Archive des billets publi�s en juillet 2006

La hausse du prix de l�essence pourrait aider le tourisme dans la capitale gr�ce � l�Association am�ricaine des automobilistes (AAA). L�organisation sugg�re � ses 50 millions de membres de visiter le Vieux-Qu�bec, class� l�une des 10 meilleures destinations pi�tonnes en Am�rique du Nord.

� Le prix de l�essence est tellement �lev� que les gens veulent �conomiser sur leurs d�placements. Ils sont pr�ts � conduire pour se rendre � une destination, mais ils veulent ensuite stationner leur voiture et marcher pour visiter �, explique Mike Pina, porte-parole de l�AAA.

Le litre d�essence oscille actuellement autour des 3 $US le gallon, soit 0,90 $ le litre. Plusieurs membres de l�AAA s�interrogent donc sur les meilleurs endroits � visiter sans �puiser leur pr�cieux carburant. Un guide touristique de l�Association consacrera un article au Vieux-Qu�bec pour y vanter la facilit� pour les pi�tons de circuler.

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<SOUPIR> Les vacances sont finis ihi !

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Apr�s une pluie... Dans un stationnement.

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Source: Louise Lemieux Le Soleil, 28 juillet 2006

Des maisons en vente � plus d'un million de dollars sont de plus en plus communes dans la r�gion. Et ce sont surtout les Qu�b�cois qui les ach�tent. �Une maison � un million? C'est vraiment rien pour �crire � sa m�re. Construire aujourd'hui, �a co�te tellement cher�, lance Lorraine Demers, agente d'immeubles. �Il y a beaucoup de maisons � ce prix-l�!�, rench�rit Yvan Drouin, lui aussi dans le m�tier depuis une quinzaine d'ann�es.

�Des gens qui ont de l'argent, il y en a � Qu�bec et �a ne para�t pas. Il y a un march� pour le haut de gamme�, constate Lorraine Demers.

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La pollution lumineuse que le pont projette...

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Pont de Qu�bec vue du chemin St-Louis.

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Source: Radio-Canada Qu�bec, 26 juillet 2006

Le bonheur des non-fumeurs fait le malheur des tenanciers de bars. Une association de propri�taires de bars d�pose en Cour sup�rieure une demande d'injonction contre la loi qui interdit � leurs clients de fumer dans leur �tablissement.

L'Union des tenanciers de bars du Qu�bec (UTBQ), men�e par son pr�sident et homme d'affaires montr�alais Peter Sergakis, souhaite toujours l'annulation de cette loi. Elle a saisi la cour d'une demande d'injonction, mardi, devant l'urgence de la situation. Les dirigeants de l'UTBQ demandent � la cour de leur accorder ce sursis en attendant que leur cause, qui pourrait �tre entendue dans six mois, soit d�battue sur le fond.

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Voir aussi ce lien.

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Source: Radio-Canada Qu�bec, 26 juillet 2006

La Ville de Qu�bec lance un projet-pilote de collecte des mati�res putrescibles dans les entreprises dans le cadre du plan de gestion des mati�res r�siduelles. La Ville a fait parvenir une lettre � 250 industries, commerces et institutions pour les convaincre de faire partie de ce projet d'un an.

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Source: Fran�ois Simard Qu�bec Hebdo, 25 juillet 2006

Afin d�encourager les gens � faire une place plus importante aux produits locaux dans leur panier d��picerie, quatre coop�ratives d�alimentation de la r�gion dont la Coop�rative des consommateurs de Sainte-Foy participent actuellement � la campagne �L�achat local, toujours en t�te�, parrain�e notamment par �quiterre et l�Union des producteurs agricoles. Au cours des prochaines semaines, les clients des coops recevront des cartes postales illustrant les avantages de s�approvisionner chez les producteurs de la r�gion.

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Source: Catherine Bergeron Le Journal de Qu�bec, 25 juillet 2006

M�me si Qu�bec est une destination de choix pour les touristes, s'orienter avec des panneaux unilingues francophones n'est pas une mince affaire pour eux. �C'est tr�s difficile de s'orienter et de trouver son chemin�, se sont exclam�s Suzanne et Winfrid, un couple venant d'Allemagne, en regardant une carte de la ville. Pour les touristes qui ne comprennent pas le fran�ais, se diriger dans les diff�rentes rues de Qu�bec est un v�ritable d�fi.

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Source: Radio-Canada Qu�bec, 24 juillet 2006

Les visiteurs ne semblent pas au rendez-vous cette ann�e dans la Vieille Capitale comme c'est habituellement le cas en cette p�riode de l'ann�e. Dans le Vieux-Qu�bec, les rues ne sont pas tr�s achaland�es et les terrasses, les restaurants et les bars, pas beaucoup plus remplis.

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Source: Samuel Auger Le Soleil, 23 juillet 2006

Qu�bec est devenue en juin la premi�re ville de la province o� circulent des taxis munis de d�mes publicitaires. Gr�ce aux normes plus souples de Sainte-Foy, 33 des 34 voitures de Taxi Laurier sont ainsi �quip�es. La directrice g�n�rale, �lisabeth Hamel, confirme que les co�ts d�exploitation contraignent les taxis � trouver des sources de revenus alternatives. � Tout augmente en m�me temps : les co�ts d�exploitation, les assurances, l�essence� Il faut pouvoir survivre � travers �a. �

Ce projet exp�rimental est en gestation depuis de nombreuses ann�es, bien que les hausses r�centes du prix � la pompe aient contribu� � son lancement. � Nous voulons allier l�utile � l�agr�able, et je crois que �a donne une image tr�s dynamique de la ville �, soutient �lisabeth Hamel.

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Pour appuyer l'article qui suit, cette sc�ne prise sur la rue Saint-Jean lors de la f�te du Faubourg de cette ann�e...

Source: Marline C�t� et Marcel Poliquin, L'Infobourg, juillet 2006.

Augmentation de la circulation dans les rues attenantes ou perte d�espaces de stationnement dans l�ensemble du quartier, les arguments contre une r�appropriation de la rue Saint-Jean par les pi�tons ne font pas le poids devant la volont� citoyenne. Une tr�s forte majorit� de citoyen-nes et de commer�ant-es de la rue Saint-Jean aimeraient voir la rue Saint-Jean devenir pi�tonne au moins une journ�e par semaine pendant la p�riode estivale, confirme un sondage de l�Infobourg. (...)

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Autre vue de la fontaine devant la Gare du Palais.

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Vue de Qu�bec et de la 3e Avenue ouest � Charlesbourg.

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Une autre �tude qui d�montre � quel point, quand on se compare, il fait bon, vivre � Qu�bec!

Source: Statistiques Canada (Communiqu�), 20 juillet 2006.

Le taux national de criminalit� du Canada, qui est fond� sur les affaires d�clar�es � la police, a chut� de 5 % l'ann�e derni�re (...).

Les taux provinciaux de criminalit� les plus �lev�s ont encore �t� observ�s dans l'Ouest. La Saskatchewan a affich� le taux global le plus �lev�, suivie de la Colombie-Britannique et du Manitoba. Les taux �taient les plus faibles en Ontario et au Qu�bec. (...)

De nouveau, les taux de criminalit� les plus �lev�s ont �t� enregistr�s dans les villes de l'Ouest. Toutefois, le taux de Regina a r�gress� de 15 % en 2005, pour se situer derri�re Saskatoon, qui a affich� le taux de criminalit� le plus �lev� parmi les 27 RMR. Les taux d'Abbotsford, de Vancouver, de Winnipeg, d'Edmonton et de Victoria venaient ensuite. Le Saguenay, Qu�bec, Trois-Rivi�res et Sherbrooke ont affich� les taux de criminalit� les plus faibles. (...)

