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Qui est le prochain?
28 f�vrier 2006
Source: Radio-Canada, 28 f�vrier 2006.
La mairesse de Qu�bec, Andr�e Boucher, a pr�sent� son plan triennal d'immobilisations. La Ville compte investir 800 millions de dollars, en plus des 130 millions d�j� pr�vus, dans les trois prochaines ann�es.
La part du lion va � l'entretien des infrastructures qui en ont grand besoin, selon le v�rificateur de la ville. L'administration Boucher d�cide d'y consacrer 169 millions de dollars. (...)Son administration veut �galement continuer d'investir pour la protection contre l'incendie et le logement social. Neuf millions de dollars sont par ailleurs r�serv�s � un stade int�rieur de soccer. (...)
La Ville veut aussi se faire un cadeau de 18 millions de dollars pour les f�tes du 400e anniversaire de 2008. Un des deux anciens palais de l'�lot des Palais [billet] situ� au bas de l'H�tel-Dieu sera r�nov�.
Pour ce qui est de la r�novation du Palais Montcalm [billet], Andr�e Boucher soutient qu'elle va se r�aliser co�te que co�te. (...)
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Un bilan positif de la construction en 2005
La valeur des permis de construire augmente de plus de 100 millions $
Qu�bec, le 28 f�vrier 2006 � La valeur des permis de construire �mis en 2005 par la Ville de Qu�bec a fait un bond de 106 166 440 $ pour atteindre 840 362 479 $ alors qu'elle se chiffrait � 734 196 440 $ en 2004. Quant au nombre de logements cr��s en 2005, il se situe � 4 661 alors qu'il �tait de 3 859 en 2004, une augmentation de 802 unit�s.
C'est l'arrondissement des Rivi�res qui se classe premier en terme de valeur de permis de construire �mis, soit 212 876 508 $ pour 1 318 unit�s construites. L'arrondissement de Charlesbourg occupe la seconde place avec une valeur de permis de 125 441 620 $ pour la construction de 986 unit�s. L'arrondissement de La Cit� suit avec 140 496 497 $ pour la cr�ation de 366 logements.
Des projets � valeur �lev�e
Au cours de l'ann�e 2005, les dix projets aux valeurs les plus �lev�es ont n�cessit� des permis de construire variant de 8,5 millions $ � 16,4 millions $. De ces projets, quatre sont situ�s dans l'arrondissement de La Cit� et totalisent 48,3 millions $, deux sont situ�s dans l'arrondissement de Charlesbourg, pour une valeur de 25 millions $, trois sont situ�s dans l'arrondissement de Sainte-Foy�Sillery, pour une valeur de 20 millions $, et un est situ� dans l'arrondissement Les Rivi�res, pour une valeur de 8,5 millions $.
Communiqu� de la Ville de Qu�bec.
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Source: Isabelle Mathieu, Le Soleil, 27 f�vrier 2006.
Devant la grogne des citoyens et la fr�n�sie immobili�re, la Ville de Qu�bec impose un moratoire sur la transformation des propri�t�s religieuses � Sillery.Au rythme o� les transactions se concluent entre promoteurs et communaut�s religieuses, c�est environ 1000 nouvelles unit�s de logement qui pourraient se construire sur moins de deux kilom�tres, le long du chemin Saint-Louis � Sillery.
Assez en tout cas pour inqui�ter les r�sidants de Sillery, d�j� �chaud�s par la construction du Ch�teau de Bordeaux [billet], un gros b�timent de sept �tages au c�ur d�un quartier r�sidentiel.
Publi�e dans le cadre du dossier du Soleil (Isabelle Mathieu), la carte ci-haut pr�sente les territoires vis�s par le moratoire religieux � Sillery:
1- Scolasticat des missionnaires du Sacr�-Coeur (phase 3 du Ch�teau de Bordeau, 150 appartements sur 5 �tages projet�s);
2- Couvent des Soeurs Sainte-Famille de Bordeaux (appartements du Bordeau en construction: 313 appartements);
3- Couvent des Soeurs Notre-Dame D'Afrique (Domaine du Bois� Benmore: 16 unit�s de condos en construction [billet], et 160 unit�s projet�es dans 3 b�timents d'au moins 7 �tages);
4- Terrains vacants des Soeurs de J�sus-Marie (240 unit�s � pr�voir dans 3 b�timents de 7 �tages et un de 12);
5- Cimeti�re Saint-Patrick (60 unit�s dans de petits b�timents en vue);
6- Monast�re des P�res de l'Assomption (projet de r�sidence pour personnes �g�es).
� consulter aussi, toujours dans ce dossier, les r�sum�s d'articles suivants: Vendre des bouts de domaines ou dispara�tre, Le mastodonte en plein visage et Les promoteurs rongent leur frein.
