Archive des billets publi�s en mai 2006

Source: Radio-Canada Qu�bec 31 mai 2006

La ville de Qu�bec aura d�s l'automne son �quipe de basketball professionnel.

La capitale fera partie de l'Association am�ricaine de basketball qui compte 60 �quipes, dont 54 aux �tats-Unis et 4 au Canada. Certaines formations ont connu des difficult�s financi�res, mais le promoteur R�al Bourassa a bon espoir que l'�quipe est l� pour rester.

La nouvelle �quipe de basketball disputera son premier match le 10 novembre, au c�gep de Sainte-Foy. L'homme d'affaires fait le pari que les partisans seront au rendez-vous. Il mise sur la popularit� montante du basketball notamment chez les jeunes.

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L'�difice Price vue du parc Cartier-Br�beuf.

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Source: Michel B�dard, Qu�bec Hebdo 30 mai 2006

La Ville de Qu�bec invite toute la population � participer � l'ouverture de la saison estivale de la baie de Beauport, le dimanche le 4 juin, de 10 h � 16 h, � l'occasion de la Journ�e plein air sur le fleuve.

Le centre r�cr�o-nautique de la baie de Beauport ouvre ses portes afin de faire conna�tre � tous les plaisirs du fleuve.

La suite.

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Source: Denis Fortin, Qu�bec Hebdo 30 mai 2006

compter du 1er mai 2007, la r�gion de Qu�bec comptera sur un insectarium qui sera situ� sur le terrain du Centre Notre-Dame-des-Bois du boulevard du Lac � Charlesbourg. L�insectarium sera en fait �rig� sur un terrain appartenant au Centre de plein air Lasallien Le Saisonnier de Lac-Beauport � la suite d�investissements totalisant 300 000 $. Les travaux sont d�ailleurs d�but�s depuis quelques semaines � peine.

�L�insectarium vient s�ajouter aux services d�j� offerts au Centre Notre-Dame-des-Bois qui sont l��cole de cirque estivale, le terrain de camping sauvage et du Sib�ria, station spa, a indiqu� le pr�sident du conseil d�administration du Centre de plein air Le Saisonnier et Notre-Dame-des-Bois, Gaston Forgues. On proposera en fait aux visiteurs une exposition permanente comprenant les plus beaux sp�cimens vivants et naturalis�s provenant des meilleurs fournisseurs d�insectes dans le monde dont le Charlesbourgeois Yves-Pascal Dion�. (...)

La suite.

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Source: Radio-Canada Qu�bec, 31 mai 2006

Tant qu'a parler des Remparts, pourquoi pas cette nouvelle...

Un homme d'affaires peu connu de la r�gion de Qu�bec sort des boules � mites le vieux projet de ramener une �quipe de la LNH � Qu�bec. Mark Charest, lui-m�me un ex-employ� du service du marketing des Nordiques, profite de la vague de sympathie provoqu�e par la victoire des Remparts � la Coupe Memorial pour mousser son projet.

Ni Marcel Aubut, ni la famille Tanguay d�j� tr�s impliqu�e dans le sport local avec les Remparts et le Rouge et Or au football universitaire, ne sont pr�sents dans l'�bauche du projet.

La suite.

Voir aussi ce lien pour d'autre info sur ce projet.
http://www.quebechebdo.com/article-15472-Le-retour-de-la-LNH-a-Quebec.html

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Source: Radio-Canada Qu�bec, 31 mai 2006

Le gouvernement Charest s'appr�terait � abandonner son projet d'�cole d'horticulture au Jardin zoologique. Selon le Journal de Qu�bec, la serre indo-australienne deviendra plut�t un minizoo repr�sentant une jungle tropicale abritant de petits oiseaux, de petits mammif�res et des reptiles.

Le ministre responsable de la capitale nationale, Michel Despr�s, et son coll�gue � l'Environnement, Claude B�chard, concocteraient pr�sentement un plan qui assurerait la p�rennit� de la serre am�nag�e � grands frais, et dont le changement de vocation s'av�re lui aussi tr�s co�teux.

Cette nouvelle d�cision pourrait expliquer l'information selon laquelle la collection de cactus et de plantes savoureuses du Jardin zoologique du Qu�bec est � vendre. Des acheteurs potentiels ont confirm� avoir �t� sollicit�s.

Voir autre billet, celui-ci et encore ceci. Le reste dans les archives.

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Source: Radio-Canada Qu�bec 31 mai 2006

Plusieurs milliers de personnes se sont rendues au Colis�e, mardi, pour acclamer une fois de plus les Remparts de Qu�bec, champions de la Coupe Memorial. Les meilleurs moments des s�ries �liminatoires, mais surtout les joueurs et la Coupe Memorial ont �t� pr�sent�s � la foule en liesse.

Dans la soir�e, la boutique souvenir des Remparts a fait des affaires d'or. Les casquettes, chandails et rondelles � l'effigie des champions se sont envol�s en un rien de temps.

Plus t�t dans la journ�e mardi, les Remparts ont �t� re�us � l'h�tel de ville de Qu�bec par la mairesse de Qu�bec Andr�e Boucher et � l'Assembl�e nationale par le premier ministre Jean Charest. Les champions de la Coupe Memorial ont aussi �t� accueillis par les partisans lors d'un d�fil�.

Voir ce billet et celui-ci

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Source: Simon Boivin, Le Soleil 30 mai 2006

Le concept final pour la Pointe-�-Carcy ne sera connu qu�� la mi-juin, deux semaines plus tard que pr�vu. La quantit� de m�moires d�pos�e a alourdi la t�che des commissaires charg�s de faire des recommandations.

Trois journ�es de consultation plut�t qu�une seule et 28 m�moires plus tard, le rapport sur le r�am�nagement de l�endroit n�est pas encore termin�. Il faudra attendre avant de voir ce que les audiences publiques auront chang� au concept d�origine.

Voir autres billets 1 2 3 Et bien d'autres billets dans les archives.

� On relit chaque m�moire, on r��coute les bobines des audiences, indique l�un des trois commissaires, Jean Baillargeon. Il y a des tendances qui �mergent. On fait notre propre analyse et, vous allez voir, �a va �tre clair. �

Les avis des commissaires sont simplement consultatifs. Ils n�ont pas le dernier mot sur le concept. � Ce sont des recommandations morales et �incitatives�, poursuit M. Baillargeon. Le Port, la Ville et D�veloppement �conomique Canada peuvent en disposer. Mais nous, c�est s�r qu�on va d�fendre notre point de vue. �

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Source: Pierre Asselin, Le Soleil 30 mai 2006

La r�gion de la Capitale nationale aurait plus de succ�s aupr�s des immigrants que l�on croyait. Le taux de r�tention serait plus �lev� que la moyenne provinciale, a soutenu hier la ministre canadienne de l�Immigration et des Communaut�s culturelles, Lise Th�riault.

La ministre s�adressait aux participants du colloque ConcertAction multisectorielle pour l�int�gration et le maintien � l�emploi des immigrants.

Voir autre billet.

� Au risque de vous surprendre, a-t-elle d�clar�, les derni�res donn�es confirment que le taux de r�tention des personnes immigrantes dans la r�gion de la Capitale nationale, admises entre 1995 et 2004 et toujours pr�sentes en 2006, se chiffre � 86 %, soit plus que la moyenne provinciale de 80 %.

Ces chiffres vont � l�encontre de toutes les statistiques connues jusqu�ici sur la capacit� de Qu�bec � retenir ses immigrants. Selon Mamadou Diop, agent de d�veloppement r�gional du Comit� d�adaptation de la main-d��uvre (CAMO), la performance de Qu�bec la classerait plut�t au 24e rang parmi les 27 r�gions m�tropolitaines de recensement � ce chapitre.

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Source: Radio-Canada Qu�bec 30 mai 2006

C'Est un peu hors de Qu�bec, mais cela pourrait avoir une incidence sur la consomation d'eau... peut-�tre ?

Radio-Canada a appris que la base militaire de Valcartier demande � la Ville de Qu�bec de l'approvisionner en eau potable, soit 900 000 m�tres cubes d'eau par ann�e.

La Garnison de Valcartier �tait autosuffisante depuis 1914 gr�ce � ses puits art�siens. En 1997 cependant, deux des trois puits ont �t� ferm�s en raison de la pr�sence de trichlor�thyl�ne (TCE) et de chlorure de vinyle, des produits toxiques utilis�s en abondance sur la base depuis les ann�es 50, notamment dans la fabrication de munitions. En 2003, la pr�sence de TCE a forc� Shannon, la municipalit� voisine, � fermer ses puits.

Dans une lettre � la Ville de Qu�bec, le colonel de la base soutient que ce projet est d'une importance capitale. Il presse la Ville d'�valuer les co�ts. Fran�ois Moisan, charg� de communications � la Ville de Qu�bec, mentionne que le dossier en est encore au stade de l'analyse des co�ts et des �ch�anciers.

La D�fense nationale nie que son d�sir de se raccorder au r�seau d'aqueduc de Qu�bec soit li� � la contamination de l'eau. Toutefois, pour le maire de Shannon, Clive Kiley, le lien entre le projet de la D�fense nationale et la contamination de la nappe phr�atique est �vident. � Ils savent qu'il y a des traces de contamination dans l'eau et ils savent qu'il y a un danger. Je suppose qu'� un moment donn�, le panache de contamination peut s'�largir �, soutient le maire Kiley.

Des citoyens de Shannon, inquiets pour leur sant�, ont entrepris une requ�te en recours collectif. Les arguments des r�sidents de Shannon et du gouvernement f�d�ral ont �t� entendus par un juge de la Cour sup�rieure lundi et mardi. Le litige pourrait co�ter des centaines de millions de dollars � la D�fense nationale.

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Voil�, le forum est maintenant mis � jour, plus s�cure qu'avant. Si on �tait fort dans les communiqu�s de presse, on annoncerait �iXm�dia ach�te Qu�bec Urbain�, mais dans la vraie vie, c'est plus simple que �a: j'ai propos� � Francis qu'iXm�dia adopte Qu�bec Urbain pour que l'on puisse le faire grandir ensemble, tant techniquement qu'au niveau du contenu. Premi�re �tape rendre la technologie efficace pour qu'elle joue bien son r�le de soutenir la communaut� de Qu�bec Urbain. Deuxi�me �tape d'ici la fin de l'�t�, am�liorer l'interface pour refl�ter la cr�dibilit� et la qualit� du site. Pendant tout ce temps, soutenir les collaborateurs qui l'alimentent en contenus.

Qu�bec Urbain, c'est actuellement environ 100 000 visiteurs par mois, et s�rement le m�dia le plus dynamique portant sur le d�veloppement urbain de la ville de Qu�bec (toutes sources confondues). C'est dans cet esprit qu'il continuera d'�voluer au cours des prochains mois.

Francis reste � bord � titre �d'�diteur �m�rite�, question de rendre hommage � ses efforts et � son implication dans Qu�bec Urbain. Un gros merci Francis!

Petite pr�sentation sans pr�tention: iXm�dia, c'est un studio ind�pendant de conception et de d�veloppement de site Internet, n�e � Qu�bec en 1994. iXm�dia, c'est aussi deux compagnies soeurs: Opossum, service conseils en apprentissage et technologies, et Zengo, service conseils en analyse et strat�gie web. Mais c'est surtout une �quipe qui habite et vit Qu�bec et son nouveau quartier Saint-Roch au quotidien, depuis presque 7 ans.

Si vous avez des questions, commentaires ou suggestions, mon adresse de courriel est dans la marge de gauche! Merci!

CFD

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Source: Patrick Ouellet, Journal Voir 25 mai 2006

Musiciens et organisateurs de spectacles d�plorent la raret� de lieux propices � la tenue de concerts alors que tenanciers de tels endroits estiment qu'ils sont en nombre suffisant. Qui a raison? Esquisses de r�ponses avec divers intervenants du milieu.

D'Auteuil, Autre Caserne, Oiseaux de passage, Agora et maintenant Kashmir... Qu�bec prend des allures de v�ritable cimeti�re � salles de spectacle. Or, tout le monde para�t s'entendre sur un point; la ville est en pleine effervescence sur le plan musical: le nombre de bons groupes ne cesse de cro�tre, de plus en plus d'artisans de la sc�ne alternative daignent venir y jouer et le public semble se montrer curieux et r�ceptif. Plus besoin de se farcir continuellement l'aller-retour vers la m�tropole pour satisfaire ses tympans.

Et ces auditoires clairsem�s, mal � l'aise devant des musiciens de l'ext�rieur se demandant ce qu'ils sont venus faire ici, s'av�rent heureusement beaucoup plus rares. Mais malgr� ces signes encourageants, de nombreuses questions persistent. (...)

La suite.

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Autres photos de cette �glise ou j'ai re�u mon bapt�me.

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Source: Radio-Canada Qu�bec, 30 mai 2006

Les festivit�s entourant la victoire des Remparts en finale de la Coupe Memorial se poursuivent mardi. Un d�fil� de la victoire sur la Grande All�e a notamment �t� organis�, mardi midi.

Les joueurs ont ensuite �t� re�us � l'h�tel de ville de Qu�bec o� ils ont �t� accueillis par la mairesse de Qu�bec, Andr�e Boucher.

Voir autre billet.

Les Remparts seront aussi re�us par le premier ministre Jean Charest au Parlement � Qu�bec.

Un rassemblement aura lieu par la suite, � 16 h 30, au Colis�e Pepsi. Les faits saillants des s�ries �liminatoires, les joueurs et la coupe y seront pr�sent�s.

Plus t�t mardi matin, � l'Assembl�e nationale, le d�put� ad�quiste de Vanier, Sylvain L�gar�, a pr�sent� une motion de f�licitations pour les Remparts. Le d�put� a soutenu que les joueurs �taient des mod�les pour les jeunes et un bel exemple de d�termination.

Des retomb�es pour Qu�bec

La couverture m�diatique qui entoure le retour de la Coupe Memorial � Qu�bec est tr�s profitable pour la ville de Qu�bec. La hausse de popularit� du hockey chez les jeunes, une excellente visibilit� pour l'industrie du tourisme et la vente accrue de billets pour la prochaine saison sont des r�percussions dont pourrait b�n�ficier la r�gion.

Les principales r�percussions se feront cependant au niveau de l'organisation des Remparts, selon �ric Forest, actuel maire de Rimouski et directeur g�n�ral de l'Oc�anic en 2000, ann�e o� l'�quipe a remport� la Coupe Memorial. Il souligne que cette victoire avait donn� �norm�ment de cr�dibilit� � son organisation, ce qui a permis ensuite d'aller chercher des joueurs tels Sidney Crosby. Selon M. Forest, les Remparts vont pour leur part consolider leur cr�dibilit�.

Un �mission sp�ciale consacr�e aux festivit�s entourant la victoire des Remparts sera diffus�e mardi soir, � 18 h, � la t�l�vision de Radio-Canada.

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Source: La ville de Qu�bec, 24 mai 2006

Qu�bec, le 24 mai 2006 � La quatri�me nuit Sylvain-Leli�vre est plac�e sous le signe de la femme. Le jeudi 1er juin � 19 h 30 au parc Sylvain-Leli�vre vous pourrez �couter des femmes, des chanteuses, des interpr�tes rendre hommage � Sylvain Leli�vre. Cette soir�e marque le d�but d�une s�rie de concert au parc Sylvain-Leli�vre.

Au lancement de la saison, lors de La quatri�me nuit Sylvain-Leli�vre et sous la direction artistique de Claude Valli�res, neuf nouvelles voix de Qu�bec vous feront vivre une soir�e riche en �motion durant laquelle vous d�couvrirez ou red�couvrirez le r�pertoire de l�artiste.

Myriam B�DARD, Priscilla BINET, Marjolaine CHALIFOUR, Sophie DENIS, Marjorie FISET, Kathleen MICHAUD, Annie POULAIN, Judith RICHER et Laurie TOUSSAINT, toutes issues de la facult� de musique de l�universit� Laval, nous offriront quelques unes des plus belles chansons de Sylvain Leli�vre. Elles seront accompagn�es par Bruno Turgeon, Ren� Roux et Serge Valli�res.

� De Tombouctou � Limoilou �

Chaque jeudi de juin � 19 h 30, vous pourrez retrouver des auteurs-compositeurs-interpr�tes tels que Annie Poulain, Sylvain Denfer, Sophie Denis et le duo L�gar�-Longpr�. � De Tombouctou � Limoilou � la sc�ne du parc Sylvain-Leli�vre vous fera vibrer tout le mois de juin.

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Source: Radio-Canada Qu�bec, 30 mai 2006

Un sp�cialiste de l'�cole nationale d'administration publique, Michel Boucher, soutient que le r�am�nagement du boulevard Charest risque d'entra�ner des probl�mes de s�curit� et de fluidit�.

Les travaux sont en cours depuis l'an dernier. M. Boucher d�plore l'enl�vement du terre-plein central et reproche � la Ville d'embellir au d�triment de la s�curit�. De plus, Michel Boucher estime que la fluidit� est r�duite parce que l'on continue de permettre le virage � gauche.

Toutefois, la Ville de Qu�bec est en d�saccord avec ce point de vue. Le directeur de la division des transports � la Ville de Qu�bec, Marc des Rivi�res, estime que le retrait du terre-plein n'est pas une mesure exceptionnelle et que cela n'entra�ne pas de probl�matique de s�curit� particuli�re.

La Ville est toutefois pr�te � faire certaines interventions ponctuelles, l� o� le virage � gauche pourrait causer des probl�mes.

Voir autre billet.

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Dans la version papier de l'article ci-bas, cette citation savoureuse d'un copropri�taire du Maurice: "Un fumeur consomme de 30 � 40% plus (de boisson) qu'un non-fumeur, c'est prouv�"... Rappelons que selon un sondage de la firme L�ger Marketing (janvier 2006), 83 % de la population appuie l�interdiction de fumer dans les bars, restaurants et autres endroits publics.

Source: Jean-Fran�ois Cliche, Le Soleil, 29 mai 2006.

En tant que telle, l�application de la nouvelle loi sur le tabac ne devrait pas s�av�rer tr�s difficile, ont estim� hier plusieurs propri�taires de bar interview�s par Le Soleil. Ce sont plut�t ses � effets secondaires � qu�ils redoutent.

� �a (se pr�parer � la nouvelle loi) n�a pas demand� de faire grand-chose, � part poser des affiches et sensibiliser nos habitu�s. Il y en a m�me qui ont d�j� arr�t� de fumer �, dit Isabelle Blasco, propri�taire du Jules et Jim, sur l�avenue Cartier.

M�me son de cloche du c�t� de Lili Jodoin, du Fou-Bar, sur Saint-Jean : une fois les affiches install�es et les clients avertis, son travail �tait fait. � On ne sait pas encore si �a va �tre dur � g�rer. Il faut se donner quelques semaines pour voir �, ajoute-t-elle.

De plus gros �tablissements, comme le Dagobert et le Maurice, sur la Grande All�e, ont d� tenir des r�unions d�employ�s pour mettre tout le monde au parfum.

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Source: Jean-Fran�ois N�ron, Le Soleil 28 mai 2006

La passion a gagn� la mairesse de Qu�bec Andr�e Boucher, hier, lorsqu�elle regardait la troisi�me p�riode du match Remparts � Wildcats. Mais pas assez pour �clipser sa raison qui lui interdit toujours de participer � la construction d�un nouveau Colis�e.

� La victoire ne change rien. Ce que la population d�sire, ce n�est pas n�cessairement un club de la Ligue nationale mais un �v�nement qui est capable de la faire vibrer, qui pr�sente des h�ros. �

La mairesse Boucher sait pertinemment que la victoire d�hier ram�nera dans l�actualit� l�id�e de construire un amphith��tre sportif tout neuf dans la capitale. Et pourquoi pas, le r�ve du retour d�une �quipe de la LNH.