Edmonton a d�nombr� 44 homicides, en hausse de 10 par rapport � 2004. Pour cette raison, Edmonton a connu le taux d'homicides le plus �lev� parmi toutes les RMR, soit 4,3 pour 100 000 habitants. (...)

La ville de Qu�bec a affich� le taux le plus faible [d'homicides] parmi les neuf plus grandes RMR. Le taux d'homicides de Montr�al a �t� le plus faible depuis 1981. (...)

Les d�tails.

Merci � G�rald Gobeil pour nous avoir r�v�l� cette �tude.

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Vue rapproch�e du chantier, cette fois � partir du campus des Caisses Desjardins, � L�vis... avec le mont B�lair en arri�re-plan!

Par hasard, j'ai vu cette sc�ne en roulant � v�lo en direction sud, vers la tourbi�re grande Pl�e bleue (reportage La Semaine verte). Ma mission: prendre de jolies photos, notamment de plantes insectivores et de quelques orchid�es sauvages qui poussent librement sur ce vaste milieu naturel d'allure nordique!

Voir aussi cet autre billet.

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Pour celui ou celle qui aime les statistiques

Source: Fr�d�rcik Masson Qu�bec Hebdo, 20 juillet 2006

Le quartier Saint-Sacrement doit son nom aux p�res du Tr�s-Saint-Sacrement, qui se sont �tablis � cet endroit en 1915. La population de Saint-Sacrement se chiffre � 9 800 habitants. De ce nombre, 7,4 % sont des enfants de 0 � 14 ans et 29,9 % sont des personnes �g�es de 65 ans et plus.

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Source: Radio-Canada Qu�bec, 20 juillet 2006

La r�gion de la capitale recevra 134 nouveaux logements sociaux et communautaires dans le cadre du programme Acc�s Logis Qu�bec. Une cinquantaine d'autres seront construits dans Chaudi�re-Appalaches. Le gouvernement Charest vient de confirmer l'ajout de 1400 nouveaux logements au Qu�bec qui s'ajoutent aux 1200 annonc�s en mai. Ces logements � co�t abordables sont destin�s aux m�nages � revenus faibles ou modestes.

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Source: Pier-Luc Dupont Le Soleil, 19 juillet 2006

Dix spectacles en plein air comme autant de bougies. Voil� comment les F�tes de la Nouvelle-France entendent c�l�brer, entre le 2 et 6 ao�t, leur 10e anniversaire. � Jusqu�ici, les spectacles n��taient pas une coutume lors des F�tes �, a mentionn� le pr�sident Gilles Lachance, hier, en conf�rence de presse. � Le d�fi �tait d�en trouver 10 qui seraient li�s � la th�matique. � Celle-ci tournera autour de l�influence r�ciproque qu�ont exerc�e l�une sur l�autre la France et sa colonie.

Des artistes de renom comme la Bottine souriante, Claire Pelletier, Les Batinses, Grand D�rangement et Ang�le Dubeau prendront d�assaut quatre sc�nes, dont le parc Montmorency et la cour du S�minaire. Ils tenteront de faire vibrer une fibre patriotique fran�aise qui � fait partie de nos g�nes historiques �, rappelle Claire Pelletier, porte-parole des F�tes.

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Photo prise du chemin St-Louis

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Source: Radio-Canada (Qu�bec), 19 juillet 2006.

Le Centre des congr�s de Qu�bec a �t� couronn� meilleur palais des congr�s au monde.

Cette reconnaissance a �t� remise lors de la conf�rence internationale des palais des congr�s, � Montpellier, en France. Qu�bec s'est distingu� parmi 19 palais des congr�s, dont celui de Brisbane en Australie, qui s'est class� deuxi�me. (...)

La suite. Voir aussi ce billet.

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Au premier plan, une Smart dans un coin discret du stationnement sur lequel ont �t� propos�s divers projets immobiliers ces derni�res ann�es. Au fond, coin Arago, une partie de la Falaise apprivois�e en voie d'ach�vement [billet].

Voir aussi ces autres billets portant sur la Smart.

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Source: Gilles Angers Le Soleil, 19 juillet 2006

Plus l'�t� est chaud, plus on se plaint du bruit que font les climatiseurs, dont les thermopompes, et les filtres � piscine. Mais attention! il y a des limites � tirer des d�cibels � bout portant sur ses voisins. Les r�gles diff�rent selon les municipalit�s. Par exemple, Qu�bec a son r�glement, L�vis le sien. �Plus il fait chaud et longtemps, plus on se plaint�, note Georges Ren�, responsable du secteur inspection au sein de la division de la qualit� du milieu du service de l'environnement de la Ville de Qu�bec.

Voir la suite. Et aussi cet autre article du m�me auteur.

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Autre belle fleur du parterre de mon domicile.

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Source: Alain Bergeron. Journal de Qu�bec, 19 juillet 2006

�C'est clair qu'il n'y aura pas d'�v�nements majestueux en 2008, mais ceux que nous aurons devront �tre vus comme des fleurs de plus dans notre jardin.� De la po�sie? Non, de la vision, celle de Denis Paquet, charg� de projets en tourisme sportif � l'Office de tourisme de Qu�bec (OTQ). � ses yeux, le 400e anniversaire de la ville ne doit pas servir de pr�texte automatique � des �v�nements � rayonnement international, mais plut�t de laboratoire pour y pratiquer des exp�riences.

Voir la suite. Voir aussi cet autre article du m�me auteur.

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Source: Associated Press (AP) 19 juillet 2006

Voici un autre moyen d'�nergie plus propre que l'essence, et peut-�tre cela r�duira la pollution urbaine.

Le moteur � hydrog�ne est actuellement test� aux �tats-Unis avec des prototypes utilis�s par des services publics tels que la poste am�ricaine. Le b�n�fice � en attendre est �vident dans la perspective d'un p�trole rare et cher mais le d�veloppement de la technologie se heurte encore � des obstacles.

Lorsque Bob Sisk a commenc� � livrer le courrier dans les ann�es 60, on lui a fourni une Jeep de l'arm�e pour faire sa tourn�e dans la banlieue de Washington. Aujourd'hui en fin de carri�re, le postier transporte lettres et colis dans un v�hicule silencieux dont le tuyau d'�chappement �met des gouttes d'eau.

Voir la suite.

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Source: Radio-Canada Qu�bec, 19 juillet 2006

La population invit�e � participer � des fouilles arch�ologiques sur les plaines d'Abraham. � partir de mercredi et pour les quatre prochaines semaines, le public pourra examiner le sol du Cap-aux-Diamants. Ce site a �t� identifi� dans le cadre de l'�tude sur le potentiel arch�ologique des plaines d'Abraham.

Pour l'occasion, la Commission des champs de bataille nationaux a fait appel de l'arch�ologue Philippe Picard. Il dirigera une �quipe de professionnels pour encadrer les b�n�voles, qui participeront activement aux fouilles. Les fouilles se d�roulent sur l'emplacement d'un b�timent militaire anglais construit apr�s la c�l�bre bataille de 1759. On compte y retrouver diff�rents vestiges.

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Source: Radio-Canada (Qu�bec), 17 juillet 2006.

Le bilan provisoire de la 39e �dition du Festival d'�t� de Qu�bec r�jouit les organisateurs. Le soleil ainsi que les festivaliers ont �t� au rendez-vous de ce festival. Selon les organisateurs, 900 000 visiteurs ont foul� les sites durant les 11 jours du festival. Au moins 110 000 laissez-passer ont �t� vendus, selon les premi�res constatations. Un bilan de fr�quentation plus pr�cis sera �tabli � la suite d'une �tude r�alis�e par la firme SOM. (...)

