Archive des billets publi�s en novembre 2006

Face au parc Cartier-Br�beuf, une vue en direction Est par un temps superbe de novembre.

L'aspect de ce paysage "urbain" pourrait radicalement changer, et ce pour plusieurs mois, � l'arriv�e possible de notre premi�re temp�te de neige de l'automne, demain soir...

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Source: Claude Vaillancourt, Le Soleil, 29 novembre 2006.

Bien int�gr� dans un milieu que ch�rissent d�j� les partisans des diff�rentes �quipes du Rouge et Or, le nouveau � Super PEPS � dont la construction est mise de l�avant par la communaut� r�gionale, sera compos� de deux vastes b�timents qu�on �rigera � l�ouest des installations actuelles, a appris Le Soleil. (...)

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Source: Fran�ois Simard, Qu�bec hebdo, 29 novembre 2006.

(...) Environ 150 personnes ont pris part � cette assembl�e qui avait lieu au sous-sol de l��glise Saint-Thomas-d�Aquin.

Avant de donner la parole aux citoyens, Sonia Tremblay, urbaniste � la Ville de Qu�bec, a dress� un bref historique de la Maison Gomin depuis l�inauguration de la prison des femmes en 1931 jusqu�� son acquisition par le promoteur. Elle a aussi expliqu� les deux r�glements qui faisaient l�objet de la consultation et qui, une fois adopt�s par le conseil municipal, paveront la voie � la transformation du b�timent en fun�rarium et � la construction d�un �difice de six �tages comptant une soixantaine de condominiums. (...)

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Source: Mus�e McCord et Archives National du Canada

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Source: Le site de La Grande guignol�e des m�dias.

C'est avec beaucoup de fiert� que nous avons accept� de nous joindre � la cause de La grande guignol�e des m�dias. Cet �v�nement rappelle � tous que les notions d'amour, d'espoir et de partage sont toujours d'actualit�. Le jeudi 7 d�cembre 2006, c'est-�-dire la journ�e de La grande guignol�e des m�dias, sera celle de la solidarit�. Une centaine de m�dias de m�me que plusieurs centaines de b�n�voles s'uniront et ce, partout dans la province, pour amasser des denr�es non p�rissables et des dons en argent dans le but de venir en aide aux plus d�munis. (...)

La suite, incluant les points de collecte (7h � 9h). Aussi, ce dossier.

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Source: Nicolas Houle, Le Soleil, 28 novembre 2006.

� Pourquoi les gens du 400e ne pensent pas aux cr�ateurs de Qu�bec d�abord ? Si on f�tait le 400e de Montr�al, irait-on chercher des cr�ateurs de Toronto pour organiser les festivit�s ? �

Au lendemain de l�annonce des temps forts du 400e , le metteur en sc�ne Fr�d�ric Dubois est inquiet. Celui qui dirige la troupe de th��tre Les Fonds de tiroirs s�explique mal qu�on ne fasse pas davantage appel aux talents de la capitale pour donner vie � la programmation de 2008. (...)

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Lib�rer l'espace public : d�boulonneur de pub et fier de l'�tre. (Source: Radio-Canada, 22 novembre 2006.)

Alex Barret est militant antipublicit�. Selon lui, l�espace public devrait �tre libre de toute sollicitation, de toute privatisation de cet espace. En compagnie d�amis qui partagent ses revendications, il prend d�assaut les panneaux publicitaires pour les d�grader publiquement, en plein jour et � visage d�couvert. (...)

La suite (Christiane Charette). � consulter: le site des D�boulonneurs.

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Source:�ric Morreault, Le Soleil, 28 novembre 2006

Presque chaque semaine, Le Soleil re�oit des commentaires de citoyens outr�s que des commerces � ou leur employeur � jettent aux poubelles quantit�s de mati�res recyclables. Qu�bec �tudie la possibilit� d��tendre la collecte s�lective au secteur industriel, commercial et institutionnel (ICI), mais ce n�est pas �vident.

La question est d�licate. Certains ICI, qui produisent beaucoup, ont d�j� des ententes de r�cup�ration avec le secteur priv�. D�autres sont situ�s loin des � routes � de collectes r�sidentielles. La rentabilit� ne serait donc pas n�cessairement au rendez-vous ou le prix de la collecte serait � ce point dispendieux qu�il d�couragerait les ICI de participer.

En attendant le r�sultat des �tudes sur la question, la Ville propose aux ICI situ�s en zone urbaine de participer, sur une base volontaire, � la collecte s�lective.

Voir aussi ce billet.

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M�me si je ne connais strictement rien au football, je consid�re que cet �v�nement m�rite d'�tre archiv� ici. Alors, bravo!

Source: Radio-Canada (Qu�bec), 28 novembre 2006.

Les joueurs de football du Rouge et Or, vainqueurs de la Coupe Vanier, ont savour� pleinement leur victoire mardi dans la Vieille Capitale.

Les joueurs ont d�fil� sur la Grande All�e, mardi midi, alors que des centaines de partisans �taient venus les saluer. (...)

La suite.

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Source: Radio-Canada Qu�bec, 28 novembre 2006

La Ville de Qu�bec s'appr�te � acheter huit minibus �lectriques pour desservir le Vieux-Qu�bec. Cet achat fait partie d'un plan de 12,5 millions de dollars pour r�duire la circulation motoris�e � l'int�rieur des murs et encourager le transport en commun.