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Source: Site Internet La Maison du 21e si�cle.

Voici quelques liens internets sur le sujet des champs �lectromagn�tiques dans les demeures... De plus en plus consid�r�s comme source de pollution au m�me titre que la pollution de l'air, de l'eau et des aliments...

http://www.21esiecle.qc.ca/CEMcanadiennes.htm

http://www.21esiecle.qc.ca/cem_sante.html

http://www.21esiecle.qc.ca/geobiologie.htm

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Source: Radio-Canada (Qu�bec), 29 mai 2006.

Les nouveaux champions de la Coupe Memorial sont de retour au bercail. Apr�s une longue nuit d'autobus, les Remparts de Qu�bec ont �t� accueillis par une foule nombreuse � leur arriv�e au Colis�e de Qu�bec, lundi.

La suite.

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Source: Isabelle Audet, La Presse.

"Le peu qu'on peut faire, le tr�s peu qu'on peut faire, il faut le faire..."
Th�odore Monod

Difficile d'ignorer les signes de d�t�rioration de la nature. Les gouvernements, les groupes �cologistes et les entreprises productrices d'�nergie s'en font r�guli�rement l'�cho. Mais ces avertissements portent-ils fruit?

En partie, oui. Chez Hydro-Qu�bec, pr�s de 580 000 m�nages ont rempli depuis 2004 le formulaire du programme Diagnostic mieux consommer. C'est presque 300 000 clients de plus que souhaitait la soci�t� d'�tat au d�part.

Tous les participants ont re�u des conseils pour r�duire leur consommation d'�nergie � la maison. D'apr�s Hydro-Qu�bec, ces suggestions ont �t� suivies par plusieurs clients. En 2005 seulement, les m�nages desservis par la soci�t� ont �conomis� au total 205 gigawatts d'�lectricit�, soit l'�quivalent de l'alimentation de 12 300 foyers pendant un an.

Ce programme, ajout� � d'autres, comme le D�fi d'une tonne du gouvernement f�d�ral ou la campagne Un geste � la fois d'�quiterre, lance des id�es aux consommateurs. (...)

Voir la suite.

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Source: Site Internet de la Ville de Qu�bec

La Ville de Qu�bec lance son concours sur les M�rites d'architecture 2006. L'activit� vise � souligner les r�ussites architecturales que compte la ville de Qu�bec.

� suivre...

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Encore une autre photo pris un samedi soir venteux...

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Source: Fr�d�rick Masson, Qu�bec Hebdo 24 mai 2006

L�utilisation des sacs jetables est pratiquement r�volue dans le Faubourg Saint-Jean-Baptiste. Un grand pas a n�anmoins �t� fait dans cette direction alors que quatorze propri�taires de commerces en alimentation sp�cialis�e ont particip� � la cr�ation d�un sac �cologique, lequel sera mis en vente � compter de ce dimanche, 28 mai.

R�alis�e en collaboration avec Alterna �co-Solutions, qui a recours � des entreprises de travail adapt� pour personnes ayant un handicap, l�initiative � saveur �cologique s�inscrit dans une volont� commune des commer�ants du secteur de sensibiliser leurs clients � l�importance de prot�ger l�environnement. (...)

C�est donc avec cet objectif en t�te que ceux-ci ont pens� � cr�er un sac grand format � fond plat, dot� d�une bandouli�re rembourr�e et d�une pochette pour le portefeuille.

�En moyenne, on estime que chacun des 5 675 m�nages du quartier Saint-Jean Baptiste consomme dix sacs par semaine, souligne Natalie Delorme, propri�taire d�Alterna �co-Solutions. Ce qui veut dire que dans le Faubourg seulement, 56 750 sacs sont utilis�s et jet�s en une semaine. Cela repr�sente pr�s de trois millions de sacs annuellement sans compter ceux consomm�s par les touristes.�

Afin de rendre leur sac �cologique abordable, les commer�ants ont convenu de le vendre au prix co�tant, soit 5 $ plus taxes. La Caisse populaire de Qu�bec, la Ville de Qu�bec et l�Association des gens d�affaires du Faubourg ont aussi contribu� financi�rement au projet afin de favoriser son succ�s. L�illustration qui d�core le sac a �t� r�alis�e par V�ronique Thibault. Rappelons qu�en mars dernier, le groupe de commer�ants avait lanc� un concours ouvert aux artistes r�sidant ou travaillant dans le Faubourg Saint-Jean-Baptiste afin de trouver l�image parfaite pour leur projet.

D�s le 28 mai, le sac �cologique officiel du Faubourg Saint-Jean-Baptiste sera disponible chez : P�cheur en Ville; Le Paingr�el; Boucherie W.E. B�gin; �picerie J.P. Langlois; Pain, Pizza et Dolce Vita; �picerie Europ�enne; Br�lerie de caf� de Qu�bec; Choco-Mus�e �rico; D�lices Saint-Jean; Le CRAC, aliments sains; �picerie J.A. Moisan; Tutto Gelato; D�licatesses Tonkinoises; et Le Panetier Baluchon.

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Source: Denis Fortin, Qu�bec Hebdo 24 mai 2006

Le d�put� provincial de Charlesbourg, �ric R. Mercier, s�est r�cemment fait le porte-parole de la ministre de la Culture et des Communications du Qu�bec, Line Beauchamp, pour attribuer une aide financi�re de 140 000 $ � la fabrique Saint-Charles-Borrom�e pour la r�alisation de travaux d�installation d�un syst�me de protection incendie � l��glise Saint-Charles-Borrom�e de la 1re Avenue dans le Trait-Carr�.

Cette somme est accord�e en vertu de l�entente conclue entre le minist�re de la Culture et des Communications et la Fondation du patrimoine religieux du Qu�bec.

Voir autres billets. 1 2 3

�Les �difices religieux sont des rep�res identitaires tr�s forts dans les communaut�s et ce, tant dans les milieux urbains que ruraux, a mentionn� �ric R. Mercier. Au-del� de sa valeur historique, architecturale et symbolique, l��glise de Charlesbourg demeure un t�moin important de la soci�t� qu�b�coise�.

Le d�put� estime de plus qu�il est de la responsabilit� de tous les citoyens d�assurer la conservation de ce pr�cieux legs et de faire en sorte de le transmettre aux g�n�rations suivantes.

�C�est pour cette raison que notre gouvernement poursuit ses efforts en vue de restaurer les �l�ments les plus significatifs de ce patrimoine unique. Nous y parviendrons d�ailleurs en collaboration avec la population et les partenaires locaux�, a conclu �ric R. Mercier.

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Source: Jancimon Reid, Qu�bec Hebdo 25 mai 2006

Depuis quelques jours, la berge Nord de la rivi�re Saint-Charles qui longe un segment du boulevard Wilfrid-Hamel � Vanier subit toute une m�tamorphose. Les pelles et les bulldozers ont entrepris de jeter par terre le mur qui demeure l�un des t�moins imp�rissables de la �b�tonisation� des berges popularis�e par le pass�. Il s�agit de la Phase III du programme de renaturalisation des berges, dont les co�ts s��l�vent � 5,4 M $ partag�s �quitablement entre le gouvernement du Canada, le gouvernement du Qu�bec et la Ville de Qu�bec.

La Fondation de la faune du Qu�bec pr�voit �galement investir 350 000 $ dans le projet. Les travaux, qui s��tendent sur les berges situ�es entre les ponts Lavigueur et Marie-de-l�Incarnation, devraient prendre fin en novembre. C�est toutefois au printemps 2007 que le plantation des v�g�taux sera compl�t�e.

Voir autre billet. 1 2

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Source: Fran�ois Simard, Qu�bec Hebdo 25 mai 2006

Suscitant un int�r�t croissant dans la population, le Conseil de bassin de la rivi�re du Cap-Rouge a adopt�, pour 2006, un plan d�action dont le premier objectif est d�obtenir la reconnaissance du cours d�eau comme rivi�re prioritaire au sens de la politique nationale de l�eau. Et malgr� des moyens et des ressources limit�s, les artisans de l�organisme entendent mettre tous les efforts n�cessaires pour y arriver.

Stimul�s par la belle participation � l�assembl�e g�n�rale annuelle tenue il y a quelques semaines et par un effectif en hausse, les dirigeants du conseil de bassin entrevoient l�avenir avec optimisme. �Nous sommes un jeune organisme d�� peine trois ans mais nous avons d�j� accompli plusieurs choses, souligne le pr�sident Normand Villeneuve. Les gens sont de plus en plus pr�occup�s par les questions environnementales et nous leur donnons l�occasion d�agir concr�tement directement dans leur milieu.� (...)

La suite.

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Source: Radio-Canada Qu�bec, 29 mai 2006

L'industrie de la construction de la r�gion a le vent dans les voiles. Avec les investissements promis notamment pour la modernisation de l'a�roport international Jean-Lesage, l'agrandissement du centre de recherche du Centre hospitalier de l'Universit� Laval (CHUL), l'am�lioration de l'usine de raffinage d'Ultramar � L�vis, la r�gion conna�t un sommet jamais �gal� en trente ans.

Les heures travaill�es dans le secteur de la construction commerciale et r�sidentielle ont augment� de plus de 20 % comparativement � 5 % pour l'ensemble du Qu�bec.

L'�conomiste � la Commission de la construction du Qu�bec, Louis de la Grave, ne voit par ailleurs aucun signe de diminution importante pour les prochaines ann�es. Il estime que le nombre de travailleurs actifs devrait se maintenir au m�me niveau, soit autour de 20 000.

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Source: L�a M�th�-Myrand, Le Soleil 26 mai 2006

L�opposition municipale exige plus d�information avant d�autoriser la restauration � grands frais du monument � Samuel de Champlain, �rig� sur la terrasse Dufferin.

Lors de sa derni�re s�ance, le comit� ex�cutif de la Ville de Qu�bec recommandait l�octroi de 600 000 $ pour payer la r�fection du socle en pierre sur lequel repose la statue de Samuel de Champlain, fondateur de Qu�bec et gouverneur de la Nouvelle-France. (...)

Pas assez d�information

� On a demand� que ce projet soit retir� de l�ordre du jour parce qu�on n�avait pas assez d�information. On a vu qu�il fallait aller chercher du granit en Europe alors qu�il y a des carri�res de granit ici, fait valoir Isabelle Pelletier, porte-parole du cabinet de l�opposition. Si on est capable d�obtenir plus d�information, on va analyser le projet et on verra ensuite. �

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Source: L�a M�th�-Myrand, Le Soleil 26 mai 2006

Trente-cinq millions huit cent mille dollars seront investis dans de nouveaux �quipements pour le traitement de l�eau potable � Charlesbourg. La moiti� de la facture sera assum�e par la Ville de Qu�bec, alors que les gouvernements provincial et f�d�ral se partageront le reste gr�ce au programme Travaux d�infrastructure Canada-Qu�bec.

Une nouvelle usine de filtration d�eau verra le jour � l�est du lac des Roches, � Charlesbourg, flanqu�e d�un r�servoir souterrain d�une capacit� de 30 000 m3.
(...)

� On essaie de faire en sorte que l�usine soit en op�ration au d�but 2008 �, a annonc� Ralph Mercier, vice-pr�sident ex�cutif de la Ville de Qu�bec. La construction est conditionnelle � l�approbation du conseil municipal et du conseil d�agglom�ration, mais le d�but des travaux est pr�vu au printemps 2007.

Le nouvel �quipement permettra de subvenir aux besoins en eau potable de 72 000 personnes sur le territoire. Le centre de traitement de Charlesbourg pourra �galement alimenter les secteurs voisins lors de p�riodes critiques.

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Source: Pierre Pelchat, Le Soleil 25 mai 2006

Les voyageurs qui transiteront par l�a�roport de Qu�bec au cours des prochains mois doivent s�attendre � quelques d�sagr�ments en raison des travaux de modernisation de 65,8 millions $ qui d�buteront en septembre prochain.

L�a�rogare de Qu�bec sera compl�tement coup�e en deux l�automne prochain. Toute la section centrale de l�a�rogare o� on retrouve la salle d�attente pour les vols int�rieurs, le restaurant, la zone pour les contr�les de s�curit� sera compl�tement d�molie. On y construira une nouvelle partie sur deux �tages qui sera unie � la section pour les vols internationaux, laquelle a �t� inaugur�e dans les ann�es 90. (...)

Voir autres billets. 1 2

Des comptoirs de compagnies a�riennes situ�s pr�sentement dans la zone vou�e � la d�molition seront d�m�nag�s dans la r�cente section internationale. On pense ici � NorthWest et � Continental, qui assurent la liaison avec Detroit et New York. D�autres transporteurs pour les vols int�rieurs seront d�plac�s dans la partie ouest du vieux terminal pr�s du carrousel � bagages.

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Me voila de retour !

Source: Claude Vaillancourt, Le Soleil 25 mai 2006

La Ville de Qu�bec affiche un excellent score au chapitre de la consommation de l�eau mais l�objectif est de r�duire encore de 10 % cette m�me consommation d�ici trois ans.

Par rapport au Canada, au Qu�bec et � l�Ontario, la Ville de Qu�bec affiche une consommation de 542 litres par personne, par jour, alors que sur l�ensemble du territoire canadien, elle est de 627 litres. Ces donn�es, qui laissent croire que les citoyens de Qu�bec boivent malgr� tout de l�eau en quantit� industrielle vient du fait que cette mesure inclut non seulement les usages r�sidentiels, mais aussi l�utilisation industrielle, commerciale et institutionnelle en plus des fuites sur le r�seau qui, � elles seules, comptent pour 17 % de la r�partition de la consommation. Pour le Qu�bec, cette m�me consommation est de 777 litres par personne contre 558 pour l�Ontario.

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Petite note technique en ce lundi matin ensoleill�:

Comme plusieurs l'ont constat�, le forum a �t� victime, pour la Xe fois d'un hacker peu scrupuleux. Les dommages sont lourds, mais nous avons une copie de sauvegarde.

Comme pr�vu lors du changement de la garde la semaine derni�re, nous proc�derons � une mise � jour de l'outil de forum et � sa r�animation dans la journ�e.

D'autres changements techniques suivront! Merci de votre patience.

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Source: site des chantiers de l'Universit� Laval.

La transformation graduelle du pavillon Ferdinand-Vandry en un vaste complexe de formation en sciences de la sant� s�est amorc�e le 22 mai avec le d�but des travaux de d�molition de l�aile ouest et de l�excavation n�cessaire � l�agrandissement du pavillon. (...)

La suite. Voir aussi cet autre billet.

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Impossible d'y �chapper au retour du printemps: c'est comme avec les t�l�vendeurs de cellulaires! Pendant qu'une pluie intermittente s'abat sur Qu�bec en ce vendredi soir, cette "nouvelle" r�currente, donc, � ajouter aux incessantes campagnes visant � obliger le "casse" de v�lo; � ces alertes � l'herbe � poux et aux dangers du plein-air � cause du virus du Nil, des hamburgers mal cuits (ou trop gras!) et des piq�res de gu�pes... Nommez-en!

Dans ce m�me objectif de surprotection face � un environnement qu'on d�crit si hostile hors du sous-sol de la maison, � quand par exemple l'interdiction aux enfants de grimper dans les arbres?

Source: Radio-Canada (Qu�bec), 26 mai 2006.

Les Villes de Qu�bec et de L�vis ont joint l'Association canadienne de dermatologie pour faire de la pr�vention contre les dangers de l'exposition au soleil et r�it�rer les r�gles de base pour se pr�munir contre le cancer de la peau.

(...) Jo�l Claveau [dermatologue] souligne qu'il ne suffit pas d'appliquer g�n�reusement un �cran solaire pour �tre � l'abri des rayons nocifs du soleil. Il indique qu'il faut se prot�ger et apprendre � aller � l'ext�rieur en conservant ses v�tements. Il mentionne que des v�tements anti UV sont notamment disponibles pour les enfants.

La suite. Voir aussi cet autre billet.

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Pourquoi pas les mesures exprim�es ci-bas, � Qu�bec aussi, consid�rant en particulier un certain comportement d�testable (en caract�re gras) envers les pi�tons que j'ai maintes fois d�plor� dans Qu�bec Urbain?

Source: Alain Perron, Progr�s Villeray, (Montr�al), 25 mai 2006.

(...) Au cours de cette campagne [depuis le 22 mai], les policiers m�neront des interventions aupr�s de deux client�les cibles, soit celle des cyclistes et des automobilistes, jusqu�au 18 juin, et celle des jeunes du primaire, jusqu�au 7 septembre.

(...) Par ailleurs, les policiers �mettront des constats d�infraction aux usagers qui auront des comportements t�m�raires, insouciants ou risquant de causer des accidents. Une attention particuli�re sera port�e envers les cyclistes qui n�immobiliseront pas leur bicyclette face � un feu rouge ou � un arr�t obligatoire. Le non-respect de ces r�gles de s�curit� est passible d�une amende de 37 $ et de trois points d�inaptitude.

De plus, les policiers pourront �mettre un constat d�infraction de 37 $ aux cyclistes qui circuleront � contresens de la circulation ou sur le trottoir et de 52 $ � ceux qui porteront un baladeur ou des �couteurs en conduisant une bicyclette.

La suite. Voir aussi cet autre billet.

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Une autre photo prise un samedi soir venteux...

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Source: Val�rie Gaudreau, Le Soleil 24 mai 2006

Am�nager un parc industriel ax� sur la technologie pour dynamiser l�a�roport ? L�id�e lanc�e par Andr� Boisclair peut sembler neuve. Mais elle est pourtant dans l�air depuis un bon bout de temps.

� M�me apr�s la r�fection de l�a�roport de Qu�bec, il restera plus d�un million de pieds carr�s de terrain disponibles dans ce secteur �, a rappel� mardi le chef du Parti qu�b�cois dans un discours sur sa vision de la capitale.

Id�al, donc, pour y am�nager un parc industriel � l�heure o� ceux de la r�gion atteindront bient�t leur pleine capacit�. De plus, le lieu est tout indiqu� pour relier l�Institut national d�optique et le centre de recherche de Valcartier, estime Andr� Boisclair.

Chez P�le Qu�bec Chaudi�re-Appalaches, on se r�jouissait hier du discours du chef p�quiste. � C�est une id�e que nous avons explor�e, affirme Philippe Gabelier, qui s�occupe de d�veloppement international chez P�le. Nous avons m�me fait des pr�sentations � certains intervenants pour faire valoir que la zone de l�a�roport serait int�ressante. �

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Source: Claude Vaillancourt, Le Soleil 24 mai 2006

Le maire de Saint-Augustin, Marcel Corriveau, a fait le pari, hier soir, que le projet de modifier le zonage du c�ur patrimonial de sa municipalit� pour y permettre l�implantation d�un march� d�alimentation serait accept� � 90 % si un r�f�rendum �tait r�clam�.

Convaincu de la n�cessit� d�implanter ce type de � commerce de proximit� � pour r�pondre aux besoins de la population du centre de la municipalit�, le maire Corriveau est lui-m�me mont� aux barricades pour d�fendre ce projet d�une quinzaine de millions de dollars, dont 5 � 6 millions $ pour la construction de l�immeuble de 42 000 pieds carr�s, le promoteur � qu�il refuse de nommer � �tant absent � l�assembl�e d�information promise aux citoyens. (...)

Commentaires s�v�res

� en juger par les commentaires s�v�res port�es contre certaines cha�nes d�alimentation, tout indique qu�il s�agit d�un march� Metro. La zone est actuellement desservie par un Provigo de 28 000 pieds carr�s, � presque un d�panneur, avec tout le respect que j�ai � son endroit �, a comment� le directeur g�n�ral de la Ville, Mohamed Mad�ne. Sept r�sidences ont d�j� �t� achet�es par le promoteur, le long de la route 138, pr�s de la route Fossambault, pour y �tablir le commerce.

