Archive des billets publi�s en juin 2006

"Enfin accessibles! Situ�s sur les terrains de l'ancienne Cimenterie Saint-Laurent, Les Fa�ades de l'�le, condos contemporains...", lit-on dans la publicit� du promoteur, Questco, publi�e aujourd'hui dans Le Soleil.

Cinq immeubles de 39 condos seraient donc construits sur un site dont le zonage a fait l'objet de vives discussions ces derni�res ann�es. De m�moire, on parlait � l'origine de tours de 15 �tages pour un premier projet r�sidentiel!

Voir aussi ces autres billets.

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Source: Radio-Canada Qu�bec, 30 juin 2006

Le maire de Paris, Bertrand Delano�, a confirm� ses intentions pour les f�tes de 2008 lors d'un entretien avec la mairesse de Qu�bec, vendredi, dans la Ville Lumi�re. La Ville de Paris entend refaire la place qui porte son nom dans le Vieux-Qu�bec. Le maire Delano� a indiqu� que les deux villes travailleraient ensemble, afin de constituer un am�nagement joli et vivant.

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Source: Karine Gagnon Journal de Qu�bec, 30 juin 2006

Le Canadien National maintient son refus d'autoriser un promoteur � organiser des visites guid�es du pont de Qu�bec au cours desquelles les gens seraient attach�s � des harnais et grimperaient sur la structure.

�Nous sommes cat�goriques, il n'est pas question de prendre ce risque�, a r�p�t�, hier, Julie Sen�cal, porte-parole du Canadien National (CN). Propri�taire du pont de Qu�bec, le CN a rencontr� le promoteur en question, Sylvain Gagn�, de GrimPont, � deux reprises depuis deux ans. On lui a expos� que son projet ne cadrait pas dans le mandat de l'entreprise et qu'on n'�tait pas � l'aise avec �a.

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Source: Jean-Fran�ois Cliche Le Soleil, 29 juin 2006

La Ville de Qu�bec n�est pas tr�s loin de donner son feu vert � la baignade sur la plage Jacques-Cartier, comme le souhaiterait la mairesse Boucher, mais elle d�sire compl�ter de nouvelles �tudes, cet �t�, avant d�aller de l�avant.

La principale entrave aux saucettes dans le Saint-Laurent a toujours �t� la pr�sence de coliformes f�caux provenant de deux sorties d��gout � � la hauteur des ponts, � Sainte-Foy, et du port de Qu�bec. Ce probl�me se pose de fa�on plus aigu� apr�s de fortes pluies.

Des bassins de r�tention, compl�t�s il y a deux ans, devraient th�oriquement avoir d�j� �limin� cette contrari�t�. � Mais, dit le porte-parole de la Ville Fran�ois Moisan, on n�a pas encore de mod�le fiable pour savoir dans quelles conditions les bassins peuvent d�border. Donc, on ne sait pas quand la mati�re f�cale sera rejet�e dans le fleuve. �

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Vers 15h30, un orage relativement violent a frapp� Qu�bec, �pargnant toutefois le nord de l'agglom�ration. Ici, peu avant son arriv�e, une vue en direction sud-ouest vers le Vieux-Qu�bec � partir du bassin Louise.

Voir aussi ce billet et mon blogue m�t�o (plusieurs photos).

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Source: R�gys Caron Le Journal de Qu�bec, 26 juin 2006

L'analyse de 284 �chantillons d'eau pr�lev�s � la baie de Beauport, au cours des quatre derni�res ann�es, r�v�le que l'eau y est propice � la baignade sept fois sur 10.

�Va-t-on attendre la construction des r�servoirs de r�tention avant de permettre la baignade � la baie de Beauport?�, commente Daniel Guay, pr�sident de Acc�s Saint-Laurent Beauport, organisme vou� � la promotion de la baignade en ce lieu fr�quent� par les adeptes de sports de plage. �Les gens se baignent d�j� quand l'eau de la baie est claire�, pr�cise M. Guay.

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Source: Annie Saint-Pierre Le Journal de Qu�bec, 27 juin 2006

La valeur croissante du dollar canadien et le prix de l'essence devraient influencer � la baisse l'industrie touristique estivale � Qu�bec. C'est ce que craint M. Pierre Labrie, pr�sident et directeur g�n�ral de l'Office du tourisme de Qu�bec, qui se fait tr�s conservateur dans ses pr�visions d'achalandage pour l'ann�e 2006. �Il y a trop d'indicateurs qui nous laissent croire que l'ann�e touristique sera un peu plus faible en 2006�, lance-t-il.

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Source: Guy St-Laurent Le Journal de Qu�bec, 27 juin 2006

Le premier motel Super 8, de 80 chambres, ouvrira ses portes sur le boulevard Hamel, � Qu�bec, en novembre. Les travaux de construction, �valu�s � 5 millions de dollars, sont pr�sentement en cours, voisin du motel Qu�bec Hall et du restaurant le Tangville.

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Source: R�gys Caron Le Journal de Qu�bec, 29 juin 2006

La Ville de Qu�bec pourrait autoriser la r�alisation d'un projet de 83 logements au cimeti�re Saint-Patrick, dans l'arrondissement historique de Sillery, m�me si une consultation publique sur l'avenir de ce secteur est en cours.

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Source: Radio-Canada Qu�bec, 29 juin 2006

Deux promoteurs de la r�gion de Qu�bec, Sylvain Gagn� et Ghislain L�vesque, veulent proposer des visites guid�es des structures du pont de Qu�bec. Au cours d'une balade de deux heures, les visiteurs pourraient admirer la vue de m�me qu'�tre inform�s sur l'histoire du pont de Qu�bec.

Les promoteurs du projet � Grimpont � tirent cette id�e d'une visite faite � Sidney, en Australie, o� les pi�tons ont acc�s � la structure du Harbour Bridge.

Le promoteur Ghislain L�vesque indique que l'acc�s au pont de Qu�bec, avec des rampes et des garde-fous, est similaire � celui du Harbour Bridge.

Toutefois, le Canadien National (CN), qui est propri�taire du pont de Qu�bec, s'oppose cat�goriquement � cette id�e. Pourtant, les promoteurs maintiennent que les discussions � ce sujet sont toujours en cours avec le CN. Si le CN consent � donner son aval au projet, celui-ci pourrait voir le jour en 2008.

Voir aussi ce lien.

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Source: Radio-Canada Qu�bec, 29 juin 2006

Le gouvernement Charest d�bloque 6,5 millions pour consolider le Parc Aquarium du Qu�bec. Cette somme servira � amener de nouvelles esp�ces notamment des empereurs qui pourraient attirer les touristes. Le nombre de visiteurs au Parc Aquarium a baiss� depuis 3 ans, passant de 220 000 � 168 000 l'an dernier. Par ailleurs, les tarifs seront gel�s pour les trois prochaines ann�es.

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Source: Radio-Canada Qu�bec, 28 juin 2006

Les deux paliers de gouvernement confirment des investissements pour l'Institut national d'optique (INO). Qu�bec octroie 30 millions de dollars et Ottawa, 18 millions. Ces sommes vont permettre le d�veloppement des infrastructures et assurer le soutien du programme de recherches internes.

Concr�tement, cela permettra aux PME qui sont clientes de l'INO d'am�liorer leur comp�titivit�. Les investissements annonc�s vont entra�ner la cr�ation de 70 nouveaux emplois.

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On ach�ve de poser le rev�tement ext�rieur de la partie "stationnements" de l'�difice.

Voir aussi cet autre billet.

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Source: Fr�d�rick Masson Qu�bec Hebdo, 28 juin 2006

Le �nouveau� parc Lucien-Borne est maintenant accessible au grand public. Apr�s avoir subi des transformations majeures au cours de la derni�re ann�e, l�endroit a fi�re allure.

Cette cure de rajeunissement, r�alis�e au co�t d�un million de dollars, a �t� �labor�e en concertation avec des partenaires du milieu dans le but de r�pondre ad�quatement aux besoins de la population qui habite les quartiers limitrophes, dont Saint-Jean-Baptiste et Montcalm.

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Source: Fran�ois Cattapan Qu�bec Hebdo, 27 juin 2006

Tenace et faisant preuve d'un optimisme quasi obstin� que ne renieraient certes pas certains jovialistes de renom, l'organisme SOS Zoo n'abdique pas une seconde dans le dossier de la fermeture du Jardin zoologique du Qu�bec. Son objectif avou� consiste � demeurer actif et � faire parler de lui, de fa�on � ne pas se faire oublier le temps de trouver une solution pour relancer les op�rations du zoo.

Voir la suite. Voir autre billet. Et celui-ci.

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Source: Radio-Canada Qu�bec, 28 juin 2006

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Source: Isabelle Mathieu, Le Soleil, 27 juin 2006.

(...) Le restaurateur [du Portofino] fait remarquer qu�au fil des ann�es, il a construit 16 logements dont huit au-dessus du Portofino. � On les a construits dans des anciens b�timents de l�H�tel-Dieu de Qu�bec qui n��taient plus utilis�s, raconte M. Monti. Si ce n��tait du Portofino, un promoteur aurait s�rement transform� les espaces en condos, vendus au plus offrant. �

Ci-haut, l'immeuble en question, construit il y a quelques ann�es, qui a suscit� � l'�poque des critiques en raison de sa hauteur.

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Source: Site internet Nos Racines

Ce territoire du cap jusqu'au bassin Louise n'a pas toujours �t� ce qu�il est maintenant. Il faut se rappeler qu�au temps de Samuel-de Champlain et ce jusqu'au 19e si�cle, il y avait seulement des terres qui longeaient le Cap aux Diamants, d�ailleurs les gens qui avaient construit sur ces terrains passaient par la gr�ve, sinon par canot lors des hautes mar�es. Certains chanceux se sont pratiqu� des passages par derri�re leurs maisons pour entrer et sortir par le haut des c�tes qu�ils y avaient dans ces temps-l� (exemple c�te du S�minaire�)

D�ailleurs un certain Nicolas-Gaspard Boucault (en 1754) dans un m�moire sugg�rait des am�liorations � apporter � la basse-ville dans ce secteur. De construire de fortes murailles qu�on faisaient ensuite remplir de terres pour �loigner la mar�e, ce qui permettrait de construire non seulement des Quais mais aussi des r�sidences. Murailles qui pouvaient servir de fortification en cas d�invasion ennemi.

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Source: Site internet Promenade Samuel-de Champlain.

Pour une vision de la promenade, ou plut�t une id�e du d�veloppement futur - La station Des Jardins. Voir ce lien.

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Source: Isabelle Mathieu Le Soleil, 27 juin 2006

Le r�ve d�un tramway � Qu�bec n�a pas d�raill�, jure le Renouveau municipal de Qu�bec (RMQ). La majorit� � l�h�tel de ville veut lancer des appels d�offres � l�automne pour que l��tude finale soit compl�t�e en 2007.

La suite. Voir billet pr�c�dent.

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Source: Isabelle Mathieu, Le Soleil, 26 juin 2006.

L�habitation dans le Vieux-Qu�bec est d�une grande fragilit�, dit la Ville de Qu�bec. Apr�s avoir souvent dit oui par le pass�, la municipalit� veut maintenant durcir le ton et faire la vie dure aux h�tels ill�gaux et aux commerces agrandis sans permis. (...)

La suite. Voir aussi cet autre article (cas du Saint-Amour).

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Source: Fran�ois Cattapan, Le journal de l'habitation, 27 juin 2006.

� l�approche de la p�riode faste des d�m�nagements, la Ville de Qu�bec rappelle aux citoyens que des services leur sont offerts pour se d�partir de gros rebuts, tels que sofas, tapis, matelas, r�frig�rateurs, micro-ondes et autres �monstres� m�nagers. (...)

La suite. Voir aussi cet autre billet.

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(texte �crit sur un ordinateur sans correcteur)

Vous savez, c�est toujours plaisant de faire pleurer sa maman. Pleurer de joie, bien s�r!

Pour la f�te de ma m�re, j�ai roul� Windsor-Qu�bec (11 heures aller, 11 heures retour) en une fin de semaine pour lui annoncer qu�elle sera grand-maman et que, par cons�quent, j�allais �tre papa. Quelque part en janvier.

� Belleville, on m�appellais Uncle Frenchy. J��tais le plus vieux et, bien s�r, le seul Qu�becois. Lorsque je lui ai annonc� la nouvelle, Natalie �The cute little thing� Bay � r�pliqu�: �It�s no more Uncle Frenchy. It�s Daddy Frenchy from now on!� C'est joli tout plein, non?

Quelque part en septembre, moi et Madame Qu�bec urbain 2.0 revenons � Qu�bec. Ce n��tait pas dans les plans, mais la vie nous nous amment dans une direction inconnu jusqu�ici.

Allez! On se revoit cet automne!

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Source: Radio-Canada Qu�bec, 26 juin 2006

La mairesse de Qu�bec, Andr�e Boucher, participe cette semaine � sa toute premi�re mission � l'�tranger. Elle passera la semaine en France. Lundi � Bordeaux, ville jumelle de Qu�bec, Andr�e Boucher a notamment visit� le r�seau du tramway qui remporte un franc succ�s. L'achalandage du tramway de Bordeaux a presque doubl� en 2004 par rapport � 2003, mais surtout, le tramway ne perd plus d'argent. Le r�seau s'int�gre par ailleurs bien � la vieille architecture de la ville.

Andr�e Boucher s'est montr�e fascin�e par ces r�alisations, mais n'est vraisemblablement pas pr�te � donner le feu vert � un projet de tramway de 600 millions de dollars � Qu�bec. Elle soutient que la r�alit� de Qu�bec est diff�rente.

Le maire de Bordeaux, Hugues Martin, a tout de m�me indiqu� que si la Ville de Qu�bec choisissait de mener � bien un tel projet, il serait pr�t � l'�pauler.

� Il appartient aux �lus qu�b�cois de faire ces choix, a-t-il dit, mais si tel �tait le cas, j'en serais tr�s heureux et nous pourrions � ce moment-l� vous dire les erreurs � ne pas commettre. �

Au cours de ce voyage en France, la d�l�gation qu�b�coise abordera aussi les f�tes du 400e anniversaire de Qu�bec. D'ailleurs, un comit� fran�ais des f�tes du 400e anniversaire de Qu�bec, pr�sid� par l'ex-premier ministre Jean-Pierre Raffarin, a �t� mis sur pied pour �tablir quelle sera la contribution fran�aise.

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M�t�o et discipline au rendez-vous, �v�nement r�ussi pour les organisateurs de cet happening annuel sur les Plaines, vendredi. On parle d'une foule de quelque 250 000 personnes (en g�n�ral tr�s jeunes) aux abords et sur les lieux du show...

Soir�e d�cid�ment propice � des photos surr�alistes: si vous en avez, n'h�sitez pas � les faire parvenir � Qu�bec Urbain! En attendant, l'image ci-haut montre la foule qui s'agglutine sur les hauteurs du site. L'autre illustre la prestation des Respectables de Qu�bec, un des groupes, � l'exemple de Mes A�eux, qui ont vraiment r�chauff� l'assistance... avant l'arriv�e (un peu tard pour certains) des Cowboys Fringants!