Marc Desrivi�res, directeur des Transports � la Ville de Qu�bec, indique que ces minibus �lectriques circuleront seulement en dehors des heures de pointe. Ils ne sont pas assez spacieux pour subvenir aux besoins lors des p�riodes de grand achalandage.

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Selon toute vraisemblance, ces travaux coincident avec la construction anticip�e de l'une des nouvelles casernes de pompiers de Qu�bec (format pdf).

Voir aussi ce billet.

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Source: Radio-Canada (Qu�bec), 27 novembre 2006.

Laiss�e � l'abandon depuis 15 ans, la Maison Gomin, l'ancienne prison des femmes, s'est trouv� une nouvelle vocation.

Le promoteur, Michel Boutin, qui a acquis cet imposant �difice � l'allure de ch�teau m�di�val voulait en faire un fun�rarium et un cr�matorium, mais devant le toll� suscit� par le cr�matorium, il abandonne cette partie du projet.

Il a aussi r�duit des trois quarts le nombre de copropri�t�s qu'il voulait construire en fa�ade, en bordure de Ren� L�vesque. Il veut maintenant construire une tour d'habitation de six �tages au lieu des quatre tours projet�es au d�part. (...)

La suite. Aussi, ce billet.

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Source: Radio-Canada (Qu�bec), 27 novembre 2006.

� 400 jours du d�but de 2008, la Soci�t� du 400e de Qu�bec a lev� le voile, lundi matin, sur les moments forts de sa programmation.

Les festivit�s vont commencer dans la nuit du 31 d�cembre 2007 au premier janvier 2008 avecun grand spectacle d'ouverture dont la mise en sc�ne a �t� confi�e au com�dien Denis Bouchard. (...)

La suite. Aussi, ce billet.

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Source: Pierre Pelchat, Le Soleil, 24 novembre 2006

Les travaux d�am�nagement de la promenade Samuel-De Champlain le long du boulevard Champlain se d�roulent selon le sc�nario pr�vu au d�part. Le ministre des Transports et responsable de la r�gion de la Capitale-Nationale, Michel Despr�s, s�est r�joui, hier, de l�avancement des travaux � l�int�rieur des
co�ts pr�vus et du respect de l��ch�ancier.

Depuis le d�but du chantier en juin dernier, le tiers du projet de 70 millions $ a �t� compl�t�. Il s�agissait principalement de l�installation de toutes les conduites souterraines et de la reconstruction du boulevard sur une distance de 2,5 kilom�tres. Le ministre a indiqu� que les automobilistes pourront circuler sur les quatre voies du boulevard � compter de mardi. L��t� prochain, on pr�voit ramener la circulation sur deux voies pour compl�ter les travaux.

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Petite bombe dans le petit monde des blogues qu�b�cois. Pour la premi�re fois (sauf erreur), deux blogueurs viennent de recevoir une mise en demeure concernant leur propos et les commentaires �mis sur leur carnet.

La ville de Ste-Ad�le les accuse � de tenir des propos diffamatoires � l'endroit du maire, des conseillers et de l'administration municipale. (�) [visant �] exposer M. Jean-Paul Cardinal au m�pris et � la haine des citoyens de Sainte-Ad�le et, globalement, de l'ensemble de la population des Laurentides. �

La ville de Ste-Ad�le les met donc en demeure de retirer de leur blog � tout propos libelleux et diffamatoire � sans toutefois pr�ciser exactement lequel.

Le coll�gue blogueur urbain du carnet de Ste-Ad�le est un peu secou�. � je me suis demand� ce matin s'il vallait la peine de me donner autant de trouble pour ce carnet, � pr�cise Luc Millette. Ce dernier n'a pas l'intention de se battre. � J'ai effac� (�) certain billets et surtout d�sactiv� la fonction commentaires depuis hier. (�) Ce carnet est un simple passe-temps. Je ne tiens absolument pas � changer le monde et encore moins � d�finir une nouvelle jurisprudence. �

Andr� B�rard, un autre blogueur de Ste-Ad�le, est toujours en r�flexions sur ce qu'il qualifie de � b�illon �. � Je r�fl�chis � tout �a ce week-end et je d�ciderai si oui ou non, je vais me soumettre � cette mise en demeure, � pr�cise-t-il dans un billet o� il est possible de lire la mise en demeure en question.

Un long commentaire sur le blog de B�rard apporte une lumi�re int�ressante au niveau juridique.

� d�faut de mieux, Qu�bec urbain apporte son soutien moral � Andr� B�rard et Luc Millette.

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Voir aussi ces deux billets.

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J'ai fait r�f�rence, r�cemment, � un publi-reportage sur cet immeuble paru dans le Soleil [billet].

Voil� donc l'allure de l'�difice C8 projet� et son emplacement (ci-bas). Les d�tails du projet se retrouvent sur le site des Jardins Rive Gauche.

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Source: Radio-Canada (Qu�bec), 23 novembre 2006.

Le Service de protection contre l'incendie de Qu�bec lance une campagne d'information aupr�s des commerces et des �tablissements publics qui songeaient � �riger des abris temporaires pour accommoder les fumeurs.

