suivant (!) et remercier Jean via un petit commentaire pour le chemin parcouru jusqu'ici... et ce qui serait encore mieux, joindre les rangs peu nombreux (comme disait la chanson de Gerry) des collaborateurs de Q.U. ...
En guise de billet, une admirable photo tir�e d'un des sites de Cazes!
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Source: Claude Vaillancourt, Le Soleil, 17 novembre 2005.
Un projet de construction d�un h�tel-mus�e par les Hurons-Wendats de Wendake, sur un terrain situ� sur le territoire de la ville de Qu�bec, tout juste aux limites de la r�serve, soul�ve une querelle politico-juridique qui a fait d�raper la conf�rence de presse que les dirigeants autochtones avaient convoqu�e, hier, pour annoncer les composantes de cette infrastructure touristique d�sir�e pour les F�tes du 400e anniversaire de la fondation de la ville de Qu�bec, en 2008. (...)
PS: Parle-t-on, ici, d'un nouveau projet en remplacement de celui du mus�e d�j� retenu de Croft Pelletier Architectes? (billet pr�c�dent)
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16 novembre 2005
"Avec ce premier-n� de la collection [100 ans noir sur blanc], Qu�bec, une histoire capitale, c'est le souffle des souvenirs de la capitale du Qu�bec qui remonte en nous : petites mis�res ou grandes gloires, quartiers humbles ou cossus, grandiloquents personnages publics ou hommes de la rue qui � d�faut de faire la une ont eux aussi fait l'histoire."
"Aujourd'hui rena�t sous vos yeux, par le charme inou� de photographies anciennes, la capitale d'autrefois o�, � pied, � cheval, en tramway, au d�tour d'une petite rue, vous pourriez voir d�filer vos a�eux en leurs atours de fra�che jeunesse."
Qu�bec, une histoire capitale
de Serge Lambert et Jean-Claude Dupont
Ouvrage de 208 pages
Format de 8,25" x 9,875"
Couverture flexible
Quelque 200 photos d'archives comment�es par les auteurs
Prix de d�tail : 34,95 $
ISBN : 2-922668-72-X (nouvelle �dition)
Merci � G�rald Gobeil de nous avoir fait d�couvrir ce pr�cieux livre d'archives photo que je vais me procurer sous peu!
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Le chantier en date du 12 novembre 2005; vues sur Ren�-L�vesque et Maisonneuve. Voir aussi billet pr�c�dent.
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15 novembre 2005
Source: Photos de Jean Chiasson
Un vitrail. Trouvez l'�glise, maintenant!
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En date du 11 novembre, une vue rapproch�e en direction nord sur le coeur de l'arrondissement Limoilou, � partir de l'espace nich� entre le Centre des congr�s et le Hilton.
L'�glise au toit vert, � l'extr�me gauche de l'image, est maintenant occup�e par l'�cole de cirque (billet pr�c�dent).
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Source: Richard Sirois (auteur de Qu�bec), Le Soleil, rubrique Point de vue, 15 novembre 2005.
(...) Pourquoi d�molir et refaire le parc de l�Am�rique fran�aise [billet pr�c�dent], qui n�est finalement pas si mal, alors qu�on pourrait utiliser le m�me montant pour cr�er un nouveau jardin utilisable m�me en hiver, ce qui n�est pas le cas du parc qu�on projette de refaire. Cet espace de grande superficie, mais compl�tement ignor� et inutilis� en raison de son aspect r�barbatif est situ� au coeur de la Colline parlementaire : il s�agit de la cour semi-int�rieure de l��difice Marie-Guyart, localis�e entre la tour et la partie basse de cet �difice. Cet espace est accessible principalement par la rue De La Chevroti�re; il fait plus de 5400 m2 alors que le parc de l�Am�rique fran�aise est de l�ordre de 8000 m2.