Les principales objections �manent du milieu culturel, qui voit dans cette implantation une �rosion de la qualit� de vie. S�affrontent ainsi les tenants d�une vie communautaire orient�e autour de l��glise toute proche et ceux qui l�articulent autour du supermarch�.

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Source: Claude Vaillancourt, Le Soleil 24 mai 2006

La Ville de Saint-Augustin-de-Desmaures va pouvoir enfin construire un nouveau r�servoir d�eau potable, ce qui devrait permettre de poursuivre, sans aucune inqui�tude, le d�veloppement du secteur Les Bocages.

� C�est un projet sur lequel nous travaillions depuis plusieurs ann�es �, de dire le directeur g�n�ral de la Ville, Mohamed Mad�ne. � Il �tait inscrit au Plan triennal d�immobilisation (2003-2005) de la Ville de Qu�bec et il n�avait pu �tre r�alis� � l��poque. �

Le contrat pour la construction du nouveau r�servoir a �t� accord� par la Ville de Qu�bec puisqu�il s�agit d�une d�pense d�agglom�ration. C�est la compagnie Wilfred Allen Lt�e, de L�vis, qui a pr�sent� la plus basse soumission, avec une offre de service de 2 051 807 $, soit pr�s de 100 000 $ de moins que les deux autres entreprises qui se sont manifest�es lors de l�appel d�offres.

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Source: Radio-Canada Qu�bec, 25 mai 2006

C'est aujourd'hui que les gouvernements f�d�ral et provincial devraient donner le feu vert au projet d'agrandissement et de modernisation de l'a�roport international Jean-Lesage de Qu�bec.

La participation des deux gouvernements dans ce projet de pr�s de 66 millions de dollars est attendue depuis longtemps. La direction de l'a�roport sollicite 15 millions de dollars de chacun des gouvernements. (...)

Voir autre billet.

Le gouvernement Charest aurait finalement d�cid� d'accorder davantage que les 10 millions de dollars garantis dans son dernier budget. Le premier ministre Jean Charest confirmerait aujourd'hui la participation de son gouvernement dans ce projet. Les ministres Jean-Pierre Blackburn et Jos�e Verner feraient de m�me pour le gouvernement f�d�ral.

Ces investissements ont pour but d'augmenter de 50 % le nombre de voyageurs qui transitent par l'a�roport de Qu�bec et de le faire passer de 800 000 � plus de 1,2 million par ann�e.

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Source: Denis Fortin, Qu�bec Hebdo 24 mai 2006

Un projet ent�rin� par les membres du conseil d�administration de la Soci�t� historique de Charlesbourg (SHC) en janvier 2004 dans le but de souligner les efforts d�ploy�s par les Charlesbourgeois dans la sauvegarde et la mise en valeur du patrimoine a connu son point culminant le 19 mai dernier alors que l�on a remis les toutes premi�res mentions de ce qu�on appelle le projet �Reconnaissance-patrimoine�.

Les mentions ont �t� d�cern�es dans les trois cat�gories suivantes : la conservation et la pr�servation du patrimoine, l�interpr�tation et la diffusion et le porteur de tradition. Ces marques de reconnaissance ont �t� attribu�es de mani�re � servir de mod�les et d�encouragement dans le milieu et qu�elles produisent un effet d�entra�nement. (...)

C�est ainsi que May Villeneuve a re�u une mention dans la cat�gorie porteur de tradition et pour la conservation du patrimoine familial. Jean-Paul Dumont et Monique Ruel ont �t� prim�s pour avoir r�ussi avec brio la restauration d�un b�timent historique dans le secteur du Trait-Carr�. Le commerce Coup d��clat esth�tique propri�t� de Mireille Migneault et Richard Long a pour sa part re�u une mention pour la qualit� de leur enseigne.

Les propri�taires d�une maison situ�e sur la rue Notre-Dame, Yvan Cyr et Martine Fraser, ont pour leur part m�rit� une mention pour avoir r�ussi la restauration de leur r�sidence, pour avoir construit un atelier et pour la qualit� de leur enseigne. Le couple avait aussi remport� la palme de la cat�gorie Entretien-pr�servation des M�rites d�architecture de la Ville de Qu�bec.

C�est un comit� compos� de cinq personnes, Sabine Rioux, Ruth Giroux-Allaire, Yvette Boulanger Charles Lefebvre et Ren� Cloutier, qui a d�termin� les noms des gagnants. Ce comit� s�est r�uni � trois reprises et a choisi les propri�taires qui ont m�rit� les premi�res mentions de ce projet qui devrait �tre de retour en 2007.

Valeurs patrimoniales

Invit� � prononcer une allocution au chalet des Loisirs Maria-Goretti, Ralph Mercier a vant� le travail abattu par les membres de la Soci�t� historique de Charlesbourg dans la conservation des �l�ments du patrimoine qui distinguent l�arrondissement de Charlesbourg.

�Il y a de quoi �tre fier du d�veloppement patrimonial de notre territoire, a indiqu� M. Mercier. On y d�nombre de nombreuses maisons d�sign�es patrimoniales qui se sont d�velopp�es au cours des si�cles. � ce niveau, on se doit de f�liciter les membres de la SHC pour ce qu�ils ont fait et ce qu�ils feront dans l�avenir�.

�Vous �tes de vrais bons �l�ments pour conserver le patrimoine, a poursuivi Ralph Mercier. Des gens actifs comme vous sont des plus utiles pour notre arrondissement qui d�nombre pas moins d�une cinquantaine de r�sidences qui ont �t� r�nov�es en respectant les valeurs patrimoniales�.

La nouvelle pr�sidente de la SHC, Sabine Rioux, �tait pour sa part tr�s heureuse de la tournure des �v�nements m�me si elle a avou� devoir chausser de grands souliers en parlant de celle qu�elle succ�de, Ruth Giroux-Allaire.

�Le projet �Reconnaissance-patrimoine� est l� pour rester. Ce que je souhaite est que les professeurs d�histoire des �coles de Charlesbourg s�int�ressent de plus en plus au patrimoine de Charlesbourg�, a conclu Mme Rioux.

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Source: Isabelle Audet, La Presse 23 mai 2006

La r�cup�ration � son maximum !?

Vivre dans un conteneur? C'est la derni�re trouvaille d'une poign�e d'artistes britanniques, qui se sont install�s sur le bord de la Tamise, � l'ombre des �difices futuristes du quartier des affaires de Londres. Rien � voir avec un bidonville, le projet fait l'envie des promoteurs... jusqu'� Montr�al.

Container City ressemble � un immense jeu de Lego. Comme des blocs empil�s par les mains maladroites d'un enfant, les conteneurs forment un ensemble asym�trique color�. Avec des loyers moins chers que la moyenne londonienne, il n'en fallait pas plus pour que des artistes s'approprient ces immeubles originaux.

Les 60 appartements, construits � partir de 123 conteneurs, sont empil�s au bout d'un quai n�glig� dans Docklands, un secteur maritime encore tr�s industriel de Londres. � un jet de pierre, les pinces du ferrailleur voisin ne feraient certainement qu'une bouch�e du complexe m�tallique. (...)

La suite.

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Source: Radio-Canada Qu�bec 24 mai 2006

Les serres o� sont cultiv�es les plantes qui servent � l'am�nagement paysager du Jardin zoologique du Qu�bec seront d�mont�es au cours des deux prochaines semaines.

Les membres de S.O.S. Zoo s'inqui�tent: � �a, c'est un premier pas vers le d�mant�lement. Ils ne pourront peut-�tre pas d�manteler beaucoup de choses pour le moment parce qu'il y a encore beaucoup d'animaux sur le terrain, mais des b�timents de service comme �a, ils vont s'arranger pour les d�manteler �, d�clare la porte-parole du groupe, France Vachon. (...)

Voir autres billets. 1 2 3 4 Et le reste dans les archives.

Les discussions pour transformer le Jardin zoologique du Qu�bec en parc public et en �cole d'horticulture sont en cours. Toutefois, la Commission scolaire des Premi�res-Seigneuries et la Commission de la capitale nationale confirment qu'il n'est pas encore certain que ces projets soient r�alis�s.

La Soci�t� des �tablissements de plein air du Qu�bec (SEPAQ), qui g�re le Jardin zoologique, refuse de confirmer ou d'infirmer ces informations. Quoi qu'il en soit, S.O.S Zoo ne baisse pas les bras et promet de poser des actions publiques dans les semaines � venir, pour relancer la sauvegarde du zoo.

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Source: Jean Pascal Lavoie, Qu�bec Hebdo 24 mai 2006

Une p'tite nouvelle rafraichissante ! ;)

� l'ombre du Palais de justice de Qu�bec m�rit depuis 1997 la microbrasserie La Barberie. Cette entreprise coop�rative se d�veloppe au m�me rythme que le go�t des Qu�b�cois pour les vraies bonnes bi�res:de plus en plus rapidement.

Forte d'une croissance annuelle de 30% depuis quatre ans, La Barberie donne un grand coup en faisant passer sa capacit� de brassage � 10 000 litres par semaine, soit 4 000 de plus hebdomadairement. � la suite d'investissements de 225 000$ cet hiver, 16 nouveaux fermenteurs sont d�sormais en op�ration pour le plus grand plaisir des amateurs de houblon.

L�id�e de la Barberie a germ� dans la t�te de trois amis barbus il y a un peu plus d�une dizaine d�ann�es. Bruno Blais, directeur-g�n�ral et l�un des fondateurs, se souvient que la recherche de capitaux n�a pas �t� de tout repos. L�apparition du trio dans les banques et autres institutions suscitait bien des froncements de sourcils. (...)

La suite.

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Source: Denis Fortin, Qu�bec Hebdo 24 mai 2006

Quelque 160 personnes, un nombre bien plus �lev� que ce que les responsables de l�Assembl�e de fabrique s�attendaient, ont particip� le 18 mai dernier � l��glise Sainte-Maria-Goretti � l�annonce des d�cisions quant � l�avenir des trois lieux de culte et du centre pastoral de la paroisse Saint-Charles-Borrom�e dont la plus importante est certes la fermeture de l��glise Sainte-Maria-Goretti en date du 1er juin 2007.

�Nous avons remarqu� la pr�sence de paroissiens provenant de toutes les composantes de notre communaut�, a mentionn� le responsable des communications de la paroisse Saint-Charles-Borrom�e, Jean Duval. On a m�me eu droit � des applaudissements � la fin de la rencontre. Nous n�avions pas n�cessairement de bonnes nouvelles � annoncer mais je crois que le s�rieux de la d�marche qui a men� � la prise des d�cisions en a rassur� plusieurs�.

La suite. Voir autres billets. 1 2

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� la demande g�n�ral, voici une autre photo hi hi hi ;)
Photo pris un samedi soir venteux

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Photo pris un vendredi soir tr�s venteux. Bbrrrr !

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Source: Statistiques Canada (Revenu des particuliers), 23 mai 2006.

En 2004, le revenu total m�dian des particuliers a augment� pour la premi�re fois en trois ans. Le revenu total m�dian des particuliers s'est �tabli � 24 400 $, en hausse de 1,5 % par rapport � 2003.

Le point m�dian est celui o� la moiti� des revenus sont plus �lev�s et l'autre moiti� des revenus sont inf�rieurs.

Le Greater Sudbury / Grand Sudbury a �t� la r�gion m�tropolitaine de recensement o� on a observ� la plus forte hausse du revenu total m�dian (+2,8 %), suivi d'Edmonton (+2,2 %), de Qu�bec (+2,0 %) et de Calgary (+2,0 %). (...)

Merci � G�rald Gobeil pour nous avoir communiqu� cette information.

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F�te nationale: France d'Amour animera � Qu�bec (Source: Radio-Canada Qu�bec)

(...) Pour l'�dition 2006 [23 juin], France d'Amour sera entour�e des groupes Les Respectables, Mes Aieux [photo], Corbach et de la rockeuse Marjo. Les jeunes chanteuses de la rel�ve Andr�e Watters et Anik Jean seront aussi de la f�te.

� l'image des ann�es pr�c�dentes, les festivit�s se poursuivront jusqu'aux petites heures du matin avec Vincent Valli�res, les Cowboys fringants et St�r�otaxie.

La suite, et le site de la F�te nationale.

Du site du Festival d'�t� de Qu�bec:

L�organisation du Festival d��t� de Qu�bec l�ve aujourd�hui le voile sur quatre de ses Grands �v�nements Desjardins 2006, premi�res locomotives d�un train de spectacles qui frappera fort lors de son entr�e en gare le 6 juillet prochain. Scorpions, Twisted Sister, Rick Wakeman, Natalie Choquette et Jean-Pierre Ferland !!!

Voir aussi cet autre billet.

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Source: Site Internet du projet Le Marigot

Sur ce site, on peut lire et voir o� en est rendu le projet Le Marigot.
Malheureusement, le site n'est pas mis � jour r�guli�rement.

Voir autres billets 1 2 3 ...

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Source: LE SOLEIL, 23 mai 2006

D�s demain (jeudi), le R�seau de transport de la capitale (RTC) met 300 espaces de stationnement � la disposition des usagers du M�trobus Beauport, de l'Express 250 et des lignes 53 et 12.

Ce parking gratuit est sur le terrain autrefois occup� par les Galeries Sainte-Anne, � l'intersection de la rue D'Estimauville et du boulevard Sainte-Anne; il a �t� lou�, pour trois ans, � la ville de Qu�bec. Ce Parc-O-Bus remplace celui des Galeries La Canardi�re, devenu insuffisant. (...)

Le RTC rajuste son offre au moment o� l'acc�s � la Colline parlementaire est devenu extr�mement difficile � l'heure de pointe, en raison des travaux sur les bretelles de l'autoroute Dufferin-Montmorency. Jusqu'� la fin de ces travaux d'ailleurs, le trajet de l'Express 250 est d�vi� vers le boul. des Capucins o� une voie r�serv�e a �t� am�nag�e.

C'est le 23e Parc-O-Bus du RTC, qui offre pr�s de 1500 places de stationnement � ses utilisateurs habitant en p�riph�rie de la capitale. Le stationnement des ex-Galeries Sainte-Anne est nettement le plus gros de tous.

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Source:L�a M�th� Myrand, Le Soleil 20 mai 2006

La Maison Dauphine ouvrait grandes ses portes hier pour exhiber la cr�ativit� et la d�brouillardise des jeunes de la rue. � peine sommes-nous entr�s qu�un grand bruit nous fait sursauter. C�est Richard Jr B�dard qui fait tout ce tapage en assemblant des bracelets en cuir � l�aide de rivets. Il partage sa table de travail avec un autre artisan pr�sentant des t�tes de mort et autres figurines en argile.

� J�ai pas toujours �t� sage, mais je serai pas toujours un bum non plus �, dit-il. Richard Jr B�dard a pass� deux ans dans la rue et a souvent sollicit� l�aide de la Maison Dauphine. Aujourd�hui, � 20 ans, il fait de petits boulots pour l�organisme et donne un coup de main en signe de reconnaissance.

Dans la pi�ce voisine, des vid�os tourn�s avec la collaboration de la cin�aste Manon Barbeau jouent en boucle, et au troisi�me �tage, une pi�ce a �t� enti�rement meubl�e, am�nag�e et d�cor�e par 14 jeunes avec des objets et des mat�riaux recycl�s.

Le programme Cr�ateurs de rue, mis en place par la Maison Dauphine, vise � faire adopter aux jeunes en difficult� un rythme de vie sain : se lever de bonne heure, manger � des heures r�guli�res (la maison offre les d�jeuners et les d�ners aux participants), collaborer entre eux et interagir sur un mode respectueux.

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Source: Site Internet la promenade Samuel-De Champlain.

Vous �tes curieux de voir comment le corridor du Littoral �volue?
Vous avez acc�s � des photographies r�centes et � un texte renouvel�, � la page suivante du site:
�volution du projet de la promenade Samuel de Champlain

Voir autres billets. 1 2 3

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Source: Jean Pascal Lavoie, Qu�bec Hebdo 23 mai 2006

Les pr�paratifs vont bon train � la Soci�t� du 400e. S'il reste encore plusieurs ficelles � attacher, les grandes lignes de la programmation sont d�j� trac�es et les arrondissements ne seront pas laiss� de c�t�. Des enveloppes ont �t� pr�vues afin que chaque arrondissement puisse souligner comme il se doit cet �v�nement.

R�pondant � une demande des �lus municipaux qui d�siraient �tre mis au fait de l'avancement des pr�paratifs en vue des c�l�brations, Serge Allen, commissaire aux F�tes, et Jos�e Laurence, directrice principale ex�cutive de la Soci�t� du 400e, ont trac� un portrait de ce qui attend la population dans deux ans. (...)

Voir autres billets. 1 2 3 4 5 Et bien d'autres encore dans les archives.

Le coup d'envoi sera donn� le 31 d�cembre 2007 avec un grand spectacle au Colis�e pour d�foncer l'ann�e. Le tout sera retransmis � la t�l�vision et un grand rassemblement est pr�vu au m�me moment � Place d'Youville. La m�me formule a �t� retenue pour le spectacle de cl�ture, organis� par le Cirque du Soleil.

Tout au long des dix mois que dureront les festivit�s, le bassin Louise fera office de site officiel. De nombreuses activit�s y sont pr�vues dont un spectacle multim�dia quotidien utilisant les silos � grain Bunge comme �cran de projection. C'est Robert Lepage qui assurera la mise en sc�ne de cette production.

Du 3 au 6 juillet, les �v�nements anniversaires marqueront le temps fort des c�l�brations. Spectacles, c�r�monies protocolaires et grands rassemblements sont au programme.

Parall�lement aux activit�s officielles, Qu�bec accueillera �galement quelques �v�nements internationaux dignes de mention: le 49e Congr�s eucharistique o� traditionnellement le pape est pr�sent, le Sommet de la francophonie et les Championnats du monde de hockey. Soulignons que le Mus�e du Louvres, qui jouit d'une belle publicit� ces temps-ci avec le Code Da Vinci, pr�sentera une exposition au Mus�e national des beaux-arts, une premi�re nord-am�ricaine.

Arrondissements et transport

Aux �lus qui s'inqui�taient que les arrondissements soient mis de c�t� au profit du centre-ville, M. Allen et Mme Laurence ont assur� que l'enveloppe budg�taire consentie annuellement pour les f�tes de quartier sera g�n�reusement bonifi�e en 2008. Les arrondissements pourront ainsi organiser leurs propres c�l�brations du 400e, garantissant que l'esprit de f�te se r�pandra sur tout le territoire.

Un comit� de transport est �galement mis sur pied pour coordonner le travail de la police, du RTC et des autres intervenants pour �viter que les art�res du centre-ville ne deviennent un immense stationnement � l'occasion des grands �v�nements. Les mesures retenues seront d�voil�es en temps et lieu.

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Source: Radio-Canada Qu�bec 23 mai 2006

La Ville de Calgary songe � contribuer aux F�tes du 400e anniversaire de Qu�bec. Elle pourrait financer une partie de la restauration du Morrin College, dans le Vieux-Qu�bec. Selon le Journal de Qu�bec, une d�l�gation d'Alberta visitera le b�timent mardi apr�s-midi en compagnie de la mairesse de Qu�bec, Andr�e Boucher.

Ce b�timent construit en 1868 rev�t une grande importance pour la communaut� anglophone de Qu�bec.

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Info trouv� dans le journal la Tribune � Sherbrooke, et je pensais que cela pourrais s'appliquer ici � Qu�bec... Une id�e sois-dit en passant.