Selon les pompiers, ces abris contreviennent aux normes en mati�re de pr�vention des incendies. (...)

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Deux images pour appuyer certains commentaires publi�s dans ce r�cent billet, lesquelles soulignent l'importance de ce lieu de culte dans le paysage de la basse-ville.

Rappelons que le projet de d�molition de cette autre �glise � l'abandon soul�ve � nouveau une vive pol�mique � Qu�bec...

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Cette activit� "citoyenne" a fait l'objet de nombreuses discussions et reportages derni�rement, notamment � Christiane Charette (� d�faut de Bazzo et de son �quipe, qui me manquent cruellement pour ma culture...), mercredi dernier.

Source: Radio-Canada (Montr�al), 23 novembre 2006.

Un camp de r�fugi�s temporaire a �t� �rig� place �milie-Gamelin, autour du m�tro Berri-UQAM, � Montr�al. � toute heure du jour et de la nuit, les sans-abri peuvent y dormir au chaud et se mettre quelque chose sous la dent.

Sous l'un des deux chapiteaux chauff�s, l'organisme Homelessnation.org recueille des t�moignages des gens de la rue et M�decins du monde offre une clinique de sant�. � Et c'est l� qu'ont lieu les conf�rences et l'heure du conte �, explique Annie Roy, cofondatrice de l'�tat d'urgence.

Fond� en 1998, cet �v�nement annuel vise � la fois � faire le bien et � sensibiliser le public au sort des gens de la rue. Il est une initiative de l'Action terroriste socialement acceptable(ATSA)... (...)

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Source: Ville de Qu�bec (Les M�rites d�architecture 2006).

Qu�bec, le 22 novembre 2006 � La Ville de Qu�bec a honor� 11 laur�ats, choisis parmi 73 finalistes, lors de son gala des M�rites d�architecture 2006. Cet �v�nement mettait en comp�tition des projets touchant aussi bien des r�sidences que des commerces, des �difices publics, des enseignes et des b�timents. Les constructions devaient avoir �t� compl�t�es avant le 31 juillet 2006 pour �tre admissibles. (...)

Selon les participants, c�est l�immeuble Le Saint-Paul, situ� au coin de la rue Saint-Paul et de la rue De Saint-Vallier Est, qui marque davantage le paysage urbain de Qu�bec cette ann�e. Il m�rite ainsi le Prix du Public 2006. C�est la premi�re fois qu�un immeuble d�habitation en copropri�t� m�rite la faveur du public. (...)

Aussi, ce billet.

Merci � G�rald Gobeil pour cette information.

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Source: Guy Benjamin, Le Soleil, 22 novembre 2006.

L��glise Notre-Dame-de-la Gr�ce, situ�e rue Mazenod dans le quartier Saint-Sauveur, sera d�molie pour faire place � deux coop�ratives d�habitation.

Trop t�t encore pour dire � quel moment ce lieu de culte construit en 1924 cessera de faire partie du d�cor.

La soci�t� d�aide et de services aux coop�ratives (Sosaco) a soumis au d�but du mois � la commission d�urbanisme de la Ville de Qu�bec son projet de 40 logements pour les personnes seules et les familles, confirme Alain Marcoux.

Aussi, ce billet.

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Source: Pierre Couture, Le Soleil, 23 novembre 2006.

(...) "Les r�sidences pourraient �tre habit�es d�s mars 2008", a soulign� hier le promoteur Jean-Rock Tardif du projet Habitation Faubourg Giffard. (...)

Le projet immobilier du Faubourg Giffard aura lieu en trois phases. La premi�re, dont la pellet�e de terre est pr�vue prochainement, comprend la construction de 250 logements. Les co�ts de cette avanc�e devraient s'�lever � 30 millions $. (...)

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Source: Mus�e McCord.

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Source: Michel B�dard, Qu�bec Hebdo, 21 novembre 2006

Des travaux estim�s � 1 972 000 $, comprenant la restructuration des espaces urbains autour de l��glise, du vieux couvent de la Congr�gation Notre-Dame et du presbyt�re, de m�me que le r�tablissement d�un �quilibre entre la circulation pi�tonni�re et automobile, seront r�alis�s � compter du printemps 2007 dans le cadre d�un important projet de mise en valeur du secteur de l��glise de la Nativit� de Notre-Dame de Beauport.

Voir la suite.

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Une information puis�e dans "Forum Qu�bec: les projets" de SkyscraperPage, dont les d�tails se trouvent dans le site du Complexe de la Capitale...

Pour "occupation 2007-2008", l'immeuble de six �tages aurait pignon sur rue au 5700, boulevard des Galeries.

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Source: Radio-Canada (Qu�bec), 21 novembre 2006.

Le projet de Centre de formation et de recherche en alimentation � l'Universit� Laval est retard� de plusieurs mois.

La direction de l'Universit� Laval a d�cid� de reprendre le processus d'appel d'offres. La direction estime que certains crit�res qui figuraient dans l'appel d'offres comportaient des impr�cisions, notamment en ce qui concerne le caract�re novateur du projet. (...)

La suite. Aussi, ce billet.