La suite. Voir aussi ce billet.

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Pour faire suite au billet de Carol, ces deux photos...

La premi�re, ci-haut, illustre l'arriv�e au-dessus de Montmagny du premier gros orage affectant Qu�bec en d�but de soir�e; un avant-go�t du d�cha�nement des �l�ments (vents, pluies diluviennes et �clairs incessants: jusqu'� 400/minute en fin de soir�e sur le sud-ouest qu�b�cois, dit-on) qui allait suivre plus tard en causant des d�g�ts, notamment dans le secteur Limoilou (ci-bas, sur Beno�t-IV)...

Voir aussi cet autre article (Cano�) et ce reportage de Radio-Canada portant sur les ravages de cette ligne d'orages d'une rare intensit� sur le sud-ouest du Qu�bec, de m�me que mon dossier illustr� de nombreuses photos dans mon blogue m�t�o.

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Cinquante-neuf commentaires: voil� la surprise qui m'attendait, de retour � la maison quelques jours apr�s la publication de mon billet portant sur la pr�sence des chaises pliantes au Festival d'�t�!

�puis�s d'exprimer vos pours et vos contres sur cette controverse? Maintenant, prenez �a relax, les pieds dans l'eau... et dans les bras d'Omer Simpson! ;-)

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Source: Louis-Guy Lemieux Le Soleil, 17 juillet 2006

Les gens de la r�gion l�appellent, affectueusement, le � vieux � pont de Qu�bec. C�est probablement le manque scandaleux d�entretien qui le fait para�tre plus vieux que son �ge. Le pont cantilever le plus long au monde, avec ses 549 m�tres de port�e libre entre ses piliers principaux, a �t� inaugur�, le 22 ao�t 1919, par le prince de Galles et une belle brochette de notables.

Voir la suite. Et aussi cet autre article de l'auteur.

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Dans une rue pas trop �clair�...

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Ville ou j'ai v�cu 20 ans de ma vie...

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...Dans l'arri�re cour de mon lieu de r�sidence...

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Source: Dominic Fug�re Journal de Montr�al, 17 juillet 2006

Crois� dans le paddock du Grand Prix de France, le PDG de Red Bull, Dietrich Mateschitz, a confirm� au Journal de Montr�al que son entreprise avait amorc� le travail d'exploration pour l'engagement de Red Bull avec une �quipe de la LNH, et ce, potentiellement � Qu�bec.

Voir la suite.

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Source: Cano�/LCN, 15 juillet 2006

Les quelque 125 millim�tres de pluie qui sont tomb�s sur Qu�bec le 26 septembre 2005 n'ont pas fait qu'inonder des sous-sols de r�sidences. Plusieurs infrastructures de route ont c�d� sous la pression caus�e par les cours d'eau gonfl�s. C'est le cas d'un ponceau situ� sous la rue Jean-Gauvin travers� par la rivi�re Cap-Rouge. L'effondrement de l'infrastructure a forc� la fermeture temporairement de la route.

Voir la suite.

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Source: Marilou S�guin Le Journal de Montr�al, 15 juillet 2006

Nous avons d�ja le traversier, mais cela pourrait �tre int�ressant dans des r�gions tel que Cap-Rouge et St-Romuald...

Un service de transport en commun fluvial entre Montr�al et Longueuil pourrait voir le jour d'ici l'�t� prochain. C'est l'ambitieux projet annonc� hier par Navettes maritimes du Saint-Laurent, qui offre d�j� un service de navettes r�cr�otouristique entre la m�tropole et la Rive-Sud durant la saison estivale.

�Advenant que nos deux navettes fonctionnent � plein r�gime, il devient possible d'envisager quatre d�parts � l'heure en heures de pointe, soit potentiellement 1 200 passagers � l'heure�, dit Yves Hamel, pr�sident des Navettes maritimes du Saint-Laurent et vice-pr�sident des Croisi�res AML. Un projet qui contribuerait � d�sengorger les axes routiers et les ponts reliant Montr�al � la Rive-Sud selon le promoteur.

Voir la suite.

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Belle fleur de Pivoine dans un parterre en juillet.

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Source: Radio-Canada Qu�bec, 14 juillet 2006

Tant qu'� parler de l'industrie du film. (voir ce billet.)

Un important tournage commence dans la capitale en fin de semaine. D�s dimanche, la taverne Jos Dion sera transform�e en plateau de tournage pour le film La belle empoisonneuse de Richard Jutras. Cette bonne nouvelle implique cependant des concessions salariales de la part des 45 artisans de Qu�bec qui participeront au projet, comme l'indique le producteur Yves Fortin.

� J'ai pu r�unir suffisamment de fonds pour d�clencher la production, avec le support �norme qui est venu des travailleurs eux-m�mes, qui ont accept� de collaborer au financement du film en y laissant une part importante de leur salaire �, explique-t-il.

Comme plusieurs, les producteurs de La belle empoisonneuse n'ont eu droit � aucun financement de la part de T�l�film Canada. Ils vont de l'avant avec un budget de 2 millions de dollars.

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Cette fois, des photos prises sur la rue Saint-Jean et � la Place D'Youville (10 photos, dont quatre de G�rald Gobeil) illustrant entre autres des spectacles donn�s par Garou, Les Batinses et Monsieur Lambert et le B�bert Orchestra!

Et ces images de G�rald Gobeil:

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Source: Fran�ois Cattapan Qu�bec Hebdo, 13 juillet 2006

Contrairement � ce qui avait �t� pressenti par les amis et animaliers du Jardin zoologique du Qu�bec � Charlesbourg, il semble que la direction de l'�tablissement soit d�termin�e � faire maison nette dans les plus brefs d�lais et sans �gard aux impacts potentiels de la canicule sur les animaux.

Voir la suite. Voir autre billet. Et celui-ci.

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Voici donc l'�tat du chantier "phase III", un mois apr�s mon premier reportage [billet]. Les changements les plus spectaculaires, pour l'instant, s'observent plus � l'ouest.

Dans l'ordre:
Photo 1: Vue en direction SO � partir du pont Lavigueur;
Photo 2: Vue en direction N � partir du pont de l'autoroute Laurentienne;
Photo 3: Vue vers le S � partir du pont de l'autoroute Laurentienne;
Photo 4: Vue vers le N � partir du secteur de la rue P�re-Lacombe;
Photo 5: Vue en direction NO � partir du secteur de la rue P�re-Lacombe;
Photo 6: Vue en direction O � aprtir du secteur de la rue P�re-Lacombe;
Photo 7: Vue en direction O � partir du secteur de l'h�pital du Sacr�-Coeur;
Photo 8: Vue en direction O, pr�s du pont Marie-de-l'Incarnation (arri�re-plan: HLM Marie-de-l'Incarnation);
Photo 9: Vue vers le NE � partir du pont Marie-de-l'Incarnation.

Voir aussi cet autre billet (phase IV).

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Sur le site des affaires municipales et r�gions dans la section "Infrastructures Fonds municipal vert" on apprend qu'il y a un projet d'�tude en cour sur la possibilit� de r�duire les �missions de CO2. Si cela pouvais r�duire la pollution urbaine, bien bravo !