En s�appuyant sur la partie basse de l��difice Marie-Guyart qui compte quatre �tages et sur la tour d�autre part, on pourrait recouvrir cet espace d�un d�me ou d�une pyramide de verre et y am�nager un jardin int�rieur avec plantes, arbres, fleurs, fontaines, sculptures et peut-�tre voli�re et bassin de poissons. De grandes portes coulissantes pourraient �tre ouvertes lorsque la temp�rature ext�rieure le permet et des volets s�ouvriraient dans la toiture au besoin, � la mani�re d�une serre. L�atmosph�re y serait temp�r�e et pourrait possiblement �tre en partie r�chauff�es en hiver en r�cup�rant la chaleur qu�on �vacue du stationnement souterrain par les ventilations qui donnent actuellement sur la rue.Ce jardin accessible en toute saison, unique � Qu�bec, constituerait un endroit fr�quent�, � n�en pas douter, par les tr�s nombreux travailleurs, fonctionnaires et autres, qui peuplent la colline parlementaire le jour. En le reliant au r�seau souterrain de la colline, il serait possible de s�y rendre sans sortir � partir des �difices gouvernementaux, de Place Qu�bec et de quelques h�tels du quartier. On pourrait aussi y tenir des �v�nements publics et m�me priv�s, en toute saison, et en faire un attrait touristique nouveau, particuli�rement en hiver. Illumin�, de par sa hauteur, il serait visible du boulevard Ren�-L�vesque et de plusieurs endroits � Qu�bec, tel un phare sur une lampe. (...)
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14 novembre 2005
Source: Pierre Asselin, Le Soleil, 12 novembre 2005.
Le r�servoir souterrain d�eau potable de la Ville de Qu�bec, qui se cache sous le gazon des plaines d�Abraham, a �t� � une certaine �poque le plus grand aquarium au monde, mais le temps o� les poissons se pr�lassaient dans l�eau destin�e aux citoyens de la basse ville est bien r�volu. Heureusement pour nous. (...)
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12 novembre 2005
Le chantier en date du 11 novembre 2005 (autres images il y a un an dans ce billet).
Rappelons cet autre projet majeur annonc� r�cemment juste en face: l'agrandissement du CHUQ.
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11 novembre 2005
Source: Fr�d�rick Masson Qu�bec Hebdo, 10 novembre 2005.
Les travaux se poursuivent dans l�ancien Centre municipal des congr�s, endroit correspondant maintenant au secteur 2000 de l�actuel Centre des congr�s de Qu�bec. Une cure de jeunesse de 17,2 M$ qui se d�roule � merveille et qui respecte en tous points le calendrier fix� au d�part. (...)
Suite de l'article. Voir aussi billet pr�c�dent.
Merci � Jean-Pierre Chamard pour m'avoir signal� cet article!
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Au d�but des ann�es 70, une phase II de Place Hauteville (maquette, � gauche) devait �tre �rig�e sur le stationnement actuel de l'immeuble. Plus tard, ce site fut retenu pour le "nouveau" Palais de justice de Qu�bec, finalement construit en basse-ville au milieu des ann�es 80.
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10 novembre 2005
Source: Jeancimon Reid, Journal Qu�bec Hebdo
"Le processus de revitalisation de la rue Racine est plus enclench� que jamais. Apr�s l�am�nagement d�une promenade devant l��glise Saint-Ambroise, voil� maintenant que la fa�ade d�un b�timent qui longe l�art�re vient de subir la premi�re cure de rajeunissement support�e par la Ville de Qu�bec."
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Source: Les �ditions Continuit�s, 7 novembre 2005.
En 1985, Qu�bec joignait les rangs des villes reconnues comme faisant partie de l�h�ritage de l�Humanit�. Cette marque internationale est venue consolider les efforts sur le terrain pour mettre en valeur le patrimoine exceptionnel de l�arrondissement historique du Vieux-Qu�bec. Le maire de l��poque, Jean Pelletier, avait endoss� cette d�marche et particip� �troitement � cette reconnaissance. Depuis, Qu�bec est une ville du patrimoine mondial avec toutes les responsabilit�s et tous les d�fis que cela comporte. (...) - Louise Mercier, directrice et r�dactrice en chef.