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Source: Site mus�e McCord

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Source: Radio-Canada Qu�bec, 21 novembre 2006

Des sp�cialistes des infrastructures sont r�unis � Qu�bec, ces jours-ci, afin de discuter de l'impact des changements climatiques sur les infrastructures municipales, notamment les r�seaux d'�gouts.

Selon Jean-Pierre Villeneuve de l'Institut national de la recherche scientifique (INRS), les �v�nements pluvieux, dans 30 ou 40 ans, seront plus importants qu'actuellement. Il estime qu'il faudra tenir compte de ces pr�visions pour faire de nouveaux designs pour les constructions d'infrastructures urbaines.

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Source: Claude Vaillancourt, Le Soleil, 20 novembre 2006

La Ville de Qu�bec estime qu�il est maintenant possible d�aller de l�avant avec son projet de construction d�un stade de soccer int�rieur au parc Chauveau. � Le gouvernement a d�cid� de modifier la loi qui r�git les activit�s du conseil d�agglom�ration pour nous permettre d�entreprendre les travaux, m�me si une municipalit� d�fusionn�e s�y objecte �, a fait savoir le vice-pr�sident du comit� ex�cutif de la Ville, Fran�ois Picard.

Le stade, tant d�sir� par les adeptes du ballon rond, co�tera cependant le double du budget qu�on pensait y consacrer au d�part, soit 18 millions $ au lieu de 9 M $. � Nous n�avions pas les plans et devis pour avancer les premiers chiffres �, s�excuse presque la mairesse Andr�e Boucher. � Les projets de stades comparables sont �valu�s entre 15 M $ et 23 M $. Nous avons opt� pour une proposition m�diane, soit 18 millions $ �.

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Source: Radio-Canada (Qu�bec), 20 novembre 2006.

La Ville de Qu�bec se pr�pare � faire un virage important en mati�re de restauration et d'entretien de ses infrastructures. La Ville investira plus d'un milliard de dollars dans les trois prochaines ann�es dans divers projets d'immobilisations.

La moiti� de cette somme sera consacr�e � l'entretien et � la r�fection des infrastructures, des immeubles et des �quipements. La Ville r�pond ainsi aux critiques du v�rificateur g�n�ral qui s'inqui�tait du sous-financement chronique dans les infrastructures.

La mairesse de Qu�bec, Andr�e Boucher, admet que ces investissements pourraient se traduire par des hausses cumulatives de l'avis d'imposition, soit de 20 $ en 2008, 40 $ en 2009 et 60 $ en 2010.

D'autre part, la Ville de Qu�bec donne lundi soir le coup d'envoi au projet de stade couvert de soccer dans le parc Chauveau [billet] pour un montant qui pourrait atteindre 18 millions de dollars.

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Source: Site Mus�e McCord.

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Source: Site Mus�e McCord.

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Une petite nouvelle diff�rente, question de conna�tre les gens qui habitent cette belle ville qu'est Qu�bec !

Source: Marc Allard, Le Soleil, 18 novembre 2006

Vendredi soir, ils sont all�s au Dauphin comme d�habitude. Mimi �tait l�, derri�re le bar, pr�te � remplir leur verre en moins de deux. Sur la minisc�ne, la chanteuse country chevrotait des airs connus. Le long du mur, des joueurs tapaient avidement sur les loteries vid�o. Au fond, des couples fol�traient sur la piste de danse illumin�e. Tout �tait parfait.

Jusqu�� ce qu�on arrive, moi et mon complice, environ 20 ans plus jeunes que la moyenne des clients. [...]

Voir la suite.

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Enfin du ciel bleu apr�s une semaine de grisaille!! Vue ce matin en direction ouest, au-del� du chantier de la phase II des r�sidences de l'Universit� du Qu�bec [billet].

Voir aussi ce billet.

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Source: Marc Allard, Le Soleil, 17 novembre 2006

Leur premier projet r�sidentiel ? Bien s�r qu�ils s�en souviennent. Dipl�m�s de l�Universit� Laval en architecture, Dominique Potvin, 36 ans, Jean-Pierre Dufour, 29 ans et Bryan Dubois, 30 ans, ont fait leurs premiers pas il y a quelques ann�es � peine. La t�te pleine d�id�es, ils ont appris leur m�tier en �coutant aussi celles des autres. Coup d��il sur une initiation.

� Architecte stagiaire �, le titre colle � la peau des jeunes architectes depuis la fin de leurs �tudes. Avant d��tre re�us par leur ordre professionnel, ils doivent r�ussir une dizaine d�examens et faire la preuve d�une exp�rience diversifi�e. Ce qui prend en moyenne cinq ans.

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Source: �ric Moreault, Le Soleil, 15 novembre 2006

La prochaine fois que vous irez au restaurant, vos restes de table prendront peut-�tre le chemin du compostage plut�t que celui de la poubelle. Sans tambour ni trompette, Qu�bec a amorc� le mois dernier son projet-pilote de collecte des mati�res organiques dans le secteur des industries, commerces et institutions (ICI).

L�horizon est toujours une implantation � grande �chelle pour 2009 sur tout le territoire de la CMQ, tant pour les r�sidences que les ICI. En attendant, une cinquantaine d�ICI, sur les 250 sollicit�es, ont r�pondu � l�invitation de la Ville.