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Source: l'Institut de recherche et d'informations socio-�conomique (IRIS)

Une note socio-�conomique del'Institut de recherche et d'informations socio-�conomique (IRIS) indique que contrairement � ce que soutiennent certains groupes de pression, ce n'est pas la r�glementation excessive qui est responsable de la p�nurie de logement que conna�t le Qu�bec depuis le d�but des ann�es 2000. C'est plut�t les promoteurs priv�s qui pr�f�rent opter pour la construction de condos � haut retour sur investissement au lieu de d�velopper les habitations locatives, pourtant rentables, dont la population a r�ellement besoin.

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Source: Pierre-Andr� Normandin Le Soleil, 26 juin 2006

Inqui�tudes dans l�arrondissement historique de Sillery. Des marcheurs ont not� la pr�sence de rubans sur une quinzaine d�arbres centenaires du cimeti�re Saint-Patrick, laissant craindre une coupe imminente. Faux, r�torque l�un des promoteurs du projet domiciliaire, qui rappelle que la transaction n�est pas encore termin�e.

� G�n�ralement, quand on met un ruban, c�est signe que le b�cheron va passer bient�t �, dit Jean Bousquet, professeur de foresterie � l�Universit� Laval. Ce dernier estime que l�abattage de ces arbres centenaires enl�verait toute valeur au bois�, facilitant ainsi le feu vert de la Ville pour la construction de condos. D�o� son inqui�tude.

Or, le promoteur Marc Bilodeau soutient que les rubans ont �t� pos�s par les arpenteurs de la Ville. � Nous, on veut couper le moins d�arbres possible �, assure-t-il.

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Source: Radio-Canada Qu�bec, 26 juin 2006

Une quinzaine de baigneurs ont saut� � l'eau, dimanche, pour appuyer la Soci�t� des gens de baignade dans sa bataille pour redonner les eaux du Bassin Louise aux citoyens de Qu�bec. Les politiciens ont exprim� le souhait que le projet d'am�nagement de cette portion de la marina en plage publique se r�alise pour les f�tes du 400e anniversaire de Qu�bec.

La baignade � cet endroit est interdite et l'administration portuaire refuse cat�goriquement cette id�e de plage en ville.

La d�put�e p�quiste de Taschereau, Agn�s Maltais, a soutenu que malgr� le refus de la direction du port de Qu�bec, le projet poursuivait son chemin. � J'ai eu un engagement de M. Gaudreault [le pr�sident-directeur g�n�ral du port de Qu�bec] qui m'a dit: "on ne fera rien d'irr�versible qui emp�che qu'un jour il y ait une plage" �, a indiqu� Mme Maltais.

Mme Maltais en a m�me fait un enjeu de querelle f�d�rale-provinciale. � Je vous garantis que si l'administration portuaire �tait sous juridiction qu�b�coise, le d�bat serait autrement plus s�rieux avec l'administration portuaire �, a-t-elle ajout�.

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Source: Marie Claude Girard La Presse, 25 juin 2006

Voici un exemple que l'on peut am�liorer le quotidien de notre vie avec peu de chose, toute simple...

Des jardins hydroponiques sur les balcons, des arbres fruitiers entretenus par des citoyens, des jardins collectifs dans les cours d'�cole, des cuisines collectives qui prennent des le�ons sur la mise en conserve. Pour lutter contre l'ins�curit� alimentaire tout en favorisant une saine alimentation, la Maison de quartier Villeray a choisi de s'attaquer � toute la cha�ne alimentaire. Ici, on ne se contente pas de faire pousser un plant de f�ve en classe. On le suit jusque dans l'assiette!

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Source: Dominic Fug�re Le Journal de Montr�al, 25 juin 2006

Au lieu de se contenter d'�tre commanditaire, Red Bull ach�te carr�ment des �quipes sportives. Deux en F-1, deux au soccer, une en NASCAR et une au hockey, en Autriche. Red Bull ferait-elle la m�me chose avec une �quipe de la LNH � Qu�bec? Une question intrigante qui sera examin�e de pr�s, assure Dietrich Mateschitz, le fondateur et pr�sident de l'entreprise.

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Comme le rapporte Le Soleil aujourd'hui, le spectacle �questre Cavalia aura lieu du 25 juillet au 27 ao�t � Qu�bec. "Haut de 30 m�tres, soit l'�quivalent d'un �difice de 10 �tages, le chapiteau abritera 2000 si�ges et une sc�ne aussi longue qu'une piscine Olympique."

Ici, une vue � partir du March� du Vieux-Port.

Sur ce, bonne Saint-Jean! :-)

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Source: Samuel Auger Le Soleil, 22 juin 2006

Ils viennent d�aussi loin que l�Abitibi. Ils renient, le temps d�une journ�e, leur Bas-du-Fleuve natal. Et ils boudent m�me Montr�al... Pour ces jeunes, la f�te nationale, �a se passe � Qu�bec.

Trois autos bien remplies, une dizaine de chums pr�ts � festoyer jusqu�� l�aube. Pour C�dric Pinard, la f�te nationale ne pouvait tout simplement pas se d�rouler autrement. M�me si sa vie se trouve en Mauricie, son c�ur de nationaliste n�en a que pour les festivit�s sur les Plaines. � � Qu�bec, c�est historique, c�est symbolique. C�est notre Woodstock annuel �, confie l��tudiant trifluvien.

� plus de 700 km de la capitale, le jeune informaticien Tommy Grignon ne craint pas le long trajet. � Notre spectacle � Val-d�Or se termine tr�s t�t, � 21 h, et je ne m�imaginais pas f�ter la Saint-Jean � Montr�al. C�est � Qu�bec que se trouve le vrai party, c�est ce qu�on entend par ici... �

La m�tropole n�a pas mati�re � se plaindre c�t� spectacle de la Saint-Jean. Qu�est-ce qui pousse alors la Montr�alaise Marjorie Dubois � migrer vers Qu�bec ? � Chaque ann�e, j�ai des amis qui se rendent � Qu�bec. La f�te y est plus anim�e, c�est plus f�tard et �a dure plus longtemps. �

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Source: Claudette Samson Le Soleil, 22 juin 2006

Les nouvelles terrasses qui envahiront les trottoirs des rues Saint-Jean et Grande All�e � compter de demain lorsqu�elles seront pi�tonnes devront respecter un certain standard de qualit�. Exclus les meubles en plastique et les logos de bi�re. C�est pour faire � plus joli �, confirme Fran�ois Moisan, de la Ville de Qu�bec, que la Commission d�urbanisme a impos� certaines r�gles.

Les chaises et tables de r�sine de synth�se (plastique) sont donc excluses, les parasols de Grande All�e doivent �tre tous de la m�me couleur, les logos de bi�re et autres commandites sont interdits et les petites cl�tures ceinturant chacune des terrasses sont uniformes, en fer forg�. Le tout, au frais des commer�ants, bien s�r.

Sur Saint-Jean, ceux-ci ont une certaine latitude puisqu�ils peuvent mettre les tables et chaises de leur choix, pourvu qu�elles ne soient ni en plastique ni blanches, indique �ric Schwaar, propri�taire de l�Entrec�te Saint-Jean et administrateur de l�Association des gens d�affaires du Vieux-Qu�bec. Quant aux bacs � fleurs, bien que tous semblables, ils peuvent �tre peints aux couleurs de l��tablissement.

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Source: Fran�ois Simard Qu�bec Hebdo, 21 juin 2006

Plus de 350 personnes ont assist�, la semaine derni�re, � la deuxi�me soir�e de consultation sur l�avenir des grands domaines de Sillery. Des repr�sentants de la Ville de Qu�bec y ont pr�sent� de grandes orientations qui permettraient d�augmenter les zones prot�g�es en am�nageant notamment un sentier lin�aire le long de la falaise.

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Source: Jancimon Reid Qu�bec Hebdo, 22 juin 2006

Pour la cinqui�me ann�e cons�cutive, les chantiers urbains sont de retour dans la Capitale. Cette ann�e, une cinquantaine de jeunes prendront d�assaut les parcs et les diff�rentes infrastructures de loisirs diss�min�s dans six arrondissements de la ville de Qu�bec.

Pr�s de 1,5 M$ seront investis cette ann�e pour la r�alisation des cinq projets de chantiers urbains qui se d�rouleront dans les arrondissements La Cit�, Charlesbourg, Beauport, Laurentien, La Haute-Saint-Charles et Les Rivi�res.

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Source: Radio-Canada Qu�bec, 22 juin 2006

La mairesse de Qu�bec, Andr�e Boucher, et le Grand chef de la nation huronne-wendate, Max Gros-Louis, ont scell�, jeudi midi, l'entente pour l'int�gration de certains terrains de la Ville de Qu�bec aux territoires de la r�serve Wendake.

La Ville de Qu�bec c�de de petits terrains � Loretteville, d'autres sont acquis de gr� � gr�. Les Hurons d�fraieront les installations d'aqueduc et d'�gouts. L'entente permettra � la nation huronne-wendate de r�aliser le projet d'h�tel-mus�e de 16 millions de dollars et rendra possible le retour de centaines de Hurons-Wendats qui attendaient cet agrandissement pour pouvoir se construire dans la r�serve.

L'entente comprend aussi l'achat de services publics, les droits de passage pour le parc lin�aire de la rivi�re Saint-Charles et la piste cyclable r�gionale. Max Gros-Louis se dit satisfait d'�tre parvenu � une entente apr�s pr�s de 10 ans de n�gociations. Il admet avoir parfois perdu patience. Il dit avoir tout de m�me r�sist� � l'envie de demander l'intervention d'Ottawa comme la loi le lui permet.

Voir autre billet.

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Source: Danielle Bonneau, La Presse, 19 juin 2006

Depuis un an, le vent a tourn�. Avec la mont�e des taux d'int�r�t et la hausse des prix de l'immobilier, les grosses demeures perdent de leur attrait. Les maisons de taille moyenne et les condos sont plus s�duisants que jamais.
(...)
Plus petit ne veut pas n�cessairement dire moins cher. Dans certains secteurs, des acheteurs investissent beaucoup dans la qualit� architecturale de leur maison, quitte � en r�duire la taille. L'efficacit� �nerg�tique et les mat�riaux dispendieux l'emportent sur le nombre de pieds carr�s. Mais depuis le d�but de l'ann�e, beaucoup de clients recherchent de petites maisons de moins de 200 000, constate M. Voyer.

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Source: Fr�d�rick Masson Qu�bec Hebdo.

Pour tous les go�ts

Le parc Cartier-Br�beuf sera l�h�te de plusieurs rendez-vous au cours de la saison estivale.
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De la musique plein les oreilles!

Le Festival international de Musiques militaires de Qu�bec prend de l�ampleur. La prochaine �dition, la huiti�me, se tiendra non pas sur quatre, mais bien s�r cinq jours. Du 23 au 27 ao�t prochain, pr�s de 600 musiciens d�barqueront dans la capitale afin de pr�senter de nombreux concerts gratuits et prendre part aux �incontournables� de la f�te dont le d�fil� du festival, la messe et le grand concert. S�ajoutera � cela le Tattoo militaire de Qu�bec, alors que pr�s de 600 musiciens militaires, dont plus d�une centaine de cornemuseurs, d�montreront l��tendue de leur talent par le biais de performances de masse, d�exercices militaires et m�me de danse.

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Envol et Macadam a 11 ans

Le festival Envol et Macadam battra son plein du 7 au 9 septembre prochain.
Pour une onzi�me ann�e cons�cutive, le c�ur du quartier Limoilou sera le point de rendez-vous des amateurs de nouvelles tendances musicales alors que plusieurs spectacles seront offerts.

http://www.envoletmacadam.com./

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Apr�s avoir jet� un coup d'oeil aux grandes lignes de l'�tude publi�e dans le billet Vive la banlieue!, je n'ai pu r�sister � la tentation de reproduire ce bijoux de lettre du lecteur qui pourrait tr�s bien s'appliquer � Qu�bec...

Source: La Presse (cahier Affaires), 19 juin 2006.

Me voici libre. J'ai investi 300$ dans une bicyclette pour �viter l'usage de ma Toyota Echo. Je pr�vois rentrer dans mes frais en cinq mois. Je fais ainsi ma contribution pour Kyoto et contre le smog. J'arr�te d'enrichir les Albertains, les gouvernements qui ne savent point utiliser intelligemment l'argent de nos taxes, et les terroristes qui se font financer par les �tats p�troliers soucieux d'�viter les attentats

Je ne participe plus au soutien de la boucherie en Irak. Katrina peut revenir et l'essence grimper � 3$ le litre. Je suis pr�t. Les employ�s de la STM sont frustr�s de leurs conditions de travail et veulent d�brayer. Je n'ai plus de souci. Les politiciens nous abreuvent de belles paroles concernant le co�t de la carte de la STM? Je n'y crois plus depuis belle lurette et je suis pr�t. Qu�bec pense-t-il vraiment augmenter l'achalandage des transports collectifs en accordant un contrat de 1,2 milliards pour 336 voitures de m�tro rempla�ant le mat�riel v�tuste? Je refuse de payer pour tout cela. Avec ma bicyclette, je reprends ma libert�. Je ne d�pendrai plus des p�troli�res ni de la STM. Je pratiquerai l'�vasion fiscale face � toutes ces taxes cach�es. Et je fais de l'exercice pour �viter les h�pitaux. - Francis D�ry

Voir aussi ce dossier (Changements climatiques).

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Intrigantes, ces concr�tions calcaires d'une vingtaine de cm de longueur, dont certaines pr�sentent une forme typique en draperie (photo ci-haut), se sont apparemment form�es (ou plut�t, reform�es) en quelques ann�es � peine sous la porte Kent (rue Dauphine).

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Les deux photographies dates d�une �poque diff�rente, l�un vers la fin de 1890 et l�autre en 2006. Comme on le remarque il ne semble pas avoir eu beaucoup de changement. Le service de l�urbanisme de la ville de Qu�bec, du minist�re de la culture et de l�organisme qui s�occupe des b�timents ancestraux et patrimoniaux, veillent � ce que les b�timents (m�me si officiellement elles ne sont pas consid�r�s comme b�timent historique, mais faisant partie du patrimoine ou d�un quartier ancien)gardent leur cachet d��poque. Dans certain cas, chaques modifications ou r�novations doivent �tre approuv�s par un, ou les trois organismes �num�r�s plus haut, pour les habitations entrant dans cette cat�gorie.

Ancien quartier de travailleur, Limoilou est une mosa�que de diff�rentes classes de la soci�t�, travailleurs, �tudiants, retrait�s, artistes� pauvret� et classe moyenne se c�toies�

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Source: Radio-Canada Qu�bec, 21 juin 2006

Le pr�sident-directeur g�n�ral de l'administration du port de Qu�bec, Ross Gaudreault, prend position en faveur des plaines d'Abraham pour le d�m�nagement de l'Agora, situ�e actuellement � la Pointe-�-Carcy dans le Vieux-Port.

Lors de sa r�union publique annuelle, mercredi apr�s-midi, Ross Gaudreault a dit pr�f�r� les plaines d'Abraham � la baie de Beauport pour ne pas nuire au consensus dont fait l'objet le projet de r�am�nagement cette baie.

Voir la suite. Voir autre billet.

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Histoire d'appuyer l'article ci-bas, voici quelques autres images (4) du chantier...

Transformation extr�me (Richard Boisvert, Le Soleil, 20 juin 2006.)