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25 f�vrier 2006
Simple citoyen, Francis Vachon s�est b�ti une solide r�putation dans le domaine de l�urbanisme gr�ce � son blogue. Ce qui �tait au d�part un simple int�r�t pour la chose urbaine est devenu en quelques ann�es une comp�tence de plus en plus d�velopp�e dans ce domaine, gr�ce, entre autres, � la rigueur toujours plus grande exig�e par les visiteurs de qualit� qui fr�quentent son carnet, ainsi qu�� leur enthousiasme bien s�r. � force d��laborer un carnet, on d�veloppe des int�r�ts plus pr�cis, des comp�tences de lecteur et de scripteur, une aptitude � d�celer des informations d�int�r�t, etc. L�exp�rience de Francis ne peut-elle pas inspirer le monde scolaire?
Le 3 avril, Francis Vachon sera conf�rencier-invit� dans le cadre de � Et toi, que lis-tu, � organis� par le minist�re de l��ducation, loisir, et sport.
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Raffarin veut faire du 400e de Qu�bec un �v�nement mondial
Myl�ne Moisan
Le Soleil
Le parc qu�offrira la France � Qu�bec pour son 400e anniversaire devra faire couler des � larmes de bonheur �, souhaite l�ex-premier ministre fran�ais, Jean-Pierre Raffarin, qui s�occupera personnellement du dossier. � Il faut en faire un �v�nement mondial �, rench�rit l�homme, d�termin�.
Voir aussi cet autre billet.
En entrevue au SOLEIL cette semaine, M. Raffarin a confi� avoir tant � c�ur les c�l�brations du 400e qu�il sera � un des animateurs de l�action fran�aise �. De passage au Qu�bec pendant quelques jours, il est � venu voir ce que les Qu�bec (ville et province) souhaitent. Il faut que ce soit un partage. L��chec, ce serait d�avoir une succession de c�l�brations qui n�ont pas de lien entre elles. Il faut qu�il y ait un bonheur collectif, que �a soit quelque chose o� on se fonde comme sont fondus les peuples �. Il a entre autres rencontr� la mairesse Andr�e Boucher, le pr�sident des f�tes du 400e, Pierre Boulanger, et le premier ministre, Jean Charest.
� Je vais beaucoup travailler sur le 400e anniversaire, a-t-il indiqu�. On va devoir discuter avec les autorit�s qu�b�coises. Ce n�est pas la France qui c�l�bre le 400e, nous sommes acteurs. Qu�est-ce qu�on veut comme objectif ? Quelle est la part de tradition ? De modernit� ? Qu�est-ce qu�on veut faire pour l�avenir ? J�ai commenc� � en discuter ce matin, je fais des contacts. � part le pr�sident (Jacques Chirac) et le premier ministre (Dominique de Villepin), je serai l�un de ceux qui trouveront des coh�rences. �
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Perspective vers le sud-est sur Saint-Vallier Est. � noter qu'on peut �galement suivre la progression des travaux sur le site du promoteur (OGESCO), mais on attend toujours la pr�sentation du dessin final de La Falaise apprivois�e...
Voir aussi cet autre billet.
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24 f�vrier 2006
Source: Infoculture.ca, 23 f�vrier 2006.
Les 24, 25 et 26 f�vrier 2006, la ville de Qu�bec tombera sous le charme de Vue sur Bond 007, un happening sans pr�c�dent qui r�unira autour de Sir Roger Moore, une d�l�gation de vedettes et d'artisans ayant marqu� la filmographie du c�l�bre agent secret britannique.Con�u et r�alis� afin de souligner l'apport d'un des plus importants producteurs de cette s�rie, le Qu�b�cois d'origine Harry Saltzman, le projet vise �galement � recueillir des fonds pour la 7e �dition du Festival de cin�ma des 3 Am�riques et l'UNICEF par le biais d'activit�s culturelles et sportives auxquelles prendront part les personnalit�s invit�es. (...)
La suite. � consulter aussi, le site de l'�v�nement et cette page sur Wikip�dia.
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Source: Ville de Qu�bec (Communiqu�s), 23 f�vrier 2006.
Qu�bec, le 23 f�vrier 2006 � L�Arrondissement de La Cit� invite la population � assister � la pr�sentation de deux conf�rences portant sur d�importants enjeux de r�flexion dans le cadre de l��laboration du plan directeur du quartier Vieux-Qu�bec Haute-Ville et Basse-Ville (Cap Blanc), soit la cohabitation des fonctions r�sidentielle et touristique et la gestion des transports. Ces pr�sentations auront lieu le lundi 27 f�vrier prochain � 19 h 30, � l��cole Saint-Louis-de-Gonzague situ�e au 980, rue Richelieu, salle 310. (...)
Merci � G�rald Gobeil pour cette information.
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Source: Radio-Canada, 23 f�vrier 2006.
Le corridor du littoral va prendre forme d�s le mois de juin gr�ce aux travaux de r�am�nagement de la Promenade Samuel-De Champlain. R�sultat : une piste cyclable qui reliera Sainte-Foy au Vieux Port.Cela fait 15 ans que le projet du corridor du littoral, une piste cyclable entre les chutes Montmorency et Saint-Augustin, fait partie des plans d'urbanisme. (...)
La suite. Voir aussi cet autre billet.
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23 f�vrier 2006
Source: Sofie Bienvenu, Journal Voir Qu�bec, 23 f�vrier 2006.