Voir le sommaire du num�ro courant de Continuit�.
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09 novembre 2005
Source: Sophie Bienvenu, Journal Voir, 3 novembre 2005.
Limitrophe du tout-nouveau-tout-beau quartier Saint-Roch, le quartier Saint-Sauveur, qui r�siste encore et toujours � l'augmentation faramineuse des loyers, s'appr�te-t-il � conna�tre la m�me cure de revitalisation que son voisin?(...) Toujours selon le pr�sident de l'Association des commer�ants de la rue Saint-Vallier [Jean Martel], le renouveau de Saint-Roch a �galement fait du bien � Saint-Sauveur. En effet, beaucoup d'�tudiants s'y sont install�s, attir�s par les loyers raisonnables et la proximit� de l'universit�, ce qui a contribu� � rajeunir la population et � apporter un nouveau souffle � ce quartier, tant au niveau artistique que culturel.
Quand Fran�ois Moisan [Service des communications de la Ville de Qu�bec]affirme que la r�novation du boulevard Charest [billet], v�ritable hall d'entr�e pour qui vient visiter la capitale, a pour motivation la qualit� de vie des citoyens, M. Martel lui oppose un argument de taille: "Le quartier est grand, et beaucoup de travaux importants sont � faire un peu partout. Des r�novations superficielles ne suffiront pas. Il faut faire quelque chose qui ressemble plus � un lifting qu'� un maquillage."Il est facile de trouver un cachet au quartier Saint-Sauveur quand le plafond ne goutte pas et quand l'hiver ne perce pas au travers d'une isolation d�su�te, comme il est facile de ponctuer le boulevard Charest de "je ne pourrais pas vivre l�-dedans" mi-d�go�t�s, mi-afflig�s. Le plus gros reste � faire.
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08 novembre 2005
Source: Au fil des �v�nements, 3 novembre 2005.
Jean-Paul L'Allier, maire de Qu�bec, et Michel Pigeon, recteur de l'Universit� Laval, ont sign�, le lundi 31 octobre, une entente en vertu de laquelle la Ville de Qu�bec versera � l'Universit�, sur une p�riode de 10 ans, un montant estim� � environ 10 millions de dollars pour des travaux d'am�nagement urbain du campus et d'am�lioration de ses infrastructures.
L'Universit� Laval pr�voit investir, d'ici 2015, 35 millions de dollars dans la r�fection de ses r�seaux (�lectrique, d'eau refroidie, d'aqueduc et d'�gouts) de m�me que dans la r�alisation du plan directeur d'am�nagement de son campus, adopt� l'an dernier. Le plan directeur d'am�nagement et de d�veloppement du campus de l'Universit� Laval a �t� �labor� apr�s une vaste consultation publique. Parmi ses objectifs, il vise � int�grer davantage le campus � la trame urbaine qui l'entoure. Il pr�voit notamment l'am�nagement de nouveaux quartiers et d'espaces verts publics accessibles � toute la population, le r�am�nagement de certaines rues et la r�organisation du transport en commun."L'Universit� Laval est une constituante importante de la ville et le d�veloppement de Qu�bec ne peut se faire sans son implication. Forte de ses ressources intellectuelles et mat�rielles, cette institution historique s'engage dans la voie de l'avenir en adaptant son d�veloppement aux nouvelles r�alit�s, a pr�cis� Jean-Paul L'Allier. Ainsi, la Ville a toujours souhait� que l'Universit� Laval s'ins�re mieux dans la trame urbaine. Ce nouveau plan directeur annonc� par l'Universit� et auquel a collabor� la Ville atteint cet objectif. C'est aussi � cela que la Ville a voulu contribuer." (...)
Pour plus de renseignements: Projet Participatif d'Am�nagement du Campus, Territoire Est (Projet PACTE Myrand) et Groupe Interdisciplinaire de Recherche sur les Banlieues (GIRBa).