Les incin�rateurs de la Ville de Qu�bec produisent entre 250 000 et 300 000 tonnes m�triques de CO2, un gaz � effet de serre, par ann�e. L'�tude examinera un processus de recyclage enzymatique en vue de r�duire la quantit� de CO2 produite. Les bior�acteurs enzymatiques ont la capacit� de convertir le CO2 en bicarbonate, un produit sans danger pour l'environnement ayant par ailleurs une valeur commerciale int�ressante. L'�tude cernera les exigences techniques, �valuera la viabilit� �conomique et englobera �galement un essai sur place du processus de recyclage enzymatique.

Pour l'explication qu'est ce qu'une enzyme, voir celien.

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C'est les vacances, et je d�sirais aborder un sujet moins "urbain", peut-�tre, mais qui fait toujours jaser � ce temps-ci de l'ann�e: la politique des chaises au Festival d'�t�. Je me suis donc donn� la permission de reproduire ce bijou de lettre publi�e ce matin! ;-)

�galit� entre g�n�rations (Marc-Andr� Turcotte, Carrefour des lecteur du Soleil, 13 juillet 2006.)

Vendredi, au Festival d'�t� de Qu�bec, le spectacle de Gilles Vigneault fut entach� par l'intransigeance de certains de ses spectateurs se croyant tout acquis.

Arriv� tr�s t�t afin de conqu�rir l'endroit avec son arm�e de chaises pliantes et de couvertures �tendues sur le sol, une vague d�sagr�able de boomers et d'�ge d'or a d�ferl� sur le Pigeonnier. Refusant � tout pris de c�der un pouce de leur territoire acquis � la sueur de leur front, ces gens sont all�s jusqu'� demander aux autres personnes de s'asseoir afin de ne pas cacher leur pr�cieuses vue � la baisse.

Ces gens ont d�montr� avec brio que, malgr� le fait qu'ils peuvent pr�tendre � tort et � travers que les jeunes manquent de politesse, le manque de savoir-vivre est universel et m�me assez r�pandu chez cette g�n�ration qui se croit tout permis. J'esp�re fortement que le Festival modifiera sa politique sur l'utilisation de chaises dans ses spectacles, quitte � en limiter l'utilisation, car leur pr�sence a vraiment ruin� l'exp�rience de ce que devrait �tre un spectacle de Gilles Vigneault. L'oeuvre de Vigneault aurait d� profiter � plus de gens. Heureusement, il semble que les fans de musique du monde aient l'esprit plus ouvert. Merci Amadou et Marian pour une soir�e endiabl�e � place D'Youville! Vive l'�galit� entre les peuples, pouquoi pas entre les g�n�rations...

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Petite photographie, annon�ant la p�riode tr�s prochaine des vacances de la construction, ou pour donner le go�t d'�tre en vacance...

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Source: Marc Allard Le Soleil, 12 juillet 2006

Aller-retour, 57 minutes. Entre la maison et le boulot, c�est le temps moyen que passent chaque jour les travailleurs de la capitale sur les routes. Une hausse de 10 minutes par rapport � 1992, signale Statistique Canada.

Pas de panique, la tendance s�observe dans cinq des six plus grandes r�gions urbaines du pays. Qu�bec se classe d�ailleurs en dessous de la moyenne canadienne, qui s��l�ve � 63 minutes par jour � ce qui �quivaut � 12 jours par ann�e. Les augmentations ont �t� particuli�rement importantes pour les r�sidants de Calgary et de Montr�al, o� les allers-retours prennent respectivement 66 et 76 minutes.

Merci � Jean Cazes pour les photographies.

Pourtant, la distance moyenne qui s�pare le lieu de r�sidence et le lieu de travail des Canadiens n�a pas beaucoup augment� ces derni�res ann�es. Entre 1996 et 2001, elle a allong� de 7 � 7,2 km. � Ce qui est assez marginal �, soutient Martin Turcotte, de Satistique Canada.

Alors, comment l�expliquer ? D�une part, la croissance de la population a �largi le bassin des voyageurs, explique M. Turcotte. D�autre part, la baisse du taux de ch�mage � de 11 %, en 1992, il est pass� � 6,8 % � a accru le nombre de travailleurs. R�sultat : � un accroissement de la congestion sur les routes �, r�sume-t-il.

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Pendant que la phase III des travaux de renaturalisation des berges de la Saint-Charles [billet] avance � grands pas du c�t� du pont Marie-de-l�Incarnation (arri�re-plan), plus � l�ouest, pr�s du pont Scott, les salicaires font passablement bien "la job" dans l'attente des pelles m�caniques!

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Profitant de mon passage dans le secteur de Pointe-Sainte-Foy, o� je pr�pare un reportage photo sur les nouveaux chantiers qui pullulent dans le secteur, j'ai pris cette image classique, certes, mais toujours int�ressante d'une fa�ade dor�e de l'�difice Marly (ici, sur fond de ciel orageux).

L'immeuble de six �tages, discr�tement nich� au coeur de bois�s am�nag�s et qui abrite depuis la fin des ann�es 70 le si�ge du minist�re du Revenu du Qu�bec, d�passe dit-on en superficie l'�difice Marie-Guyard (Complexe G). Ce serait donc le plus imposant immeuble � bureaux de Qu�bec.

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Source: Jean LaRoche Le Journal de Qu�bec, 12 juillet 2006

�On ne commencera pas � d�b�tir l'Agora pour la reconstruire ailleurs si on n'a pas un site qui fait consensus.� Voil� ce qu'a lanc� le ministre f�d�ral responsable des r�gions, Jean-Pierre Blackburn, hier, sur les ondes de CIMI-FM.

Alors que tout le monde pensait que le dossier de l'Agora �tait r�gl� une fois pour toutes et que l'�quipement d�m�nagerait sur les Plaines ou � la baie de Beauport, M. Blackburn a affirm� ne pas vouloir se retrouver avec le m�me probl�me sur les bras d'ici quelques ann�es.

Voir la suite. Boir aussi ce billet.

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Source: Radio-Canada Qu�bec, 12 juillet 2006

La plage Jacques-Cartier ne serait pas aussi propre � la baignade que ne le croit la mairesse de Qu�bec, Andr�e Boucher.

� la demande du Journal de Qu�bec, des analyses d'eau r�alis�es vendredi dernier par les Laboratoires Bodycote, une entreprise sp�cialis�e en analyse de l'eau, r�v�lent une forte pollution, avec une concentration de 290 coliformes par 100 ml. Normalement, la baignade peut �tre autoris�e avec une concentration inf�rieure � 100 coliformes par 100 ml.

En d�pit de ces r�sultats alarmants, la mairesse Boucher esp�re quand m�me rendre la baignade possible � la plage Jacques-Cartier, d�s cet �t�.

Toutefois, le directeur g�n�ral adjoint au d�veloppement durable � la ville, Serge Viau, n'est pas du m�me avis. Il souligne que les bassins de r�tention, qui sont cens�s corriger une grande partie de la situation, sont en fonction depuis moins d'un an et qu'il faudra attendre quelques ann�es de relev�s avant d'�tablir une sorte de mod�le pr�visionnel, qui permettrait de d�terminer les p�riodes de baignade s�curitaires.

M. Viau estime peu probable que la baignade � la plage Jacques-Cartier soit autoris�e avant 2008. La baie de Beauport et le bassin Louise ont �t� jug�s propres � la baignade, mais M. Viau estime que les conditions y sont variables.

Voir aussi ce billet.

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Il s'agit du couvent des Soeurs Servantes du Saint-Coeur de Marie, sis au 598, 8e Avenue. Dans le Publi-immobilier Qu�bec de juillet 2006, on sugg�re diverses vocations (foyer pour personnes �g�es, r�sidence pour �tudiants, centre de formation, bureaux) pour cet immeuble d'une valeur � neuf de plus de 20 M$.