Habitants de la ville de Qu�bec ou touristes, petits ou grands, nombreux sont les visiteurs du March� du Vieux-Port. Gros plan sur ce march� public qui r�chauffe la ville, m�me durant les longs mois d'hiver, tout en enregistrant chaque ann�e des profits records. (...)
La suite. Voir aussi billet pr�c�dent.
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Source: Pierre Couture et Isabelle Mathieu, Le Soleil, 22 f�vrier 2006.
Plac�s sous la loi f�d�rale sur les arrangements avec les cr�anciers (C-36) depuis un mois et demi, les promoteurs du complexe Marigot viennent de demander un nouveau d�lai pour relancer le projet.Dans leur requ�te d�pos�e en Cour f�d�rale, les promoteurs disent surtout avoir besoin de plus de temps pour formuler un plan de match � leurs cr�anciers. Le montant des mauvaises cr�ances s��l�ve � pr�s de 10 millions$.
Pour l�heure, tous les travaux de construction du complexe situ� entre le zoo de Qu�bec et le march� Jean-Talon, � proximit� de l�autoroute Laurentienne, ont �t� arr�t�s. Seul l�h�tel Sheraton Four Points, inaugur� en octobre, est en activit�.
Voir aussi ce billet.
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22 f�vrier 2006
"Comment faire la ville, le quartier? Est-ce que les citoyens ont un mot � dire? Ce sont les questions que pose une r�cente �tude commandit�e par le Comit� populaire Saint-Jean-Baptiste.
Rompant avec le r�le de pompier qu�il joue depuis la cr�ation du Conseil de quartier, l�organisme s�est dot� de sa propre vision d�ensemble et de pistes d�action sp�cifiques en am�nagement urbain. Afin de mieux conna�tre son quartier et de confirmer certaines hypoth�ses, le Comit� populaire a confi� � Marc Boutin et Jimena Michea le mandat de r�aliser une monographie � caract�re socio�conomique et architectural. L��tude se veut un document qui synth�tise les informations essentielles sur la situation et les tendances �volutives du quartier. Le document comprend un historique in�dit et une illustration de la situation actuelle du quartier via la caract�risation du milieu humain et b�ti (�tat des b�timents, r�sistance � la sp�culation fonci�re, r�partition des condos et des logements sociaux, r�pertoire des b�timents hors-normes et des terrains vagues, etc.). Le tout est compl�t� par une batterie de statistiques socio�conomiques permettant de se faire une id�e de qui habite le faubourg." (Source: l�Infobourg)
Le Faubourg Saint-Jean, une �tude socio�conomique (Comit� populaire Saint-Jean-Baptiste, automne 2005)
de Marc Boutin et Jimena Michea
Brochure de 40 pages
Format revue, couverture couleur
Comprend 12 cartes et 10 tableaux
Prix de d�tail : 4$
En vente � la Tabagie Saint-Jean (620, rue Saint-Jean) et au Comit� populaire (780, rue Sainte-Claire, 522-0454).
Merci � Nicolas Lefebvre Legault et au Comit� populaire Saint-Jean-Baptiste pour leur pr�cieuse collaboration.
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Source: Radio-Canada, 21 f�vrier 2006.
Dans plusieurs quartiers, la capacit� des terrains � accumuler la neige a pratiquement atteint la limite. Dans certains secteurs, les bancs de neige touchent presque les fils �lectriques. (...)La r�gion a re�u jusqu'� pr�sent 327 centim�tres de neige. Le record a �t� atteint en 1996-1997 alors que la r�gion avait re�u 432 centim�tres de neige. (...)
La suite. Voir aussi cet autre billet.
Note: Plusieurs s'en souviendront, les 21 et 22 f�vrier 1997, il tombait entre 40 et 50 cm de neige sur la r�gion (possiblement la plus grosse bord�e depuis le 4 mars 1971). La temp�te fut particuli�rement intense dans l'apr�s-midi du 22: visibilit� nulle, �clairs, tonnerre et rafales jusqu'� 76 km/h � l'a�roport de Qu�bec. Source:
Archives nationales d'information et de donn�es climatologiques, Environnement Canada.
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Source: Radio-Canada, 21 f�vrier 2006.
Lors d'une s�ance du conseil municipal, lundi, les �lus ont donn� le feu vert au r�glement qui pr�voit des d�penses de plus de 13 millions de dollars pour effectuer les travaux urgents sur les boulevards Charest, Champlain et Laurier.Les nombreux travaux entourant les f�tes de 2008 forcent cependant la Ville � reporter � 2009 le d�but de la r�fection compl�te du boulevard Laurier. (...)
La suite. Voir aussi cet autre billet.
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21 f�vrier 2006
Source: Fr�d�rick Masson, Qu�bec Hebdo, 15 f�vrier 2006.
(...) Annonc�s en novembre 2004, les travaux feront subir une v�ritable cure de jeunesse � l��difice voisin de l�Hippodrome de Qu�bec. Une fois le tout termin�, l'ar�na pourra accueillir 5 000 personnes, tant pour des �v�nements � caract�re sportif que culturel. Il deviendra du m�me coup le plus vaste amphith��tre de la r�gion, � l�exception du Colis�e Pepsi. (...)