Source: Denis Dufresne, La Tribune 11 mai 2006

Avec plus du quart de sa population qui vit sous le seuil de la pauvret�, la Ville de Sherbrooke doit s�assurer que les services municipaux et les �v�nements publics, comme les f�tes populaires, soient accessibles � tous.

C�est l�objectif vis� par la Table d�action contre l�appauvrissement (TACA), l�arrondissement de Fleurimont et la chaire McConnell de l�Universit� de Sherbrooke avec la publication de deux guides: un sur la participation citoyenne et l�autre sur la sensibilisation des �lus municipaux.

� Nous voulons d�une part que les �lus tiennent mieux compte de la pauvret� lors de la prise de d�cision, qu�ils facilitent la participation citoyenne des personnes appauvries aux prises de d�cision �, explique Line Marcoux, coordonnatrice de la TACA.

Les �lus et les d�cideurs seront invit�s notamment � combattre les pr�jug�s, faciliter la communication avec la municipalit�, structurer la participation des citoyens et d�terminer leurs comp�tences, en mettant dans le coup les organismes communautaires.

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Source: Radio-Canada Qu�bec 20 mai 2006

Les amoureux de la rivi�re Saint-Charles, � Qu�bec, ont obtenu tout un succ�s, samedi, en attirant plus de 500 personnes � l'occasion de la 10e �dition de la traditionnelle descente de 12 kilom�tres de la rivi�re.

Pour le 400e anniversaire de Qu�bec, la Ville compte s'offrir une rivi�re toute propre avec des berges et sans b�ton. Les canotiers ont v�cu samedi ce qui pourrait �tre demain une rivi�re urbaine accessible � ses citoyens.

Voir autre billet.

Il y a 10 ans, c'�tait un peu moins de trente canots qui effectuaient la premi�re descente de Saint-Charles, une rivi�re en plein centre-ville de Qu�bec et qui �tait longtemps consid�r�e comme un �gout � ciel ouvert.

Parmi les canotiers, des amoureux de la nature de tous les horizons y compris la politique, comme la chef de l'opposition � l'H�tel de Ville, Ann Bourget, et sa coll�gue p�quiste de Taschereau, Agn�s Maltais.

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Source: Fran�ois Cattapan, Qu�bec Hebdo 15 mai 2006

Une autre "vieille" nouvelle !

Une op�ration de solidification d�un des immeubles en copropri�t� du complexe Fran�ois-De-Laval a �t� compl�t�e avec succ�s et satisfaction pour les occupants de ce b�timent qui avaient d� quitter en catastrophe dans la nuit du 7 janvier dernier, � la suite d�un affaissement partiel du stationnement.

Afin de parer � toute �ventualit�, une pr�caution similaire a �t� prise par les copropri�taires des cinq autres �difices voisins du 2761 chemin Sainte-Foy, composant un m�me ensemble de condos. Pour �viter tout probl�me �ventuel de structure, les six b�timents de 1 800 tonnes chacun reposant individuellement sur 18 colonnes ont �t� soulev�s. On a alors remplac� les piliers m�talliques corrod�s par des bases de b�ton. (...)

Le tout a �t� rendu possible par une technique novatrice d'�taiement d'�difice (soutient de structures par v�rins hydrauliques) d�velopp�e par les experts en sous-�uvre de la compagnie H�neault et Gosselin. �Gr�ce � notre intervention, les condos Fran�ois-De-Laval sont maintenant conformes et s�curitaires et les propri�taires sont � l'abri de tout danger�, a affirm� Conrad Gosselin, pr�sident-fondateur de l'entreprise.

Afin de faire conna�tre ces solutions apport�es, une visite de chantier a �t� organis�e le vendredi 12 mai par l�entreprise et les ing�nieurs impliqu�s dans ce projet. L'�v�nement a attir� principalement des professionnels du domaine de la construction et de l'immobilier. Les visiteurs ont eu la chance de voir l'�volution des travaux � partir d�une exposition de photos jusqu�au produit fini. �J'esp�re que cette visite va permettre � d'autres propri�taires de condos d'�chapper aux m�mes probl�mes que nous avons v�cus�, a d�clar� pour sa part Jean-Marc Montmigny, copropri�taire � Fran�ois-De-Laval.

Rappelons que l'�difice sis au 2761 chemin Sainte-Foy s'�tait affaiss� en d�but d�ann�e, alors qu'une colonne de sout�nement en acier avait litt�ralement �clat� dans le stationnement souterrain. Les r�sidants de huit condos avaient d� �tre �vacu�s par les pompiers de Qu�bec, � la suite du blocage de leur porte en raison de l�affaissement structurel. L�acc�s au stationnement avait ensuite �t� ferm�. Construits il y a 23 ans, les six b�timents du complexe immobilier Fran�ois-De-Laval sont d�sormais solides comme jamais.

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Source: Isabelle Audet, La Presse 15 mai 2006

Un jeune couple construit actuellement la premi�re maison individuelle qui pourrait �tre certifi�e LEED au Canada. Les fondations ne sont pas encore coul�es que d�j�, la nature force les futurs propri�taires � modifier leurs plans. La Presse suivra l'�volution des travaux �tape par �tape jusqu'� ce que la maison soit habitable, � l'automne prochain.

�Les chambres des enfants seront l�, et juste au-dessus, nous aurons nos quartiers, Marie-�ve et moi, avec un acc�s � deux terrasses. De partout, on pourra voir les chevreuils qui reviendront s�rement sur notre terrain apr�s la construction de la maison.�

Les yeux p�tillants, Alexandre Thibodeau parle de son futur cottage comme n'importe quel futur propri�taire. � la diff�rence qu'il en g�re lui-m�me la construction, et qu'il pourrait s'agir de la premi�re maison certifi�e LEED (Leadership in Energy and Environmental Design) au Canada.

Le syst�me d'�valuation des b�timents �cologiques reconnu internationalement gagne en popularit� au pays, presque exclusivement aupr�s des gestionnaires d'�difices institutionnels et commerciaux. Quelques complexes r�sidentiels ont aussi embo�t� le pas, mais aucun propri�taire de maison d�tach�e n'avait jusqu'ici tent� l'exp�rience. (...)

La suite.

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Elle aussi "est vieille" comme nouvelle ! Et non je ne fais pas de promotion de la banlieue !

Source: Jean-Nicolas Patoine, Le Soleil 12 mai 2006

Montch�tel, une banlieue comme les autres? Peut-�tre � premi�re vue. Mais une petite promenade en son sein confirme vite qu'il n'en est rien. Le cri des grenouilles en fait foi...

Montch�tel est un secteur du quartier Neufch�tel-Ouest situ� au nord de L'Ancienne-Lorette. Il est compris entre la rue Monseigneur-Cooke � l'est, le boulevard Henri-IV � l'ouest, le boulevard St-Claude au sud et la limite de l'arrondissement Laurentien au nord. Il s'agit de l'un des quartiers de Qu�bec o� il y a le plus de jeunes familles.

�Montch�tel, c'est le triomphe de la qualit� de vie dans un lieu de r�sidence prestigieux. C'est le r�gne du confort � l'int�rieur d'un environnement merveilleux�, peut-on lire dans une brochure qui fait la promotion des premiers d�veloppements immobiliers du secteur (1971-1981).

Il y a en effet plein de raisons pour habiter Montch�tel: la relative proximit� du centre-ville de Qu�bec (25 minutes en voiture), le confort des maisons qui s'y trouvent, la tranquillit�. Mais tous les r�sidants du secteur rencontr�s par Le Soleil - jeunes et moins jeunes - �voquent d'abord l'environnement... la nature. (...)

La suite.

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Source: Michel Munger, LaPresseAffaires.com 19 mai 2006

L'achat d'une propri�t� au Qu�bec d�vore de plus en plus le revenu brut avant imp�t d'un m�nage. Cela fait dire au Groupe Financier RBC que l'achat d'une maison est de moins en moins accessible.

Selon une �tude que les Services �conomiques RBC publient aujourd'hui, la proportion du revenu consacr�e au co�t de possession (incluant les taxes) �tait de 34,8% au premier trimestre 2006. Lors du quatri�me trimestre 2005, elle �tait de 33,7%. Le prix moyen ? Un peu moins de 200 000 $.

Les pr�teurs hypoth�caires consid�rent g�n�ralement qu'un m�nage ne doit pas d�penser au-del� de 32% du revenu brut pour la possession d'une propri�t�. Cela permet de conserver une marge de man�uvre budg�taire pour les autres d�penses et de pr�voir d'�ventuelles hausses de taux d'int�r�t. (...)

La suite.

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Source: �ric Moreault, Le Soleil 20 mai 2006

Les chutes de neige abondantes et le rodage de la nouvelle machinerie ont provoqu� des rat�s. Ce qui a forc� Matrec, le gestionnaire du centre de tri, � empiler papiers, cartons, verre et m�tal p�le-m�le � l�ext�rieur.

Le cafouillage au centre de tri de mati�res recyclables a forc� la Ville de Qu�bec � adopter un plan de redressement. Avec entre autres op�rations le nettoyage des terrains avoisinants.

R�solue � se comporter en bon citoyen corporatif, Qu�bec a demand� � Matrec, qui g�re le site, de ramasser les papiers et cartons qui se sont envol�s au cours des derni�res semaines.

Le nettoyage de la cour, aux frais du sous-traitant, sera, lui, effectu� d�s qu�on aura fini de trier les mati�res amoncel�es � l�arri�re du centre de tri. On estime que les pertes ne devraient pas d�passer les 5 % habituels de rejets de mat�riaux souill�s ou irr�cup�rables.

Une fois ceci fait, Qu�bec entreprendra de terminer la r�novation des quais d�embarquement, pavera la cour et compl�tera l�am�nagement ext�rieur.

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Source: Fr�d�rick Masson, Qu�bec Hebdo 19 mai 2006

La Fabrique de la paroisse Saint-Jean-Baptiste a re�u un coup de pouce plus qu�appr�ci� r�cemment alors que la d�put�e de Jean-Talon et ministre d�l�gu�e � la Protection de la jeunesse et � la R�adaptation, Margaret F. Delisle, a annonc� l�attribution d�une aide financi�re de 287 000 $.
Octroy� au nom de la ministre de la Culture et des Communications, Line Beauchamp, cet appui financier permettra de r�aliser des travaux de restauration de la ma�onnerie des tourelles, d��tanch�it� des fondations et de consolidation des piliers au sous-sol.

�Les �difices religieux sont des rep�res identitaires tr�s forts dans les communaut�s, tant dans les milieux urbains que ruraux, souligne la d�put�e. Au-del� de leurs valeurs historique, architecturale et symbolique, ils sont les premiers mus�es que le Qu�bec ait connus ainsi que les t�moins importants de l��volution de la soci�t� qu�b�coise.�

De poursuivre Mme Delisle, le gouvernement a la responsabilit� d�assurer la conservation de ce pr�cieux legs et de le transmettre aux g�n�rations futures.

�C�est d�ailleurs pourquoi nous poursuivons nos efforts en vue de restaurer les �l�ments les plus significatifs de ce patrimoine unique en collaboration avec la population et les partenaires locaux qui investissent des sommes importantes.

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Source: Denis Fortin, Qu�bec-Hebdo 19 mai 2006

C�est loin d��tre sur un coup de t�te que les membres de l�Assembl�e de fabrique Saint-Charles-Borrom�e ont statu� sur l�avenir des trois �glises, du centre pastoral et des trois presbyt�res s�y rattachant. En effet, les d�cisions rendues publiques le 18 mai dernier par le pr�sident de l�Assembl�e de fabrique, Andr� Lalibert�, dont la plus importante est la fermeture le 1er juin 2007 de l��glise Sainte-Maria-Goretti ont fait l�objet d�un long processus qui a d�but� en 2004.

Le tout a commenc� par un rapport interne qui mettait en lumi�re que la paroisse disposait de trop de lieux de culte par rapport � ses besoins. Au cours de l��t� 2004, cinq assembl�es publiques sont tenues pour informer les paroissiens de la d�marche en cours. Il y appara�t alors clairement le souhait de r�utiliser les �glises en surplus � des fins communautaires.

Voir la suite. Voir autre billet.

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Je sais "est vieille" comme nouvelle !

Source: Claude Vaillancourt, Le Soleil 16 mai 2006

La mairesse de Qu�bec avertit les municipalit�s des MRC environnantes que la prochaine n�gociation sur la gestion des mati�res r�siduelles, pour l�incin�ration des d�chets, sera beaucoup plus ardue que celle qui s�est d�roul�e sous son pr�d�cesseur, Jean-Paul L�Allier.

� Je ne suis pas s�re que l�on doive prendre les vidanges de nos voisins, si l�incin�rateur en est rendu � sa pleine capacit� �, a estim� la mairesse, hier soir, lors d�une s�ance du conseil d�agglom�ration. (...)

Press�e de questions par le maire de L�Ancienne-Lorette, �mile Loranger, qui s�inqui�tait du fait que, selon cette entente, les villes des MRC de La Jacques-Cartier, de La C�te-de-Beaupr� et de l��le-d�Orl�ans n�allaient payer que 80 $ la tonne pour l�incin�ration de leurs d�chets alors que la Ville de Qu�bec facture ce m�me service 140 $ la tonne � la Ville de L�Ancienne-Lorette, Mme Boucher a expliqu� que cette entente avait �t� n�goci�e par l�administration pr�c�dente � la sienne.

� Est-ce qu�on fait la charit� � nos voisins ? �, s�est interrog� la mairesse.

� Nous aussi (au comit� ex�cutif), on s�est pos� la question. Nous, on a besoin d�espace, eux ont besoin d��quipements

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Source: Guy Benjamin, Le Soleil 17 mai 2006

Petite op�ration nettoyage hier matin aux alentours de l��glise Saint-Roch, alors qu�une quarantaine d�occupants de la place ont manipul� le balai. Un geste plut�t symbolique pour montrer que ces gens ne font pas qu�occuper la place, mais s�en pr�occupent.

L�op�ration balayage est une initiative de Rendez-vous centre-ville, un organisme qui loge au sous-sol de l��glise Saint-Roch et qui quotidiennement accueille de 75 � 80 personnes qui autrement erreraient dans le quartier. � Une sorte de maisons de jeunes, mais pour les adultes �, de comparer son coordonnateur �ric Boulay.

Maintenant que le mail Saint-Roch a disparu, plusieurs habitants du quartier et des environs se regroupent par beau temps devant le parvis de l��glise. �ric Boulay parle d�un choc des cultures et d�une cohabitation parfois difficile entre les habitu�s de longue date de la rue Saint-Joseph et les nouveaux clients des commerces haut de gamme et restaurants chics.

Milieu de vie

L�initiative vise � d�montrer que les gens sont capables de s�occuper de leur milieu de vie, de dire le coordonnateur. L�op�ration nettoyage sera r�p�t�e quelques fois au cours de l��t�.

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Source: Jean-Fran�ois Cliche, Le Soleil 18 mai 2006

Un bon matin, Mario P�pin, du quartier Saint-Sauveur, re�oit sa facture d�huile � chauffage. Il se rend � son r�servoir pour v�rifier la livraison, mais constate que la cuve est aussi vide que la veille. Et pour cause, car elle est perc�e : 900 litres de carburant viennent de se d�verser dans son terrain. On est le 23 d�cembre 2002. Joyeux No�l.

M. P�pin est loin d��tre seul. Sa propri�t� est all�e grossir le long R�pertoire des terrains contamin�s du minist�re de l�Environnement (MENVQ), qui compte quelque 450 entr�es pour la seule agglom�ration de Qu�bec. Du nombre, environ 70 lots appartiennent � des particuliers. Comme le terrain de Mario P�pin, l�immense majorit� sont souill�s par des hydrocarbures.

Voir autre billet.

Il est �videmment fort probable que la liste du MENVQ ne soit pas exhaustive. Avocat en droit immobilier et de l�environnement, Sylvain Landry dit voir � beaucoup de cas � du genre atterrir sur son bureau. � Ce qui se passe, c�est que les institutions bancaires exigent de plus en plus une caract�risation des sols avant d�accorder un pr�t. Et c�est l� qu�on peut d�couvrir plein de choses �, dit-il.

Les propri�taires qui se retrouvent avec un tel probl�me sur les bras peuvent se sentir bien seuls. Les travaux de r�habilitation co�tent cher, et ni la Ville, ni le gouvernement n�offre de programme d�aide aux particuliers.

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Je n'�tais pas s�re de publier ce billet, mais cela pourrait �tre int�ressant comme sujet.

Source: Jean-Fran�ois Cliche, Le Soleil 18 mai 2006

Certes, r�habiliter un terrain pollu� peut rajouter quelques ann�es au paiement d�une hypoth�que. Mais puisqu�une contamination n�glig�e risque d�atteindre les lopins voisins, faire l�autruche revient � jouer � quitte ou double... ou m�me triple.

La loi 72 a introduit en 2003 la notion de � droit � un environnement de qualit� �. Lorsqu�un contaminant, sous l�effet de la pluie ou d�une pente, forme un panache qui souille le lot d�� c�t�, le propri�taire de ce dernier se trouve brim� dans ce droit et peut donc poursuivre son voisin. Pour le possesseur nonchalant, les honoraires d�avocat s�ajouteront alors aux frais de � m�nage �.

C�est ce qui fait dire � R�jean Roy, avocat en droit civil et immobilier, que � m�me pour 1 $, il peut �tre risqu� d�acheter un terrain contamin� �. Non seulement l�acqu�reur engage-t-il sa responsabilit� civile, mais encore sa banque peut-elle refuser de lui pr�ter (ne serait-ce que pour r�nover !) tant que le lot de sera pas r�habilit�.

Sans compter qu�il est fort possible que son assureur refuse de le d�dommmager, en cas de d�g�t. En effet, seules les fuites de mazout font l�objet d�une couverture, car il s�agit d�un mode de chauffage couramment utilis�. Autrement, avertit Alexandre Royer, porte-parole du Bureau d�assurance du Canada, � la pollution ne constitue pas un risque couvert en assurance habitation. Par cons�quent, les dommages directs aux biens assur�s (biens meubles et b�timents notamment) et aux biens d�autrui (donc la responsabilit� civile) ne sont pas couverts advenant pollution ou contamination �.

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Source: Pierre Asselin, Le Soleil 19 mai 2006

Avec son toit � vert � et un syst�me qui puise son �nergie � m�me le sol, la nouvelle biblioth�que de Charlesbourg r�serve plusieurs surprises � ceux et celles qui pourront la d�couvrir cet automne.

L�architecte �ric Pelletier, de la firme d�architectes Croft Pelletier, a servi de guide aux m�dias pour une visite du chantier. La biblioth�que de Charlesbourg sera la sixi�me au Qu�bec par sa superficie.

� On entre dans les ligues majeures �, commentait la responsable de la biblioth�que, Lina Rousseau. Sa superficie totale sera de 4350 m�tres carr�s, comparativement � 1205 m�tres carr�s actuellement.

Le b�timent de pierres rend hommage � l�histoire de la ville de Charlesbourg, a expliqu� l�architecte. L��difice qui abritait l�ancienne biblioth�que a �t� conserv� et un m�morial des familles souches sera am�nag� � l�arri�re.

Voir autres billets 1 2

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Source: Jean-Fran�ois Cliche, Le Soleil 19 mai 2006

En bon Gasp�sien exil�, Florian Normand r�ve de bateaux. De bateaux � fond plat, pour �tre pr�cis. Demain, sa vision prendra une tournure bien r�elle lorsqu�une telle embarcation emm�nera deux douzaines d�invit�s pour une promenade sur la Saint-Charles.