Les d�tails. Voir aussi ce billet.

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Source: site internet Domaine du Diamant

Ce projet de condos prend son emprise sur la rue du Carr� du Jaspe � Charlesbourg, tout pr�s de l'avenue des Diamants et de la 80e rue.

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Source: Radio-Canada Qu�bec, 3 juillet 2006

La ville de Qu�bec s'impose de plus en plus comme un endroit id�al pour la tenue d'�v�nements dans le sport cycliste. Avec le V�lirium, le raid Pierre Harvey en v�lo de montagne, une �tape du Tour de Beauce et les Championnats canadiens sur route qui viennent de se terminer, Qu�bec devient incontestablement une ville de v�lo.

Voir la suite.

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Les panneaux annon�ant le "Port-Royal h�tel & suites" sont de retour aux abords du stationnement du l'Inox! Pr�sent� sous une forme diff�rente, ce projet a fait l'objet d'un billet de Francis Vachon dans Qu�bec Urbain en juillet 2004.

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Source: C�dric B�langer Le Journal de Qu�bec, 11 juillet 2006

Action promotion Grande All�e, un regroupement de commer�ants de la Grande All�e, est totalement en d�saccord avec Antoine X�nopoulos, propri�taire du Louis-H�bert, qui s'est plaint samedi... que la Grande All�e soit trop festive et qu'elle rev�te une allure de taverne � ciel ouvert.

�Nous voulons cr�er un lieu de rassemblement agr�able o� il fait bon vivre�, a expliqu� Richard Samson, directeur g�n�ral de l'association. Inspir� par les Champs-�lys�es, c'est une ambiance dynamique et vivante que d�sire cr�er ce regroupement.

Voir la suite. Voir ce billet.

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Source: Radio-Canada. Maisonneuve en direct

Au Qu�bec, il sera bient�t possible d'obtenir un pr�t hypoth�caire dont le remboursement pourra �tre r�parti sur une p�riode de 40 ans. Ce produit financier, d�j� offert aux �tats-Unis et en Europe, permettra � des acheteurs moins fortun�s d'avoir acc�s plus rapidement � une propri�t�.

Cette mesure ne fait toutefois pas l'unanimit�. Une hypoth�que avec une telle �ch�ance signifie d'�normes paiements d'int�r�ts. Toutefois, les soci�t�s qui comptent offrir un tel service ne s'attendent pas n�cessairement � ce que les propri�taires conservent ce terme.

Voir la suite. Dans le bas de la page il y a quelques commentaires int�ressants.

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Source: Pierre-Andr� Normandin Le Soleil, 11 juillet 2006

Je sais que c'est un peu hors de Qu�bec, probablement un autre exemple du pas dans ma cour.

Les personnes �g�es qui r�vaient de vivre leurs vieux jours sur l��le d�Orl�ans dans une habitation � loyer modique devront en faire leur deuil. Les citoyens de Saint-Laurent ont rejet� � 60 % la construction du b�timent de 20 logements. Quatre cents personnes ont vot� non, contre 272 oui. La municipalit� refusera donc de c�der aux promoteurs un terrain pour la construction de la Villa des Bosquets et n�octroiera aucun financement.

� Le projet tombe � l�eau �, a r�sum� le responsable Onil Bolduc, visiblement d��u. � C�est compl�tement mort pour l�instant � Saint-Laurent. Peut-�tre les unit�s seront-elles r�parties ailleurs sur l��le� On verra quand le conseil d�administration se r�unira. �

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Vue de la ville de Qu�bec prise � partir du Gros Hector, angle Pierre-Bertrand

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Source: Radio-Canada Qu�bec, 11 juillet 2006

Apr�s le fort boom immobilier des derni�res ann�es, le ralentissement se poursuit dans la construction r�sidentielle � Qu�bec. Selon les donn�es de la Soci�t� canadienne d'hypoth�ques et de logement (SCHL), le nombre de mises en chantier a connu un recul pour un cinqui�me trimestre cons�cutif dans la grande r�gion de la capitale.

Entre avril et juin, la baisse a �t� de 10 %, avec 1713 unit�s mises en chantier. Tous les types d'habitations sont touch�s, mais plus particuli�rement les logements en copropri�t�s, o� la baisse est de 26 %. Selon l'analyste principal de march� � la SCHL � Qu�bec, Jean-Fran�ois Dion, cela t�moigne d'un meilleur �quilibre entre l'offre et la demande. Toutefois, il ne pr�voit pas un fl�chissement des prix au cours de deux ou trois prochaines ann�es. Il explique d'ailleurs que les prix continuent d'augmenter, mais � un rythme plus lent.

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Source: Sara Champagne La Presse, 8 juillet 2006

Je remarque que la plupart du temps nous sommes indiff�rents des coupes d'arbres urbains que nous voyons parfois dans nos quartiers. Exemple de notre l�thargie, de notre peu d'int�r�t pour notre environnement... Cette article m'interpelle sur notre r�le de citoyen, de notre capacit� � faire changer les choses, m�me minime soit-il. Voir aussi ces deux
billets

Dans l'espoir de sauver d'un abattage certain une section de for�t urbaine, une Montr�alaise menace de s'encha�ner � un arbre et d'entamer une gr�ve de la faim. Et Sophia Kantas ne plaisante pas. La r�sidante de la rue Goyer, dans C�te-des-Neiges-Notre-Dame-de-Gr�ce, s'explique mal comment son arrondissement a pu accorder un permis de coupe � son voisin de cour arri�re. Surtout � l'heure o� Montr�al se targue d'avoir une Politique de l'arbre, souligne-t-elle.

Voir la suite.

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Source: Fr�d�rick Masson Qu�bec Hebdo, 10 juillet 2006

Les travaux de r�fection sont officiellement lanc�s au pavillon de la Jeunesse d�ExpoCit�. La pellet�e de terre protocolaire a �t� effectu�e il y a quelques jours en pr�sence des nombreux partenaires du projet. �valu�s � 12,9 M$, les travaux permettront � ExpoCit� de compter sur une infrastructure multifonctionnelle d'une capacit� de 5 000 personnes pour la tenue d'�v�nements sportifs et de spectacles.

Voir la suite.

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Voici les Terrasses du Baron rouge, �rig�es ces derniers mois sur une partie du site occup� par le d�funt et imposant restaurant du m�me nom, � l'est du boulevard Fran�ois-de-Laval. En arri�re-plan, l'immeuble � condos Le Marinier.

Comme sur le vaste terrain de la cimenterie Saint-Laurent [billet], des "visionnaires" ont d�j� projet� de construire en ces lieux offrant une vue magnifique sur le fleuve un complexe d'habitations � haute densit� inspir� des Jardins M�rici...

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Source: C�cile Gladel, La Presse, 10 juillet 2006.

"V�lo, s�curit�, transpiration...", des sujets qui ont d�j� soulev� des vagues sur Qu�bec Urbain, notamment dans ce billet...

Plus que le mot "sexy", deux paragraphes de cet article ont particuli�rement retenu mon attention: j'ai mis en caract�re gras certains passages que je trouve tout � fait pertinents, r�alistes, et qui devraient encourager l'utilisation du v�lo comme v�hicule en ville, pour le bienfait de notre sant� individuelle et collective!

Sexy, le casque et la sueur?