La suite. Voir aussi cet autre billet.
Merci � Jean-Pierre Chamard et G�rald Gobeil pour nous avoir signal� cette information.
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18 f�vrier 2006
Source: Isabelle Porter (Les Antiquit�s du Matelot), Le Devoir, 11 et 12 f�vrier 2006.
Avec le d�c�s de Christopher Moogk, la Vieille Capitale vient de perdre son unique marchand de cartes anciennes.� Qu�bec comme ailleurs sur le continent, la vente de cartes anciennes est un ph�nom�ne plut�t rare. M. Moogk, qui est d�c�d� le 16 janvier � l'�ge de 65 ans, a �t� le premier antiquaire de la capitale � se sp�cialiser dans le domaine, il y a une dizaine d'ann�es. (...)
�Nous n'avions jamais eu de marchand de cartes anciennes auparavant. Finalement, on en a eu un et maintenant, il n'y en aura peut-�tre pas d'autres�, constate Richard Dionne, un ancien collaborateur de M. Moogk � qui la famille a confi� la t�che de vendre ce qui reste dans la petite boutique.Major � la retraite, Christopher Moogk avait ouvert sa premi�re boutique d'antiquit�s, rue Sault-au-Matelot, durant les ann�es 1980. (...)
Cet avocat � la retraite [Richard Dionne] s'y conna�t en cartes. Longtemps, il les a collectionn�es, avant de tout vendre pour investir dans la peinture ancienne. C'est lui qui approvisionnait M. Moogk en cartes de Paris. Deux ou trois fois par ann�e, il se rendait dans le quartier Drouot, rue Vaugirard, ou dans les environs de Notre-Dame pour d�nicher de nouvelles cartes de l'Am�rique et surtout de la Nouvelle-France. Parce que �videmment, c'est ce qui int�resse le plus les gens.
�Les gens veulent quelque chose de chez eux. Dans le cas des touristes, ils veulent un souvenir de Qu�bec.� Une fa�on comme une autre de se rapprocher de ses racines. Sur l'un des murs de la boutique, on peut contempler une carte de la Normandie de 1730, con�ue par Guillaume De L'Isle. �C'est int�ressant parce que la plupart des familles "souche" du Qu�bec viennent de Normandie, plus pr�cis�ment du Perche ou des r�gions environnantes.� (...)
Merci � G�rald Gobeil pour cette r�f�rence!
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17 f�vrier 2006
Photo 1: forte averse de neige sur Limoilou. Photo 2: une heure plus tard, vers 14h00, les vents violents de l'ouest (80 � 100 km/h) accompagn�s d'une brusque baisse de temp�rature font leur entr�e dans la r�gion, r�duisant par moment la visibilit� � z�ro (ici, sur la terrasse Dufferin).
Cette journ�e restera m�morable en raison du bilan d�sastreux des multiples carambolages observ�s un peu partout dans le sud-ouest et le centre du Qu�bec. De violentes et subites bourrasques de neige en sont principalement responsables...
� consulter, ces deux reportages � Radio-Canada. Voir aussi cet autre billet.
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Zoos de Qu�bec et de Bordeaux: une m�me r�alit�, deux solutions
Source: Radio-Canada, 17 f�vrier 2006.
Les villes de Qu�bec et de Bordeaux sont jumel�es depuis plus de 40 ans en raison de leurs nombreuses similitudes : une population comparable, un campus, des sites du patrimoine mondial. Elles ont aussi toutes deux la particularit� d'avoir un jardin zoologique en difficult�.Le parc zoologique de Bordeaux-Pessac, fond� en 1976, a d�j� attir� plus de 100 000 visiteurs par an, mais les installations vieillissantes, la diminution de l'achalandage et les probl�mes financiers ont forc� la fermeture du zoo en f�vrier 2004.
Il a toutefois �t� vite repris par un gestionnaire priv�, St�phane Da Cunha, malgr� l'absence de mobilisation pour le sauver. (...)
La suite. Voir aussi cet autre billet.
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Jean-Pierre Duval nous fait part des "scoops" suivants qui risquent de modifier grandement le visage du boulevard Laurier dans les prochains mois...
1- Place Laurier annoncerait sous peu une nouvelle phase d'agrandissement! Il s'agirait d'une tour � bureau sur l'emplacement du d�funt restaurant L'International. Les travaux devraient d�buter ce printemps. On envisagerait aussi la construction d'une autre tour dans la section est du centre commercial sur l'emplacement de la station Esso, juste � c�t� de Place de la Cit� [photo ci-haut].2- L'auberge L'Abitation de Champlain, situ� coin Laurier et de l'�glise, vient d'�tre vendu. L'h�tel serait "ras�" afin d'y construire un supermarch� Provigo...
3- Enfin, un autre �difice � bureau de 17 �tages serait projet�, cette fois sur l'emplacement du Berger King.
On laisse � notre collaborateur le soin de pr�ciser ses sources et de suivre le cheminement de ces projets pour Qu�bec Urbain! ;-)
Voir aussi cet autre billet concernant d'autres investissements majeurs en vue dans ce secteur... et merci Jean-Pierre!