Voir la suite. Voir aussi cet autre article du m�me auteur.

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Source: Site CCNQ

Qu�bec, le jeudi 16 novembre 2006 � La cour du Vieux-S�minaire de Qu�bec, joyau architectural du R�gime fran�ais au c�ur de Qu�bec, s'illuminera ce soir, en pr�sence du ministre des Transports et ministre responsable de la r�gion de la Capitale-Nationale, M. Michel Despr�s, du sup�rieur g�n�ral du S�minaire de Qu�bec, Mgr Hermann Gigu�re, du pr�sident et directeur g�n�ral de la Commission de la capitale nationale du Qu�bec, M. Jacques Langlois, et de la directrice g�n�rale du Mus�e de la civilisation, Mme Claire Simard.

Fruit d'une collaboration entre la Commission de la capitale nationale du Qu�bec et le S�minaire de Qu�bec, qui y ont investi respectivement 175 000 $ et 125 000 $, cette nouvelle mise en lumi�re projettera dans la nuit les formes de ce haut lieu de la vie �ducationnelle, culturelle et spirituelle de la capitale depuis 1663. La richesse historique et les lettres de noblesse de l'ensemble architectural du S�minaire, un des plus anciens d'Am�rique du Nord, lui valent aujourd'hui un �clairage distinctif.

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Achetez cette photo

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Source: Radio-Canada (Qu�bec), 17 novembre 2006.

La temp�rature bat des records au Qu�bec en ce 17 novembre. � Qu�bec, la temp�rature a atteint 19 degr�s Celsius. L'ancien record �tabli en 1953 �tait de 10,6 degr�s Celsius.

Ailleurs au Qu�bec, plusieurs villes ont vu leur ancien record de temp�rature d�pass�, dont Baie-Comeau qui a atteint 14 degr�s, Gasp� 17, Saguenay 18, Sherbrooke 19, Mont-Joli 20 et Cap-Chat 22.

Le m�t�orologue Pascal Yiacouvakis explique qu'une forte perturbation a travers� l'Ontario et le Qu�bec, ce qui a amen� de forts contrastes de temp�ratures. (...)

Voir aussi ce billet dans mon blogue m�t�o.

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A quand un centre de ce genre ici � Qu�bec ! Et a quand que le priv� s'impliquera dans la communaut� !

Source: Fran�ois Cattapan, Journal de l'Habitation, 9 novembre 2006

L�organisme Habitat pour l�humanit� a annonc� derni�rement la r�alisation d�un premier projet de construction dans l�Est de Montr�al. Il a �galement proc�d� � l�inauguration officielle de son premier Centre de r�novation ReStore au Qu�bec, et le 50e au Canada, situ� dans l�arrondissement LaSalle.

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Source: Anne Drolet, Le Soleil, 15 novembre 2006

Des voisins qui se saluent, se connaissent par leur pr�nom, organisent entre eux des �pluchettes de bl� d'Inde. Des familles install�es depuis des g�n�rations qui c�toient celles r�cemment implant�es, les premi�res partageant leurs souvenirs avec les nouveaux arrivants. Ce Vieux-Sillery, qui prend des airs de petit village du XIXe si�cle, ses habitants ont peur de le perdre... enseveli sous des tours � condos de luxe.

Les d�limitations du Vieux-Sillery ne sont pas coup�es au couteau, mais les deux foyers principaux se situent autour de la c�te de l'�glise et suivent une partie du chemin Saint-Louis, de la hauteur de l'avenue Maguire jusqu'� l'avenue Sarah. Le secteur de la c�te � Gignac en fait aussi partie. Le Vieux-Sillery se trouve en grande partie dans un ensemble plus vaste, l'arrondissement historique de Sillery.

Voir la suite.

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Un peu d'ombre? (Source: Marie-Th�r�se W�ra, Le Soleil, Carrefour des lecteurs, 16 novembre 2006.)

Habitant le quartier et ayant assist� � la r�union d'information sur le projet de fun�rarium dans la Maison Gomin (qui tombe en ruine), je sais que beaucoup trouvent ce projet urbain int�grateur tr�s int�ressant: fun�rarium avec salle interreligion, centre d'interpr�tation de la prison, blocs d'habitations bas (cinq �tages ou moins), stationnements en sous-sol et parc sur la moiti� du terrain...

... Nous habitons une ville, et il y a du monde... donc des voisins, des maisons, de l'ombre � certains moments, du mouvement, du bruit, etc. Si on veut pas d'ombre dans sa cour ni de v�hicule dans les rues, il faut habiter en plein champ! Cela n'emp�chera pas d'essayer d'avoir la meilleure qualit� de vie urbaine possible!

L'arr�t de ce projet p�sera lourd sur nos taxes comme ce b�timent le fait depuis qu'on le laisse tomber en ruine, faute de projet plaisant � tous! Pourquoi devrions-nous collectivement supporter un b�timent vide ou un b�timent public qui co�te des millions � r�nover et � entretenir quand un projet priv� pourrait le rentabiliser? D'autant plus que le propri�taire actuel est soucieux de bien le faire: ses travaux sont r�alis�s avec soin et efficacit�. Chapeau, monsieur! Il est heureux de voir ce b�timent reprendre forme et revivre.