La perspective de transpirer peut rebuter certains cyclistes soucieux de leur allure. Ils doivent se rappeler que le cyclisme urbain n'est pas du cyclisme de comp�tition, mais un moyen de transport. G�n�ralement, la vitesse des d�placements en ville varie de 7 � 8km/h environ. Rien pour suer � grosses gouttes. �La transpiration n'est pas un probl�me si on ne roule pas en fou�, constate Patrick Howe, directeur des communications de V�lo-Qu�bec. On copie donc les cyclistes hollandais et on ralentit! La cycliste Marie-Laure Landais a un autre conseil. �� force de me d�placer en ville, je connais les rues plus faciles, qui ont des c�tes moins prononc�es.�

Et le casque? Qui peut avoir l'air sexy avec un tel couvre-chef? Rappelons qu'il n'est pas obligatoire. Mais s�curit� et rectitude politique obligent, il serait malvenu de recommander de s'en d�faire. Cela reste donc un choix personnel. Un accessoire dont les designers ne se sont pas encore empar�s. �Avant de porter le casque, on doit respecter le Code de la route, rappelle Patrick Howe. En Europe, on reconna�t les cyclistes nord-am�ricains, car ce sont les seuls qui portent un casque. Le casque n'a pas am�lior� le bilan routier. Ce qui l'am�liore, c'est le respect de la signalisation et la vitesse des automobilistes. �

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Source: Fr�d�rick Masson Qu�bec Hebdo, 10 juillet 2006

Jusqu�au 5 septembre prochain, l��glise Saint-Jean-Baptiste est l�h�te de l�exposition �Du bois � la brique : l'architecture du Faubourg Saint-Jean�. � cette occasion, le Comit� du patrimoine de Saint-Jean-Baptiste invite les passionn�s d�histoire et le public en g�n�ral � d�couvrir l'architecture de l'�glise et du quartier. De plus, il sera donn� d�en apprendre davantage sur le d�veloppement urbain du secteur, d�hier � aujourd'hui.

Pour plus d�informations :
www.patrimoine-religieux.com.

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Voici quelques sc�nes immortalis�es sur les sites de la Place D'Youville et des Plaines (9 photos) o� j'ai assist�, vendredi et samedi, aux performances de Quadro Nuevo, Twisted Sisters et Scorpions!

Vous avez des "perles" � proposer pour Qu�bec Urbain (photos pas trop lourdes � t�l�charger, id�alement de format 800X600) couvrant les activit�s, les spectacles ou l'ambiance en cours au Festival d'�t�? N'h�sitez pas � nous les faire parvenir!

Voir cet autre billet.

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Source: Annie Saint-Pierre Le Journal de Qu�bec, 10 juillet 2006

Entreprise il y a cinq ans, la revitalisation du centre-ville de Qu�bec ne r�ussit, pour l'instant, qu'� une poign�e de promoteurs immobiliers qui dominent le secteur. C'est le cas du groupe immobilier GM, repr�sent� par le couple Genevi�ve Marcon et Jean Campeau, qui poss�de une vingtaine de b�timents pratiquement tous align�s sur la rue Saint-Joseph, entre Dorchester et les Fa�ades de la gare, o� prend fin l'ancien mail Saint-Roch.

Voir la suite.
Aussi en compl�ment d'informations, de la m�me auteure: Des investissements de 385 millions de dollars.
Saint-Roch: le commerce fleurit ... mais la criminalit� demeure. Et enfin. Criminalit� au centre-ville �Pas le Bronx�

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Source: Pierre-Andr� Normandin Le Soleil, 9 juillet 2006

C'est une probl�matique de plus en plus pr�sente depuis nombres d'ann�es. Ce ph�nom�ne se vit non seulement dans les grandes villes, mais aussi dans les villages.

Question de relancer l�int�r�t pour sa sauvegarde, l��glise Saint-Roch livre ses secrets dans un tout nouvel audioguide. En lan�ant hier cet outil devant faciliter la visite du b�timent, les instigateurs du projet esp�rent ainsi int�resser le grand public � la protection du patrimoine religieux... et assurer sa survie.

� En juillet dernier seulement, on a re�u 550 visiteurs �, assure le cur� R�al Grenier. Mais comme les curieux peuvent profiter des lumi�res d�un guide seulement l��t�, la paroisse devait trouver un moyen d�exploiter le potentiel d�attraction du b�timent.

Inspir�e par la cath�drale Notre-Dame de Paris, l�architecture de l��glise Saint-Roch attire de nombreux visiteurs. Tout comme ses vitraux color�s, qui d�peignent l�histoire du Nouveau Testament en s�appuyant sur l�Ancien.

Voir aussi ce billet.

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Source: Jean-Nicolas Patoine Le Soleil, 7 juillet 2006

Petite oasis au c�ur de la Basse-Ville, l�avenue Simon-Napol�on-Parent relie le quartier Saint-Sauveur et le parc Victoria. Comme pour annoncer qu�un espace vert approche, cette chic avenue arbore fi�rement de majestueux feuillus qui jalonnent la voie et transportent le passant sous d�autres cieux. Visite d�un petit microcosme urbain.

� J�habite sur l�une des plus belles rues de Qu�bec �, dit Atshuku� Boudreault, 27 ans. Ce qui la rend si magnifique ? Les grands arbres qui la bordent sur toute sa longueur, des trottoirs larges, des b�timents bien conserv�s, qui rappellent parfois La Nouvelle-Orl�ans.

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Source: site internet Constrobourg

Condos situ�s pr�s du Centre d'Affaires du Mesnil.

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Source: Karine Gagnon Journal de Qu�bec, 8 juillet 2006

Des restaurateurs se d�solent des airs de �taverne � ciel ouvert� que rev�t la Grande All�e depuis que la Ville de Qu�bec en autorise la fermeture � l'occasion d'�v�nements pendant l'�t�. �Avant, il y avait une grande fiert� lorsqu'on parlait d'aller sur la Grande All�e. Aujourd'hui, c'est pour venir prendre un coup�, d�plore Antoine X�nopoulos, propri�taire de l'Auberge Louis-H�bert.

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Source: Fran�ois Cattapan Qu�bec Hebdo, 8 juillet 2006

Si tous le monde �tait dans cette optique de cohabitation, plusieurs projets de ce genre pourraient voir le jour, quelque chose de diff�rent que les "fameux" condos, bref � une �chelle plus humaines. Voir aussi ce billet.

Architecte de profession et entrepreneure dans l'�me, Suzanne Thibeault a fait preuve d'un altruisme et d'un esprit imaginatif hors du commun en concevant un d�veloppement immobilier locatif, � m�me le site d'une propri�t� ancestrale qu'elle habite avec les membres de sa famille qui ont tous contribu� � divers degr�s � ce projet r�sidentiel unique implant� � Saint-Augustin.

Voir la suite.

Voir aussi ce lien.

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Source: Radio-Canada Qu�bec, 8 juillet 2006

� Qu�bec, le projet de minizoo pourrait se concr�tiser d'ici le mois d'ao�t, selon le ministre responsable de la Soci�t� des �tablissements de plein air du Qu�bec, Claude B�chard.

Pr�f�rant parler d'un parc �cologique, le ministre lib�ral explique que certains d�tails restent encore � pr�ciser avant d'ouvrir ces installations, qui seront �rig�es sur les cendres du Zoo de Qu�bec: � Ce qu'on veut c'est qu'il y ait de l'activit�. Rendre les jardins accessibles � la population le plus rapidement possible. Nous assurer avec l'�cole d'horticulture que la mise en valeur des jardins puisse continuer de se faire. Et on envisage de d�m�nager tous les organismes s'occupant de faune pr�s des �quipements. �

Le projet de minizoo vise � r�cup�rer la serre indo-australienne et certains animaux du Zoo de Qu�bec. La serre abriterait de petits oiseaux, de petits mammif�res et des reptiles, et serait ouverte � l'ann�e.