Voir aussi ce billet:
Vancouver: Un exemple dont Qu�bec devrait s'inspirer? (18 mars 2004).
Merci � Jaco pour sa pr�cieuse collaboration!
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07 novembre 2005
Source: Denis Fortin, Journal Qu�bec Hebdo
Je n'ai pas constat� de visu... mais voici les derni�res nouvelles concernant les travaux sur l'un des plus beaux et plus anciens sites de Qu�bec, le Trait-Carr� de Charlesbourg.
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Source: Isabelle Mathieu, Le Soleil, 7 novembre 2005.
Andr�e Boucher a retrouv� son titre de mairesse hier soir, prenant la t�te de la Ville de Qu�bec avec 46 % des suffrages, lors d'un scrutin marqu� par les rat�s techniques.La candidate ind�pendante de 68 ans, sans machine �lectorale, sans parti et sans programme, a recueilli la faveur de 89 740 citoyens de Qu�bec, plus de 24 000 que son plus proche rival Claude Larose du Renouveau municipal de Qu�bec, qui arrive avec 33 % du vote.
Claude Larose pourra toutefois se consoler en voyant qu'il a r�ussi � faire �lire 24 conseillers municipaux sur 37 districts, ce qui donne une solide majorit� au Renouveau municipal de Qu�bec face � Andr�e Boucher.Marc Bellemare de Vision Qu�bec, donn� gagnant dans les sondages jusqu'au d�but de la campagne �lectorale, a subi toute une d�gel�e avec seulement 10,4 % du vote. L'Action civique de Qu�bec de Pierre-Michel Bouchard arrive quatri�me avec 8,7 % des voix. Ces deux partis n'atteignent pas le seuil de 15 % des voix pour se faire rembourser les d�penses �lectorales.
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05 novembre 2005
Le chantier en date du 29 octobre 2005 (voir billet pr�c�dent). En arri�re plan, � droite, un autre immeuble r�sidentiel dont on ach�ve la construction: le Gutenberg.
Au fait, � quand une pr�sentation graphique de la Falaise apprivois�e?
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Source: Journal L'Appel, 3 novembre 2005.
Place Laurier a �t� honor� deux fois plut�t qu�une par le Conseil international des centres commerciaux (ICSC) qui, le 18 octobre dernier � San Diego, d�cernait ses Maxi Awards. Le ICSC regroupe les plus grands centres commerciaux de 21 pays des cinq continents. Place Laurier a tout d�abord remport� un Maxi Merit Awards pour sa campagne �Le tourisme par Laurier� r�compensant ses efforts de positionnement comme la premi�re destination touristique apr�s le Vieux-Qu�bec. (...)
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04 novembre 2005
Source: Baptiste Ricard-Ch�telain, Le Soleil, 2 novembre 2005.
Les gestionnaires de l'H�tel-Dieu de Qu�bec veulent transformer "le plus vieil h�pital au nord du Mexique" en grand centre de canc�rologie ultra-moderne. Demande adress�e au tr�sor public: au moins 173 millions $.Si le r�ve des dirigeants du CHUQ se r�alise, une b�tisse de neuf �tages valant 78 millions $ �mergera sur le stationnement de l'actuelle urgence. Et cette m�me urgence sera remplac�e par de nouvelles installations de 30 millions $. Finalement, le b�timent existant sera modernis� de fond en comble pour 65 millions $. (...)
Les gestionnaires du CHUQ souhaitent que la nouvelle urgence soit �rig�e avant les F�tes de 2008. Suivraient la construction du nouveau b�timent et la r�fection de l'ancien.
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Pour la premi�re fois... cet automne, le sol de Qu�bec a rev�tu hier matin son blanc manteau (Photo 1: le parc Cartier-Br�beuf, 10h48).
Aujourd'hui, la neige refait son apparition (Photo 2: pr�s du pont Dorchester, 15h00), cette fois balay�e par un fort et glacial "nord�t": cependant, pas de temp�te en vue... pour l'instant!