� consulter, ce billet.

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De quelle �glise provient ce clocher.

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Source: Radio-Canada Qu�bec, 15 novembre 2006

Dans le cadre d'une comp�tition amicale, des �tudiants en architecture de l'Universit� Laval proposent divers sc�narios pour restaurer le secteur o� l'on doit faire dispara�tre les bretelles inutiles de l'autoroute Dufferin-Montmorency.

Voir la suite. Voir aussi ce billet.

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Source: Isabelle Mathieu, Le Soleil, 14 novembre 2006

Si vous vous aventurez dans les quartiers centraux de Qu�bec un soir de d�neigement, vous devrez faire dispara�tre votre voiture de la rue plus t�t. Et, partout en ville, le remorquage co�tera trois fois plus cher. Ah, les joies de l�hiver...

Voir la suite.

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Conf�rence Mercredi 15 novembre 2006 19h30
Les grands dossiers du Montmartre

Dans le cadre de la s�rie � L�avenir du patrimoine catholique du Qu�bec �, monsieur Mario Dufour, pr�tre, pr�sident de la Commission des Biens culturels du Qu�bec, prononcera une conf�rence sous le th�me

Quel patrimoine religieux � transmettre et � qui?

Comme nous sommes � m�me de le constater, les �glises se vident et le recrutement est au point mort dans les communaut�s. Que fait-on alors avec les 250 �glises et 60 chapelles que compte le dioc�se de Qu�bec et dont 200 d�entre-elles pr�sentent une grande valeur patrimoniale ? � quoi pourront servir les b�timents d�sert�s des communaut�s religieuses et les terrains qui les entourent ? Des d�cisions doivent �tre prises, m�me si �a fait mal.

Nous sommes de la g�n�ration de ceux qui ont � disposer de cet h�ritage appel� � de nouvelles fonctions. Les choix que nous ferons seront d�terminants pour l��glise du Qu�bec et pour les g�n�rations � venir. Mais, pour l�instant, ces d�cisions sont d�chirantes pour les communaut�s vieillissantes et les autorit�s eccl�siastiques forc�es de quitter leurs sites et b�timents. La tourmente soulev�e dans certains milieux par la disposition de leurs biens ajoute � leur angoisse.

Dans ce d�bat, r�agissons-nous en chr�tien ou en citoyen ? � qui allons-nous transmettre ce patrimoine et qu�en feront-ils ? Cette probl�matique commande une approche rationnelle et une r�flexion partag�e sur ce que nous voulons que notre �glise soit demain. C�est ce dont nous entretiendra l�abb� Dufour dont la conf�rence sera suivi d�un �change avec l�assistance anim� par madame Annie Blouin, directrice de la Corporation du patrimoine et du tourisme religieux de Qu�bec.

Ce partage sur notre avenir aura lieu le mercredi 15 novembre 2006 � 19h30, au Centre culture et foi du Montmartre situ� au 1669, chemin Saint-Louis, dans le quartier Sillery de Qu�bec. Le Montmartre est desservi par le circuit d�autobus num�ro 25. L�entr�e est libre.

Pour informations : Raymond B�langer ou P�re Beno�t Bigard, a.a.
(418) 570-3462 (418) 682-9917

Source: Ville de Qu�bec

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Source: Fran�ois Cattapan, Le Journal de l'habitation, 15 novembre 2006.

Le secteur central en fort d�veloppement, celui des M�andres � Qu�bec, accueillera sous peu une phase de propri�t�s jumel�es suivie d'une seconde de copropri�t�s, puis d'un complexe d'immeubles � logements. Les trois projets, initi�s par le promoteur immobilier St�phan Huot, totalisent des investissements de pr�s de 100 M$. (...)

La suite. Aussi, ce billet.

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20 millions $ pour couper les bretelles (Source: Pierre Pelchat, Le Soleil, 14 novembre 2006.)

La d�molition des bretelles inutilis�es depuis 30 ans de l�autoroute Dufferin-Montmorency et le r�am�nagement du secteur dans Saint-Roch co�teront pr�s de 20 millions $ au gouvernement du Qu�bec, selon certaines sources.

Ce projet n�attendrait plus que le feu vert du ministre des Transports, Michel Despr�s, avant que les appels d�offres pour ces travaux ne soient lanc�s.

Au cabinet du ministre, on a laiss� entendre que la d�cision pourrait �tre prise prochainement. � Nous sommes en discussion avec la Ville de Qu�bec � ce sujet �, a indiqu� l�attach�e de presse du ministre sans donner plus de pr�cisions.

Du c�t� de la Ville, on n�en est plus au stade des discussions, mais plut�t en attente d�une d�cision du ministre, a confirm� le 2e vice-pr�sident du comit� ex�cutif, Fran�ois Picard, lors d�une tourn�e des travaux de renaturalisation des berges de la rivi�re Saint-Charles.

Aussi, ce billet.

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Source: Radio-Canada Qu�bec, 14 novembre 2006

� Qu�bec, une cinquantaine de terrains contamin�s sont laiss�s � l'abandon. Les propri�taires, s'ils veulent vendre ces terrains, ont l'obligation de les d�contaminer avant de conclure la transaction. Or, comme la r�habilitation du sol peut co�ter plusieurs centaines de milliers de dollars, la majorit� des propri�taires de ces terrains contamin�s renoncent � les vendre.