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16 f�vrier 2006
Source: Cano�, 15 f�vrier 2006.
Le cin�aste Jean-Claude Labrecque a finalement d�voil� son projet Qu�bec Intra-Muros.Pendant plusieurs ann�es, Labrecque a r�v� du jour o� il pourra enfin r�aliser un long-m�trage documentaire sur sa ville natale. (...)
La suite. Voir aussi cet autre billet.
Merci � G�rald Gobeil pour nous avoir signal� cet article.
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Source: Annie Morin, Le Soleil, 16 f�vrier 2006.
L�Universit� Laval est pr�te � laisser Sobeys construire un � supermarch�-�cole � sur ses terrains en �change de 2 millions $ et d�une partie des profits. Accessible au grand public, l��tablissement permettra aux �tudiants et aux chercheurs de scruter le comportement des consommateurs et de tester en direct des strat�gies de marchandisage et de distribution alimentaire. (...)
La suite et ces deux autres articles.
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15 f�vrier 2006
Merci � G�rald Gobeil pour ce clin d'oeil humoristique!
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Source: Fran�ois Cattapan, Qu�bec Hebdo, 15 f�vrier 2006.
D�but f�vrier, les lecteurs du magazine britannique Wanderlust ont d�cern� le prix Bronze � Qu�bec dans la cat�gorie �Meilleure ville�.En effet, les lecteurs ont attribu� des notes de plus de 95 % quant � leur satisfaction pour les trois villes honor�es. Qu�bec est arriv�e troisi�me, tout juste derri�re les r�cipiendaires Argent et Or, soit Cusco au P�rou et Luang Praban au Laos. (...)
La suite. Voir aussi cet autre billet.
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14 f�vrier 2006
Un pas solide vers la m�decine de l'avenir
Source: Le Soleil (reportage publicitaire), 12 f�vrier 2006.
(...) D'ci un an, les chercheurs et �tudiants qui s'entassent dans les locaux du Centre de recherche [du Centre hospitalier de l'Universit� Laval]pourront b�n�ficier de nouveaux �quipements � la fine pointe de la technologie r�parties dans de nouveaux locaux am�nag�s sur trois �tages, totalisant plus de 8000 m�tres carr�s de superficie. Un investissement de quelque 57M $, dont 30M $ en �quipement qui permettra l'ajout de 400 nouveaux postes au CRCHUL. (...)
� noter que la forme du futur immeuble abritant ce centre imagin� par le docteur Fernand Labrie et ses coll�gue diff�re sensiblement de sa premi�re version dessin�e en 2002.
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13 f�vrier 2006
Source: Louise Lemieux, Le Soleil, 12 f�vrier 2006.
D�un c�t� de la rue Saint-Joseph, entre les rues de la Couronne et du Pont, il y a les nouveaux commerces. On y vend de la bien belle marchandise. Diff�rente de ce qu�on retrouve dans les centres commerciaux. Mais g�n�ralement assez ch�re. De l�autre c�t�, il y a l��glise Saint-Roch. Dans le sous-sol, loge une client�le bien distincte de celles des nouveaux commerces : des itin�rants, des junkies, des ex-alcooliques. (...)
La suite. Aussi, cet autre r�sum� d'article tir� du dossier publi� ce matin. Voir �galement cet autre billet.
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11 f�vrier 2006
Source: Ren�e Larochelle, Au fil des �v�nements, 26 janvier 2006.
(...) "Depuis le d�but des ann�es 1990, le quartier Limoilou a connu une certaine d�t�rioration sociale et, surtout, une d�t�rioration �conomique, ce qui nous porte � le comparer � Saint-Sauveur, dit Laurence Cliche. En fait, Limoilou est dans une p�riode de transition o� la pauvret� progresse rapidement et rejoint de plus en plus celle du coeur de la ville. C'est un quartier � surveiller dans les prochaines ann�es, d'autant plus que la Ville de Qu�bec n'y pr�voit aucune revitalisation majeure � court terme." (...)Quant � savoir si la pauvret� a augment� � Qu�bec, Laurence Cliche estime qu'un l�ger appauvrissement s'est fait sentir entre 1991 et 2001, dans le sens o� plus de m�nages vivent sous le seuil du faible revenu, tel que d�fini par Statistique Canada. "La pauvret� existe encore et toujours dans le centre de l'ancienne CUQ, mais elle a bel et bien rejoint les banlieues les plus anciennes de la ville", constate-t-elle. (...)
La suite. Voir aussi ce mini dossier.
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10 f�vrier 2006
C'est maintenant confirm�: le prochain "5 � 7 Qu�bec Urbain" aura lieu ce jeudi, 16 f�vrier, au bar du restaurant Mikes du 2960, boulevard Laurier (juste � c�t� du restaurant Le Baton Rouge). Jean-Pierre se fera plaisir de vous y accueillir!
Voir aussi le premier billet portant sur cette rencontre et les th�mes au programme. � consulter aussi, mes "voeux du Nouvel An" relatifs au futur de Qu�bec Urbain!