Le Palais Montcalm a cess� de faire les manchettes. Normal, vous diront les gens qui font avancer le dossier : tout va bien sur le chantier. Les travaux avancent � bon rythme et, en principe, Qu�bec disposera d�une des meilleures salles de concert en Am�rique du Nord d�ici quelques mois.

La suite.

Voir aussi cet autre billet.

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Source: Jean Pascal Lavoie, Qu�bec Hebdo, 20 juin 2006

Quels impacts cela aura t'il sur les villes ??? Surtout avec la temp�rature v�cu le week-end dernier. Consid�rant que les villes sont une bonnes sources de CO2, d� � l'activit� humaine.

Il semble bien que le temps des questionnements sur l�existence ou non du r�chauffement climatique soit r�volu. Les ing�nieurs du Qu�bec sont maintenant en mode adaptation pour faire face aux impacts de ces changements climatiques. Lors de ses Journ�es de l�ing�nieur qu�il tenait r�cemment � Qu�bec, l�Ordre des ing�nieurs du Qu�bec a pr�sent� une conf�rence r�unissant ing�nieurs et sp�cialistes oeuvrant d�j� � l�adaptation aux changements climatiques.

D�entr�e de jeu, Alain Bourque, climatologue pour le Consortium Ouranos, a fait le point sur la situation. Le constat n�est gu�re r�jouissant. Peu importe le sc�nario, du plus pessimiste au plus optimiste, la concentration de CO2 dans l�atmosph�re doublera au cours du prochain si�cle.

La tendance d�ici 2050 veut que le Qu�bec absorbe une hausse des temp�ratures de 2�� 3� C en moyenne.

Voir la suite.

Voir aussi ces autres liens sur ce sujets.

Centre Qu�b�cois d'actions sur les changements climatiques.

La croisade d'Al Gore

Et le dossier de l'Actualit�

Aussi Secr�tariat de la convention des Nations Unies sur les Changements Climatiques

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Source: Radio-Canada Qu�bec, 20 juin 2006

Les leaders �tudiants de l'Universit� Laval entendent profiter du nouveau plan d'action gouvernemental de lutte contre les changements climatiques pour promouvoir leur projet de laissez-passer universel d'autobus.

La Conf�d�ration des associations d'�tudiants et �tudiantes de l'Universit� Laval (CADEUL) estime que ce projet, qui donnerait aux �tudiants libre acc�s au transport en commun, cadre parfaitement avec les objectifs du gouvernement Charest en terme de r�duction des gaz � effet de serre.

La CADEUL souhaite obtenir une partie des 200 millions de dollars que le gouvernement Charest pr�voit consacrer au cours six prochaines ann�es pour mettre en oeuvre son plan.

L'association �tudiante, les dirigeants de l'Universit� Laval, le R�seau de transport de la capitale et la Soci�t� de transport de L�vis travaillent depuis plus d'un an sur le laissez-passer universel.

Le pr�sident de la CADEUL, Nicolas Fontaine, a bon espoir de voir les �tudiants s'int�resser au projet. Il mentionne que les �tudiants devront se prononcer par r�f�rendum sur cette formule de laissez-passer pour le transport en commun.

Utilis� pr�sentement � l'Universit� de Sherbrooke, le laissez-passer universel permet aux �tudiants de voyager par autobus sans avoir � payer un abonnement mensuel. Cependant, ils doivent s'acquitter de frais suppl�mentaires � payer en d�but de semestre. Nicolas Fontaine souligne qu'une campagne de sensibilisation sera entreprise sur le campus.

Voir autre billet.

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Source: Radio-Canada Qu�bec, 21 juin 2006

Les citoyens voisins de la gare de triage de l'arrondissement Sainte-Foy-Sillery disent en avoir assez de la pollution par le bruit qui perturbe leur sommeil et nuit � leurs activit�s. Ils joignent leurs voix � ceux qui se plaignent des inconv�nients de la cour de triage de Charny pour former une coalition pour que le gouvernement f�d�ral oblige les compagnies ferroviaires comme le Canadien National � diminuer la pollution sonore.

Les plaintes s'accumulent � la Ville de Qu�bec qui a d�cid� d'intervenir aupr�s du minist�re des Transports. Un m�moire sera d�pos� dans les semaines, soutient le conseiller du secteur, Andr� Demers.

� L'enjeu de fond, c'est d'encadrer ces compagnies l�, de les rendre responsables, imputables de toute pollution par le bruit qui se produit notamment la nuit �, dit-il.

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Source: Fr�d�rick Masson Qu�bec Hebdo, 21 juin 2006

La Cit� pend les grands moyens pour demeurer la plus accueillante possible. � preuve, le conseil d�arrondissement a lanc� il y a quelques jours son �Plan propret�, une campagne de sensibilisation dot�e d�un budget de 20 000 $ qui vise � rappeler que la propret� se veut l�un des �l�ments indispensables � la qualit� d�un milieu de vie.

Inscrit dans la continuit� de la d�claration en faveur de la propret� sign�e en 2003 par les �lus de l�arrondissement, le �Plan propret� s�adresse � tous les citoyens et citoyennes, qu�ils soient r�sidants, travailleurs ou visiteurs. Par cette mesure, le conseil souhaite encourager les gens � adopter de bons comportements en mati�re de propret� et � se sentir responsables de la qualit� de leur milieu de vie.

Voir la suite.

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D'un pass� pas si lointain...

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Voici une photo de Du Vallon en direction nord � partir de Chauveau.

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Source: Mathias Marchal Le Soleil, 20 juin 2006

Plus �a change, plus c�est pareil dans le monde du skateboard � Qu�bec. Comme l�ann�e derni�re, les skaters demanderont aujourd�hui � la Ville un nouveau skateparc et une plus grande reconnaissance de la part des autorit�s municipales. Ils se r�uniront � l�h�tel de ville, qui prendra des allures de piste de skate.

Voir la suite.

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Source: Presse canadienne, Paris 19 juin 2006

Le gouvernement fran�ais a annonc� lundi qu�il envisageait de r�am�nager le Parc de l�Am�rique fran�aise � Qu�bec dans le cadre des 400 ans de la ville en 2008. Ce parc est situ� tout pr�s du Grand Th��tre de Qu�bec et du Parlement.

Un porte-parole du minist�re fran�ais des Affaires �trang�res a indiqu� que le gouvernement qu�b�cois et la mairie de Qu�bec avaient souhait� associer �troitement la France � la comm�moration, en 2008, du 400e anniversaire de la fondation de la ville de Qu�bec par Samuel de Champlain.

Voir la suite.

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Source: Radio-Canada Qu�bec 19 juin 2006

Le R�seau de transport de la capitale (RTC), la Soci�t� de transport de L�vis (STL) et Communauto lancent une nouvelle offre de transport. Les citoyens des villes de Qu�bec et L�vis pourront se d�placer en autobus et b�n�ficier d'un meilleur prix pour obtenir les services de Communauto, un service d'auto-partage de v�hicules.

Toute personne qui s'abonne pendant un an pour le transport en commun n'aura pas � payer les frais de 500 $ pour adh�rer � Communauto.

Beno�t Robert, pr�sident-fondateur de Communauto, n'y voit que des avantages. Il mentionne que les services de partage de voitures b�n�ficient d'une association avec les soci�t�s de transport qui d�tiennent une certaine notori�t� dans le milieu et que d'autre part, les soci�t�s de transport ont int�r�t � se montrer novatrices et � offrir des combinaisons de service qui leur permettent de fid�liser leur client�le.

Communauto a plus de 1800 abonn�s � Qu�bec. Dans le seul quartier de Saint-Jean-Baptiste, 10 % des m�nages sont abonn�s. Commuauto esp�re doubler le nombre de ses membres d'ici 3 ans.

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Source: Jean-Fran�ois Cliche, Le Soleil, 20 juin 2006.

Le quartier Saint-Sacrement accueillera deux nouvelles tours � logements de 10 �tages, s�il n�en tient qu�� la SSQ et � Desjardins. Les deux promoteurs ont jur�, lors de la pr�sentation de leur projet pour le terrain des s�urs du Bon Pasteur, que ces additions seraient �rig�es � un endroit on ne peut plus discret. (...)

La suite. Voir aussi cet autre billet.

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Source: Radio-Canada (Qu�bec), 20 juin 2006.

Un agrandissement majeur est projet� au Centre hospitalier de l'Universit� Laval. Le projet de 133 millions de dollars a �t� d�pos� lundi soir au conseil d'administration de l'�tablissement.

Il comporte l'ajout de quatre �tages sur l'�difice K, derri�re le Centre m�re-enfant. Ces nouveaux espaces de plus de 4200 m�tres carr�s permettront d'am�nager des chambres uniques r�pondant aux nouvelles normes en mati�re de pr�vention d'infections telles le SRAS, le SARM et le C difficile.

Selon la direction, le projet est endoss� par l'Agence r�gionale de la sant�.

Voir aussi cet autre billet.

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Source: Marc Lestage, Le Soleil, 20 juin 2006.

Les citoyens qui ont r�clam� le prolongement de Du Vallon durant des ann�es souhaitent aujourd�hui l�am�nagement d�un parc lin�aire de quatre kilom�tres entre Lebourgneuf et le boulevard Bastien, sur l�emprise de la nouvelle art�re.

La suite. Voir aussi cet autre billet.

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Source: Le Carrefour de Qu�bec, 8 juin 2006.

SSQ Groupe financier et Desjardins S�curit� financi�re s'associent pour pr�senter un projet immobilier comprenant un choix diversifi� de logements regroup�s autour d'�quipement � caract�res collectif et sportif. �rig� dans le quartier Saint-Sacrement, ce complexe serait implant� sur le terrain d�limit� par l'h�pital Jeffery Hale, le chemin Sainte-Foy et l'avenue Monk.

Cette pr�sentation publique, qui aura lieu au Coll�ge Stanislas (anciennement le Coll�ge Bellevue), sera suivie d'une p�riode de questions. Pour information: 651-7000 (SSQ Groupe financier)

Il sera int�ressant de suivre l'�volution de ce dossier consid�rant tout le d�bat actuel sur les "projets bloqu�s" au Qu�bec et le rejet de plusieurs propositions d'�difices � condos (ou de reconversion d'immeubles) dans ce secteur ces derni�res ann�es...

� consulter aussi, ce r�sum� du Soleil (20 juin). Voir par ailleurs ces deux billets.

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Source: Radio-Canada, 19 juin 2006.

Les conservateurs seraient sur le point de d�nouer l'impasse entourant les travaux de r�fection du pont de Qu�bec.

La suite. Voir aussi cet autre billet.

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Des orages, dont certains violents, �clatent un peu partout sur la rive sud en cet apr�s-midi chaud et humide. Vue en direction sud-est, sur le centre-ville, � partir du parc Cartier-Br�beuf.

Voir aussi ce billet (�t� 2005) et mon blogue m�t�o.

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Source: Pierre-Andr� Normandin Le Soleil, 17 juin 2006

L�ann�e scolaire s�ach�ve, mais le comit� de survie de l��cole Stadacona dans Limoilou ne fait pas rel�che pour autant. Ses membres invitent la commission scolaire de la Capitale � r��valuer sa d�cision de fermer l��tablissement en janvier 2008. La construction d�ici cinq ans d�au moins 800 logements � la Pointe-aux-Li�vres change la donne, estiment-ils.

� Si on calcule un enfant par cinq logements, on devrait avoir au moins 60 �l�ves de plus �, calcule Bassam Adam, qui se bat pour la survie de l��cole de ses deux enfants. � Est-ce qu�on va payer deux autobus pour les amener ailleurs alors qu�il y a une �cole juste � c�t� ? �

Lors d�une activit� organis�e dans la cour de l��cole hier, M. Adam a re�u un appui de la nouvelle commissaire Suzanne Laroche. � Je pense qu�il manque certaines informations pour qu�on ferme cette �cole et qu�on soit certains que cette d�cision n�aura pas d�impact n�gatif. �

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Source: Guy Benjamin Le Soleil, 17 juin 2006

Le grand d�rangement approche. Encore cette ann�e, plus de 250 000 m�nages qu�b�cois changeront d�adresse, la grande majorit� la fin de semaine du 1er juillet. M�me si la crise du logement a commenc� � se r�sorber depuis le creux historique de 2002 alors que le taux d�inoccupation � Qu�bec n��tait que de 0,3 %, des locataires se retrouveront encore � la rue dans les prochains jours.

La proportion des logements vacants s��l�ve pr�sentement � 1,4 % selon les donn�es les plus r�centes de la Soci�t� canadienne d�hypoth�ques et de logement. � Des logements sont disponibles, mais ils sont trop chers pour les locataires moins nantis �, de dire Mathieu Houle-Courcelles. Au Bureau d�animation et information logement, le BAIL, on pr�voit que quelques dizaines de locataires auront besoin de l�aide de la Croix-Rouge pour se loger, du moins pendant un certain temps.

Voir aussi ce billet.

Voir aussi ce lien.

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Pas �vident de photographier avec de grand vent...

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Source: �ric Moreault Le Soleil, 16 juin 2006

L�implantation de la carte � puce, les autobus �lectriques dans le Vieux-Qu�bec, l�achat d�autobus articul�s et la construction d�un garage pour les accueillir, trois nouveaux couloirs de M�trobus, l�augmentation de la fr�quence des parcours 800 et 801, des supports � v�los sur les autobus, voil� tout ce qui est dans la mire du RTC avec l�argent de la politique qu�b�coise du transport collectif.

� �a nous assure de la r�alisation de notre plan strat�gique de d�veloppement jusqu�en 2014 �, se frottait les mains Gilles Marcotte, � l�annonce que Qu�bec mettra 100 millions $ chaque ann�e pour l�am�lioration du service. Le pr�sident du RTC estime que sa soci�t� de transport serait capable d�aller chercher 8 � 10 millions $ du total. Pour chaque dollar du gouvernement provincial, la Ville de Qu�bec versera l��quivalent.

Garage de 40 m $

Priorit� sur la liste d��picerie du RTC, le garage pour les 60 autobus articul�s, un projet de 40 millions $.

Le RTC a arr�t� son choix sur un terrain situ� au sud-ouest du boulevard Charest et des autoroutes Duplessis. Mais elle devra obtenir un changement de zonage si elle veut proc�der.

Voir billet pr�c�dent.

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Sourcre: Claude Vaillancourt Le Soleil, 16 juin 2006

La Ville de Qu�bec commencera au printemps de 2007 l�embellissement du Vieux-Limoilou avec des rues bord�es d�arbres et de v�g�taux comme dans le nouveau Saint-Roch.

Troisi�me phase d�un plan de revitalisation qui donne un caract�re distinctif � ce secteur, la cure de rajeunissement � la m�thode de la Ville de Qu�bec commande un budget de 7 millions $, selon un document dont le comit� ex�cutif a approuv� le contenu.

Le projet consiste principalement en un r�am�nagement de l�intersection du boulevard des Capucins, du chemin de la Canardi�re et de la 11e Rue jusqu�� la 8e Avenue.

Voir aussi ce lien.

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Source: Patricia Cloutier, Le Soleil, 16 juin 2006.

Les routes de la capitale feront tomber plusieurs gouttes de sueur cet �t�. Du front des travailleurs qui les r�parent et de celui des automobilistes... qui attendent.