� S'il n'y a pas de transaction sur ce terrain-l�, ces gens-l� ne sont pas tenus de d�contaminer sur-le-champ ces terrains �, indique le conseiller municipal responsable de ce dossier, Fran�ois Picard. Cependant, celle situation prive la ville de revenus de taxes importants, car plusieurs de ces terrains sont situ�s dans des secteurs convoit�s. Le conseiller municipal Fran�ois Picard qualifie de plaies urbaines ces terrains abandonn�s qui d�figurent plusieurs quartiers.

Pour rem�dier au probl�me, M. Picard estime que le minist�re de l'Environnement devrait remettre sur pied le programme ReviSol abandonn� depuis trois ans. Ce programme aiderait les propri�taires � financer une partie du co�t de la r�habilitation de ces terrains, afin qu'ils puissent servir � d'autres fins.

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Oeuvre d'"anciens employ�s nostalgiques", le site ckcv1280quebec.com �voquera beaucoup de souvenirs aupr�s de nombreux lecteurs de Qu�bec Urbain. Un must!

Rappelons que cette station, qui occupait le 21e �tage de la Banque de Montr�al (photo ci-bas), a ferm� en septembre 1990 apr�s 65 ans d'existence...

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Bonne chance (encore) aux promoteurs des diff�rents projets planifi�s depuis tr�s longtemps sur le site de l'ancienne prison des femmes...

Source: Claude Vaillancourt, Le Soleil, 13 novembre 2006.

(...) � L�ajout d�un �tage (pour la construction d�une r�sidence de fonction pour le thanatologue) va m�emp�cher d�avoir du soleil dans ma cour, de d�cembre � f�vrier �, a plaid� un citoyen, Francis Roy, pour illustrer son opposition. (...)

La suite. Aussi, ce billet.

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Source: Isabelle Mathieu, Journal Le Soleil, 14 Novembre 2006

Un �difice � bureaux de neuf �tages sera construit au-dessus de l�auditorium de la biblioth�que Gabrielle-Roy. Si, bien s�r, la Ville de Qu�bec accepte de modifier le r�glement de zonage qui limite pr�sentement les constructions � six �tages.

Suite

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Source: Andr� Dubuc, Journal les Affaires, 12 octobre 2006

Les programmes de certification �cologique comme Visez vert et LEED (Leadership in Energy & Environmental Design) provoquent de profonds bouleversements en immobilier. De nouveaux r�flexes apparaissent dans les domaines comme la construction, les produits d'hygi�ne ou de la r�cup�ration des mati�res. Ce n'est qu'un d�but, puisque l'association de gestionnaires immobiliers BOMA Qu�bec, � qui l'on doit Visez vert, vient de lancer une nouvelle certification plus exigeante encore : Visez vert Plus.

Voir la suite.

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Source: Marie Caouette, Le Soleil, 12 novembre 2006

Un itin�raire touristique balis� destin� au pi�ton pr�t � marcher 5,3 kilom�tres, pour d�couvrir les lieux d�histoire et de patrimoine de la haute et de la basse ville de Qu�bec, sera disponible d�ici le 400e anniversaire de la capitale. Le projet achoppe pour l�instant sur le type de balisage � utiliser.

Voir la suite.

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Source: R�gys Caron, Journal de Qu�bec, 12 novembre 2006

Le projet de la Maison Gomin reviendra sur le m�tier en d�but de semaine prochaine, alors que le conseil d'arrondissement Sainte-Foy-Sillery donnera le coup d'envoi � un processus de consultation au terme duquel les citoyens du secteur seront appel�s � en disposer.

Voir la suite.

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Source: LCN/Cano�

Chaque ann�e, la ville de Qu�bec re�oit pr�s de 30 000 tonnes de mati�res recyclables, mais elle n'arrive pas � tout transformer. L'hiver dernier, la Ville a d� envoyer 1500 tonnes directement � l'incin�rateur. Pourtant, la Ville s'est fix�e comme objectif de recycler 60% des mati�res r�siduelles provenant des citoyens.

Voir la suite.

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Source: Jancinmon Reid, Qu�bec Hebdo, 10 novembre 2006

Malgr� le fait que la Ville de Qu�bec ait mis sur pied le nouveau parcours d�autobus 75 pour desservir les usagers du boulevard urbain Robert-Bourassa, plusieurs r�clament toutefois l�ajout d�une voie r�serv�e pour le transport en commun. �Aujourd�hui on inaugure le prolongement de l�autoroute Du Vallon, mais on attend toujours pour l�implantation de voies r�serv�es pour le transport en commun sur l�ensemble de l�axe Du Vallon, s�indigne Christian Savard, directeur du regroupement Acc�s Transports Viables. Cette situation est tr�s d�cevante et montre bien comment le discours vert des politiciens ne passe pas encore le test de la r�alit�.�

Voir la suite.

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Source: Marianne White, Le Soleil, 10 novembre 2006

Les maisons inspir�es du g�nie architectural de Frank Lloyd Wright ne sont pas l�gion � Qu�bec. Un passionn� en a fait construire une � Sillery en 1953. La r�sidence, toujours actuelle un demi-si�cle plus tard, appartient depuis peu au neveu de celui-ci.