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G�rald Gobeil nous �crit:
Le Bureau du Film de Qu�bec fut un jour menac� de fermeture (article du Devoir). Heureusement qu'il n'en fut point ainsi. Par les services de ce dernier, des gens de Qu�bec ont obtenu un contrat pour la r�alisation d'une pub du SuperBowl 2006 o� l'H�tel de Glace fut mis en honneur. Il semble d'ailleurs que l'�quipe am�ricaine est partie avec plusieurs images de la Ville et de ses environs, avec promesse de retour. (Entendu et d�couvert � l'�mission de Gilles Parent - CHOI 98.1)
Le Qu�bec au Super Bowl (Source: Infopresse, 9 f�vrier 2006.)
L'H�tel de glace de Qu�bec et le quai de Portneuf ont fait une apparition surprise durant le Super Bowl de dimanche. Le g�ant am�ricain de la bi�re Anheuser-Busch voulait consacrer l'une de ses publicit�s au plaisir universel de la bi�re, et son agence DDB Chicago s'est tourn�e vers la maison de production V�locit� de Qu�bec pour orchestrer le tournage de sc�nes nordiques dans les environs de la capitale nationale. (...)
Merci � G�rald Gobeil pour sa pr�cieuse collaboration!
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09 f�vrier 2006
Pendant une dizaine de minutes ce matin, apparition d'un parh�lie (ici en direction du centre-ville), ph�nom�ne typique des grands froids qui se font d�cid�ment rares cet hiver. Un "modeste" -17C au moment de la photo, vers 9h00...
Voir aussi cet autre billet.
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Source: M�lanie Larouche, Qu�bec Hebdo, 26 janvier 2006.
Le Ch�teau Bonne Entente vient d'inaugurer Urbania, un nouveau concept d'h�bergement de grand luxe r�alis� au co�t de 4 M$, dans le cadre d'un projet d'agrandissement qui totalise 6,5 M$. (...)
La suite. Voir aussi cet autre billet.
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08 f�vrier 2006
Le conseil municipal adopte le projet d'entente � l'unanimit�
Source: Isabelle Mathieu, Le Soleil, 7 f�vrier 2006.
Le conseil municipal de Qu�bec vient d'adopter � l'unanimit� le projet d'entente pour la survie du zoo, tel que n�goci� par la mairesse Andr�e Boucher et le ministre Michel Despr�s. (...)
La suite. Voir aussi cet autre billet.
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07 f�vrier 2006
Activit�s familiales sur les Plaines... et le c�l�bre Caribou! ;-)
Merci � G�rald Gobeil pour sa pr�cieuse collaboration!
Voir aussi cet autre billet.
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Source: Isabelle Mathieu, Le Soleil, 6 f�vrier 2006.
Le changement de 12 % des noms de rue de la ville de Qu�bec a finalement �t� compl�t� hier au conseil municipal, au terme d�un d�bat o� la mairesse Andr�e Boucher et son �quipe ont accus� le RMQ de vouloir en finir avec le souvenir des anciennes villes... (...)
La suite. Voir aussi cet autre billet.
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Source: Plan�te Qu�bec, 22 janvier 2006.
Passionn�e par la cr�ation d�images panoramiques, Nathalie Damboise photographie la lumi�re et la nuit dans le Vieux-Qu�bec. Ses images exceptionnelles, d�une magnifique luminosit�, immortalisent les nuits de Qu�bec dans toute leur beaut�! L�exposition regroupe douze �uvres photographiques.
Laur�ate du premier prix au concours Heureux d�un printemps dans le cadre du Printemps du Qu�bec en France en 1999, Nathalie Damboise a d�velopp� son talent artistique gr�ce � des �tudes en graphisme et � des voyages culturels aux quatre coins du globe. Elle travaille � Qu�bec comme graphiste, webmestre et photographe. (...)Les expositions de la Galerie du Faubourg sont pr�sent�es en collaboration avec la Caisse populaire Desjardins de Qu�bec.
Jusqu'au au 13 f�vrier, � la Galerie du Faubourg de la biblioth�que Saint-Jean-Baptiste.
Merci � Jaco qui nous a fait part de cette exposition!
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04 f�vrier 2006
"Sous la surveillance d'un mod�rateur, moi-m�me!", pr�cise Jean-Pierre avec l'humour qu'on lui conna�t, voici donc les propositions de notre jovial collaborateur pour le prochain "5 � 7 Qu�bec Urbain":
Mercredi le 15 ou jeudi le 16 f�vrier, selon la d�cision populaire. L'endroit serait le Mikes, 2960 boulevard laurier.
Possibilit� de table ronde discussion sur un des sujets suivants:
1- Les d�fis que notre ville devra affronter dans les prochaines ann�es;
2- Le d�veloppement �conomique de notre r�gion;
3- Les beaut�s et horreurs architecturales.
Ces th�mes peuvent �tre pr�alablement discut�s dans le FORUM... � suivre!