M. Normand caresse depuis pr�s de quatre ans le projet d�organiser des excursions sur la rivi�re. � Je me disais que �a ne se pouvait pas qu�il n�y ait aucune activit� sur la Saint-Charles, � part les cyclistes et les pi�tons sur les berges �, explique-t-il.

L�enseignant de 66 ans s�est mis � y travailler s�rieusement en 2003. Son plan d�affaires est maintenant pr�t. L�exp�dition de la fin de semaine constituera un premier vrai test pour son id�e, son trajet, ses moteurs �lectriques, etc.

Le bateau, de faible tirant d�eau, partira de la marina Saint-Roch et remontera jusqu�au pont Scott, pour ensuite retourner au parc Cartier-Br�beuf, o� il prendra une courte pause avant de pousser jusqu�au barrage Samson. � son retour � la marina, environ une heure apr�s son d�part, il aura parcouru huit kilom�tres.

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Source: Radio-Canada Qu�bec, 18 mai 2006

L'Universit� Laval pourrait accueillir un supermarch� sur son territoire. Le conseil d'administration de l'universit� a approuv� mercredi soir le principe d'un supermarch�-�cole en partenariat avec le priv�, sur le campus.

La r�union du conseil d'administration a �t� retard�e par une manifestation bruyante des �tudiants venus exprimer leur d�saccord. Les �tudiants s'opposent � la venue d'une entreprise priv�e sur le campus. Ils craignent qu'un tel projet ne mine l'ind�pendance et la cr�dibilit� de l'universit�.

Le supermarch�-�cole serait financ� par le priv� et deviendrait une sorte de laboratoire permettant aux �tudiants et aux chercheurs d'effectuer des travaux de recherche, notamment sur le comportement des consommateurs.

La suite. Voir autre billet et celui-ci.

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Source: Radio-Canada Qu�bec, 18 mai 2006

Le gouvernement Charest investira 12 millions de dollars pour la construction de l'usine de filtration de Beauport. Le projet atteint maintenant 29 millions de dollars. Les citoyens de Beauport attendaient cette nouvelle depuis des ann�es.

Cependant, la mairesse de Qu�bec, Andr�e Boucher, ne peut garantir la date du d�but des travaux de construction.

Les villes d�fusionn�es de L'Ancienne-Lorette et de Saint-Augustin-de-Desmaures pourraient utiliser leur droit d'opposition lorsque le dossier sera amen� au conseil d'agglom�ration. Cela aurait pour effet de paralyser ce dossier jusqu'� ce que la ministre des Affaires municipales, Nathalie Normandeau, tranche.

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Source: Radio-Canada Qu�bec, 18 mai 2006

Pont Pierre-Laporte

Alors que les travaux de peinture du pont de Qu�bec se font attendre, le minist�re des Transports amorce cette semaine un chantier de 1,7 million de dollars sur le pont Pierre-Laporte.

Les c�bles porteurs et les c�bles de suspente verticaux seront repeints tout au long de l'�t�.

La derni�re couche protectrice avait �t� appliqu�e en 1983. La circulation ne sera pas perturb�e, sauf le soir � l'occasion, pour le transport de mat�riaux.

Quant au pont de Qu�bec, les discussions se poursuivent toujours entre Transports Qu�bec, Transports Canada et le Canadien National dans le but d'en arriver une entente pour mener � terme, au co�t de 60 millions de dollars, les travaux inachev�s.

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Source: Radio-Canada Qu�bec, 20 mai 2006

La Soci�t� de mise en valeur de la petite �cole de rang de Qu�bec maintient son projet malgr� l'incendie qui a d�truit, en fin de semaine derni�re, ce qui restait de l'ancienne �cole du boulevard Saint-Jacques � Neufch�tel.

La Soci�t� esp�rait, depuis huit ans, faire revivre ce t�moin du pass�. Selon la pr�sidente de la Soci�t�, Julie Rachel Savard, trop de gens ignorent que ce que l'on appelle aujourd'hui la banlieue a �galement une histoire. Elle explique que le secteur est habit� depuis le 17e si�cle.

Julie Rachel Savard esp�re int�grer des �l�ments anciens de l'�cole dans un �ventuel pavillon d'accueil au parc Chauveau. Pour ce faire, elle lance un appel � la population dans l'espoir de regrouper des t�moignages et des objets, notamment des photos ou des bulletins.

Voir autre billet.

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Note: ce texte � �t� �crit sur un ordinateur ne disposant pas d�un correcteur orthographique fran�ais.

Pour ceux qui lise Qu�bec urbain depuis moin d�un an: Je me pr�sente. Je suis Francis Vachon, et j�ai cr�� Qu�bec urbain il y a un peu plus de 4 ans. Pendant 3 ans, je m�occupais seul du site. J��tais le seul � y �crire et � le tenir en vie. L�an pass�, j�ai quitter la province pour l�Ontario en raison d�un retour aux �tudes. J�ai alors fais appel aux lecteurs pour d�nicher un certains nombres de contributeur.

En tant qu��diteur, je continuais a m�occuper du c�t� technique du site (le contenant), et laissant ces contributeurs �crire les textes (le contenu). Avec la distance, mes nombreux voyages, et mes emplois, je constate qu�il est de plus en plus difficile pour moi de m�occuper du site. Ce dernier mois, le forum a subit quatres attaques via une vuln�rabilit�. Le forum doit �tre mise � jour. Le site re�oit de plus en plus de spam de commentaire. Je n�ai plus le temps de m�occuper de cela.

Il est donc temps de passer � une autre �tape: Pour le bien de Qu�bec urbain, je c�de son contr�le.

iXm�dia prendra la position d��diteur de Qu�bec urbain. iXm�dia, c�est mon h�bergeur, mais c�est avant tout la compagnie de Carl-Fr�d�ric de Celles, recconnu depuis des ann�es pour son m�cenna dans divers projet web. CFD est un des cr�ateurs du d�funt site Pssst!, un blog collaboratif avant m�me que le mot blog ne soit invent�. J��tais un collaborateur de Pssst!. Sans Pssst!, pas de Qu�bec urbain.

Le processus du transfert du contr�le se fera en douceur pour tout le monde. Les collaborateurs du site resterons les m�mes, peut-�tre des nouveaux s�ajouterons. Dans les jours et semaines qui suivent, vous verrez les am�liorations se mettre en place. Mise � jours du syst�me de publication du site, probablement un rafraichissement de la mise en page, mise � jour du forum, etc.

Dans les prochains jours, iXm�dia postera un texte expliquant leur vision du nouveau Qu�bec urbain.

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Source: Regroupement des centres-villes et des art�res commerciales (Saint-Joseph en lumi�res)

Illuminer la rue Saint-Joseph �tait un r�ve de longue date du Conseil d�administration de la SDC du centre-ville de Qu�bec. Afin de soutenir les efforts de revitalisation, et de participer au d�veloppement et � la croissance �conomique du centre-ville de Qu�bec, la SDC du centre-ville a souhait� orchestrer l�incontournable �tape charni�re d�illumination de la rue St-joseph.

R�sultats : Suite � la r�alisation du projet, une conf�rence de presse a fait na�tre un impact m�diatique important, des reportages des 3 cha�nes de t�l�vision de Qu�bec ont donn� � ce visuel une couverture inesp�r�e. Les places d�affaires sont ravies de ce projet qui revitalise la rue et incite le public � s�y rendre.

Voir aussi cet autre billet.

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Source: Guy Benjamin, Le Soleil, 17 mai 2006.

Les automobilistes qui empruntent l'autoroute Dufferin-Montmorency pour entrer ou sortir du centre-ville devront faire preuve de beaucoup de patience, et pendant longtemps.

Les travaux au co�t de 10 millions $ sur les ponts d'�tagement � la hauteur du boulevard Charest doivent s'�chelonner jusqu'au mois de novembre. Le � lifting � comporte la r�paration des parapets, la r�fection des dalles, l'ajout d'une membrane de protection de la structure, de l'asphaltage et des travaux sur le syst�me d'�clairage. (...)

La suite. Voir aussi cet autre billet.

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Image croqu�e hier au hasard d'une marche dans les rues de mon quartier.

Voir aussi Crocus en fleurs!

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Nouvelle tour � bureaux de neuf �tages dans Saint-Roch. Source: Pierre Pelchat, Le Soleil, 17 mai 2006.

Le promoteur GM D�veloppement construira au co�t de 15 millions $ un nouvel immeuble � bureaux de neuf �tages dans Saint-Roch � l�intersection du boulevard Charest et de la rue Dorchester.

� Nos offres d�achat des trois terrains ont �t� accept�es. Nous pr�voyons d�buter la construction � l�automne afin que les nouveaux locaux soient disponibles l��t� suivant �, ont indiqu�, hier, Genevi�ve Marcon et Jean Campeau, propri�taires de GM D�veloppement. (...)

La suite. Voir aussi cet autre billet.

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Source: Altern'Art de Qu�bec.

L'exposition de photos intitul�e: Ouvertures c�t� cours int�rieures, vise � faire d�couvrir, par le biais de la photographie, un aspect inconnu du quartier Saint-Jean-Baptiste, tout en montrant la possibilit� d'am�nager des espaces de verdure dans des quartiers centraux, m�me dens�ment peupl�s.

Le r�sultat, pr�sent� sous forme d'une exposition rassemblant une trentaine de photos couleurs grand format (environ 36" X 36"), met en valeur l'un des plus vieux quartiers de la ville de Qu�bec, souvent d�sign� dans certains milieux comme � la petite r�publique du Faubourg �. (...)

Ces cours int�rieures sont toutes aussi �tonnantes les unes que les autres. Elles sont parfois fort simples, mais am�nag�es avec go�t, ou encore plus �labor�es pour donner l'impression d'un coin de campagne en ville. Elles partagent toutes la m�me particularit�, soit d'�tre invisibles pour qui ne sait pas observer. (...)

OUVERTURE C�T� COURS INT�RIEURES: 18 mai au 15 octobre 2006, Observatoire de la Capitale (1037, de la Chevroti�re, 31e �tage). Renseignements: (418) 644-2323.

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Source: Soci�t� immobili�re Fortier

Voici le projet du 875 Charest ouest (ancienne biscuiterie Leclerc)
100 000 pi Carr�s, commerciale, qui abritera la cie D.A.P.
Livraison septembre 2006

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Source: Pierre Assselin, Le Soleil 15 mai 2006

La Ville donne un nouveau coup de pinceau pour embellir le boulevard Charest, qui est maintenant bord� d�arbres. Et ce ne sera pas le seul, d�ici 2008, on verra d�autres plantations d�arbres sur des axes routiers importants de Qu�bec.

La premi�re phase des travaux de r�fection du boulevard Charest est compl�t�e, et la Ville a en effet proc�d� � des plantations d�arbres au cours des derni�res semaines.

� peu pr�s 60 arbres, des micocouliers et des ormes, ont �t� plant�s, indique Jacques Grantham, directeur du service de la foresterie urbaine � la Ville de Qu�bec. Les employ�s vont aussi planter plus de 400 arbustes et autant de fleurs vivaces. Ce sera la m�me chose lorsque la deuxi�me phase des travaux sera compl�t�e, entre la rue Saint-Luc et le boulevard Langelier, pr�cise-t-il. (...)

La Ville proc�de �galement � un programme de plantation sur le terre-plein du pont Drouin et sur les rives de la rivi�re Saint-Charles. Des ormes, des �rables et des fr�nes, entre autres, seront en effet plant�s � l�occasion des travaux de r�alisation d�habitats fauniques.

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Source: Radio-Canada Qu�bec 15 mai 2006

Le parc des Champs-de-Bataille nationaux n'est pas � l'abri de la maladie hollandaise de l'orme.

L'abattage d'un arbre bicentenaire, la semaine derni�re, tout pr�s des plaines d'Abraham, am�ne les responsables � surveiller tous les ormes du parc.

Le service des espaces verts suit de tr�s pr�s l'�volution de la maladie, ce qui permet de limiter les pertes selon son directeur, Marc Boilard.

Il indique que les plaines d'Abraham comptent pr�s de 700 ormes d'Am�rique et que les pertes annuelles repr�sentent moins de 1 %.

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Source: Radio-Canada Qu�bec, 14 mai 2006

Un projet de construction d'immeubles en copropri�t�s, pr�s du cimeti�re Saint-Patrick de Sillery, inqui�te des citoyens. Ce projet pourrait entra�ner la disparition de plusieurs arbres dont certains seraient centenaires. Le conseil d'arrondissement promet d'�tudier cet aspect. La pr�sidente de l'arrondissement Sainte-Foy/Sillery, Francine Bouchard, souligne que ce projet n'est pas touch� par le moratoire sur les grandes propri�t�s religieuses de Sillery.

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Source: Laurie Richard, Le Soleil 14 mai 2006

La r�gion de Qu�bec offre une foule de produits locaux frais et originaux � se mettre sous la dent. Un secret encore trop bien gard�.

Bien que certains se fassent un point d�honneur d�acheter des produits locaux, impossible de savoir combien ils sont. Andr� Filteau, directeur du March� du Vieux-Port, confirme que par rapport � l�ensemble du commerce alimentaire, les march�s publics sont encore relativement peu fr�quent�s. (...)

Beno�t Girouard, pr�sident de l�Union biologique paysanne, avance cependant que les march�s publics r�gionaux connaissent un regain de popularit� depuis environ cinq ans. Disparus � la fin des ann�es 70, ces march�s renaissent un peu partout dans la province.

La Ville de Qu�bec abrite deux march�s publics qui �coulent une partie notable de la production de fruits et l�gumes de son agriculture p�riurbaine. Le March� du Vieux-Port demeure incontournable avec une centaine de producteurs en forte saison et son choix de produits transform�s � longueur d�ann�e. Le March� public de Sainte-Foy, ouvert de la mi-mai � la fin octobre, regorge �galement d�aliments r�gionaux.

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Source: Patricia Cloutier, Le Soleil 14 mai 2006

Parce que tout le monde a une histoire particuli�re reli�e aux plaines d�Abraham, il est aujourd�hui possible de s�y offrir un arbre ou un banc comm�moratif.

� On veut donner aux gens une occasion de souligner un �v�nement qui leur tient � c�ur �, explique Joanne Laurin, agente de communication pour la Commission des champs de bataille nationaux.

Ainsi, il sera possible d�immortaliser une belle rencontre, une naissance ou un d�c�s en faisant un don � la Commission. En retour, un arbre ou un banc portera une plaquette avec l�inscription voulue. (...)

Je suppose que la formule pourrait �tre int�ressante � appliquer, concernant tous parcs et aires communes.

Il en co�te 500 $ pour un arbre mature, 1000 $ pour la plantation d�un nouvel arbre et 1500 $ pour un banc nouveau genre. Mme Laurin souligne que le but de la Commission n�est pas de faire des profits, mais bien d�entretenir les installations du parc.

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Source: Jean-Fran�ois N�ron, Le Soleil 14 mai 2006

La derni�re �cole de rang de la Ville de Qu�bec, situ�e boulevard Saint-Jacques � Neufch�tel, a �t� compl�tement ras�e par les flammes hier. C��tait le troisi�me incendie dont elle �tait la proie, le deuxi�me en quatre ans.

L��cole dite � de la mis�re � �tait dans un �tat avanc� de d�cr�pitude. Pourtant, elle recelait pour plusieurs une valeur historique. C��tait la troisi�me �cole �rig�e au m�me endroit depuis 1848. Elle a �t� construite en 1915. Elle a accueilli des �l�ves jusqu�en 1965. C��tait surtout la derni�re �cole de rang de la r�gion de Qu�bec. Et elle �tait au c�ur d�un d�bat. (...)

En 1998, des citoyens cr�aient un comit� de sauvegarde pour la restaurer. Des r�parations estim�es � 250 000 $. Le Conseil des monuments du Qu�bec envisageait � positivement la possibilit� de restaurer le b�timent �, �crivait-il dans une lettre envoy�e au comit�. De plus, le propri�taire du lieu sur lequel se trouve l��cole, Yvan Pageau, avait accept� de c�der cette parcelle de terrain en �change d�une autre �quivalente. Mais la Ville devait aussi s�impliquer financi�rement. Chose qu�elle a toujours refus�, invoquant le co�t de la restauration et l��tat de d�labrement du b�timent.

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Source: �lisabeth Fleury, Le Soleil 12 mai 2006

Ce n�est plus un secret pour personne, Limoilou est un quartier probl�matique eu �gard � la pr�sence du Wolf Pack et de gangs �mergeants. Le Projet alternative gang (PAG) le sait et a choisi d�y concentrer ses activit�s de pr�vention.

Outre des ateliers de sensibilisation, le PAG organise diff�rentes activit�s sportives et culturelles pour les jeunes du quartier Limoilou afin de pr�venir leur adh�sion � des gangs criminalis�s.

� Le but, c�est de leur permettre de se valoriser et de d�velopper leur sentiment d�appartenance en les impliquant dans quelque chose de positif �, explique le directeur de Motivaction Jeunesse, Luc Richer, qui coordonne le projet PAG depuis deux ans.

Mais le PAG vise aussi � rendre les parcs du quartier Limoilou, particuli�rement les parcs Ferland et Marchand, s�curitaires et accessibles � tous en invitant les usagers � s�autodiscipliner

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Source: Isabelle Mathieu Le Soleil 11 mai 2006

La r�novation du pavillon de la Jeunesse co�tera pr�s de 14 millions $, soit 6 millions de plus que l�estimation initiale. La future salle de spectacles pourra remplacer l�Agora, dit ExpoCit�.

Apr�s le Palais Montcalm, les usines de traitement d�eau et les casernes de pompiers, les citoyens de Qu�bec commencent � avoir l�habitude des chantiers � la facture extensible.

Estim� il y a un an � 8 millions $, le � nouveau � pavillon de la Jeunesse d�ExpoCit� co�tera autour de 13,8 millions $. Dans le projet original, on se contentait de r�nover la glace du Petit Colis�e, d��liminer les colonnes et de retaper les aires de services ainsi que l�enveloppe ext�rieure du b�timent

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Source: Radio-Canada Qu�bec 12 mai 2006

Malgr� un d�clin de la population au cours des 20 prochaines ann�es, le Qu�bec va conna�tre une augmentation importante du nombre de m�nages et par cons�quent, un besoin croissant de logements.

C'est ce qui ressort des trois publications de prospectives lanc�es vendredi matin par la Soci�t� d'habitation du Qu�bec.

Selon ces �tudes, le Qu�bec voit augmenter le nombre de ses m�nages compos�s d'une seule personne, majoritairement des femmes, �g�es de plus de 55 ans, qui consacrent plus de 50 % de leur revenu au logement. (...)

Cette tendance de m�nages plus petits devrait atteindre presque un m�nage sur deux d'ici 20 ans, explique le pr�sident de la Soci�t� d'habitation du Qu�bec, Pierre Cliche. � 87 % des m�nages d'une personne �tant en milieu urbain, donc 45 % � Qu�bec et � Montr�al �, pr�cise M. Cliche.

Les logements plus grands seront les plus en demande d'ici 20 ans, notamment pour les besoins des familles reconstitu�es. La copropri�t� va aussi �tre trois fois plus importante d'ici 20 ans.

Des d�fis attendent tout le milieu de l'habitation et la ministre des Affaires municipales, Nathalie Normandeau, en tire d�j� des conclusions:

� Notre gouvernement a fait le choix de livrer 20 000 unit�s de logement social. Ce qu'on constate avec les �tudes qui ont �t� d�pos�es, �a ne suffira pas �, dit-elle.

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Source: Radio-Canada Qu�bec 12 mai 2006

Un nouveau sondage L�ger Marketing fait pour le compte du Port de Qu�bec r�v�le que 60 % des r�pondants sont d'accord avec le projet de r�am�nagement de la Pointe-�-Carcy.