Le co�t d'entr�e devrait �tre fix� � 6 $.

Voir autre billet.

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En parall�le au premier reportage concernant la phase III de ce projet majeur [billet], voici, toujours de l'est vers l'ouest, l'�tat des travaux en cours entre le barrage Samson et le secteur d�j� renaturalis� du parc Cartier-Br�beuf. Cette section "b�tonn�e" couvre 1,6 km.

Dans l'ordre:
Photo 1: Vue en direction NE � partir du pont Dorchester (travaux en attente);
Photo 2: Vue en direction SO � partir du pont Dorchester;
Photo 3: Vue vers le SE � partir du pont Drouin;
Photo 4: Vue vers le NO � partir du pont Drouin.

Comme pour la phase III, je souhaite effectuer d'autres reportages photo � intervale r�gulier sur ce segment riverain de la rivi�re Saint-Charles d'ici la fin du chantier pr�vue pour cet automne.

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Source: Groupe immobilier Fortin

D�veloppement Groupe Alta, jusqu'a 300 000 p.c. Haute technologie.
Je n'en sais pas plus pour l'instant.

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Source: Isabelle Mathieu Le Soleil, 6 juillet 2006

Le parc Cartier-Br�beuf, un lieu fondateur du Canada, a un avenir bien modeste � en croire le plan de d�veloppement du f�d�ral pour les 15 prochaines ann�es. � l�aube des F�tes du 400e, aucun budget n�est allou� pour reconstruire les b�timents v�tustes.

Ouvertes au public en 1972, les infrastructures d�accueil du parc Cartier-Br�beuf dans Limoilou, sur les berges de la rivi�re Saint-Charles, n�ont jamais �t� r�nov�es et ont atteint depuis longtemps la limite de leur dur�e de vie utile.

Le centre d�interpr�tation est d�suet, de l�aveu m�me du gestionnaire de l�endroit, Parcs Canada, et ses modestes expositions ne servent plus aux guides-animateurs.

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Le Parc de la Chute-Montmorency fera l'objet, au cours des 18 prochains mois, d'un important projet de mise en lumi�re �valu� � 1,1 M$.

Ce projet, dont l'activation s'ins�rera dans le cadre des f�tes du 400e anniversaire de Qu�bec en 2008, a �t� rendu public ce matin.

Le concept de mise en lumi�re pr�sent� aujourd'hui a �t� r�alis� par le concepteur lumi�re Guy Simard, de la Commission de la capitale nationale du Qu�bec, pour le compte de la S�paq. Le projet de Monsieur Simard table sur l'escarpement de la chute pour constituer un �v�nement lumi�re homog�ne, compatible avec l'�chelle des lieux et avec l'importance strat�gique de cette porte d'entr�e de la capitale. Il met �galement en valeur des ph�nom�nes g�ologiques, tel le choc de la plaque lithosph�rique appalachienne avec le bouclier canadien. Il marque, en outre, le contraste entre l'immuabilit� de la falaise et le mouvement perp�tuel de la chute; � cette fin, le traitement lumi�re s'av�re plus statique sur la falaise et plus dynamique sur la chute et ses embruns. Enfin, l'installation d'une r�gie en contrebas permettra d'animer la chute et son pain de glace hivernal au moyen d'un faisceau de rayons multicolores.

Un rendu du projet est disponible en version PDF

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Source: Julie Lemieux, Le Soleil, 6 juillet 2006.

Dur coup pour la capitale. D�sillusionn� par le syst�me, Robert Lepage ne veut plus tourner de films au Qu�bec et ferme sa bo�te de production cin�matographique, Ex �quo, qui avait pignon sur rue dans la capitale. � Si je veux r�aliser ou sc�nariser, il faut que j�aille ailleurs. C�est ce qu�on me dit �, soutient-il.

La suite. Voir aussi ce billet.

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Apr�s Droit de Parole [billet], c'est maintenant au tour du journal militant de la haute-ville, L'Infobourg, de se doter d'une "visibilit� web", ma foi, des plus int�ressantes � consulter!

Qu�bec, 6 juillet 2006 � � Avez-vous un site web? � Combien de fois avons-nous entendu cette question ? Que ce soit des r�sident-e-s qui veulent en savoir plus sur leur comit� de citoyen-ne-s, des �tudiant-e-s qui font de la recherche, des fonctionnaires en manque d�inspiration, des politicien-ne-s en campagne, nos bailleurs de fonds ou m�me des journalistes, il semble que tout le monde en vienne � poser la question fatidique. Et bien maintenant oui : le Comit� populaire Saint-Jean-Baptiste a depuis quelques jours un site web. Tout ce que vous avez toujours voulu savoir sur l�organisme et le quartier Saint-Jean-Baptiste est dor�navant accessible au www.compop.net.

Bien plus qu�une vitrine

Au Comit� populaire nous n�avons rien � vendre mais beaucoup � dire ! Trop de sites web ne sont qu�une simple vitrine n�offrant gu�re plus qu�une version �lectronique du d�pliant ou du catalogue du propri�taire, ce ne sera pas notre cas... Nous nous sommes plut�t inspir� de ce que le web militant fait de mieux et nous avons cr�� un portail riche en contenu, rassemblant l�essentiel de ce que nous produisons comme information. Outre les documents de base sur l�organisme, les internautes peuvent d�or et d�j� trouver sur notre site une quantit� impressionante d�articles de l�Infobourg �notre journal de quartier�, de documents d�analyse, de communiqu�s, de photos et de tracts. Pr�s de 170 pages accessibles en tout, et �a ne fait que commencer ! Nous esp�rons qu�� terme, le site devienne un carrefour d�information et de r�sistance.

100% communautaire

Le site web du Comit� populaire a enti�rement �t� r�alis� � l�interne, par la coordination de l�organisme, il s�agit donc d�une r�alisation 100% communautaire. Pour ce faire, nous avons utilis� les ressources d�velopp�s par la communaut� du web alternatif. Notre site est h�berg� par Koumbit, un OSBL montr�alais qui se donne pour mission de favoriser l'appropriation de l'informatique libre et de d�velopper l'autonomie technologique des groupes sociaux qu�b�cois. Il a �t� mont� en utilisant Drupal, un syst�me de gestion de contenu a orientation communautaire qui a fait ses preuves dans le monde militant.

Cette orientation en faveur du logiciel libre et du web alternatif n�est pas � priori id�ologique. Nous nous sommes tourn�s vers ces solutions parce qu�elles r�pondaient � nos besoins : accessibilit�, facilit� d�utilisation et quasi-gratuit�. Nous pouvons t�moigner de la qualit� des outils d�velopp� par Koumbit et Drupal, puisque, m�me si nous ne sommes pas des technicien-ne-s informatiques chevronn�-e-s (loin de l� !), nous avons r�ussi � monter notre site de A � Z en n�utilisant que les manuels en ligne de ces deux groupes. � notre grande surprise : �a marche ! Il y a une vie apr�s Microsoft !

� venir sur www.compop.net :

La programmation de la 16�me F�te du faubourg (qui se tiendra le 22 juillet) vient d��tre ajout�e au site web. Dans la semaine du 17 juillet, l��dition estivale du journal l�Infobourg sera �galement mise en ligne.

Comit� populaire Saint-Jean-Baptiste
780, rue Sainte-Claire
Qu�bec, G1R 5B9
T�l�phone: 522-0454
T�l�copieur: 522-0959

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O� suis-je ?