PS: comme je travaillerai ces deux soirs, je ne pourrai me joindre � vous. Profitez-en pour discuter sur les points ci-hauts, pour soumettre des sujets originaux ou pour d�finir une mission et des objectifs identifiant clairement l'oeuvre de Francis Vachon, soit votre site Qu�bec Urbain! ;-)
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Le vendredi 03 f�vrier 2006
VIE DE QUARTIER
Le faubourg Gu�nette: un village en ville
Jean-Nicolas Patoine
Journal "Le Soleil"
Collaboration sp�ciale
Au milieu du XIXe si�cle, c��tait la banlieue de Qu�bec. La ville s�arr�te alors � l�avenue de Salaberry. � l�ouest se trouvent de grands domaines et un �lot d�habitations nouvellement construites pr�s d�une fontaine o� viennent s�abreuver les chevaux : le faubourg Gu�nette.
Il est situ� entre la rue Cr�mazie, le chemin Sainte-Foy, l�avenue Cartier et l�avenue de Bourlamaque. Dans ce quadrilat�re, trois rues � Saint-Laurent, Dumont et de Candiac � forment le faubourg. � Il n�y a pas d�autres quartiers semblables � Qu�bec �, dit Rychard Gu�nette, un g�n�alogiste amateur qui s�est int�ress� au faubourg afin de retracer le parcours de ses anc�tres.
L�historien et chroniqueur R�jean Lemoine abonde dans le m�me sens. � C�est un cas unique de conservation d�un milieu populaire dans la ville de Qu�bec, et surtout en haute ville, car il n�est pas � sa place dans le quartier Montcalm, dit-il. Il est aussi unique au niveau de l�am�nagement urbain et de son architecture. C�est un quartier pr�-industriel situ� dans une ville moderne du XXe si�cle. �
En effet, le faubourg Gu�nette jure avec son voisinage. Les rues du chic quartier Montcalm sont habituellement larges et bord�es d�arbres. Celles du faubourg sont si �troites que deux voitures peuvent � peine s�y croiser.
Les maisons du faubourg donnent directement sur les trottoirs, tandis que celles de Montcalm, construites en retrait, sont munies de galeries et d�escaliers ext�rieurs. Ce contraste est visible sur la rue Cr�mazie, o� le faubourg rejoint le reste de la ville.
Les anciens et les nouveaux
Jack Delisle a grandi sur l�avenue de Bourlamaque. � C��tait le fun, grandir ici. Il y avait un parc derri�re l��glise (Notre-Dame-du-Chemin, maintenant d�truite), on y jouait au hockey, � la boxe, aux � claques sur la gueule �. Il n�y a pas un sport qu�on n�a pas fait. M�me le golf �, se rappelle-t-il.
Aujourd�hui, M. Delisle poss�de un restaurant situ� en face d�o� il a grandi. De son quartier, il appr�cie surtout l�attitude relaxe des habitants. � Ici, tout le monde se m�le de ses affaires, dit le jovial restaurateur. On ne s�invite pas � souper, mais on se salue dans la rue. �
� On se conna�t tous �, dit Raymond Blais, qui est n� et habite toujours dans le faubourg Gu�nette. � C�est comme un petit village. � Quel quartier urbain de Qu�bec peut en dire autant ?
M. Blais a remarqu� des anciens r�sidants qui, nostalgiques, viennent faire leur tour de temps en temps. � Ils ont attendu trop longtemps avant d�acheter, croit-il. Maintenant, c�est pas mal plus cher qu�avant. �
Il y a un an et demi, Olivier D�Autane a d�m�nag� sur la rue de Candiac, qui traverse le faubourg du nord au sud. � M�me les gens du quartier Montcalm ne connaissent pas cette rue �, d�plore-t-il. Signe que le faubourg Gu�nette est ignor�, m�me par ceux qui le voisinent.
M. D�Autane appr�cie pleinement son nouveau secteur. � C�est recul�, mais tu tournes le coin et t�as tout ce qu�il faut �, dit-il en pointant la rue Cr�mazie et l�avenue Cartier. � Depuis que je suis ici, je n�ai pas mis les pieds dans un Wal-Mart �, se r�jouit-il.
Ses trois enfants de 8 � 10 ans peuvent pratiquer une foule d�activit�s � proximit�. Des plaines d�Abraham au centre Lucien-Borne, les petits D�Autane ne grimpent pas souvent dans une automobile. M. D�Autane non plus, d�ailleurs. � Lorsque j�habitais � Sillery, je n��tais pas capable d�aller m�acheter une pinte de lait � pied �, illustre-t-il. En d�m�nageant dans le faubourg Gu�nette, il a vendu sa voiture. Et il prend tr�s rarement l�autobus.
� C�est aussi un coin tranquille et silencieux. Pourtant, ma maison n�est pas bien insonoris�e. Quand des gens parlent dans la rue, on entend tout. Mais y a jamais personne ! �
Il est conscient que sa maison est mal construite. Mais pour lui, peu importe. � J�aime les endroits qui ont du v�cu. Je pr�f�re rester ici dans une maison un peu tout croche et avoir un bel environnement ext�rieur � que le contraire.