Ce sondage contredit celui fait par la m�me firme pour le compte de Genex Communications qui concluait que 70 % des personnes sond�es d�sapprouvent la disparition de l'Agora.

Le d�mant�lement de l'Agora est le point central des r�am�nagements projet�s par le Port � la Pointe-�-Carcy.

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Source: Radio-Canada Qu�bec 12 mai 2006

L'Universit� Laval revient � la charge avec son dossier du supermarch�-�cole sur le campus. M�me si elle n�gocie depuis trois ans avec Sobeys, l'Universit� indique que le supermarch� ne sera pas n�cessairement un supermarch� Sobeys, parce que d'autres cha�nes seraient maintenant int�ress�es par le projet.

L'Universit� entend conserver la propri�t� du terrain et assure que la construction de l'�picerie sera enti�rement � la charge du promoteur priv�.
L'Universit� ajoute que plusieurs entreprises priv�es telles Kruger, Brunet, subventionnent d�j� la recherche et que l'�thique est prot�g�e. (...)

L'Universit� souhaite que le conseil d'administration se prononce sur des principes g�n�raux concernant ce projet, mercredi prochain.

Cette perspective inqui�te les �tudiants. Ils s'estiment priv�s d'information.

� Le conseil d'administration pourrait donner son aval au principe. On sait que les n�gociations avec Sobeys ont quand m�me eu lieu, donc on s'attend � ce que Sobeys soit peut-�tre le principal favori l�-dedans. Pour nous, c'est une fa�on de faire accepter le projet �, mentionne Nicolas Fontaine, pr�sident des �tudiants au baccalaur�at.

Les �tudiants soutiennent qu'asservir la recherche � des int�r�ts priv�s constitue une premi�re dangereuse.

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Source: Jacinmon Reid, Qu�bec Hebdo 11 mai 2006

Les amateurs de p�che pourront enfin sortir leurs �quipements de capture d�s le 20 mai prochain alors que les organisateurs de l�activit� P�che en ville rejetteront des milliers de truites dans la rivi�re Saint-Charles.
C�est au parc lin�aire Les Saules-Maison O�Neill, alors que des centaines de canotiers en profiteront pour descendre la rivi�re Saint-Charles, que sera donn� le coup d�envoi des activit�s de P�che en ville le 20 mai prochain. L�activit� est la premi�re d�une s�rie de 8 qui se d�rouleront � diff�rents endroits sur le parcours de la rivi�re Saint-Charles d�ici le 23 juin prochain. (...)

La suite

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Source: Michel B�dard, Qu�bec Hebdo 10 mai 2006

Les tribulations entre la Ville de Qu�bec et le conseil d�agglom�ration de Qu�bec sur plusieurs dossiers au cours des derniers mois ont fait en sorte que l��ch�ancier des travaux du prolongement de l�axe Saint-David jusqu�au boulevard Louis XIV a �t� modifi� tant et si bien que le d�but des travaux est maintenant pr�vu pour le printemps 2007 pour une livraison du boulevard � deux voies � l�automne. (...)

Une citoyenne du secteur a profit� de la visite du conseil dans son district pour le sensibiliser aux probl�mes de transport en commun et affirmer que des �tudiants du post-secondaire et du C�gep avaient d�j� d�croch� en raison des lacunes pr�sentes sur plusieurs circuits d�autobus. �Des jeunes m�ont dit que �a leur prenait presque deux heures pour se rendre � destination. Il y a de quoi les d�courager!� La conseill�re du district des Laurentides, Marie-France Trudel, lui a r�pondu que le R�seau de transport en commun (RTC) tiendra bient�t des consultations publiques � Beauport pour prendre connaissance des demandes des citoyens. La conseill�re du district de la Chute-Montmorency, Carole B�gin Giroux, est revenue � la charge en invitant les citoyens de Courville et de Montmorency � se pr�senter � ces rencontres pour exiger de meilleurs services notamment pour faciliter l�acc�s au Parc de la Chute-Montmorency et mettre en place un meilleur r�seau est-ouest pour desservir le nord entre les arrondissements de Beauport et Charlesbourg. Le conseiller du district du Vieux-Moulin, Marc Simoneau, a pour sa part rappel� que les probl�mes du RTC ne dataient pas d�hier. �J�ai d�j� v�cu �a avec mes deux gar�ons � l��poque o� ils allaient au C�gep de Limoilou et que �a leur prenait une heure pour faire 3 km ! Beauport s�agrandit et le service de transport n�est toujours pas capable de suivre�.

La suite. Et autres sujets...

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La Socit� d'Habitation du Qu�bec viens de publier un document fort �labor� sur l'habitation dans la Capitale Nationale.
Tr�s bien document�.

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Source: Olivier Boss�, Le Soleil, 11 mai 2006.

Une nouvelle salle d�entra�nement r�serv�e aux athl�tes de pointe a �t� inaugur�e, hier, au PEPS. Mais le directeur du Service des activit�s sportives (SAS) de l�Universit� Laval tient � souligner qu�il ne s�agit que d�une � transition �, d�un premier pas vers l�agrandissement tant attendu du pavillon sportif.

� �a prendrait au moins deux ou trois fois l�espace qu�on a ici �, insiste Gilles D�Amboise, en parcourant des yeux les installations qui comptent quand m�me 1200 pieds carr�s de plus que celles qu�elles remplacent. � C�est une �tape dans un projet plus vaste �, assure celui qui dirige le SAS depuis 1987.

� terme, le � nouveau � PEPS abritera, entre autres, un vaste complexe int�rieur de soccer-football ainsi qu�une nouvelle piscine. Au total, le projet est �valu� � 60 millions $. (...)

Voir aussi cet autre billet.

Note: histoire d'am�liorer l'aspect visuel du site, j'utiliserai dor�navant, dans la mesure du possible (et � l'exemple de ce que fait notre nouveau coll�gue, Carol Proulx), des "vignettes photo" de format 250X188 (proportion 0,75) pour illustrer certains billets.

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Source: Pierre Asselin, Le Soleil 10 mai 2006

Un des plus vieux r�sidants de la Grande All�e est tomb� hier. Il a fallu toute la journ�e pour abattre l�orme centenaire, et peut-�tre bicentenaire, qui faisait le coin de la rue Salaberry depuis le XIXe si�cle.

Un peu apr�s 9 h hier matin, les badauds ont retenu leur souffle quelques secondes quand une premi�re branche de l�arbre a �t� coup�e.

Fran�ois Petit et Jacinthe Bourassa, qui poss�dent le g�te du passant La Maison d��lizabeth et d�Emma, avaient peine � accepter la perte de leur vieux voisin. (...)

Voir autre billet

� �a va faire un vide physique et �motif, commentait Fran�ois quelques minutes avant que les �mondeurs se mettent � l��uvre. C�est quand m�me quelque chose d�avoir un arbre aussi vieux et majestueux sur son terrain. Il faisait partie de nos vies. Quand on nous demandait o� se trouvait le g�te, on leur disait qu�on �tait juste � c�t� d�un orme majestueux. �

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Source: �ric Moreault, Le Soleil 10 mai 2006

Tous les moyens sont bons pour persuader les citoyens de recycler, m�me supprimer une collecte d�ordures ! Pour des motifs �cologiques, trois arrondissements de Qu�bec ont d�cid� de ramasser les ordures m�nag�res une fois par semaine au lieu de deux.

En r�duisant le nombre de collectes, c�est autant de camions � bennes qui disparaissent de la circulation. � C�est suffisant pour que ce soit une bonne d�cision �, fait valoir Marcel Filteau, directeur de la division des relations avec les citoyens � l�arrondissement Sainte-Foy-Sillery. (...)

Cette diminution de polluants est un des objectifs que la Ville s�est fix�s dans son Plan de r�duction des �missions de gaz � effet de serre en 2004, au m�me titre que ceux de r�duire la quantit� de d�chets � �liminer et d�encourager les gens � recycler et � r�cup�rer davantage.

Signe des temps, M. Filteau jure que ce sont vraiment des consid�rations environnementales et non �conomiques qui ont motiv� la d�cision. � Il n�y a pas vraiment d��conomie puisque nous sommes factur�s � la tonne (de d�chets enlev�s). � L�entrepreneur va �conomiser sur ses frais d�exploitation et peut-�tre qu�� moyen terme, � �a co�tera moins cher en appel d�offres �.

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Source: Le Soleil 10 mai 2006

La Chambre de commerce de Qu�bec appuie totalement le projet pr�sent� par le Port de Qu�bec pour la mise en valeur des sites de la baie de Beauport, de la Pointe-�-Carcy, et du bassin Brown. L�organisme qui regroupe 4000 membres provenant de la communaut� des affaires ne tient pas � la conservation de l�Agora.

La Chambre offre plut�t son aide � la direction du port pour trouver un autre emplacement pour pr�senter des spectacles ext�rieurs. Un autre endroit doit voir le jour ailleurs sur le territoire, estime l�organisme, � afin de satisfaire la client�le qui aime assister � des spectacles ext�rieurs �. (...)

Voir ce billet et celui-ci

La Chambre de commerce a fait conna�tre sa position hier � l�occasion des audiences publiques sur le projet de d�veloppement de la Pointe-�-Carcy.

Dans son m�moire, la Chambre rappelle qu�elle a consacr� beaucoup d��nergie pour la croisi�re � Qu�bec. Une industrie, dit-elle, qui d�montre d�ann�e en ann�e son fort potentiel de d�veloppement, et qui g�n�re des retomb�es �conomiques significatives.

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Vous connaissez peut-�tre ces deux outils. Moi, je les ai d�couverts il y a quelques semaines en parcourant un magazine d'informatique. Depuis, je m'en sers r�guli�rement pour illustrer mon blogue m�t�o...

� titre d'exemple, ce court extrait vid�o pris hier matin au parc Cartier-Br�beuf:

Ainsi, afin d'illustrer notamment quelques sc�nes urbaines (Festival d'�t�, panorama d'un chantier en cours, etc.), je souhaite utiliser � l'occasion Zippy Videos.

Il s'agira, comme dans l'exemple ci-haut, de courts vid�os de 5 ou 15 secondes (.mov), format 320X240 (la limite de mon appareil!) dont le poids ne d�passera pas 4 Mb (pas trop lourd � t�l�charger!), qu'on peut visualiser avec le lecteur Window M�dia.

D'autre part, entre autres dans le but �pargner l'espace que nous offre g�n�reusement Francis Vachon, je compte utiliser ImageShack lors de reportages photo particuliers, par exemple dans le cadre d'une tourn�e "architecture" que je compte effectuer dans les prochaines semaines dans le Parc technologique du Qu�bec m�tropolitain.

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Un mot en passant pour souligner l'excellent travail de Carol Proulx, compl�mentaire � celui, plus occasionnel mais tout aussi important, de nos autres collaborateurs. Un atout pr�cieux pour Qu�bec Urbain!

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Source: Radio-Canada Qu�bec 10 mai 2006

La d�molition de l'immeuble qui abritait l'ancien Centre jeunesse Tilly, pr�s de la Maison Gomin dans l'arrondissement Sainte-Foy-Sillery, est commenc�e.

En d�cembre 2005, l'Agence de sant� du Qu�bec avait accept� l'offre d'achat de 850 000 $ de Gestion Hylia, propri�t� de l'homme d'affaires Hyman Polansky de Montr�al. Il souhaite y �riger une r�sidence priv�e pour personnes �g�es en perte d'autonomie. La r�sidence comportera 150 chambres.

Les travaux de d�molition entrepris lundi se poursuivront jusqu'� la fin de juillet. L'homme d'affaires entend commencer les travaux de construction du nouvel �difice � la fin de l'�t�.

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Source: Radio-Canada Qu�bec 10 mai 2006

Les projets du Port de Qu�bec dans la baie de Beauport et au Vieux-Port n'am�lioreraient en rien l'acc�s public au fleuve. Le r�put� g�ographe L�once Naud, qui �tudie le fleuve depuis des d�cennies, soutient que les projets qui font l'objet de consultations publiques serviront surtout aux croisi�ristes.

� On va d�penser 50 � 60 millions de dollars pour nous donner des fen�tres sur le fleuve, mais le fleuve va continuer � �tre utilis� par ceux qui l'utilisent pr�sentement. �a a tout � voir avec les besoins du terminal maritime et pas grand chose � voir avec le bien de la population �, soutient L�once Naud. (...)

Voir autre billet, et celui-ci

M. Naud assistait � la deuxi�me soir�e de consultation sur l'avenir de la Pointe-�-Carcy, qui se d�roulait mardi soir.

La d�molition de l'Agora projet�e par le Port de Qu�bec a une fois de plus trouv� peu d'appuis.

M�me le comit� des citoyens du Vieux-Port estime qu'il faut garder l'Agora. Le pr�sident du comit�, Denis L'Anglais, croit cependant qu'il faut lui redonner sa vocation publique et l'am�liorer � pour en faire � nouveau un espace culturel, public, r�cr�atif, touristique, vivant et accessible. �

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Source: Radio-Canada Qu�bec 10 mai 2006

L'un des �difices les plus mal en point du Vieux-Qu�bec pourrait bient�t �tre r�nov�.

La Soci�t� de r�novation Mailloux s'appr�te � signer une option d'achat pour la Maison Loyola situ�e sur la rue d'Auteuil. Cet �difice a d�j� abrit� le bar le d'Auteuil, mais en 2001, des pans de mur se sont �croul�s.

Si le financement n�cessaire pour la r�novation est r�uni, la b�tisse de pr�s de 200 ans accueillera la Maison Dauphine, indique le pr�sident de la Soci�t� Mailloux, Patrick Simard. Il pr�cise que le projet s'�l�ve � plus de 6 millions de dollars. (...)

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Source: Site internet Les Entreprises Jean-Taillon inc et le journal Le Carrefour de Qu�bec

Sur les terrains vacants de l'�lot Berthelot, acceuilleront, non seulement une coop�rative d'habitation, mais aussi de 58 condos, avec espaces commerciales au rez-de-chauss�e, sur la partie est du terrain. Il faut savoir que le projet de coop�rative d'habitation est en retard d'un an sur son �ch�ancier.

Voir autre billet

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Source: Isabelle Mathieu, Le Soleil 9 mai 2006

� L�endroit id�al pour mettre une caserne, c�est dans le ciel ! Les pompiers arrivent vite et �a ne d�range personne ! � La boutade de Luc Jolicoeur, directeur de la division b�timent et structure � la Ville, n�est pas loin de la r�alit�.

Vrai que les citoyens veulent des pompiers � port�e de main, mais pas de caserne comme voisin. R�sultat, le choix d�un terrain pour y installer une caserne de pompiers pour, peut-�tre, les 100 prochaines ann�es, devient un v�ritable casse-t�te. (...)

La suite.

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Source: Isabelle Mathieu Le Soleil 9 mai 2006

Les nouvelles casernes de pompiers de Qu�bec ne seront pas pr�tes avant la fin de 2007, soit deux ans plus tard que pr�vu, a appris Le Soleil. Bon nombre de citoyens devront donc attendre plus longtemps avant d�avoir droit aux quatre pompiers en cinq minutes. (...)

La suite.

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Source: Radio-Canada (Qu�bec), 9 mai 2006.

� la suite de plaintes de citoyens, la police de Qu�bec durcit le ton face aux squeegees avec un projet intitul� Respect [billet pr�c�dent], lanc� il y a deux semaines. Ce projet vise l'application stricte du code municipal.

Les laveurs de pare-brise des voitures immobilis�es aux feux rouges risquent d�sormais de faire face � des accusations criminelles. Les policiers vont comptabiliser le nombre de contraventions �mises contre chaque individu. Apr�s cinq ou six constats, ils pourraient �tre accus�s d'avoir troubl� la paix.

La suite.

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Source: Jean-Fran�ois N�ron, Le Soleil, 8 mai 2006.

Incivilit� : n.f. Caract�re de ce qui est impoli. Promener son chien sans laisse. Faire des graffitis. Se baigner dans une fontaine. Jeter des d�chets sur la voie publique. Faire crisser ses pneus. Le manque de savoir-vivre a un prix, et la police vous le fera conna�tre.

Le projet Respect est maintenant en application dans les arrondissements de la Cit� et de Limoilou. Le mot d�ordre donn� aux 200 patrouilleurs de ces secteurs est de redonner au plus grand nombre les espaces publics, incluant les parcs, sans avoir � subir ce que le sergent Danny Morillon appelle des incivilit�s. (...)

Outre le tr�s viril et subtil "crisser ses pneus", notamment, ce projet Respect prendra-t-il aussi en compte ces autres comportements tout aussi d�testables pour l'"urbain" que je suis, tels ceux des cyclistes qui confondent trottoirs avec pistes cyclables [billet] et de ces fumeurs qui en grillent une dans les abribus les jours de pluie?

La suite. Aussi - coincidence -, cette entrevue ce matin (Le civisme) avec la journaliste et conf�renci�re Ariane �mond et le philosophe et pr�sident de l'Institut qu�b�cois d'�thique appliqu�e, Ren� Villemure, � l'�mission radio Indicatif Pr�sent.

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Tels qu'annonc�s, les travaux des phases III et IV de renaturalisation des berges de la Saint-Charles ont d�but�, comme en t�moigne cette photo prise en direction de la rue Bourdage.

� droite de l'image, le principal immeuble des Jardins Rive Gauche [billet] s'impose dans le paysage du secteur.

Voir aussi cet autre billet.

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Source: Denis Fortin, Qu�bec-Hebdo 9 mai 2006

Les paroissiens de la communaut� paroissiale Saint-Charles-Borrom�e sont invit�s � participer en grand nombre � l�annonce des d�cisions des membres de l�Assembl�e de la fabrique Saint-Charles-Borrom�e quant � l�avenir des trois lieux de culte et du centre pastoral de la paroisse qui se tiendra le jeudi 18 mai 2006 � compter de 19 h 30 en l��glise Saint-Charles-Borrom�e.

Ce rendez-vous consiste en fait � la conclusion d�un long processus de r�flexion sur ce sujet qui date de quelques ann�es d�j�. L�Assembl�e de fabrique pr�sid�e par Andr� Lalibert� voulait ainsi se donner tout le temps et les outils n�cessaires pour prendre la d�cision la plus �clair�e possible. (...)

La suite.

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Source: Radio-Canada Qu�bec 9 mai 2006

L'entreprise G�nie-Tech demande � la Cour sup�rieure la permission de vendre le Palais Montcalm aux ench�res.

La firme veut ainsi r�cup�rer les 863 000 $ pour des travaux r�alis�s au Palais Montcalm. La Ville de Qu�bec refuse toujours de payer cette facture, invoquant des d�ficiences dans les travaux.

Il y a un peu plus de deux mois, G�nie-Tech avait inscrit une hypoth�que l�gale sur le Palais Montcalm. Depuis ce temps, la firme est sans nouvelles de la Ville

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Source: Pierre Asselin, Le Soleil 9 mai 2006

La nouvelle biblioth�que de Charlesbourg commence � prendre forme. Les m�dias ont pu visiter hier l��difice qui sera bient�t dot� d�un toit � vert � et qui puisera son �nergie dans le sol.

C�est �ric Pelletier, de la firme d�architectes Croft Pelletier, qui a servi de guide pour la visite du chantier. La biblioth�que de Charlesbourg sera la sixi�me au Qu�bec par la superficie. � On entre dans les ligues majeures �, commentait la responsable de la biblioth�que, Lina Rousseau.

Le b�timent de pierres rend hommage � l�histoire de la ville de Charlesbourg, a expliqu� l�architecte. L��difice qui abritait l�ancienne biblioth�que a �t� conserv� et un m�morial des familles souches sera am�nag� � l�arri�re. (...)

La suite.