Autant au minist�re du Transport qu�� la Ville de Qu�bec, on confirme que cet �t� bat des records en termes de travaux routiers. C�est 147 millions $ qui sont inject�s du provincial et 96,3 millions $ du municipal, des augmentations respectives de 28 % et 15 % par rapport � l�an dernier.

Tout ce nouveau b�ton engendre bien des casse-t�te aux usagers de la route. Mais pour simplifier le tout, Le Soleil a s�lectionn� cinq points chauds des travaux (voir carte). Ces secteurs sont � �viter en raison de la circulation dense.

Mentionnons �galement que ceux qui souffrent de la construction d�une troisi�me voie sur l�autoroute Laurentienne (� la hauteur de la sortie Jean-Talon) seront bient�t soulag�s, car les travaux sont sur le point d��tre termin�s.

Voir aussi cet autre billet.

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Source: Radio-Canada Qu�bec, 16 juin 2006

Qu�bec veut augmenter l'achalandage du transport collectif dans la province. Le gouvernement Charest injectera 130 millions par ann�e � partir du 1er janvier 2007 pour am�liorer les services de transport en commun, dont 30 millions serviront � moderniser les �quipements et � d�velopper les infrastructures.

Le gouvernement se servira du Fonds vert pour payer la facture. Ce fonds est financ� par une redevance sur les hydrocarbures impos�e aux entreprises du secteur p�trolier et gazier. L'objectif est d'augmenter l'offre de service. Le gouvernement vise une hausse de 8 % d'usagers d'ici 2012.

Voir la suite.

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Source: Claude Vaillancourt Le Soleil, 16 juin 2006

Les �lus des villes de la r�gion de Qu�bec et des MRC qui les entourent ont d�cid� de prendre le relais de la Coalition pour la sauvegarde du pont de Qu�bec qui, � court de rel�ve, n�est plus en mesure de poursuivre le travail amorc� il y a 11 ans.

L�objectif premier de la Communaut� m�tropolitaine de Qu�bec est de maintenir les pressions pour que les travaux de peinture se terminent au plus vite mais aussi de s�assurer que le 100e anniversaire de la premi�re chute du pont, le 29 ao�t 2007, soit soulign� de juste fa�on.

La trag�die avait fait 76 morts dont 33 Mohawks, a rappel� aux �lus le directeur g�n�ral de la CMQ, Marc Rondeau. Selon ce dernier, la communaut� mohawk a un profond respect pour les autochtones qui sont disparus ce jour-l� et ils devraient �tre invit�s � participer aux c�r�monies marquant le rappel de cet effondrement.

Voir autre billet.

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Source: Claude Vaillancourt Le Soleil, 16 juin 2006

La portion restante du toit du Mail Centre-Ville sera finalement disparue du d�cor urbain pour le 400e anniversaire de Qu�bec. L�annonce du d�but de la d�molition du toit, � compter du printemps prochain, a �t� faite, vendredi matin, dans une atmosph�re particuli�re alors que la mairesse de Qu�bec, Andr�e Boucher, a fait part des sentiments qui l�habitaient pour la circonstance.

�Comme mairesse de Qu�bec, je suis heureuse que l�on proc�de � cette seconde phase de d�molition�, a-t-elle dit. �Mais comme ancienne mairesse de Sainte-Foy, je me dois de constater que l�am�nagement du toit avait �t� une r�action de la Ville au d�veloppement des grands centres commerciaux.�

Voir la suite.

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Source: �rci Moreault Le Soleil, 16 juin 2006

C�est bien beau les citoyens qui se font un devoir de remplir le bac bleu, mais les industries et les institutions doivent aussi recycler pour atteindre l�objectif que s�est fix� le Qu�bec pour 2008. Certaines y sont d�j�, une majorit� tra�ne la patte et la Ville de Qu�bec va finalement passer de la parole aux actes.

Les histoires de gaspillage �hont� sont l�gion, mais on sait moins qu�au Qu�bec, une quarantaine d�entreprises, les Bombardier, Provigo, IBM et autres Cascades, arrivent d�j� � atteindre l�objectif de 65 % de valorisation des mati�res r�siduelles. Du nombre, � Qu�bec, seule L�Industrielle Alliance peut se vanter d��tre attest�e par Recyc-Qu�bec.

La Ville de Qu�bec, qui doit convaincre par tous les moyens ses r�sidants d�augmenter le recyclage pour atteindre la cible, va enfin donner l�exemple.

Voir la suite.

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Source: Claude Vaillancourt Le Soleil, 15 juin 2006

Le pr�sident de Genex Communication, Patrice Demers, a accueilli avec le sourire le rapport de la Commission consultative sur le r�am�nagement de la Pointe-�-Carcy, en particulier la n�cessit� de maintenir une agora pour la tenue de concerts rock. En d�saccord cependant avec les commissaires sur la localisation de cette sc�ne sur les plaines d�Abraham, il favorise, de prime abord, son am�nagement � la baie de Beauport. (...)

Le maintien d�une agora pour la tenue de concerts rock est � une bonne nouvelle �, a comment� M. Demers � l�issue de la conf�rence de presse o� les commissaires Jean Baillargeon, Beno�t Taillon et Robert Cournoyer ont pr�sent� le fruit de leurs r�flexions sur les consultations publiques men�es du 8 au 10 mai.

Comme l�indiquait hier Le Soleil, ceux-ci proposent de renommer le site Place du 3-juillet-1608 � l�occasion de la comm�moration du 400e anniversaire de la fondation de la ville de Qu�bec. Lors de ces s�ances, le d�bat a particuli�rement port� sur la pr�sence de cette sc�ne de spectacles dont l�usage, ont soutenu les citoyens du secteur, cause �norm�ment de bruit pour les r�sidants.

Voir autre billet. 1 2 Et le reste dans les archives.

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Ce nouveau reportage photo illustre, de l'est vers l'ouest, l'imposant chantier en cours pr�sentement sur la rive nord de la Saint-Charles. Il s'agit d'un segment de 2,16 km s'�tirant entre les ponts Lavigueur et Marie-de-l'Incarnation.

Dans l'ordre:
Photo 1: Vue en direction SO � partir du pont Lavigueur;
Photo 2: Vue en direction N � partir du pont de l'autoroute Laurentienne;
Photo 3: Vue vers le S � partir du pont de l'autoroute Laurentienne;
Photo 4: Vue vers le N � partir du secteur de la rue P�re-Lacombe;
Photo 5: Vue en direction NO � partir du secteur de la rue P�re-Lacombe;
Photo 6: Vue en direction O � aprtir du secteur de la rue P�re-Lacombe;
Photo 7: Vue en direction O � partir du secteur de l'h�pital du Sacr�-Coeur;
Photo 8: Vue en direction O, pr�s du pont Marie-de-l'Incarnation (arri�re-plan: HLM Marie-de-l'Incarnation);
Photo 9: Vue vers le NE � partir du pont Marie-de-l'Incarnation.

Aussi, ce court vid�o (5 sec.)

Je pr�vois effectuer quatre autres reportages photo � intervale r�gulier portant sur la phase III (sensiblement des m�mes endroits), d'ici la fin des travaux pr�vus en novembre.

Voir notamment cet autre billet.

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Source: Radio-Canada Qu�bec, 15 juin 2006

Les projets des f�tes du 400e anniversaire de Qu�bec se pr�cisent. Le Bassin Louise sera r�am�nag� et le Centre d'interpr�tation du Vieux-Port sera r�nov� pour faire de la Place du 400e le centre n�vralgique de ces f�tes.

On y pr�sentera chaque jour des expositions, des conf�rences, des d�bats et des spectacles. Plusieurs jardins �ph�m�res seront �galement am�nag�s entre le Centre d'interpr�tation et le march� du Vieux-Port.

Par ailleurs, les silos � grain serviront de toile de fond � un audacieux spectacle multim�dia son et lumi�re con�u par Robert Lepage. Le � Moulin � images � racontera l'histoire de la ville � la mani�re de Robert Lepage. Il pourra �tre vu tous les soirs de l'�t� 2008 � la tomb�e du jour, � partir de plusieurs points de la ville. Il s'agira de la plus grande projection architecturale au monde.

Les f�tes du 400e ont accord� un budget de 14,5 millions de dollars pour l'animation de la Place du 400e.

Voir autre billet.

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Source: Radio-Canada Qu�bec, 15 juin 2006

Un premier taxi hybride circule depuis quelques semaines dans les rues de Qu�bec. C'est l'�conomie d'essence qui a incit� le propri�taire � opter pour ce type de voiture... Ce chauffeur de taxi qui compte 28 ans de services est convaincu qu'il a fait une bonne affaire autant pour l'environnement que pour son porte-feuille. Il estime faire une �conomie d'essence d'environ 70 $ par semaine.

La suite.

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Source: Simon Boivin Le Soleil, 14 juin 2006

Comme une le�on � tirer du Mont-Orford, les berges du Saint-Laurent doivent �tre mises � l�abri de l�app�tit des promoteurs priv�s, de la plage Jacques-Cartier aux chutes Montmorency.

Dans le rapport qu�ils rendent public aujourd�hui, les trois commissaires demandent un statut sp�cial pour le littoral du fleuve. Le gouvernement du Qu�bec investit 70 millions $ dans la promenade Samuel-de-Champlain, et Ottawa met 43 millions $ dans le bassin Brown, la Pointe-�-Carcy et la baie de Beauport. � partir du moment o� ces acc�s au fleuve sont tous du domaine public, il importe qu�ils le demeurent.

Le rapport plaidera en faveur d�un statut de � zone publique et touristique durable �. Cela devrait faire en sorte qu�aucun changement de zonage ne soit permis sans le consentement de l�ensemble des parties concern�es, soit la Ville de Qu�bec, le Port et la Commission de la Capitale nationale du Qu�bec. Cela devrait permettre de prot�ger les sites contre le d�veloppement commercial ou immobilier, croit-on.

Les commissaires souligneront que pour que le legs du gouvernement f�d�ral profite vraiment aux g�n�rations futures, il devra �tre prot�g� ad�quatement.

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Source: Isabelle Mathieu Le Soleil, 14 juin 2006

La grogne �tait encore palpable hier soir � la consultation publique sur l�avenir des grandes propri�t�s de Sillery, qui a rassembl� de nouveau pr�s de 500 citoyens. Certains sont maintenant d�accord avec la vision de d�veloppement propos�e par la Ville, surtout avec la cr�ation d�un sentier p�destre sur le bord de la falaise et la protection int�grale des bois�s exceptionnels et d�int�r�t.

Mais la majorit� des citoyens qui se sont exprim�s ne veulent tout simplement rien savoir des nouvelles constructions, o� qu�elles soient.

� Ce serait aussi aberrant pour moi de construire des tours � condos � J�sus-Marie et Notre-Dame d�Afrique, au centre de l�arrondissement historique, que sur les plaines d�Abraham �, dit Lucie Couillard.

La pr�servation du patrimoine doit passer avant tout, disent plusieurs citoyens.

Voir ce billet et celui-ci.

Voir aussi ce lien.

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Source: Simon Boivin Le Soleil, 14 juin 2006

Les commissaires coupent la poire en deux. Ils sugg�rent d��liminer les bassins d�eau du concept d�am�nagement de Pointe-�-Carcy. Les 8 millions $ ainsi �conomis�s permettront de construire une Agora flambant neuve sur les plaines d�Abraham, a appris LE SOLEIL.

Le sort de l�agora et de Pointe-�-Carcy ont polaris� les opinions, en mai, lors des audiences publiques sur le legs f�d�ral de 16,4 millions $ pour le 400e. Apr�s �tude des m�moires, les commissaires Jean Baillargeon, Beno�t Taillon et Robert Cournoyer proposent aujourd�hui leur compromis. Restera aux autorit�s portuaires et gouvernementales � faire leur lit. (...)

Voir la suite. Voir autres billets. 1 2 3

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Puisque l'on parle "solidarit�", dans la m�me lign�e que le pr�c�dent billet de Carol, je tenais � vous faire partager ma d�couverte, aujourd'hui, de cet organisme d'�conomie sociale qui existe pourtant depuis 2002!

Source: site de L'Accorderie.

Oeuvrant dans la Ville de Qu�bec, L'Accorderie rassemble des individus s'�changeant une vaste gamme de services tels que de l'aide au d�m�nagement, des r�parations de meubles, du transport en voiture, etc. Sur ce site, vous pouvez consulter l'ensemble des offres de services disponibles et en soumettre de nouvelles.

L'Accorderie a aussi mis en place un service d'achat regroup� de nourriture et un projet de cr�dit solidaire afin d'accorder de petits pr�ts � ses membres n'ayant pas acc�s au cr�dit.

Voir aussi cet autre billet.

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Source: Radio-Canada Qu�bec, 14 juin 2006

Probl�matique sociale qu'est la pauvret� et toutes ces variantes... Surtout dans les Grandes villes.

Les �coles fermeront leurs portes bient�t pour l'�t�, tout comme les sept clubs des petits d�jeuners r�partis dans autant d'�coles de la r�gion. Les enfants de la basse-ville et du secteur Limoilou ne seront cependant pas laiss�s � eux-m�mes. L'organisme Le Pignon bleu sera pr�sent dans neuf terrains de jeux. (...)

Voir la suite.

Voir aussi ce lien. Le Pignon Bleu

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Source: Radio-Canada Qu�bec, 14 juin 2006

Hum! je crois que quelques festivals int�ressants pourraient �merger... Et probablement l'augmentation du laissez-passer pour certain festival. ( lire festival d'�t� de Qc ) En tous cas c'est s�r qu'il y aura impact...

Qu�bec veut r�duire les subventions qu'il accorde aux �v�nements touristiques majeurs. La ministre qu�b�coise du Tourisme, Fran�oise Gauthier, indique que le gouvernement a l'intention de revoir les crit�res d'admissibilit� pour accorder des subventions. Le Festival d'�t� et le Carnaval de Qu�bec ainsi que le Festival de jazz de Montr�al seraient notamment dans la mire du gouvernement.

Selon la ministre Gauthier, les �v�nements bien implant�s pourraient fonctionner avec moins de subventions du gouvernement. Le minist�re du Tourisme dispose de 10 millions de dollars � distribuer � diff�rents festivals au Qu�bec. Qu�bec voudrait pouvoir donner davantage aux �v�nements �mergents.

Voir la suite.

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Source: Radio-Canada Qu�bec, 14 juin 2006

La Vieille Capitale est particuli�rement riche en mati�re de patrimoine. Ses quatre arrondissements historiques regroupent pr�s de 2700 b�timents. C'est une ville fortifi�e qui a pr�serv� ses murs. Environ 800 sites arch�ologiques ont �t� r�pertori�s � ce jour � Qu�bec.

Afin de prot�ger son patrimoine, la Ville de Qu�bec veut se doter d'une politique avant les f�tes du 400e anniversaire en 2008. La Ville tenait, mardi, des audiences publiques sur son projet de politique du patrimoine. Une vingtaine d'organismes ont soumis des m�moires diversifi�s ax�s sur la pr�servation accrue du patrimoine et porteurs de demandes sp�cifiques.

Candidat plusieurs fois � la mairie de Qu�bec, Patrice Fortin r�clame un mus�e du patrimoine municipal. Il propose par exemple la mise en valeur d'une des deux maisons du premier maire de Qu�bec, Elz�ar B�dard.