Merci � Martin B�langer, m�t�orologue � M�t�oM�dia, pour la diffusion de la premi�re photo sur les ondes aujourd'hui!
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03 novembre 2005
G�rald Gobeil, collaborateur � Qu�bec Urbain, nous raconte l�anecdote suivante concernant sa trouvaille lors d�une r�cente visite en France, le parc Samuel-de-Champlain:
� En nous baladant dans Paris, nous �tions � la recherche de ce parc. L'ayant trouv�, nous avons parl� � des travailleurs qui y faisaient des travaux d'horticulture. Comme j'avais apport� des �pinglettes de la Ville de Qu�bec, j'ai "d�cor�" un des travailleurs de cette �pinglette en lui disant qu'il devait prendre grand soin de ce parc, puisque nous �tions de Qu�bec. Sans doute touch� par le geste, il nous a remis une affiche identique � celle sur la photographie. On va la faire encadrer en souvenir du "square" Samuel-de-Champlain. �
Voir aussi billet pr�c�dent.
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"Ce tout nouveau bottin vous indiquera o� et comment vous d�partir, � proximit� de chez vous ou de votre lieu de travail, d�une multitude d�objets, encore en bon �tat et qui peuvent encore servir � d�autres : des meubles, des v�tements devenus trop petits, des jouets, des livres ou des accessoires dont vous ne vous servez plus. Notez que ces endroits sont accessibles � tous, peu importe o� vous r�sidez sur le territoire.
Ce bottin vous informe aussi sur les endroits o� vous pouvez aller porter des r�sidus domestiques dangereux comme les restes de peintures, les piles ou les huiles us�es et d�autres produits domestiques dangereux qui peuvent �tre r�employ�s."
Maintenant distribu� dans les foyers de Qu�bec, ce pr�cieux guide peut aussi �tre consult� sous sa version �lectronique: Plan de gestion des mati�res r�siduelles de la Communaut� m�tropolitaine de Qu�bec - Rive-Nord.
Voir aussi le site du R�seau qu�b�cois pour la simplicit� volontaire.
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02 novembre 2005
Mises � part, � la rigueur, des images de circulation automobile qu'on peut trier sur le site du minist�re des Transports, je n'ai toujours pas trouv� dans Google des cam�ras qui mettent v�ritablement en valeur et en temps r�el le panorama exceptionnel de notre ville aux yeux de la plan�te...
� quand un site comme Montr�alcam.com o� on pourrait avoir acc�s, par exemple, � une "webcam 360 degr�s 24h/24" install�e au sommet de l'Observatoire de la capitale?
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01 novembre 2005
L'annonce d'un autre "cadeau" de la France pour le 400e anniversaire, cette fois au parc de l'Am�rique fran�aise (billet pr�c�dent), relance dans l'actualit� l'avenir d'un controvers� monument...
Source: Normand Provencher, Le Soleil, 1er novembre 2005.
Le cadeau(...) Pas question de refuser un cadeau. �a ne se fait pas, simple question de bonnes mani�res et de savoir-vivre. Or, l'histoire de la sculpture peut semer l'inqui�tude. La derni�re sculpture donn�e en cadeau par les Fran�ais se trouve � la place de Paris, dans le Petit-Champlain. Vous savez, l'affreux bloc de marbre blanc si affreux qu'il fait fuir les pigeons et les amateurs de graffiti. (...)
Voir aussi ce billet.
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Source: Louis-Guy Lemieux, Le Soleil, 8 octobre 2005.
Pendant que le quartier Saint-Roch attire de plus en plus de r�sidants et de commerces de qualit�, le Vieux-Qu�bec vit le ph�nom�ne contraire. Il se vide de ses r�sidants permanents lentement mais s�rement et les commerces saisonniers qui ciblent le tourisme de masse sont en train de prendre toute la place. (...)
Tout le dossier dans Cyberpresse. Voir aussi billets pr�c�dents.
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