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Source: Radio-Canada Qu�bec 8 mai 2006

Des restaurateurs voudraient donner plus d'�clat � la Grande All�e pour les f�tes du 400e anniversaire de Qu�bec, en 2008.

Leur association songe � illuminer les fa�ades des immeubles. Elle souhaiterait aussi que les parasols aux couleurs de marques de bi�re soient remplac�s par des auvents r�tractables de bon go�t.

Enfin, on songe � l'achat de 300 nouvelles chaises et de 700 nouvelles tables. Les restaurateurs devront investir un demi-million de dollars, en collaboration avec la Commission de la capitale nationale.

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Source: Claudette Samson Le Soleil 8 mai 2006

Si la Ville de Qu�bec pensait honorer les Chinois de Qu�bec en rebaptisant la rue des Prairies en rue de Xi�an, elle s�est dr�lement fourvoy�e. Elle les a plut�t insult�s !

Jocelyn Toy, pr�sident de l�Association des Chinois de Qu�bec, n�en revient pas. Le bout de ruelle faisant face au Cin�plex Od�on, sur la rue du Pont, est probablement l�un des pires de Qu�bec. (...)

La suite.

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Source: Claudette Samson, Le Soleil 8 mai 2006

La vie urbaine est faite de 1000 petits bonheurs et d�sagr�ments. Entre les grands enjeux de d�veloppement �conomique et social, la qualit� de vie des citoyens tient parfois � bien peu de chose. Histoire d�une poubelle mal-aim�e.

Xavier Br�bion est propri�taire de la boutique Canadeau, situ�e au 1124, rue Saint-Jean, en plein c�ur du Vieux-Qu�bec. Dans sa boutique bien tenue, il vend des souvenirs de qualit� aux touristes. (...)

Mais voil�. L�an dernier, M. Br�bion a vu surgir un probl�me fort malcommode pour un commer�ant ayant � c�ur l�accueil de ses clients : une poubelle � moins d�un m�tre de la porte de son magasin. Qui plus est : une poubelle qui laisse s��couler les � jus � de boissons gazeuses et d�aliments fondants juste devant sa porte.

Les clients inattentifs y mettent all�grement le pied, avant de transporter les liquides gluants jusque sur son beau carrelage.

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Source: L�a M�th� Myrand, Le Soleil 8 mai 2006

Les partisans du groupe � Sauvons l�Agora d�la noyade � �taient nombreux � la consultation publique sur le r�am�nagement de la Pointe-�-Carcy, hier soir. Tous les autres organismes se sont dit en faveur du d�mant�lement de l�amphith��tre ext�rieur.

Devant une salle remplie, la pr�sidente de � Sauvons l�Agora � a exprim� son d�saccord avec le projet propos� par le Port de Qu�bec. Julie Graff a rappel� que la sc�ne de l�Agora avait �t� reconstruite en 2004, au co�t de 500 000 $, pour mieux l�int�grer dans l�environnement portuaire. (...)

Voir autre billet

� Il faut am�liorer et refaire une beaut� � ce que nous avons d�j� et ce que nous avons d�j� ch�rement pay� �, a-t-elle plaid�. � D�m�nager l�Agora �a serait du vol, un gaspillage, une malversation financi�re de l�argent du f�d�ral. (..) Si on voulait d�placer l�Agora, j�appellerais la GRC, les gens qui sont � la recherche de la corruption. �

Elle croit pouvoir gagner sa cause puisque la ministre Jos�e Verner s�est engag�e � �couter la population dans ce dossier. Un sondage command� par Genex r�v�lait hier que 72 % des citadins s�objectent � la d�molition de l�Agora

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Source: Patricia Gauthier Le Soleil 7 mai 2006

Selon un sondage command� par Genex Communications, 71% des gens de Qu�bec souhaitent la survie de l�Agora pour les F�tes du 400e. Un argument de poids pour les opposants au projet f�d�ral de la Pointe-�-Carcy.

� On est tr�s contents des r�sultats. Honn�tement, on s�y attendait. �a ne fait que confirmer notre impression que �a n�a pas de bon sens de d�molir cet h�ritage-l� �, commente Patrice Demers, propri�taire de Genex Communications et gestionnaire actuel de l�Agora de Qu�bec. (...)

La suite. Voir autre billet

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Sources diverses : Livres d�histoires de Qu�bec des �ditions de l�homme, ainsi que des livrets de l�histoire des quartiers, des publications du Qu�bec.

En lisant la nouvelle de la construction de condos dans Sillery, ce n�est pas la premi�re fois, que des communaut�s religieuses vendent des parcelles de terrains pour raisons financi�res.

Il faut se rappeler que bon nombre du territoire de la ville de Qu�bec dans les ann�es 1800 et au d�but du 20e si�cle appartenaient a des communaut�s religieuses. Donc, des quartiers comme St-Sauveur, St-Roch, Montcalm et St-Sacrement; une bonne partie de ceux-ci, appartenaient aux communaut�s qui les ont vendus pour l�argent et aussi le besoin de la ville de Qu�bec d�accro�tre son territoire.

Je me souviens d�avoir lu, que pour la naissance du quartier Montcalm aux alentours de 1920, les religieuses avaient vendu des terrains (avec un bon profit) � conditions que les r�sidences construites soient d�une valeur entre 5000 et 8000 $ ce qui correspond � des r�sidences de 250 000 ou 300 000$ dollars maintenant.

Ce que je viens de vous partager, c'est de m�moire...

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Quelques nouvelles au niveau immobilier:

Pr�s de l'intersection de Chauveau et Boulevard Bastien il y a une nouvelle rue qui est en cours de construction, permettant de r�aliser le "Domaine du parc Pr�vert". Voir ce site pour de plus ample information Construction Canadienne

De la soci�t� Immobilli�re Fortier, des bureaux commerciaux seront construits sur le site d'une ancienne station service, Boul de l'ormi�re, angle de l'Auvergne, 60,000 pi. Pour les plans, voir site Internet. L'�difice sera construit par Le groupe Ogesco.

Et enfin, � c�t� de l'animalerie Dino sur le boulevards de l'Ormi�re angle Chauveau, il y aura un "Domaine du ruisseau" je n'en sais pas plus sur ce projet, pour l'instant.

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Source: Minist�res des transports et Ville de Qu�bec

Sur ces diff�rents liens internets, explications de diff�rents travaux routiers en �t� � Qu�bec.

http://www.ville.quebec.qc.ca/fr/information/communique/circulation_transport/3659.shtml
http://www.ville.quebec.qc.ca/fr/information/communique/circulation_transport/3643.shtml
http://www.mtq.gouv.qc.ca/fr/regions/cap_nationale/73_aux_223.asp
http://www.mtq.gouv.qc.ca/fr/regions/cap_nationale/duplessis.asp
http://www.mtq.gouv.qc.ca/fr/regions/cap_nationale/duvallon.asp

OUF ! j'en oublie peut-�tre ?

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Source: Commission des champs de bataille nationaux

En cette f�te des m�res, visitez en famille les serres des plaines d'Abraham et rencontrez les horticulteurs qui seront sur place pour r�pondre � vos questions. Profitez aussi de la pr�sence de nombreux autres sp�cialistes pour r�colter de l'information sur une foule de sujets li�s � la nature: compostage, insectes, r�duction des gaz � effet de serre, �quitable et bio, oiseaux de proie, horticulture etc. �rables de maison et plants d'arbres seront distribu�s aux premiers visiteurs (quantit� limit�e, un par personne). Animation pour les enfants: kermesse, jeu gonflable et M. Orange et Ketchup le clown. Plantation d'un arbre � 13 h par les enfants et les invit�s d'honneur. Dimanche 14 mai de 11 h � 16 h aux serres des plaines d'Abraham (coin des rues Briand et de Berni�res, � l'est du Mus�e). Gratuit. Information: 649-6157

Merci � Gerald Gobeil pour l'info

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Source: Jules Richer Le Devoir 6 mai 2006

L�H�tel 71 offre un d�cor contemporain, �pur� et chaleureux. Source: H�tel 71

Les h�tels-boutiques se sont multipli�s au cours des derni�res ann�es, au grand plaisir des amateurs de beaux et agr�ables d�cors. Le secteur de l'h�tellerie a ainsi connu une p�riode de renouveau devenue plus que n�cessaire. Comme ailleurs, la ville de Qu�bec n'a pas �chapp� � la vague. Le dernier-n� dans la ville est l'H�tel 71. Log� dans un immeuble patrimonial, il a pignon sur rue au coeur m�me du Vieux-Qu�bec, rue Saint-Pierre, tout � c�t� du Mus�e de la civilisation (www.hotel71.ca).

Propri�t� d'une famille de la Vieille Capitale, le nouvel �tablissement de 40 chambres a ouvert ses portes � l'automne 2005. Son d�cor chic et design n'est pas pass� inaper�u puisqu'il figure dans la liste des 300 nouveaux h�tels les plus in de la plan�te du magazine Cond� Nast Traveler, honneur attribu� dans l'�dition du mois de mai. (...)

Merci � G�rald Gobeil pour cette information

Le bois domine l'environnement de l'H�tel 71. Essences nobles du Qu�bec, noyer et �rable, prennent la vedette. �Notre d�cor est �pur� et chaleureux en m�me temps�, explique la copropri�taire de l'�tablissement, Sonia Gilbert.

�On a voulu faire quelque chose de contemporain, poursuit-elle, mais o� tout le monde se sente bien. On a r�ussi cela avec beaucoup de bois et de velours.�

Et il n'�tait pas question de se tourner ailleurs que vers le Qu�bec pour y arriver. ��'aurait �t� facile d'acheter en Chine � moins cher, mais on voulait avoir une touche qu�b�coise�, affirme Mme Gilbert. R�sultat : boiseries, meubles, �l�ments muraux, tout a �t� con�u et fabriqu� par des entreprises locales.

Les chambres sont donc par�es et meubl�es avec go�t, simplicit� et qualit�. Il faut n�anmoins avouer que l'environnement, un peu aust�re, aurait pu b�n�ficier de petites touches de fantaisie et de couleur.

Le chemin pour parvenir � ce r�sultat n'a pas n�cessairement �t� facile. � l'origine, l'immeuble de l'h�tel abritait une banque. En fait, il a longtemps �t� le si�ge social de la Banque Nationale. Malheureusement, les boiseries, les moulures et les autres �l�ments d�coratifs sont disparus au fil du temps. Les ann�es 70 ont �t� particuli�rement cruelles avec cet �difice du XIXe si�cle. Les beaux guichets ont disparu, de faux plafonds et de la moquette ont fait leur apparition. Les caissons d�coratifs du plafond ont �t� perc�s de canalisations. N'est rest� intact qu'un seul de ces caissons, qu'on peut voir dans le hall d'entr�e de l'h�tel.

Les tapis ont disparu et on a pu r�cup�rer les planchers de lattes de bois qui ont �t� sabl�s mais non vernis, question de donner un cachet particulier aux chambres. Les plafonds y sont hauts et les fen�tres sont grandes avec de beaux points de vue sur le port et le Vieux-Qu�bec. De cette fa�on, on ne se sent pas � l'�troit dans les chambres.

Dirig�s par la firme d'architectes Bri�re, Gilbert et associ�s, les travaux de r�novation ont dur� presque un an et co�t� quatre millions.

L'h�tel offre tous les services auxquels on s'attend pour un �tablissement de ce genre : acc�s Internet haute vitesse, salles de r�union et salle d'exercice. La client�le d'affaires ainsi que les touristes d'ici et d'ailleurs y trouveront leur compte et leur bonheur.

Le service y est bien entendu personnalis� puisqu'il s'agit l� d'une des raisons qui ont fait la popularit� de la formule de l'h�tel-boutique.

Par contre, on ne compte pas encore de restaurant, seulement un espace bien am�nag� o� on sert le petit-d�jeuner.

� cause de son emplacement, l'H�tel 71 permet en somme de faire un s�jour agr�able et reposant dans un des quartiers les plus beaux et les plus anciens du continent.

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Ce reportage a �t� r�alis� � la suite de l'invitation des responsables de l'h�tel.

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Source: Sofie Bienvenu, Voir Qu�bec, 4 mai 2006.

Depuis mai 2002, la Semaine de l'arbre et des for�ts, tradition vieille de plus de 125 ans, a c�d� sa place � un mois complet de sensibilisation. (...)

Si l'objectif du Mois de l'arbre est de faire d�couvrir arbres et for�ts ainsi que d'apprendre � les aimer et � les respecter, rien de tel qu'une petite promenade dans les sentiers des nombreux bois�s urbains, qui repr�sentent 45 % du territoire de la ville de Qu�bec.

Entre autres, les plaines d'Abraham figurent parmi les plus prestigieux parcs au monde. Premier parc urbain national du Canada, les Champs-de-Bataille r�pondent � un besoin important d'espaces verts au coeur de la ville, notamment gr�ce � leur arboretum, qui dresse un portrait des arbres repr�sentatifs des provinces et territoires du Canada ainsi que des sp�cimens du monde entier qui leur sont jumel�s. (...)

Acquis par la Commission de la capitale nationale du Qu�bec en 2001, alors qu'un projet r�sidentiel mena�ait d'en amputer les deux extr�mit�s, le bois� des Compagnons-de-Cartier, d�limit� au sud et � l'ouest par le chemin des Quatre-Bourgeois, est parcouru par un sentier de 1,5 kilom�tre favorisant l'observation de la nature et des esp�ces d'arbres qui le peuplent...

La suite.

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Vue sur le chantier du bassin de r�tention Anse-�-Cartier qui comprend la construction d'un bassin de r�tention et l'am�nagement d'un parc public, le tout au co�t de 6,6 M $.

Ces travaux le long de la rue Jacques-Cartier coincident avec ceux des condominiums L'Anse-St-Charles (en arri�re-plan) et d'autres � venir sous peu en p�riph�rie dans le cadre de la revitalisation des rives de la rivi�re [billet].

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Source: Jean-Fran�ois Cliche Le Soleil 4 mai 2006

Le minist�re des Transports a d�voil� hier ses plans pour la d�molition des bretelles de l�autoroute Dufferin-Montmorency, m�me si, officiellement, le projet n�a toujours pas re�u l�aval du ministre Michel Despr�s.

Des travaux de r�parations seront effectu�s cet �t� pour refaire certains parapets et des joints de dilatation. Cette premi�re phase, qui co�tera 9,5 millions $, entra�nera des fermetures sporadiques de voies d�autoroute et du boulevard Charest.

La fameuse d�molition des bretelles qui vont mourir dans la falaise, elle, fera partie d�une �ventuelle deuxi�me �tape. � En ce qui concerne la phase deux, il n�y a encore rien de d�cid� et le calendrier des travaux n�a pas encore �t� d�fini �, a sp�cifi� Luc Bergeron, fonctionnaire au minist�re des Transports. (...)

Voir autre billet

Si, donc, le ministre finit par donner le feu vert � cette phase deux, la principale entr�e dans la haute-ville passerait de 11 voies (6 qui entrent en ville, 5 qui en sortent) � seulement 7. M. Bergeron justifie cette r�duction par le fait que les projections d�mographiques pr�voient une diminution de la population de Qu�bec � partir de 2021.

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Source: Jean-Pascal Lavoie Qu�bec Hebdo 14 avril 2006

Une autre vieille, encore !

Les travaux de r�fection de l'ancien Centre municipal des Congr�s sont compl�t�s et les installations pr�tes � recevoir les congressistes. Le Centre des congr�s de Qu�bec en a fait l'annonce cette semaine en qualifiant de v�ritable succ�s ces investissements.

N'ayant jamais subi de cure de rajeunissement depuis 1974, les installations devaient �tre mises � niveau pour ne pas freiner la progression du Centre des congr�s. (...)

La suite. Voir autre billet

� noter dans les travaux, ceux-ci incluaient aussi de refaire la dalle de b�ton, qui a �t� endommager par la pyrite. Le m�me probl�me se retrouverait dans certaines �difices de la r�gion.

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Source: Jean-Pascal Lavoie Qu�bec Hebdo 14 avril 2006

Est vieille comme nouvelle, je l'ai trouv� par hazard sur le net.

Un toute nouvelle r�sidence pour personnes �g�es ouvrira ses portes en octobre prochain � l'Ancienne-Lorette. Le Manoir des Pionniers, sixi�me r�sidence du groupe Les R�sidences du Patrimoine, est un projet de 5 M $ situ� tout pr�s de la rue Notre-Dame.

Comportant 80 unit�s de logement allant du studio au 4 1/2, la r�sidence se distingue � de nombreux �gards. �On apporte un �l�ment nouveau dans le domaine, explique Reynald C�t�, directeur du Manoir des Pionniers. Que ce soit au niveau de la qualit� des logements, du confort, des services, de la s�curit� et de la comp�tence du personnel, nous offrons un niveau sup�rieur � ce qu'il y a pr�sentement.� (...)

La suite. voir aussi cet autre lien

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Source: Jean-Philippe C�t�, Qu�bec Hebdo 4 mai 2006

En tout, nous allons avoir pr�s de 40 unit�s de motel�, explique le propri�taire du commerce, J�r�me Bergeron. Les travaux, entrepris au cours de l�automne dernier, consistaient � tripler la superficie du motel, laquelle ne suffisait plus pour r�pondre � la demande. (...)

�Nous avions beaucoup trop de demandes de clients pour l�espace qu�on avait, explique M. Bergeron. Nous voulions aussi offrir une meilleure qualit� de chambres pour nos usagers.�

Apr�s avoir investi plus d�un million et demi de dollars dans la r�novation du b�timent, J�r�me Bergeron estime que l�agrandissement lui sera profitable dans un futur tr�s proche. �Le domaine de l�h�tellerie ici est vraiment en pleine expansion�, rappelle-t-il.

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Source: Anne-Louise Champagne, Le Soleil 30 avril 2006

La p�nurie de logements v�cue � Qu�bec se r�sorbe tranquillement. Mais elle a laiss� des traces.

En 2001, 2002 et 2003, les locataires ont d� composer avec les plus bas taux d�inoccupation � 0,8 %, 0,3 % et 0,5 % respectivement. La situation �tait critique au point o� des familles se sont retrouv�es � la rue le 1er juillet de ces ann�es-l�. Dans un march� �quilibr�, les appartements vacants repr�sentent � peu pr�s 3 % du march�.

Depuis, ce taux est en remont�e, soit � 1,1 % en 2004 et � 1,4 % en 2005. Il devrait continuer sa remont�e graduelle, �crit la Soci�t� canadienne d�hypoth�ques et de logement dans son rapport annuel sur le march� locatif, paru en octobre dernier.

Mais le march� locatif est rest� capricieux. (...)

La suite. Voir autre billet

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Source: Site Internet Cano�, 26 avril 2006

L'Association provinciale des constructeurs d'habitations du Qu�bec (APCHQ) estime que les d�penses de r�novation pour le secteur r�sidentiel devraient atteindre 11,3G $ (milliards) en 2006, si la tendance se maintient, souligne la Presse Canadienne.

Selon l'organisme, alors que la construction conna�t un cycle de ralentissement, la r�novation poursuit sa progression, ayant atteint un record de 10,4G$ en 2005, soit une augmentation de 8,3% par rapport � 2004. (...)

La suite.

Ce serait l'occasion de "reniper" quelques �difices � logements dans le centre-ville ???

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Source: Journal Droit de parole, mai 2006.

Le journal Droit de parole a �t� fond� en 1974 et compte ainsi 32 ans de publications � son actif. Son histoire est intimement li�e � celle des groupes populaires de Qu�bec des ann�es 1970. D�j�, � cette �poque, la presse �crite boudait ou d�formait les d�clarations des groupes populaires. Droit de parole servait alors principalement � combler un manque de couverture de l'actualit� de quartier.