Par ailleurs, le Mus�e des beaux-arts du Qu�bec, dans son m�moire, en profite pour demander un soutien financier � la Ville de Qu�bec compte tenu des efforts de l'institution pour pr�senter nombre d'expositions sur le patrimoine. Le Mus�e projette un agrandissement de plus de 50 millions de dollars.

La nouvelle politique du patrimoine de la Ville de Qu�bec devrait �tre adopt�e d'ici le d�but de 2007.

Voir autre billet. 1

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Source: Claude Vaillancourt Le Soleil, 14 juin 2006

La mairesse de Qu�bec, Andr�e Boucher, donne son aval � la cession de terrains � la nation huronne-wendat pour qu�elle puisse y �riger un h�tel-mus�e et une agora pour les F�tes du 400e anniversaire de Qu�bec.

Mais avant de signer tout document agr�ant l�entente de nation � nation, Mme Boucher exige des autochtones qu�ils fassent clarifier les titres de propri�t� d�une bande de terrains de 100 pieds sur 900 pieds, sur lesquels les droits de propri�t� ne sont pas clairement d�finis. � Des recherches faites par la Ville nous indiquent un blocage depuis 1948 �, a indiqu� la mairesse, hier soir, au cours d�une assembl�e publique. � � partir de cette date, rien n�est clair. �

L�accord de la mairesse vient ainsi conclure une longue dispute sur les droits et les obligations de la Ville de Qu�bec en regard d�une entente intervenue en 2001, laquelle permet l�octroi, dans un d�lai de 20 ans, de 1352 acres de terrains � la bande de Max Gros-Louis pour compenser la perte de terrains subie il y a plusieurs ann�es.

� Il est clair, a �tabli la mairesse, que la Ville ne peut s�opposer � la cession de terrains � qui ont �t� acquis par des membres de la nation huronne-wendat � des r�sidants de la Ville.

Voir autres billets. 1 2 ...

Voir aussi ce lien: Radio-Canada Qu�bec
Et Qu�bec Hebdo

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Source: Isabelle Mathieu, Le Soleil, 14 juin 2006.

La Ville de Qu�bec a peut-�tre trouv� une monnaie d��change pour faire accepter la construction de condos sur les terres des religieuses � Sillery : un sentier lin�aire le long de la falaise et une ceinture de bois�s autour des nouveaux b�timents.

Depuis cinq mois, un moratoire emp�che tout changement de zonage sur les terrains des propri�t�s religieuses de Sillery, de la c�te Gignac au bois de Coulonge. La consultation publique se poursuit ce soir dans un h�tel de Sainte-Foy. Pas moins de 350 citoyens y sont attendus.

Dans son projet de vision rendu public il y a quelques jours, la Ville de Qu�bec d�finit les zones o� elle souhaite permettre la construction.

Aucune des grandes propri�t�s ne semble vis�e par une interdiction compl�te de construction. La Ville voudrait toutefois exiger une bande de protection d�arbres autour des projets, surtout lorsqu�ils sont en plein quartier r�sidentiel.

Voir aussi ce dossier. Je compte par ailleurs effectuer sous peu un reportage photo dans ce secteur convoit� de la ville.

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Source: Denis Fortin Qu�bec Hebdo, 13 juin 2006

La F�te nationale du 24 juin trouve ses origines dans un pass� imm�morial. Historiquement, elle a �t� associ�e aux c�l�brations antiques du solstice d'�t�, de m�me qu'aux f�tes agraires marquant le d�but de la belle saison.

Durant le premier mill�naire de notre �re, l'�glise avait plac� le caract�re rituel et sacr� de la f�te du solstice d'�t� sous le patronage de Saint-Jean-Baptiste. Cette f�te chr�tienne, rapidement devenue la Saint-Jean, a �t� import�e d'Europe par nos anc�tres, au d�but de la colonisation.

Ce n'est toutefois qu'en 1925, que la l�gislature du Qu�bec d�clara le 24 juin cong� f�ri�. Et, il a fallu attendre jusqu'en... 1977, pour que la Saint-Jean devienne la F�te nationale des Qu�b�cois.

La devise �Je me souviens� figure pour sa part au bas des armoiries du Qu�bec depuis 1939. Bien qu'elle ait d�j� �t� utilis�e auparavant, elle est le fruit de l'imagination et de l'initiative du concepteur de l'�difice de l'Assembl�e nationale, Eug�ne-�tienne Tach�.

Quant � l'embl�me qu'est la fleur de lys, c'est � partir de l'an 507 qu'elle est apparue sur le drapeau de Clovis, roi des Francs. Le lys devait � jamais symboliser la royaut� fran�aise. Le drapeau fleurdelis� a �t� retenu pour distinguer le Qu�bec en 1948.

Enfin et depuis toujours, les coutumes de la F�te nationale des Qu�b�cois, telles que : grande tabl�e, pavoisement, feux de joie et vol�e de cloches, se perp�tuent. Musique, danse et rassemblement compl�tent les c�l�brations et favorisent le rapprochement des gens.

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Source: Site internet Commission des champs de bataille nationaux.

La fresque des plaines d�Abraham. Pr�parez-vous � entrer dans les festivit�s entourant le 100e du parc des Champs-de-bataille. C�est le 17 mars 1908 que la loi cr�ant la Commission des champs de bataille nationaux (CCBN) est sanctionn�e pour conserver et mettre en valeur ce site unique au monde de par son �tendue, sa situation g�ographique, son r�le historique et sa beaut�.

Voir la suite.

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Source: Fr�d�rick Masson, Qu�bec Hebdo, 13 juin 2006

Il y aura foule cet �t� au kiosque Edwin-B�langer...
Du jeudi au dimanche, et ce du 17 juin au 20 ao�t, les amateurs de jazz, de blues et de musiques du monde se donneront rendez-vous sous un ciel rempli d��toiles afin d�assister � des concerts mettant en vedette des artistes d�ici et d�ailleurs. Encore cette ann�e, les chaises longues et les pique-niques seront � la mode au Parc des champs de bataille.

C�est le samedi 17 juin � 20 h que sera lanc�e la saison musicale 2006 au kiosque Edwin-B�langer. Situ�e sur les plaines d�Abraham, � quelques pas � l�est du Mus�e du Qu�bec, la populaire salle de spectacle � ciel ouvert permettra aux amateurs m�lomanes d�appr�cier pas moins de 35 prestations.

Voir la suite.

Voir aussi site Internet des plaines d'Abraham.

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Qu�bec vu de la Gare du Palais. C'est dr�le que bon nombre d'�difice en hauteur � Qu�bec se retrouve sur cette photo...

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Source: Michel B�dard Qu�bec Hebdo, 13 juin 2006

Si le gouvernement ne revoit pas son syst�me de r�glementation du prix de la bi�re, seuls les d�panneurs en affaires depuis de nombreuses ann�es qui n�ont pas de dettes et sont capables de supporter un gros inventaire survivront�.

C�est l�avis d�un commer�ant de Beauport qui d�sire conserver l�anonymat sur le dossier chaud du prix minimum de la bi�re, fix� annuellement par la R�gie des alcools, des courses et des jeux (RACJ), qui serait trop bas et placerait de nombreux d�panneurs face � des fermetures et des faillites n��tant plus capables de comp�titionner avec les grandes surfaces.

Voir la suite. Voir autre billet.

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Source: Michel B�dard Qu�bec Hebdo, 13 juin 2006

Le Comit� Beauport (Qu�bec) Ville en sant� a proc�d�, la semaine derni�re � la Biblioth�que �tienne-Parent, � la 16e remise annuelle de ses prix reconnaissance. Plusieurs citoyens et organismes ont ainsi �t� honor�s pour avoir contribu� � l�am�lioration de la qualit� de vie dans leur milieu.

Voir la suite.

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Source: Radio-Canada Qu�bec, 13 juin 2006

Les huit cloches de la vieille cath�drale Holy Trinity dans le Vieux-Qu�bec vont entreprendre un long voyage. Les cloches qui datent de 1830 vont franchir l'Atlantique pour �tre restaur�es dans leur fonderie d'origine, la fonderie Whitechapel de Londres. C'est aussi l� qu'a �t� con�ue la cloche du Big Ben.

La cath�drale Holy Trinity du Vieux-Qu�bec est la premi�re �glise anglicane construite � l'ext�rieur de la Grande-Bretagne.

Avant d'exp�dier les cloches par bateau, celles-ci doivent d'abord �tre descendues du clocher de la cath�drale � l'aide d'une grue. Ce travail repr�sente tout un d�fi technique puisque la plus petite cloche p�se 340 kilogrammes et la plus grosse, 840 kilogrammes.

Les cloches devraient �tre de retour � Qu�bec, d'ici neuf mois, apr�s une r�fection au co�t de 175 000 $. La Ville de Qu�bec ainsi que le gouvernement du Qu�bec ont contribu� � financer la restauration qui sera achev�e pour les f�tes du 400e anniversaire de Qu�bec.

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Vue rapproch�e, � partir du parc Cartier-Br�beuf, sur cet immeuble r�cemment r�nov�. J'ai malheureusement manqu� un peu plus tard un bel arc-en-ciel sur le centre-ville que j'ai tout de m�me immortalis� de chez moi au profit de mon blogue m�t�o.

Voir aussi cet autre billet.

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Source: Site internet Can�e, Michel H�bert - Le Journal de Qu�bec 12 juin 2006

Loin d'avoir donn� le feu vert au minizoo, la mairesse de Qu�bec, Andr�e Boucher, ren�gociera � la baisse le protocole qui liait �� perp�te� la ville de Qu�bec au financement de l'ancien jardin zoologique.

Voir la suite.

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Source: Radio-Canada Qu�bec, 12 juin 2006

L'entreprise Biscuits Leclerc a inaugur�, lundi matin, sa nouvelle usine situ�e sur l'avenue Godin, dans le parc industriel Cardinal de Vanier. Gr�ce � un investissement de pr�s de 40 millions de dollars, Biscuits Leclerc affirme d�tenir maintenant l'usine de chocolat la plus moderne en Am�rique du Nord

Biscuits Leclerc entend augmenter sa production. L'entreprise aura aussi un meilleur contr�le sur sa mati�re premi�re, le chocolat, qui sert dans la fabrication de ses biscuits, gaufrettes et barres de collation.

La nouvelle usine cr�era une cinquantaine d'emplois. Actuellement, Biscuits Leclerc compte cinq usines, dont trois dans la r�gion de Qu�bec. L'entreprise, dont le si�ge social est � Saint-Augustin-de-Deamaures, exporte ses produits dans plus de 20 pays et a un chiffre d'affaires de pr�s de 250 millions de dollars.

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Source: site internet Ville de Qu�bec, 9 juin 2006

Qu�bec, le 9 juin 2006 � La Ville de Qu�bec informe la population de la tenue d�une rencontre d�information portant sur le projet d�agrandissement de la r�serve de Wendake. Cette rencontre aura lieu le mardi 13 juin, � 19 h, au bureau d�arrondissement de La Haute-Saint-Charles, situ� au 305, rue Racine.

La mairesse de Qu�bec, madame Andr�e P. Boucher, fera le suivi sur ce projet. Elle sera accompagn�e de Me Ghislain Otis, professeur � la facult� de droit de l�Universit� Laval, Me Serge Giasson, directeur du Service des affaires juridiques de la Ville de Qu�bec, et de Me Johanne Denis, avocate au Service des affaires juridiques de la Ville.

Rappelons que l�agrandissement de la r�serve de Wendake est pr�vu � m�me une partie du territoire situ�e dans les limites de la ville de Qu�bec.

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Source: Site internet Ville de Qu�bec. 9 juin 2006

Qu�bec, le 9 juin 2006 � La Ville de Qu�bec invite les citoyens � assister aux audiences publiques sur le projet de politique du patrimoine qui auront lieu le mardi 13 juin, de 14 h � 21 h. Ces audiences se d�rouleront au Club social Victoria, situ� au 170, rue du Cardinal-Maurice-Roy.

Les citoyens et les organismes ayant d�pos� un m�moire sur le projet de politique soumis viendront pr�senter le contenu de celui-ci aux repr�sentants de la Ville de Qu�bec. Ces derniers pourront leur adresser des questions. De plus, une p�riode est pr�vue � la fin des audiences publiques pour exprimer verbalement son avis.

Rapport de consultation
Les commentaires sur le projet de politique du patrimoine recueillis au cours du processus de consultation publique seront collig�s dans un rapport qui sera publi� d�ici l�automne. L�analyse des points de vue permettra de bonifier le projet de politique afin qu�il r�ponde davantage aux besoins et aux attentes de la population. Par la suite, la politique du patrimoine pourra �tre soumise au conseil municipal pour adoption.

La Ville de Qu�bec souhaite se doter d�une politique du patrimoine afin d�orienter ses actions et celles de la collectivit� pour les ann�es � venir. � l�approche du 400e anniversaire de fondation de Qu�bec, la Ville est convaincue qu�il importe, plus que jamais, de pr�server son bagage patrimonial collectif, de le transmettre et de l�enrichir pour les g�n�rations futures.

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Source: Fr�d�rick Masson, Qu�bec Hebdo, 12 juin 2006

C�est � la limite est du district Saint-Sauveur que se trouve ce qui est, de l�avis de plusieurs, l�un des plus beaux joyaux de la capitale. On parle ici du Stade Municipal de Qu�bec.

�rig� en 1938, le Stade Municipal est le fruit du travail de l'architecte trifluvien Jules Caron, qui utilisera �galement ses plans afin de permettre la construction d�un b�timent similaire � Trois-Rivi�res. � l��poque, les co�ts pour la construction du stade de la capitale sont estim�s � 150 000 $.

Voir la suite.

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Source: Radio-Canada Qu�bec, 11 mai 2006

Les dirigeants du parc des Champs-de-Bataille invitent les automobilistes � respecter la limite de vitesse sur les Plaines d'Abraham. Elle �t� �tablie � 30 km/h et les v�rifications faites par les policiers du service de s�curit� d�montrent que 93 % des automobilistes ne la respecte pas. Plusieurs d'entre eux roulent m�me deux fois plus vite que la limite permise.

Les agents de la paix du parc des Champs-de-Bataille viennent d'acqu�rir deux radars et � compter de lundi, ils remettront des contraventions aux conducteurs qui ne respectent pas la limite de 30 km/h.

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Source: Francis Higgins Le Soleil, 10 juin 2006

Oups ! excusez pour le retards

Le prix de l�essence vous donne de l�urticaire ? Les d�cisions du gouvernement vous rendent rouge de col�re ? Voici l�occasion de r�ler en bonne et due forme. Cet apr�s-midi, la tribune populaire fait son retour � Qu�bec. Les citoyens pourront faire entendre leurs dol�ances sur le sujet de leur choix d�s 13 h 30, � la place D�Youville devant le th��tre Capitole.

L�organisme Injustice Qu�bec, qui d�fend les victimes d�erreurs judiciaires, installera caisse � savon et microphone pour permettre aux gens de s�exprimer, peu importe la m�t�o.

L�id�e est inspir�e du speaker�s corner � Londres, un espace du Hyde Park o� les Anglais peuvent d�noncer depuis plus d�un si�cle les injustices qui les choquent. Cette initiative a fait des petits partout sur la plan�te, notamment � Montr�al, depuis le printemps.