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... et elle n'est pas la seule, dans Limoilou! La nature argileuse du sol pourrait expliquer une telle inclinaison ou le "jeu" qu'on observe un peu partout dans la structure de plusieurs vieux b�timents de la basse-ville, � l'exemple de ce duplex, sur la 4e Avenue.

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Source: Marianne White Le Soleil, 29 juin 2006

J'avais remarqu� le ph�nom�ne ici � Qu�bec il y a quelques ann�es, je ne sais si la tendance se maintien, dans tous les domaines des arts, mais concernant les salles de spectacles, il y en a moins de disponible (voir ce billet)
Est ce qu'il manque un �lan... d'ouverture...ou d'enthousiasme ?

Apr�s presque deux ans � mettre en valeur les m�tiers d�art et le design qu�b�cois, �lise Quesnel a d� mettre la cl� dans la porte de la boutique Urbanit�s de la rue Saint-Vallier Est, d�but juin. � Je ne pouvais plus continuer � la faire vivre �, raconte-t-elle avec une pointe de tristesse.

Quelques mois plus t�t, c�est Louise �mond qui mettait fin aux activit�s de K�ramos, une vitrine pour les c�ramistes d�ici. Au d�but de l�ann�e, la boutique gourmande Terre et mer, de la chef et c�ramiste Marie-Lucie Cr�peau, a �galement cess� ses activit�s.

Voir la suite.

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Source: Radio-Canada Qu�bec, 6 juillet 2006

L'Universit� Laval entreprend une autre �tape vers la cr�ation d'un supermarch�-�cole. Un appel d'offres est lanc� � quatre distributeurs alimentaires, soit Loblaws-Provigo, M�tro GP, M�tro-Richelieu et Sobeys-IGA. Ils ont jusqu'au 21 ao�t pour soumettre leur proposition.

Un comit� �tudiera les propositions et fera ses recommandations � la direction de l'universit�. Celle-ci s'est engag�e � soumettre le tout au conseil d'administration.

L'Universit� donne donc son aval au projet de la Facult� des sciences de l'agriculture et de l'alimentation. Le controvers� projet servira de centre de recherche et de formation sur les comportements des consommateurs et les strat�gies de mise en march�.

Voir autre billet.

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Source: Isabelle Mathieu, Le Soleil, 5 juillet 2006.

La Ville de Qu�bec sait maintenant quoi faire avec le grand espace vacant sous l�autoroute Dufferin si le minist�re des Transports se d�cide � enlever les bretelles cul-de-sac : un parc familial doubl� d�une skate plaza et d�une galerie d�art en plein air, le tout baptis� Espace Saint-Roch.

Bien connu � cause des imposantes fresques peintes sur les piliers, le futur Espace Saint-Roch sert pr�sentement de stationnement et de terrain de jeux pour les graffiteurs.

La Ville voudrait am�nager ce dernier grand terrain du centre-ville, un espace perdu, qui fait une coupure dans le quartier.

Voir aussi ce reportage photo de "Z�bastien", en date du 24 juin, dans le forum du site SkyscraperPage, de m�me que ce billet.

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Source: Michel B�dard Qu�bec Hebdo, 3 juillet 2006

La Ville de Qu�bec a d�cid� de prot�ger le patrimoine religieux b�ti de 20 �glises catholiques sur les 64 r�pertori�es sur son territoire dont quatre de l�arrondissement de Beauport; celles de la Nativit� de Notre-Dame, Saint-Ignace-de-Loyola, Saint-Louis de Courville et Saint-Gr�goire de Montmorency.

Voir la suite.

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C'est du moins ce que titre en page frontispice Le Carrefour aujourd'hui! Sous la plume de Marie-Claude Landry, on rapporte que d'ici trois mois, "la ville de Qu�bec devrait voir ses premiers films �tre tourn�s dans le studio de cin�ma qui est en voie d'�tre am�nag� dans Limoilou. Ce projet de 1,5M$ est men� par Roger Landry et devrait cr�er 150 emplois."

Ci-haut, l'immeuble retenu pour le projet de studio de cin�ma de 34 000 pieds carr�s, au 1000, boulevard des Capucins, o� les travaux, dit-on, auraient d�but�s.

Voil� plusieurs ann�es que l'on parle de l'implantation d'un "studio de cin�ma" � Qu�bec: ce projet serait-il enfin le "bon"?

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Source: Claude Vaillancourt, Le Soleil, 4 juillet 2006.

Depuis le retour de leur ville � l’autonomie, il y a 6 mois, les maires d�fusionnistes de L’Ancienne-Lorette et de Saint-Augustin-de-Desmaures ont bloqu� au conseil d’agglom�ration pr�s du tiers des engagements souhait�s par la Ville de Qu�bec, surtout pour divers travaux sur le territoire de la grande ville.

Les avis d’opposition qu’ils ont enregistr�s aupr�s de la ministre des Affaires municipales, Nathalie Normandeau, ont emp�ch� le bon cheminement de projets totalisant 61 762 550 $. Heureusement, les maires �mile Loranger et Marcel Corriveau sont revenus � quelques reprises sur leurs d�cisions, ramenant ainsi � pr�s de 11,5 millions $ les projets toujours bloqu�s.

Les sinistr�s des importantes inondations de septembre [billet] sont du nombre des malchanceux qui voient retard�es les interventions n�cessaires � la r�fection, temporaire ou permanente, de certains ouvrages endommag�s par les crues. L’administration Boucher avait r�serv� 3 millions $ � ce chapitre.

En compl�ment d'informations, du m�me auteur: Loranger garde sa biblioth�que ferm�e aux gens de Qu�bec et Les travaux routiers �copent. Voir aussi ce billet.

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Jouissant d'un grand succ�s depuis 2002, Paris-Plage aurait retenu l'attention de Mme Boucher lors de son p�riple en France. Commentaire personnel: il aurait �t� pas mal plus int�ressant que les m�dias �laborent sur cette initiative de la Ville Lumi�re (une id�e � d�velopper pour la plage Jacques-Cartier ou le bassin Louise, notamment?) plut�t que de s'attarder sur quelque chose d'aussi superficiel que les v�tements de la mairesse (article du Soleil)...

Source: Encyclop�die Wikip�dia.

(...) Chaque ann�e, entre juillet et ao�t, pendant environ 4 � 5 semaines, sur 3,5 km, la voie sur berge rive droite de la Seine et la place de l�H�tel-de-Ville accueillent des activit�s ludiques et sportives, ainsi que des plages de sable et d�herbe, des palmiers... (...)

Les d�tails. Voir aussi cet autre billet.

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�difice Price vu de la Gare du Palais

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Source: Hugo Meunier La Presse, 2 juillet

Quelque chose qui arrivera s�rement ici � Qu�bec durant les d�m�nagements.
D'ailleurs pour avoir �t� t�moin de ce que les gens d�posent parfois sur le bord du chemin.

Est-il possible de se meubler convenablement- et gratuitement- � partir de tout ce que les Montr�alais abandonnent sur les trottoirs de la ville en cette p�riode de d�m�nagement? � bord d'un camion de location, le photographe Robert Skinner, un �d�m�nageur� b�n�vole, Philippe Meunier, et le journaliste Hugo Meunier ont tent� l'exp�rience hier. Les r�sultats se sont av�r�s surprenants.

Voir la suite.

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Source: Pierre Asselin Le Soleil, 1 juillet 2006

Le scolyte europ�en, un insecte vecteur de la maladie hollandaise de l�orme, pourrait �tre en voie de s�implanter � Qu�bec. La Ville et l�Universit� Laval ont commenc� l��t� dernier � suivre la situation de tr�s pr�s.

Voir la suite. Voir autre billet.

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