� Qu�bec, dans les ann�es 1970, la r�novation urbaine frappait de plein fouet les populations des quartiers du centre-ville et Droit de parole joua un r�le important dans les luttes qui s'engag�rent pour la d�fense et la conservation de ces quartiers. Il en est de m�me de la d�fense des droits collectifs et du travail. Cette pr�sentation, suivie d�une discussion, propose une incursion dans la petite histoire en exposant les couvertures que Droit de parole a fait des luttes populaires des quartiers centraux depuis 32 ans. Plusieurs perspectives de luttes seront abord�es : les luttes en rapport au droit au logement, les diff�rentes luttes des quartier centraux concernant l�am�nagement urbain et la gentrification, les luttes des femmes, les luttes syndicales, certaines luttes r�currentes comme les petites �coles dans Limoilou, l��mergence de la radio communautaire CKIA (Radio Basse-Ville)� Bref, un panorama de l�histoire des luttes populaires des quartiers centraux selon les archives de Droit de parole!

Cet atelier a lieu le jeudi 4 mai � 19h au resto-pub L'�chouerie, situ� au 380 Dorchester. Bienvenue � tous et � toutes!

Voir aussi ce billet.

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Elle aussi l'info est un peu vieille, mais int�ressant par contre. Cela pourrait s'appliquer non seulement aux maisons, mais probablement a de petit bloc de logements et/ou petit commerce... ou condos. Dailleurs j'ai d�ja vu sur une photo, un petit immeuble de logement poss�dant des panneaux solaires � Montr�al.

Source: Andr� Fauteux, La Maison du 21e si�cle automne 2005

Le Canada souhaite que 1 500 maisons solaires autosuffisantes soient mises en chantier d�ici cinq ans pour contrer les changements climatiques, dont 14 maisons mod�les � travers le pays d�ici 18 mois. Un projet tombant � point avec la crise du p�trole qui incite le consommateur � se tourner davantage vers des r�seaux �lectriques qui co�tent de plus en plus cher � entretenir et � d�velopper.

Annonc�e le 20 juillet dernier par quatre ministres f�d�raux, l�initiative de la Maison saine � consommation d��nergie nette z�ro vise � cr�er un vaste partenariat public/priv� afin que ces maisons deviennent la norme en 2030. Interconnect�es aux r�seaux �lectriques, elles pourront leur vendre plus d��lectricit� qu�elles en ach�teront, d�o� l�expression � nette z�ro �. Depuis 1994, plus de 180 000 de ces maisons solaires ont �t� b�ties au Japon et les �tats-Unis veulent en b�tir 100 000 d�ici 2020. (...)

La suite.

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Source: Pierre Asselin, Le Soleil, 2 mai 2006.

La Ville s�appr�te � abattre un orme qui a vu le jour avant le Qu�bec. L�arbre, un des plus vieux du territoire, est malheureusement atteint par la maladie hollandaise de l�orme et il doit �tre coup�.

L�orme, qui se trouve au coin de la rue Salaberry et de la Grande All�e, est l� depuis plus de 150 ans et peut-�tre m�me depuis 200 ans, explique Jacques Grantham, directeur du service de la foresterie urbaine � la Ville de Qu�bec. (...)

La suite. Voir aussi ces deux billets.

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Source: Gilles Angers, Le Soleil 1 mai 2006

La Caisse d'�conomie solidaire Desjardins trouve qu'il est grand temps, � la suite de projets collectifs et sociaux, que les particuliers eux-m�mes se compromettent en regard de l'�mission des gaz � effet de serre. Pour les aider, elle leur propose une �hypoth�que �cologique� appel�e Hypoth�co.

�Il ne s'agit pas d'une hypoth�que assortie d'un rabais de taux�, tient � pr�ciser le coordonateur g�n�ral adjoint aux services aux membres de la Caisse, Paul Ouellet. Il dit qu'il s'agit plut�t de pr�ts hypoth�caires conventionnels � valeur ajout�e. (...)

La suite

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Oui je sais que cette info date d'une semaine ! Mais c'est quand m�me une probl�matique � soulever, concernant les terrains contamin�s. M�me si le probl�me a d�ja �t� plus important par le pass�.

Source: Jean-Fran�ois Cliche Le Soleil 23 avril 2006

Toutes les guerres font des victimes. La concurrence farouche que se livrent les marchands d�essence n�y fait pas exception. � cette diff�rence pr�s, cependant, que leurs cadavres peuvent croupir sur le champ de bataille pendant plusieurs ann�es. (...)

Voir autre billet

Sur le seul territoire de la Ville de Qu�bec, on retrouve entre 40 et 50 stations-service d�saffect�es qui attendent de trouver preneur, selon un recensement effectu� par la Ville et la Chambre de commerce de Qu�bec (CCQ). Certains de ces postes d�essence d�saffect�s, comme l�ancien Esso au coin de Cartier et de Ren�-L�vesque, ont cess� leurs activit�s assez r�cemment. (voir photo ci-dessus)

D�autres fermetures, cependant, remontent � autant qu�une dizaine d�ann�es sans que, depuis, le terrain ait �t� d�contamin� ou que le b�timent placard� ait �t� ras�. C�est le cas, par exemple, du lopin faisant le coin des rues Kirouac et Aqueduc, en basse ville, inutilis� depuis la faillite de sa station-service, en 1997.

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Source: Michel B�dard Qu�bec Hebdo 1 mai 2006

La construction des 30 nouveaux logements sociaux de la Coop�rative d�habitation Le Harfang de Beauport va bon train sur la rue Boutet dans le district du Vieux-Bourg � l�endroit o� se trouvaient auparavant les installations de la Boulangerie Dup�r� et de Multi-Marques. (...)

Le r�am�nagement de la rue Boutet devrait �tre termin� d�ici le 15 mai et les 30 unit�s de logements seront disponibles pour une occupation le 1 er juillet. (...)

La suite

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Le Vieux-Bourg de Beauport vit ce que St-Roch a v�cu dans les ann�es 1970

Source: Michel B�dard Qu�bec Hebdo 1 mai 2006

Il faudra de 20 � 25 ans pour effectuer la revitalisation de l�avenue Royale dans le Vieux-Bourg de Beauport. Le chroniqueur urbain � la Premi�re cha�ne de Radio-Canada, R�jean Lemoine, en a fait la d�monstration r�cemment � titre de conf�rencier invit� lors du troisi�me d�jeuner rencontre du Comit� pour la vitalit� de l�avenue Royale (CVAR) pr�sent� au restaurant William 1er , au c�ur de l�arrondissement historique. (...)

Selon M. Lemoine, la revitalisation de l�avenue Royale et du boulevard Sainte-Anne serait assur�e avec la cr�ation d�un acc�s � la Baie de Beauport par le prolongement de l�avenue d�Estimauville qui en deviendrait une porte d�entr�e fort achaland�e et favoriserait ainsi le d�veloppement �conomique de l�ensemble du secteur. (...)

La suite. Voir autre billet

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Oui aux condos sur le chemin Saint-Louis

Source: Isabelle Mathieu Le Soleil 2 mai 2006

La mairesse Andr�e Boucher se dit en faveur des tours � condos de 10 �tages sur les propri�t�s religieuses � Sillery, " si c'est beau et bien fait ".

Les terrains des communaut�s religieuses, � Sillery, sont tr�s convoit�s par les temps qui courent : des promoteurs immobiliers ont dans leurs cartons des projets qui feraient surgir un millier de nouvelles unit�s de logement, sur deux kilom�tres, le long du chemin Saint-Louis.

La Ville de Qu�bec a d�cr�t� un moratoire sur les changements au zonage, le temps d'�laborer sa vision de d�veloppement.

S'il n'en tient qu'� la mairesse Andr�e Boucher, le d�veloppement immobilier sera permis dans ce secteur de Sillery, en autant qu'il soit " raisonnable et responsable ". (...)

La suite voir autre billet

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D�but des travaux des phases III et IV

Source: Ville de Qu�bec 26 avril 2006

Qu�bec, le 26 avril 2006 � La Ville de Qu�bec entreprend � compter de cette semaine, les travaux des phases III et IV du programme de renaturalisation des berges de la rivi�re Saint-Charles. Ces travaux sont �valu�s � 5,4 millions de dollars pour la phase III et � 4,2 millions de dollars pour la phase IV, co�ts partag�s � un tiers chacun par le gouvernement du Canada, le gouvernement du Qu�bec et la Ville de Qu�bec. De plus, la Fondation de la faune du Qu�bec injectera 350 000 $ dans le projet. (...)

Voir autre billet

ENFIN !!!

Nature des travaux

Les travaux consistent en la d�molition des berges b�tonn�es, la renaturalisation et la v�g�talisation des berges ainsi que l�am�nagement d�un sentier multifonctionnel.

R�alis�s sur la rive nord de la rivi�re, les travaux de la phase III s��tendront sur les berges situ�es entre les ponts Lavigueur et Marie-de-l�Incarnation. La phase IV se d�roulera pour sa part entre le parc Cartier-Br�beuf et le pont de l�autoroute Dufferin-Montmorency.

Ces travaux s��chelonneront jusqu�� la fin de novembre alors que la plantation des v�g�taux sera compl�t�e au printemps 2007.

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Source: Radio-Canada (Qu�bec), 1er mai 2006.

Le pr�sident du comit� organisateur des f�tes du congr�s du Comit� olympique canadien � Qu�bec, Marcel Aubut, dressait lundi le bilan des activit�s des derniers jours. (...)

Plus de 10 000 personnes ont particip� aux activit�s entourant le congr�s de quatre jours.

Durant la fin de semaine notamment, la ville de Qu�bec a v�cu au rythme de la r�union des membres du Comit� olympique canadien et des f�tes pour marquer l'hommage � six personnalit�s embl�matiques du sport olympique canadien. (...)

La suite. Voir aussi cet autre billet.

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Source: Sofie Bienvenu, Voir Qu�bec, 27 avril 2006.

La rivi�re Saint-Charles �tait jadis l'un des cours d'eau les plus pollu�s au Qu�bec. Un organisme sans but lucratif, Rivi�re vivante, se consacre depuis 1995 � sa r�habilitation. (...)

Rivi�re vivante consid�re la rivi�re Saint-Charles comme un bien collectif que les citoyens doivent se r�approprier afin de participer � sa protection, � sa restauration et � sa mise en valeur. Selon cet organisme, "cette r�appropriation de la rivi�re et du fleuve passe obligatoirement par des investissements massifs pour la construction des derniers bassins de r�tention des eaux us�es, ce qui permettra de finaliser l'assainissement de la rivi�re." (...)

Si cet organisme met tout en oeuvre pour r�habiliter la rivi�re Saint-Charles, la Ville de Qu�bec met �galement la main � la p�te. Elle a en effet mis sur pied un programme de renaturalisation des rives, r�parti en six phases. (...)

Au total, la renaturalisation des rives de la rivi�re Saint-Charles aura co�t� 22,85 millions de dollars, auxquels la Ville aura contribu� pour un total de 7,6 millions.

La suite. Voir aussi ces autres billets.

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Source: Anne-Louise Champagne, Le Soleil, 30 avril 2006.

Vous quittez votre appartement ? Faites votre part pour l�ensemble des locataires. � Prenez votre bail, et passez-le au suivant. �

Le conseil est de Mathieu Houle-Courcelles, du Bureau d�animation et d�information logement (BAIL). Pourquoi ? Parce que le changement de locataire pour un logement donn� est l�occasion d�imposer les plus fortes augmentations de loyer. Or, ces hausses peuvent, comme les autres, faire l�objet d�une demande de fixation de loyer aupr�s de la R�gie du logement. Encore faut-il conna�tre le montant du loyer pr�c�dent. (...)

Voir aussi cet autre billet.

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Qu�bec d�terre les ruines de deux palais de Jean Talon

Les travaux, dont les co�ts estim�s s'�l�vent � plus de 40 millions de dollars, vont durer au moins six ans.

Isabelle Porter
�dition du lundi 1er mai 2006 Le Devoir

Qu�bec -- La ville de Qu�bec se pr�pare � d�terrer les ruines des deux palais de l'intendant qui, de Jean Talon � la Conqu�te, �taient � la Nouvelle-France ce que le Parlement est au Qu�bec d'aujourd'hui. Le Devoir s'est rendu sur le site pour en mesurer l'influence pass�e et future.

Qu�bec, tout le monde conna�t la Gare et la C�te du Palais mais rares sommes-nous � savoir qu'ils tirent le nom de l'ancien palais de l'intendant qui s'�levait tout pr�s de l� durant le r�gime fran�ais. Abandonn� apr�s la Conqu�te, l'ancien centre politique de la Nouvelle-France a sombr� dans l'oubli depuis longtemps, si ce n'est pour les �tudiants en arch�ologie de l'Universit� Laval qui en sondent les sous-sols depuis plus de vingt ans.

Tapi derri�re la maison pour sans-abri de L'Auberivi�re, en bas des Casernes et des fortifications, le site ne paie pas de mine et n'a rien de sa majest� d'autrefois. �Il ne reste tellement plus rien que les gens ont vraiment de la difficult� � comprendre que cela a pu �tre le principal lieu de pouvoir de la Nouvelle-France�, fait remarquer Francine B�gin, qui est charg�e de ce projet � la ville.

Les vestiges du premier palais (1668-1713) se cachent sous une all�e de gazon. Pendant dix ans, ils ont �t� pr�sent�s au public sous une grande tente... qui a fini par s'effondrer en 1998. Quant au deuxi�me (1713-1775), le grand, il revit partiellement dans le centre d'interpr�tation des Vo�tes du Palais, sous la caserne de pompiers. Mais, on a d�j� vu lieu touristique plus invitant, et la majorit� des gens en ignorent l'existence.

Les politiques des Palais

� ce jour, le projet de revitalisation n'est gu�re plus populaire... Un sondage r�v�lait cette semaine que 38 % des gens n'en avaient pas entendu parler et que 25 % s'y opposaient. Mais au dire de Fran�ois Moisan, des communications, de la ville, cette m�connaissance n'est qu'un argument de plus pour faire conna�tre ce joyau historique. Quand m�me... Pour un lieu historique cens� rendre hommage aux d�cideurs politiques, ce manque de soutien est pour le moins embarrassant.

Mais la mairesse Boucher est tr�s sensible � tout ce qui touche au patrimoine. Ce qui permet d'expliquer en partie pourquoi cette femme archi-�conome s'est engag�e dans ce projet dont les co�ts estim�s s'�l�vent � 42 millions. Alors que l'on pousse les hauts cris, dans la r�gion de Qu�bec, parce que la construction du Palais Montcalm -- la future r�sidence des Violons du Roy -- a vu ses co�ts passer de 12 � 23 millions, le risque politique que repr�sente le projet de l'�lot des Palais est incontestable. L'opposition dirig�e par Ann Bourget en fait d'ailleurs ses choux gras et s'inqui�te publiquement des co�ts et �ch�anciers.

Ce qui ne l'a pas emp�ch� de voter en sa faveur, dans le cadre du dernier Programme triennal d'immobilisations (PTI). Jusqu'� pr�sent, la ville a approuv� des d�penses de 18 millions pour le site du petit palais dont les travaux doivent d�buter, d�s cet �t�, afin qu'il soit fin pr�t en 2008. Le projet vise essentiellement � permettre au public de visiter ses ruines, sous la terre. Un centre d'interpr�tation pourrait �tre construit, mais il ne s'agit pas de reconstituer l'�difice.

Les fonds n�cessaires � la construction du deuxi�me palais n'ont pas encore �t� autoris�s, mais c'est tout comme. Qu�bec a d�j� achet� les terrains voisins n�cessaires � son �rection et pr�vu un plan de relocalisation pour la caserne de pompiers qui avait �t� construite par-dessus ses vo�tes. Dans ce cas-ci, on songe � une v�ritable reconstitution. Mais doit-on le reconstruire tel quel ? Mme B�gin s'interroge : �On veut en respecter le volume, la m�me forme, avec le clocher, mais de l� � utiliser les m�mes mat�riaux et le m�me mortier...�. Le stationnement qui se trouve actuellement sur le site sera remplac� par une cour d'honneur. On parle d'un grand jardin, d'une all�e d'arbres. Il faudra au moins attendre jusqu'en 2012 avant de voir le r�sultat final, et il reste beaucoup � faire. �Nous ne pouvons pas le faire construire tout de suite parce qu'on n'a pas fini de fouiller les sous-sols. C'est pour cela que la ville va lancer un programme intensif de fouilles cet �t�.�

Des palais pour quoi faire ?

Enfin, une fois les anciens palais r�v�l�s, qu'en fera-t-on ? �La reconstitution du premier palais pour 2008 permettrait de sortir beaucoup de tr�sors qui ont �t� d�couverts au fur et � mesure des fouilles arch�ologiques que la ville a effectu�es au cours des derni�res ann�es�, expliquait la mairesse lors du d�p�t du PTI. �Il y a l� plein de choses qu'il faudrait montrer au citoyens pour leur dire c'est quoi 400 ans d'histoire � Qu�bec et on n'a m�me pas de lieu pour le faire.�

Parmi ces �tr�sors�, il y a de la vaisselle, des pi�ces d'artillerie, des pipes ( !), indique Mme B�gin. �Ces objets permettent de comprendre comment les gens vivaient � l'�poque.� Son coll�gue des communications, Fran�ois Moisan ajoute que l'�tage sup�rieur du deuxi�me palais pourrait servir de salle protocolaire en �cho � ses fonctions anciennes.

Mais est-ce suffisant comme mandat et n'y a-t-il pas d�j�, nombre d'institutions consacr�es � l'histoire et la Nouvelle-France, comme le Centre d'interpr�tation de Place-Royale et le Mus�e de l'Am�rique Fran�aise ? Voil� une tout autre question. La Commission de la capitale nationale (CCN) est emball�e par le projet en tant que tel, mais lorsqu'on pose des questions sur sa vocation, les r�ponses sont �vasives. �C'est vrai qu'il y a d�j� une trentaine si ce n'est pas une quarantaine d'institutions mus�ales � Qu�bec. Pour ce qui est de l'interpr�tation du lieu apr�s, ce n'est pas dans notre mandat�, r�pond Denis Angers, des communications. �Pour nous, c'est vraiment un bon choix. De l� � savoir si �a vaut la peine d'y investir 40 millions, la question qu'il faut se poser c'est : est-ce que la m�moire est quantifiable ?�

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Sur le site du constructeur Ogesco, on peut voir le chantier en cours des condos le cinqui�me Bourgeois en date du 19 avril, ainsi que d'autres chantiers r�alis�s ces deux derni�res ann�es.

Le site est long � t�l�charger (pour ceux qui ont le modem t�l�phonique) d� aux nombreuses photographies.

Voir cet autre billet

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Agrandissement de la biblioth�que F�lix-Leclerc

Source: Ville de Qu�bec 28 avril 2006

Qu�bec, le 28 avril 2006 � La Ville de Qu�bec est heureuse de l�annonce, faite par le premier ministre du Qu�bec, M. Jean Charest, de l�investissement de 1,7 million $, qui servira � l�agrandissement de la biblioth�que F�lix-Leclerc, situ�e dans le secteur de Val-B�lair de l�arrondissement Laurentien. (...)

La Ville de Qu�bec lancera prochainement un concours d�architecture selon les modalit�s et les proc�dures du minist�re de la Culture et des Communications. Ce concours permettra d�obtenir des propositions d�agrandissement r�pondant aux exigences architecturales pr��tablies. Un jury, dont la composition sera d�termin�e ult�rieurement, s�lectionnera la proposition � retenir. (...)

La suite

Cela pourrait �tre int�ressant de visualiser la nouvelle apparence de la biblioth�que avant et apr�s... le "lifting"

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