Voir site internet de l'organisme: http://injusticequebec.ca/index.html

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Le bloc d'images qui suit illustre quelques immeubles qui se d�marquent dans ce secteur de la ville. Destin� � une forte croissance, le Parc technologique du Qu�bec m�tropolitain a pris naissance au d�but des ann�es 70 avec la construction du Complexe scientifique du gouvernement du Qu�bec dont l'imposant b�timent regroupe les laboratoires du Centre de recherche industrielle (CRIQ). De gros chantiers sont d'ailleurs en cours plus � l'est, dont celui du nouveau si�ge social d'Anapharm [billet].

Dans l'ordre:
Photo 1: AEterna Zentaris (2) [billet];
Photo 2: Bego Canada;
Photo 3: Olympus NDT Canada;
Photo 4: Le 2750, rue Einstein;
Photo 5: INO;
Photo 6: Complexe scientifique de Sainte-Foy;
Photo 7: Forintek Canada;
Photo 8: TeraXion.

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Source: Jean-Nicolas Patoine Le Soleil, 9 juin 2006

Construit sur un mince filet de terre entre le cap Diamant et le Saint-Laurent, le Cap-Blanc est un �lot de b�timents � l'allure timide.

Malgr� l'expansion urbaine, malgr� le remblayage d'une partie du fleuve pour la construction, entre autres, du boulevard Champlain, le Cap-Blanc a conserv� une discr�tion qui en fait l'un des quartiers les plus singuliers � Qu�bec.

Le Cap-Blanc, c'est d'abord la paroisse Notre-Dame-de-la-Garde. Il s'agit d'une petite agglom�ration lin�aire de moins de deux kilom�tres de long sur une centaine de m�tres de large. Il y 50 ans, ce quartier �tait encore plus �mince�. Les vagues se d�versaient jadis l� o� le boulevard Champlain se fraie maintenant passage. �Son territoire n'�tait gu�re mieux, � l'origine, qu'une �pave repouss�e au bord de l'eau�, lit-on dans un livre de l'abb� Honorius Provost, publi� en 1977 pour le 100e anniversaire de la paroisse.

Sans le boulevard Champlain, Notre-Dame-de-la-Garde aurait tout d'un petit village. (...)

Voir la suite.

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Source: Isabelle Mathieu Le Soleil, 9 juin 2006

Fini le ramassage de la neige dans plusieurs quartiers de Qu�bec. Si le conseil municipal accepte, la neige y sera maintenant souffl�e sur les terrains. La Ville pense ainsi �conomiser pr�s de deux millions de dollars par ann�e.

Certains appelleront �a du nivellement par le bas ; la Ville de Qu�bec parle plut�t d�harmonisation du service.

L�id�e, c�est de souffler la neige sur les terrains partout o� c�est possible de le faire plut�t que de l�enlever et de la conduire au d�p�t � neige.

Les gens de Duberger, des Saules, d�une partie de Charlesbourg et de Beauport, entre autres, peuvent donc s�attendre � voir leurs bancs de neige prendre du volume l�hiver prochain.

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Source: �ric Moreault Le Soleil, 9 juin 2006

La Ville de Qu�bec doit d�fendre ses arbres contre la coupe � blanc et le d�veloppement ! Et elle entend se battre sur le terrain l�gislatif pour prot�ger sa for�t urbaine contre les assauts des b�cherons ill�gaux et des promoteurs.

Le territoire de Qu�bec est vaste et certaines des zones recul�es sont victimes de coupes � blanc sauvages. � On veut contr�ler ceux qui coupent pour revendre de fa�on commerciale. Ils rentrent sur le terrain avec de la machinerie et se foutent de tout �, expliquait hier soir Serge Viau, directeur g�n�ral adjoint, aux conseillers municipaux.

Les zones du nord de Charlesbourg et le mont B�lair sont souvent attaqu�es. Mais il est compliqu� de faire de la surveillance : il faudrait survoler les zones, ce qui co�te cher. Et les amendes, d�termin�es par le gouvernement du Qu�bec, sont souvent si d�risoires � quelques centaines de dollars � qu�elles ne d�couragent pas les b�cherons sans scrupule.

Et on ne parle pas des gens qui d�cident de couper un arbre qui leur cache la vue�

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Source: Radio-Canada Qu�bec, 9 juin 2006

La limite de vitesse dans les rues des villes est de 50 km/h au Qu�bec. Cependant, apr�s Montr�al, la Ville de Qu�bec veut aussi r�duire la limite de vitesse � 40 km/h, dans les zones r�sidentielles. La Ville souhaite que la table provinciale sur la s�curit� routi�re se saisisse de cette question.

Le directeur de la division des transports � la Ville de Qu�bec, Marc Des Rivi�res, estime qu'il faut distinguer la voie de circulation o� les gens peuvent circuler � 50 km/h de la zone r�sidentielle o� la circulation serait �tablie � 40 km/h et enfin, de la zone scolaire o� la limite de vitesse devrait �tre fix�e � 30 km/h.

Marc Des Rivi�res d�fendra ce point de vue � l'�chelle provinciale.

� Dans le cadre de la d�marche de la table sur la s�curit� routi�re, j'ai l'intention comme repr�sentant de la Ville de Qu�bec d'amener cette question-l� en discussion au cours des prochaines semaines �, dit-il.

Comme beaucoup d'accidents sont caus�s par la vitesse, le ministre des Transports, Michel Despr�s, montre une certaine ouverture face � cette possibilit�. � Je la vois de fa�on positive, dit-il, mais il faut en faire l'analyse et v�rifier les r�sultats que �a va donner. �

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Un endroit extraordinaire et parfait pour comprendre � quel point la Ville de Qu�bec est unique!
Beaucoup de personnes oeuvrent � quelques pas du parc et s'en vont, sur l'heure du midi, y casser la cro�te sous les arbres. Alors, on y va? :-)

Dans le journal Le Devoir de ce samedi mouilleux.

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Source: Simon Boivin Le Soleil, 8 juin 2006

La presque totalit� des animaux que la fermeture du Jardin zoologique force � relocaliser a trouv� preneur.

Dans une rencontre avec le ministre du D�veloppement durable, Claude B�chard, la mairesse de Qu�bec s�est fait dire que 98 % des animaux du zoo se sont trouv� un nouveau toit. On ne parle pas ici des nombreuses esp�ces d�oiseaux et de reptiles qui logeront dans la voli�re, aussi appel�e la serre indo-australienne.

Voir autres billets. 1 2 3 ...

Il n�a pas �t� possible de savoir exactement quels animaux sont en cause, quand ils partiront et vers o� ils seront redirig�s. Des zoos ailleurs au Qu�bec, tel que Saint-F�licien ou Granby, pourraient en recevoir quelques-uns.

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Source: Radio-Canada Qu�bec, 9 juin 2006

La Coupe du monde de soccer s'amorce vendredi, en Allemagne. Pendant un mois, jusqu'� la finale du 9 juillet, 32 �quipes s'affronteront pour cette 18e �dition de la Coupe du monde.

Pendant ce temps dans la r�gion de Qu�bec, plusieurs milliers de joueurs de soccer s'affrontent sur l'un ou l'autre des 140 terrains de soccer de la r�gion.
Selon le directeur g�n�ral de l'Association r�gionale de soccer de Qu�bec (ARSQ), Maxime Barab�, la r�gion compte plus de 23 000 joueurs de soccer cette ann�e, soit plus du double du nombre de joueurs de hockey. (...)

Le soccer a connu une progression de 250 % en 15 ans. Environ 75 % des joueurs de la capitale ont moins de 13 ans. De plus, 40 % des joueurs sont des filles. Maxime Barab�, comme des milliers d'adeptes, esp�re pouvoir pratiquer ce sport � l'ann�e.

� Sur le territoire de la ville de Qu�bec, il y a 14 ar�nas, donc un stade de soccer int�rieur, ce n'est pas un luxe �, dit-il.

Montr�al offre d�j� six stades int�rieurs � ses joueurs. Qu�bec, pourtant la deuxi�me r�gion en importance au Qu�bec, n'en a aucun.

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Source: Internet

Site internet discutant de la transposition du concept de d�veloppement durable � l'am�nagement du territoire. Incluant des objectifs de d�veloppement d'une collectivit� qui cherche � allier vitalit� socio-�conomique, qualit� de vie, d�mocratie locale et bien entendu le respect de l'environnement...

http://www.collectivitesviables.com

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Source: Radio-Canada (Le T�l�journal/Le point).

7 juin 2006 - (...) D'o� vient ce refus syst�matique? Et pourquoi les opposants disent-ils non? Est-ce une opposition au d�veloppement ou � un certain type de d�veloppement?

Julie Miville-Dech�ne et Marie-�ve B�dard exposent le cas de l'usine d�saffect�e de l'Imperial Tobacco dans le quartier Saint-Henri, � Montr�al, � laquelle un promoteur immobilier s'est int�ress�, il y a un an. (...)

� �couter, l'�mission en Window M�dia, conserv�e pour une p�riode de deux mois.

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Source: Radio-Canada Qu�bec, 8 mai 2006

Les pr�paratifs vont bon train en vue du Spectacle a�rien international de Qu�bec qui doit se d�rouler au cours de la fin de semaine.

D�j�, depuis quelques jours, il y a plus de mouvement dans le ciel de la capitale. Jeudi matin, quatre avions Blue Angels de l'arm�e am�ricaine sont arriv�s � Qu�bec. En tout, 75 appareils, dont les Snowbirds, arriveront � l'a�roport international Jean-Lesage pour les activit�s de la fin de semaine.

Mercredi, le com�dien Michel Barrette a pu faire un tour dans un des appareils des Blue Angels qui peut atteindre une vitesse de plus de 2100 kilom�tres � l'heure.

Lors de la derni�re �dition, 125 000 personnes avaient assist� � l'�v�nement. Des mesures de s�curit� seront mises de l'avant par Transports Canada ainsi que l'arm�e canadienne pour assurer la s�curit� des visiteurs et des pilotes. Les visiteurs seront notamment fouill�s lors de leur entr�e sur le site.

( Encore la parano du terrorisme de Bush et cie)

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Source: Radio-Canada Qu�bec 8 mai 2006

La circulation sera perturb�e, jusqu'� la mi-octobre, sur l'avenue Honor�-Mercier, devant l'immeuble du Parlement � Qu�bec, � cause des travaux n�cessaires pour l'installation de la fontaine de Tourny.

Jacques Perron du service des communications de la Ville de Qu�bec pr�cise que les r�seaux d'aqueduc et d'�gout, ainsi que la structure de la place centrale doivent �tre modifi�s pour accueillir la fontaine.

Voir autre billet.

Durant les travaux, la circulation automobile sera interdite sur la chauss�e � l'est du rond-point. Une seule voie sera accessible en alternance du c�t� ouest. Des signaleurs seront pr�sents aux heures de pointe. En dehors de ces p�riodes, la circulation sera g�r�e par des feux.

La fontaine de Tourny, offerte par Peter Simons � la Ville de Qu�bec pour 400e anniversaire, ne sera install�e qu'au printemps prochain.

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Source: TQS Qu�bec, 5 juin 2006

La mairesse de Qu�bec Andr�e Boucher a comment� lundi soir, avant le d�but de l'assembl�e du conseil municipal, le projet lanc� la semaine derni�re par l'homme d'affaires Mark Charest. (...)

Ce dernier veut recueillir plus de 500 000 signatures de gens int�ress�s par le retour du hockey professionnel sur un site internet, avant de pousser plus loin les d�marches.

Le moins que l'on puisse dire, c'est que la mairesse Boucher ne semble pas y croire, m�me si le projet du groupe pilot� par Mark Charest ne pr�voit pas la construction d'un nouveau Colis�e, mais plut�t la r�novation de l'actuel Colis�e Pepsi.

Elle a clairement fait savoir que le promoteur lui a demand� une lettre d'appui, mais qu'elle n'a pas l'intention de poser le geste, surtout qu'� ses yeux, le projet est mort le jour de son lancement.

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Riche en cartes interactives, oeuvre des d�partements de g�ographie et d'am�nagement de l'Universit� Laval, cet atlas "internet" a entre autres objectifs de "Proposer au grand public une lecture g�ographique du paysage humain et naturel de la grande r�gion de Qu�bec - Chaudi�re-Appalaches."

� titre d'exemple, je vous invite � consulter la section "Climatologie". On y explique notamment l'influence de l'estuaire du Saint-Laurent sur la m�t�o locale. Justement, le "nord�t", ce vent froid et humide, devrait � nouveau empoisonner notre existence les prochains jours...

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Pour conclure mon reportage photo de la semaine derni�re, voici quatre images, immortalis�es le m�me jour, de la flore des bois�s am�nag�s de la base de plein air de Sainte-Foy (principalement � l'ouest de la tourbi�re) dont les sentiers sont illustr�s dans le panneau ci-bas.

1er juin 2006...

Dans l'ordre:
Photo 1: Trientale bor�ale;
Photo 2: Ma�anth�me du Canada;
Photo 3: Clintonie bor�ale;
Photo 4: Ma�anth�me du Canada (2).

PS: l'an prochain, je m'y prendrai plus t�t pour photographier d'autres plantes vedettes de notre flore foresti�re et abondantes en ces lieux, tels le trille ondul� et l'�rythrone d'Am�rique!

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Photo prise pr�s de chez-moi. C'est la premi�re fois que je vois cette technique... de "patchage" d'asphalte.

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Source: Guy Benjamin Le Soleil, 7 mai 2006

Encore plus de v�los circuleront dans les rues de Qu�bec au cours de la belle saison. D'abord, � sa quatri�me ann�e d'activit�s, V�lo-ville tente d'int�resser l'entreprise priv�e � son concept de pr�ts de v�lo aux employ�s, que ce soit pour le plaisir ou le travail. Avant m�me de conna�tre la r�ponse des entreprises, l'organisme annonce que le nombre de v�los � emprunter augmentera de quatre pour passer � 48.

Puis, Qu�bec a vu appara�tre ses premiers cyclo-pousse, ce v�lo qui permet � deux passagers de prendre place sur la banquette arri�re pendant qu'un guide fait travailler ses jambes. Gilbert Garcia a promen� ses premiers clients mardi dans le secteur du Vieux-Port.

L'entreprise, les Tours Ludovica, offre un tour comment� de 40 minutes sur un circuit bien d�termin� dans le secteur du Vieux-Port, avec d�part et retour � Place de Paris. Le permis obtenu de la Ville de Qu�bec ne lui permet pas d'en d�vier, tout comme il lui est interdit de faire du taxi.

Le co�t de la balade est de 35 $ pour deux personnes ne pesant pas plus de 400 livres. Les deux, pas chacune.

Ancien cal�chier, M. Garcia a v�cu l'exp�rience du cyclo-pousse en Australie o� il a habit� pendant un an. Il anticipe un �t� prosp�re puisqu'il s'est procur� trois cyclo-pousse et a d�j� recrut� deux guides-p�daleurs.

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Source: Radio-Canada Qu�bec, 7 juin 2006

Le beau temps ram�ne la patrouille de l'eau de la ville de Qu�bec. Tous les jours, jusqu'� la mi-septembre, six patrouilleurs ratisseront la ville pour rep�rer les citoyens fautifs et �mettre des constats d'infraction, mais aussi pour sensibiliser les r�sidents au recyclage et � la protection de l'environnement.