�videmment, aucun coin de pays ne vient sans ses petits d�sagr�ments. Raymond Blais raconte que les d�neigeuses ont quelques fois ab�m� sa maison. Sa goutti�re portait d�ailleurs les marques d�un r�cent impact.
Toutefois, la Ville semble vouloir faire une beaut� au faubourg. La rue Saint-Laurent a �t� r�am�nag�e il y a quelques mois. L��t� prochain, les fils d�Hydro-Qu�bec devraient y �tre enfouis, ce qui redonnera � cet �troit chemin son aspect d�antan. La rue Saint-Laurent � va �tre une des plus belles petites rues de Qu�bec �, croit Jack Delisle.
Un peu d�histoire
Le faubourg Gu�nette, aussi appel� village Mount Pleasant � l��poque, tient son nom de l�une des premi�res familles � s�y �tre �tablie, autour de 1820. Aujourd�hui, il n�y a plus de traces de Gu�nette.
Au milieu du XIXe si�cle, Canadiens-Fran�ais et Irlandais s�y c�toient. Certaines de ces familles ont �t� victimes de l�incendie qui a ras� le quartier Saint-Jean-Baptiste, en 1845. � Il y avait environ 60 maisons dans le faubourg, � l��poque, estime M. Gu�nette. Les familles �taient nombreuses, mais, malgr� tout, �a n�en faisait pas un coin tr�s populeux.�
Si le faubourg a gard� son cachet, c�est d�abord parce qu�aucune trag�die ne l�a �prouv�. � Le quartier n�a pas �t� frapp� par un incendie, alors il a conserv� son aspect initial, dit R�jean Lemoine. On y retrouve en bloc les maisons de faubourg construites par les ouvriers qui y habitaient �.
L�expansion urbaine du XXe si�cle l�a aussi �pargn�. Lorsque la ville a finalement gagn� ses alentours, c��tait avec une urbanisation diff�rente. Alors les nouveaux quartiers ont envelopp� le faubourg sans d�truire son homog�n�it�. Et, surtout, sans ruiner cette impression d�y �tre dans un pittoresque village...
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03 f�vrier 2006
Alors que bien des Montr�alais maudissent un hiver d�cid�ment pluvieux, ici � Qu�bec, on ne sait plus trop comment se d�barrasser de toute cette neige qui nous tombe r�guli�rement sur la t�te! Un autre 20 cm en perspective pour aujourd'hui...
Note: Cette photo devrait �tre diffus�e sur les ondes de M�t�om�dia ce soir! :-)
Voir aussi cet autre billet.
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Source: Radio-Canada (Qu�bec), 31 janvier 2006.
(...) Le nouvel �tablissement qui co�tera 12 millions de dollars remplacera le centre hospitalier Saint-Sacrement dont les locaux ne conviennent plus � un centre de soins de longue dur�e. (...)
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02 f�vrier 2006
Depuis quelques jours d�j�, cette imposante cong�re impose son ombre mena�ante sur les rares pi�tons qui osent, en se croisant les doigts, emprunter ce coin du boulevard Pierre-Bertrand situ� sous un viaduc ferroviaire...
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Je viens d'apprendre sur le tard le d�m�nagement r�cent du r�put� magasin de fourniture pour artistes Omer DeSerres, maintenant localis� "au bout du monde", soit pr�s des... Galeries de la Capitale (maquette)!
Je l'avoue: je trouve difficile de comprendre la logique de cette "d�cision d'affaires", puisque Saint-Roch est dor�navant clairement identifi� � son pouvoir d'attraction sur les institutions d'enseignement, les entreprises et tous ceux et celles qui oeuvrent dans le domaine de la cr�ation. � titre d'exemples, pensons � l'�cole des arts visuels de l'Universit� Laval, � Ubisoft et aux nombreux projets de lofts d'artistes, tels les Ateliers du roulement � billes et la Falaise apprivois�e, actuellement en construction.
Je ne suis pas un sp�cialiste, mais je soul�ve tout de m�me la question: n'aurait-il pas �t� possible de relocaliser le magasin dans l'�difice du Gutenberg ou de l'int�grer dans un projet immobilier sur le terrain en face, voire dans l'"�lot Petit Bedon" (c�t� nord des Ateliers du roulement � billes), situ� coin Charest et Dorchester?
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01 f�vrier 2006
R�actions partag�es � l'imposition possible d'une taxe sp�ciale
Source: Radio-Canada (Qu�bec), 31 janvier 2006.
M�me si les h�teliers de Qu�bec n'appr�cient pas que leur soit impos�e une taxe sp�ciale pour �ponger le d�ficit du jardin zoologique cette ann�e, ils ne s'y opposeront pas. (...)La chambre de commerce de Qu�bec, pour sa part, s'oppose � cette taxe que la mairesse de Qu�bec, Andr�e Boucher, veut imposer sur les immeubles non r�sidentiels. (...)
Pour sa part, la Coalition pour la sauvegarde du Jardin zoologique du Qu�bec renvoie la balle au gouvernement du Qu�bec, l'actuel propri�taire. (...)
La suite. Voir aussi cet autre billet. Photo: Martin Otis.
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Droit d'auteur concernant le mat�riel produit par Qu�bec urbain
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