L'an dernier, les patrouilleurs n'ont remis que huit constats d'infraction, en ao�t, alors qu'une s�cheresse mena�ait. Pr�s de 300 avertissements �crits ont aussi �t� servis, la plupart du temps, suivant des d�nonciations de la part de voisins.

Un site Internet et une bo�te vocale sont mis � la disposition de la population d�sireuse d'en savoir davantage quant � une utilisation rationnelle de l'eau et aux r�gles d'arrosage.

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Source: Jean Brouillard Communications et relations publique.

Le projet total n�cessitera des investissement de 350 M$

Qu�bec, le mardi 6 juin 2006 - Le promoteur immobilier St�phan Huot s�est port� acqu�reur des terrains vacants dans le secteur Les M�andres � Qu�bec, une op�ration qui n�cessitera en totalit� des investissements de 8 M $.. Diff�rentes phases de travaux y ont cours et d�autres seront entam�s au cours des prochaines semaines et des prochains mois.

Au total, c�est plus de 350 M $ qui seront investis pour la cr�ation de cottages, de condos, de jumel�s et d�unit�s multi-familiales de 3 � 6 �tages. Une premi�re phase de nouvelles rues a �t� compl�t�e pour permettre le fa�onnement et l��dification du projet et d �autres suivront au cours des prochains mois. (...)

Un gros merci � G�rald Gobeil pour l'info

Le secteur Les M�andres est situ� � Qu�bec, au sud du boulevard Chauveau et � l�est du boulevard Saint-Jacques. Le projet s��tendra de part et d�autre du futur tron�on de l�autoroute Du Vallon actuellement en construction, juste au nord des Galeries de la Capitale.

La prochaine phase de construction de 800 unit�s d�butera en octobre 2006 et celle des 1 400 unit�s d�habitation de 3 � 6 �tages sera lanc�e en 2007. Au total, 2600 unit�s d�habitation seront cr��es dans ce projet.

Promoteur immobilier depuis pr�s de 20 ans, St�phan Huot s�est entre autres fait conna�tre dans la Capitale par la cr�ation, il y a une quinzaine d�ann�es, des projets immobiliers � succ�s le Domaine de la Capitale et le Domaine de Brugnon, situ�s � l�est de l�autoroute Du Vallon. Actuellement, St�phan Huot d�veloppe notamment le projet LES TRIPLEX au sein du Domaine de la Capitale.

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Source: Soci�t� immobili�re Fortin

Un projet d'ensemble immobilier de 100, 000 pieds carr�s, situ�s sur le boulevard Lebourneuf, pr�s du Jardin Mobile... Disponible durant septembre 2006.

Pour de plus ample info voir le site internet...

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Source: http://www.promenade2008.qc.ca.

31 mai 2006. Actuellement sur le terrain - La compagnie Inspec-Sol est � d�manteler une portion de l�ol�oduc d�saffect� de la compagnie Irving. Les travaux ont commenc� le 23 mai dernier et devraient se terminer le 5 juin prochain. Par ailleurs, le b�timent administratif de la p�troli�re Irving est aussi en d�molition. Les mat�riaux r�utilisables seront recycl�s. Ces travaux ont commenc� le 29 mai et la fin des travaux est envisag�e pour le 2 juin 2006.

Voir aussi cet autre billet.

Merci � G�rald Gobeil pour avoir fourni � Qu�bec Urbain cette image de l'�tat des travaux!

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Source: Site internet Minist�re des Transports

Est vieille comme nouvelle, mais vu l'ampleur de l'investissement...

QU�BEC, le 17 mai /CNW Telbec/ - Le ministre des Transports et ministre
responsable de la r�gion de la Capitale-Nationale, M. Michel Despr�s, est fier
d'annoncer que pr�s de 147 millions de dollars seront consacr�s, au cours de
la prochaine ann�e, au r�seau routier de la r�gion...

La suite.

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Source: Site internet Ville de Qu�bec, 5 mai 2006

Qu�bec, le 5 juin 2006 � La Ville de Qu�bec et le minist�re de la Culture et des Communications du Qu�bec accordent des subventions totalisant 74 000 $ pour soutenir divers projets de mise en valeur du patrimoine religieux.

Ces projets ont �t� d�pos�s par les fabriques paroissiales. Ils proposent de nombreuses activit�s qui se r�aliseront d�s cette ann�e, notamment des expositions, des visites guid�es, des audioguides, des ateliers et des publications qui t�moigneront de l'histoire des �glises, de leurs tr�sors et de leurs communaut�s.

Les paroisses Notre-Dame de Saint-Roch, Saint-Charles-Borrom�e, Saint-Jean-Baptiste, Saint-Louis de France, l'�glise Unie Chalmers-Wesley et la Fabrique Notre-Dame-de-Qu�bec b�n�ficieront ainsi d'un soutien financier

En 2005, une somme totale de 70 014 $ avait �t� accord�e pour soutenir 8 projets de m�me nature.

Rappelons que l'Entente de d�veloppement culturel entre la Ville de Qu�bec et le minist�re de la Culture et des Communications a pour objectif d'assurer la vitalit� culturelle de la capitale. Elle porte sur l�acc�s et la sensibilisation aux arts, � la culture et au patrimoine, la recherche et la mise en valeur du patrimoine et la consolidation des acquis en mati�re de culture.

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Source: Le Soleil, 6 mai 2006

Qu�bec se souvient de la course de patin extr�me, le Red Bull Crashed Ice, en mars. Impliqu� dans plus d'une centaine de sports, dont la Formule 1, le fabricant de boisson �nergisante a aussi lanc�, il y a trois ans, une s�rie de courses a�riennes. Une des folies de l'heure.

Des pilotes chevronn�s effectuent � tour de r�le des manoeuvres impos�es dans un circuit balis� de pyl�nes gonfl�s - appel�s les portes - , � plus de 300 km/h et � tr�s basse altitude, dans leur monomoteur acrobatique. Le tout est pr�sent� dans un d�cor urbain enchanteur, g�n�ralement au-dessus d'un cours d'eau.

Voil� comment on pourrait r�sumer une course Red Bull : un m�lange de spectacle a�rien et de Grand Prix de F1.

La suite.

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Source: Guy Benjamin Le Soleil, 6 mai 2006

Les liens entre la France et la colonie de la Nouvelle-France entre 1663 et 1713 sous le r�gne de Louis XIV serviront de toile de fond � la dixi�me pr�sentation des F�tes de la Nouvelle-France du 2 au 6 ao�t.

Pour c�l�brer cet anniversaire, les organisateurs b�n�ficient du plus gros budget de l'histoire des f�tes, soit 3 millions $, dont 70 % provient du secteur priv�. Lors de la premi�re pr�sentation, le budget s'�levait � 700 000 $.

L'Acadie, premi�re colonie fran�aise �tablie en Am�rique en 1604, sera pr�sente aux f�tes pour les trois prochaines ann�es gr�ce au village historique acadien, au congr�s mondial acadien et � la Soci�t� nationale de l'Acadie. Les Acadiens occuperont la Batterie royale. (...)

La suite. Voir aussi le site internet officiel des f�tes de La Nouvelle-France

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Source: Radio-Canada Qu�bec, 6 mai 2006

Les propri�taires de chiens de l'arrondissement Sainte-Foy-Sillery devront demeurer vigilants. Les surveillants de parcs pourront d�sormais donner des contraventions aux propri�taires de chiens sans laisse et � ceux qui ne ramassent pas les excr�ments de leur animal.

Les policiers refusent fr�quemment de se d�placer pour faire appliquer le r�glement, c'est pourquoi les surveillants de parc pourront �mettre des constats d'infraction. Si ce projet-pilote donne de bons r�sultats, la mairesse de Qu�bec, Andr�e Boucher, pourrait l'�tendre � toute la ville.

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Source: Radio-Canada Qu�bec, 6 mai 2006

Finalement il y a peut-�tre de l'espoir malgr� tout...

Des groupes de la r�gion d�di�s � la protection et � l'�ducation � l'environnement ont m�rit� les honneurs, lundi, lors de la remise des prix canadiens de l'environnement qui se d�roulait � Vancouver.

D'abord, le comit� de restauration de la rivi�re Etchemin a m�rit� l'or dans la cat�gorie restauration et r�habilitation pour son projet de r�tablissement du saumon.

Puis, dans la cat�gorie �ducation � l'environnement, l'argent est all� au comit� de valorisation de la rivi�re Beauport pour son projet � J'adopte un cours d'eau �, un projet qui interpelle les �l�ves des niveaux primaires et secondaires du Qu�bec et de l'Ontario.

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Source: Radio-Canada Qu�bec, 6 mai 2006

Est ce qu'il y aura un impact sur ce qui se passe d�ja � Qu�bec ?(lire paroisse Saint-Charles-Borrom�e, entre autre...) Est ce que les terrains des religieuses � Sillery font partie du patrimoine... ? On peut r�ver

La Commission de la culture de l'Assembl�e nationale demande au gouvernement du Qu�bec de d�cr�ter dans les plus brefs d�lais un moratoire sur toutes ventes ou cessions de biens et immeubles du patrimoine religieux.

Ce moratoire de 18 mois permettrait de terminer les inventaires des biens d'�glises et de recueillir le savoir-faire aupr�s des communaut�s religieuses. La commission propose 33 mesures diff�rentes pour prot�ger et mettre en valeur le patrimoine religieux du Qu�bec.

La suite.

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Source: Paul-Robert Raymond Le Soleil, 6 mai 2006

Attention au torticolis ! � partir de mercredi, les avions participant au Spectacle a�rien international de Qu�bec arriveront dans la capitale.

Il sera impossible de ne pas les entendre� Et difficile de ne pas les voir. � Nous demandons � tous les pilotes devant participer au Spectacle de faire une approche par les ponts, de longer le fleuve et de battre les ailes � la hauteur du Ch�teau Frontenac. Ensuite, ils peuvent se diriger vers l�a�roport �, explique Yvan-Miville Des Ch�nes, directeur des op�rations a�riennes du Spectacle a�rien.

� C�est une forme de politesse qu�ils font aux gens de Qu�bec �, ajoute-t-il.

Le pr�sident du Spectacle a�rien, Andr� Jolicoeur, a confirm� au Soleil qu�il y aurait un d�fil� a�rien le jeudi 8 juin, � l�heure du souper, au-dessus de la terrasse Dufferin.

Pour de plus ample info voir le site du festival. http://www.spectacleaerien.qc.ca

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Cette photo est un pr�texte pour discuter de l��talement urbain. Ce qu�on a appel�e la banlieue dans les ann�es 70, est-ce devenu la semi-banlieue ? ou int�gr� au centre-ville ? Un peu comme Ste-Foy dans les ann�es 1940-45 qui �tait consid�r� comme la banlieue de Qu�bec, car encore dans un contexte semi-rural.

Cette grange est situ� sur un terrain dans le quadrilat�re Pierre-Bertrand, St-Joseph, Lebourgneuf et des Gradins, ou ce qui en reste (�1 km carr�) car il y a eu beaucoup de d�veloppements domiciliaires (grosse cabane) depuis deux ans. De plus en plus de champs, vestige d�une autre �poque, disparaissent dans la pelle du constructeur.

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Source: Denis Fortin Qu�bec Hebdo, 5 mai 2006

Question d�illustrer la page couverture de la revue Chez Nous de la paroisse Saint-Charles-Borrom�e, les responsables de la communaut� invitent toutes les personnes int�ress�es � participer � un concours de photos dont le principal objectif est de valoriser l��glise Saint-Charles-Borrom�e qui est consid�r�e comme un des joyaux de l�arrondissement de Charlesbourg. (...)

La suite.

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Source: Radio-Canada Qu�bec, 5 juin 2006

Plusieurs adeptes du kayak et de la planche � voile ont particip�, dimanche, au premier Rendez-vous actif de la baie de Beauport. Au cours des prochaines ann�es, d'autres visiteurs pourraient �tre attir�s par la baie de Beauport gr�ce � son r�am�nagement.

Le responsable du secteur nautique � la baie de Beauport, Jean-Fran�ois Gacougnolle, estime que la construction d'infrastructures modernes sur le site, d'ici 2008, permettra de donner v�ritablement la baie aux citoyens. Un nouveau pavillon qui rassemblera les installations actuelles sera construit. (...)

Voir autre billet. Et celui-ci

Des infrastructures seront mises en place pour permettre notamment aux jeunes participants de camps nautiques de se changer et d'avoir acc�s � des salles de cours. Le nouveau pavillon de services remplacera les roulottes de d�pannage.

Le r�am�nagement pourrait �ventuellement attirer des baigneurs. D�fendue � l'heure actuelle, la baignade pourrait cohabiter avec les autres activit�s nautiques.

Depuis trois ans, l'eau de la baie serait consid�r�e d'assez bonne qualit� pour que les visiteurs puissent s'y baigner. Cependant, pour l'instant, personne ne veut prendre la responsabilit� de garantir la qualit� de l'eau en tout temps. La possibilit� est sur la table, mais avant d'ouvrir l'acc�s aux baigneurs, il faudra attendre que le r�am�nagement soit compl�t�.

Les travaux de r�am�nagement devraient commencer d�s cet automne.

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Source: Jacinmon Reid, Qu�bec Hebdo 5 juin 2006

Fid�les � leur dynamisme l�gendaire, les membres de l�APEL ont proc�d� derni�rement � une s�rie de travaux autour du lac Saint-Charles visant � prot�ger de fa�on int�grale les habitats fauniques de m�me que les terrains qui ont autrefois souffert de la pr�sence humaine.

�Notre projet visait � redonner un caract�re naturel au site�, explique le pr�sident de l�Association pour la protection de l�environnement du lac Saint-Charles et des Marais du Nord (APEL), Fran�ois Morneau. Les travaux, qui ont �t� r�alis�s en 2005, ont permis notamment de resserrer la protection des terrains ceinturant la baie Charles-Talbot et de reconstituer des habitats fauniques ayant �t� d�truits ou modifi�s par la pr�sence humaine.

Voir la suite.

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Source: Marie Caouette Le Soleil, 3 juin 2006

La communaut� �cossaise de Qu�bec s�associe � la vague de comm�moration qui entoure le 400e anniversaire de la fondation de Qu�bec. Elle projette de souligner son arriv�e et son int�gration � la soci�t� qu�b�coise, qui co�ncide avec la bataille des plaines d�Abraham.

La famille des McNicoll a �t� choisie pour rappeler, sur une st�le, les centaines de Highlanders qui ont surv�cu ici, gr�ce � la g�n�rosit� des colons canadiens envers ces ennemis. Elle mettra en valeur la tol�rance entre les peuples, telle que pratiqu�e par James Murray ; cet �cossais, premier gouverneur britannique, a maintenu les droits des colons canadiens de parler leur langue et de pratiquer leur religion.

Le monument sera �rig� en 2008 dans le � quartier �cossais du Vieux-Qu�bec �, pr�cise Guy Morisset, porte-parole de cette communaut�. L�histoire des McNicoll, originaires de l��le de Skye dans les Nouvelles-H�brides, m�rite qu�on s�y attarde.

Duncan McNicoll �tait l�un des milliers de Highlanders venus assi�ger Qu�bec. Sa femme Kathrine l�accompagnait dans cette exp�dition ; elle a donn� naissance � leur premier enfant, Anne, en 1759 ; celle-ci a probablement �t� le premier b�b� britannique n� en Nouvelle-France.

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Source: Gilles Toupin La Presse, 2 mai 2006

Ce peut �tre le cas � Qu�bec ?! � voir.

Nos enfants sont empoisonn�s quotidiennement par une multitude de produits toxiques et nous vivons tous dans une �soupe chimique� qui met la sant� des Canadiens en danger.

Pourtant, les gouvernements ont fait preuve de la plus grande n�gligence � cet �gard, conclut une �tude r�alis�e par D�fense environnementale, groupe vou� � la protection de l'environnement et de la sant�.

�Nous rendons publics les r�sultats de notre troublante �tude intitul�e Les Enfants empoisonn�s - une nation toxique. Ils r�v�lent une terrible r�alit�, a d�clar� hier le Dr Rick Smith, pour D�fense environnementale. La pollution est si grande, dans notre pays, que les enfants ont davantage de produits toxiques en eux que leurs parents. Et la principale raison de cette situation, c'est la n�gligence et l'inaction de notre gouvernement f�d�ral, qui a renonc� � son r�le de meneur pour r�duire la pollution dans ce pays.� (...)

Voir la suite.

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Source: Radio-Canada Qu�bec, 1 juin 2006

Encore un autre exemple du retard de Qu�bec dans certains domaines...

Au moins 5 des 7 Commissions scolaires de la grande r�gion de Qu�bec ne pr�voient pas imiter la Commission scolaire de Montr�al qui vient d'adopter un plan vert obligeant tous ses �tablissements � se conformer au protocole de Kyoto.

Ce plan pr�voit notamment la transformation de stationnements en espace vert, l'obligation pour toutes les �coles d'installer des supports � bicyclettes d'ici la fin de 2011 et l'augmentation du taux de recyclage � 60 % d'ici trois ans.

La Commission scolaire de Montr�al serait la premi�re au Qu�bec � aller si loin. Toutefois, selon le coordonnateur de l'Association qu�b�coise pour la promotion de l'�ducation relative � l'environnement, Hugues L'H�risson, les petits gestes pos�s quotidiennement dans les �coles notamment en ce qui concerne le recyclage et l'�conomie de l'eau sont tout aussi valables.

Le pr�sident de la F�d�ration des commissions scolaires du Qu�bec, Andr� Caron, souhaite n�anmoins que d'autres membres imitent le geste de Montr�al.

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Allez tous le monde ensemble "Samedi soir, Y'a rien � faire le samedi soir. Que d'aller su'l balcon et s'asseoir. Regarder les gens qui passent sur le trottoir. Ah c'est samedi soir, mais je ne m'ennuie pas." ;)

Chanson de Gilles Valiquette

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Source: L�a M�th� Myrand, Le Soleil 2 juin 2006

Une sympathique id�e europ�enne fait des petits au Qu�bec. Vingt-six villes et villages parrainent cette ann�e des � f�tes de voisins �.

� Le but, c�est d�avoir un voisinage plus chaleureux, plus convivial, o� les gens se c�toient au quotidien �, explique Nadine Maltais, agente de liaison du R�seau villes et villages en sant� et organisatrice d�une f�te tenue hier soir dans sa rue, � Lac-Beauport.

� L�originalit� du concept, c�est que ce sont les citoyens qui doivent passer � l�action, ajoute-t-elle. D�j� la pr�paration de la f�te, �a a contribu� � nous rapprocher. �

Le r�le de la municipalit�, dans ce cas, est de distribuer le mat�riel promotionnel et de faciliter la tenue des �v�nements.

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Source: �ric Moreault Le Soleil, 1 juin 2006

Les villes de la r�gion seront incapables d�atteindre en 2008 les objectifs qu�b�cois de recyclage parce que le projet de ramassage et de compostage des d�chets de table conna�t des d�lais.

En ce moment, la mise en valeur des rebuts atteint 24 % sur le territoire de Qu�bec et des trois MRC qui l�entourent, loin de l�objectif de 60 %. Mais puisque environ la moiti� des d�chets r�sidentiels sont des mati�res putrescibles, la cible demeure en vue. Seul hic, c�est plus facile � dire qu�� faire. (...)

Ce n'est pas la premi�re fois qu'il y a des rat�s dans le processus de r�cup�ration.

Il faut d�terminer la fa�on de disposer des mati�res, comment les ramasser puis les traiter. Autrement dit, un bac ou des sacs ? Des nouveaux camions ou des camions modifi�s ? Quelle sorte d�usine ? Et que faire du compost des 73 000 tonnes ramass�es ?

La Communaut� urbaine de Qu�bec (CMQ) a command� une �tude compl�mentaire au Plan de gestion des mati�res r�siduelles (PGMR), au co�t de 76 000 $, pay�e � moiti� par Ottawa, qui sera livr�e au plus t�t cet automne. Avec les d�lais pour des ententes entre tous les partenaires, les permis et la construction, il faut oublier 2008.

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Source: David Bombardier La Tribune, 31 mai 2006

Autre chose que Qu�bec peut s'inspirer pour r�duire l'utilisation des sites d'enfouissements et de l'incin�rateur peut-�tre ?

Les d�chets sherbrookois pourraient �tre �ventuellement transform�s en �thanol, une composante d'un carburant automobile dit vert. La fiction de Retour vers le futur, o� des d�tritus permettaient � Marty McFly de se d�placer � bord de sa Delorean volante, n'est plus tr�s loin de la r�alit�.

"Vos poubelles, on peut en faire une raffinerie", illustre Vincent Chornet, vice-pr�sident ex�cutif d'Enerkem Technologies.

� la demande du Comit� de d�veloppement durable, cette entreprise sherbrookoise a r�cemment soumis � la Ville de Sherbrooke un projet de gaz�ification des d�chets envoy�s au site d'enfouissement. Ce proc�d�, en voie d'�tre adopt� � Londres, permet de convertir les d�chets en biocombustibles et en bio�nergie.

La premi�re g�n�ration de cette technologie vise � cr�er un gaz de synth�se pouvant remplacer le gaz naturel, que ce soit pour se chauffer ou s'�clairer.

La deuxi�me g�n�ration, celle maintenant privil�gi�e par Enerkem, permettra �ventuellement de transformer les d�chets en �thanol-carburant. Le gouvernement Harper souhaite introduire 5 pour cent d'�thanol dans l'essence d'ici 2010.

Si la gaz�ification des d�chets �tait mise de l'avant � Sherbrooke, la quantit� de mati�res enfouies diminuerait de 80 pour cent, estime M. Chornet.

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Source: Claude Plante La Tribune, 1 juin 2006

C'est peut-�tre une bonne id�e de refaire certains parcours ici � Qu�bec... Ce sera un peu cahotique au d�but...

La Soci�t� de transport de Sherbrooke (STS) propose une refonte compl�te de ses circuits avec le nouveau plan de transport pr�sent� jeudi avant-midi en conf�rence de presse.

La STS propose un sch�ma des circuits en lignes plus directes en �vitant les boucles, de mani�re � diminuer les temps d�attente. Les trajets d�autobus seront plus court, a indiqu� la direction de la STS. De plus, 85 pour cent des r�sidences sherbrookoises seront � moins de 400 m�tres d�un arr�t d�autobus.

La suite.

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Source: Jancimon Reid Qu�bec Hebdo, 1 juin 2006

Il y a quelques ann�es, six d�panneurs ind�pendants bordaient la rue Plante � Vanier. En 2006, il n�en reste plus que trois. Une situation qui n�est pas �trang�re � la concurrence f�roce que livrent les supermarch�s en misant notamment sur la bi�re. La propri�taire du d�panneur Jackie � Vanier, Manon Langevin, a accept� de nous expliquer les choses telles que v�cues par les �petits� qui r�sistent toujours.

�Les gros supermarch�s ont souvent des gratuit�s avec les caisses de 24 quand ils ach�tent du volume, explique Manon Langevin. Nous, comme on n�a pas l�argent et le m�me espace pour les entreposer qu�eux, on n�a pas le choix de les acheter 26,95 $ chacune. Pour faire un petit profit l�-dessus, on doit les vendre 28,49 $.� Difficile de faire le poids quand les supermarch�s Maxi, IGA, Provigo et M�tro proposent leurs caisses au prix de 21,90 $...

Le probl�me, c�est que les petits d�panneurs de quartier survivent principalement gr�ce � la vente de bi�res, de cigarettes et de billets de loto. �Le prix minimum est assez ridicule, souligne Manon Langevin. Si c��tait mont� � 24 $, ce serait pas pire. �a ferait une grosse diff�rence pour nous. Les supermarch�s vendent leurs caisses 5 $ de moins que le prix co�tant!�

Entour� des grosses cha�nes de supermarch�s et des grosses banni�res telles que Couche-tard, le d�panneur Jackie doit plus que jamais r�sister � la popularit� de l�envahisseur. �On se fait �touffer ici. Je suis proche d�un Maxi et d�un Couche-Tard. M�me si elle a des petits d�panneurs, la cha�ne Couche-Tard a un plus grand pouvoir de march�. Les d�panneurs n�gocient les prix tous ensemble.�

Pour pallier cette importante perte de revenus, le d�panneur Jackie (qui d�tient une banni�re GEM) a d� r�cemment agrandir sa chambre froide, apr�s avoir pris un nouveau virage en int�grant de plus en plus de bi�res de micro-brasseries qu�b�coises. �On ne d�veloppe pas le march� de la 24, pr�cise Manon Langevin. On travaille sur la douzaine. Et on met le paquet sur des marques de bi�res �conomiques comme la Tremblay, qu�on r�ussit � vendre 13,99 $ la caisse de 12. C�est un bon �quivalent aux grosses marques comme Molson et Labatt.�

En plus de diversifier le contenu de ses r�frig�rateurs, les d�panneurs doivent enrichir la diversit� de leurs produits. �On a ouvert un club vid�o, on s�est mis � vendre des calottes et des toutous, de la glace, de la sloche. Et le pire, c�est qu�il y a un club vid�o � un dollar qui vient d�ouvrir pas loin...�

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Source: Radio-Canada Qu�bec, 2 juin 2006

Des citoyens ont manifest� en fin de journ�e vendredi pour le maintien du Jardin zoologique du Qu�bec. Une quinzaine de membres de S.O.S. Zoo ont profit� de l'heure de pointe pour passer leur message � l'intersection de la rue Saint-Jean et Honor�-Mercier.

Pancartes � la main, ils r�clamaient la r�ouverture du Jardin zoologique du Qu�bec ferm� au d�but du mois d'avril. Ils �voquent la valeur patrimoniale et le r�le �ducatif de l'�tablissement pour justifier son maintien.

Selon la porte-parole de S.O.S Zoo, Francine Vachon, le zoo devrait � tout le moins demeurer ouvert tant que tous les animaux ne sont pas d�m�nag�s.

Voir autres billets. 1 2 3...

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Source: �ric Moreault Le Soleil, 1 mai 2006

La Ville de Qu�bec a jusqu�� maintenant remplac� 70 % des lampes de feux de circulation par des diodes �lectroluminescentes (DEL). Toujours � l�aff�t d��conomies d��nergie, elle pr�pare cette ann�e un projet-pilote innovateur de gradateurs d�intensit� pour l��clairage de rue.

Qu�bec serait la seule ville en Am�rique � tester cette technologie, croit Beno�t Gu�rard, surintendant responsable de l��clairage public et de la signalisation lumineuse � la Ville. � J�ai juste entendu parler d�un autre projet-pilote en Irlande. �

La Ville installera quelques centaines d�unit�s �lectroniques, en collaboration avec Hydro-Qu�bec, pour faire varier l�intensit� de l��clairage en fonction de la p�riode de la soir�e et de l�achalandage.

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Source: �ric Moreault Le Soleil, 1 juin 2006

J'imagine que les d�penses municipales seront moindres, peut-�tre une baisse de taxe ?! (on peut r�ver !) Les Del (ou led ) existent depuis bon nombres d'ann�es en �lectronique.

Le Qu�bec pourrait vivre une petite r�volution environnementale en troquant la bonne vieille ampoule pour une diode. L��conomie d��nergie serait l��quivalent de la production annuelle de Manic-5, estime Paul Lavall�e.

Le professeur de l�UQAM a pr�sent� le r�sultat de ses recherches sur les diodes �lectroluminescentes (DEL) au r�cent congr�s de l�ACFAS, � Montr�al. � Les gens ont toujours l�impression que l��clairage est n�gligeable dans la facture d��lectricit�. � Hydro-Qu�bec estime n�anmoins la consommation r�sidentielle � 4,3 t�rawattheures (un t�rawattheure vaut un million de m�gawattheures).

Or, une DEL consomme 90 % moins d��nergie que l�ampoule incandescente invent�e par Edison. Autrement dit, une diode de 10 watts remplace une ampoule de 100 watts.

Si 70 % des gens changeaient compl�tement leur mode d��clairage, les �conomies �nerg�tiques seraient de 350 m�gawatts. Et si la moiti� de l��clairage institutionnel et industriel subissait le m�me sort, on ajouterait 650 m�gawatts. On pourrait m�me exporter ces �conomies, r�ve tout haut M. Lavall�e.

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Source: Radio-Canada Qu�bec, 1 juin 2006

La Ville de Paris s'appr�terait � r�am�nager la Place de Paris, en guise de contribution aux f�tes du 400e anniversaire de Qu�bec. Selon le Journal de Qu�bec, des urbanistes de Paris et de Qu�bec travaillent pr�sentement sur un tel projet de r�am�nagement.

L'id�e est de sortir de son isolement la fameuse sculpture intitul�e � Rendez-Vous avec l'histoire �, qui a souvent fait l'objet de railleries.

Situ�e dans le Vieux-Port, pr�s de la place Royale, la Place de Paris avait �t� inaugur�e en 1987 par les anciens maires Jean Pelletier et Jacques Chirac. Celui-ci �tant maintenant devenu pr�sident de la R�publique fran�aise.

Voie autre billet. Et celui-ci.

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Voici mon premier v�ritable reportage photo [billet] pour Qu�bec Urbain! J'ai choisi, en ce d�but juin, un site naturel magnifique et pourtant m�connu en plein Qu�bec qui devrait faire sous peu l'objet d'une mise en valeur au m�me titre que les bois�s environnants (prochain billet).

En images, donc, un aper�u de la flore printani�re de la tourbi�re de la Base de plein air de Sainte-Foy (au nord du lac Laberge)...

1er juin 2006...

9 juin 2004...

Ne manquent � ce portrait, des fleurs vedettes de la tourbi�re de la Base de plein-air tel que le rhododendron du Canada qui colore d'un rose p�le d�licat, � la mi-mai, cet "�lot de grand Nord" prot�g� au coeur de l'agglom�ration!

Voir aussi cet autre billet et le site de la Soci�t� de la Grande Pl�e bleue, au sud de L�vis, dont je suis l'un des fondateurs.

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Source: Isabelle Mathieu, Le Soleil, 31 mai 2006.

(...) Le RTC a d�cid� de renforcer ses parcours Express pour accommoder les travailleurs, pr�sentement coinc�s comme des sardines matin et soir. Les Express seront aussi plus fr�quents l��t� et plus pr�sents dans le secteur Les M�andres. Le RTC augmente aussi la fr�quence des autobus dans les quartiers qui ont pouss� comme des champignons, comme dans le nord de Beauport et autour des cin�mas, pr�s de l�autoroute Duplessis. (...)

La suite.

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