En acqu�rant cette demeure, l'homme �tait heureux de mettre la main sur ce qu'il consid�re comme une partie du patrimoine familial. �J'ai toujours aim� cette maison et je venais y jouer souvent avec mon cousin quand j'�tais jeune�, explique-t-il. Elle est pass�e entre les mains de quelques propri�taires depuis que son oncle l'a vendue dans les ann�es 80, avant de revenir dans le giron familial, l'an dernier.

Voir la suite.

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Int�ressante initiative. Pourquoi pas � Qu�bec, aussi?

Source: Radio-Canada (Montr�al), 10 novembre 2006.

Des commer�ants de Montr�al dorment plus paisiblement, depuis quelque temps, parce que des itin�rants en font autant devant les portes de leurs commerces.

Emp�ch�s de passer la nuit dans les parcs de la ville, plusieurs sans-abri trouvent d�sormais refuge devant les boutiques de la rue Sainte-Catherine, notamment. (...)

La suite.

Voir aussi cet article (merci � Carol!), de m�me que ce billet.

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Rappelons que le premier nom sugg�r� pour cette �quipe avait suscit� un vif d�bat, � Qu�bec [billet]...

Source: Jean-Fran�ois Tardif, Le Soleil, 10 novembre 2006.

Les Kebekwa ont r�ussi leur rentr�e au sein de l�American Basketball Association. Tirant de l�arri�re 58 � 33 � la demie, ils ont �gal� la marque avec environ six minutes � jouer au quatri�me quart et c�est finalement au pointage 108 � 100 qu�ils ont d�fait les Frost Heaves du Vermont devant une salle comble au C�gep de Sainte-Foy. (...)

La suite.

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Source: Isabelle Porter, Le Devoir, 10 novembre 2006

L'histoire du mail se d�cline un peu comme la version urbaine d'une chanson bien connue des Colocs: �Y'� tomb� une bombe su'a rue principale / Depuis qu'y ont construit le centre d'achats... �

Qu�bec -- En 1974, on avait voulu sauver le quartier Saint-Roch en transformant la �main� en mail. En 2000, c'est encore pour sauver le quartier que le maire Jean-Paul L'Allier a voulu d�truire le centre commercial afin de faire rena�tre la rue commer�ante d'antan. La mairesse Boucher ayant donn� le feu vert � la deuxi�me phase du projet, la derni�re portion du Mail Saint-Roch sera mise � terre au printemps. Pour le centre-ville, c'est vraiment la fin d'une �poque.

Suite du texte

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Source: Qu�bec Hebdo, 1er novembre 2006.

La cour de l��cole Saint-Louis-de-France s�est enrichie r�cemment d�une soixantaine d�arbres de 15 esp�ces et de 50 arbustes de cinq esp�ces. Les v�g�taux ont �t� plant�s les 29 et 30 septembre dernier par des �l�ves, leurs parents et des membres du personnel. Par ce geste, la direction veut faire de cet endroit un milieu naturel et stimulant pour les �l�ves ce qui s�inscrit concr�tement dans l�optique d�un �tablissement Vert Brundtland, qui est au c�ur du projet �ducatif. Signalons qu�apr�s deux ans d�efforts et des investissements totalisant 120 000$, les �l�ves de l��cole Saint-Louis-de-France ont maintenant acc�s � une cour enti�rement r�am�nag�e avec des jeux neufs.

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Devinez de quelle �glise provient ce clocher.

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D'un c�t� (ci-haut) tr�ne cet immeuble commercial � vendre (encore!), qui se cherche une vocation depuis des lustres. Tout pr�s, plus au sud, il y a aussi cet autre b�timent � vendre, abritant un CLSC qui sera int�gr� au nouveau CHSLD Saint-Charles en construction pr�s de l'h�pital de l'Enfant-J�sus [billet]...

Quelqu'un, � quelque part, a-t-il d�j� imagin� un plan d'ensemble qui pourrait regrouper par exemple des logements avec commerces au rez-de-chauss�e sur ce vaste �lot d�limit� par le chemin de la Canardi�re, le boulevard des Capucins, l'avenue Olier et la 8e Rue?

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Quelques images sur la modernisation de l'a�roport dans le vid�o qu'ils ont maintenant mis en ligne.

Initiatives plus int�ressantes encore et discussions dans leur blogue (oui, oui, un blogue!).

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La Vieille capitale s�curitaire? Selon Statistique Canada, en 2005, le taux d'homicides n'"�tait que" de 0,69 victime par 100 000 habitants � Qu�bec, pla�ant notre ville en bas de la liste des neuf villes du Canada de plus de 500 000 habitants!

� consulter, donc, les d�tails de l'�tude Homicides 2005, laquelle confirme par ailleurs l'id�e re�ue que les taux d'homicides sont plus �lev�s dans l'Ouest...

Merci � G�rald Gobeil pour cette information!

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Source: Alain Bouchard, Le Soleil, 7 novembre 2006

Apr�s le d�veloppement durable, voici l�immigration durable. Le mot a �t� employ� mardi � Qu�bec par la ministre de l�Immigration. Lise Th�riault annon�ait alors la mise sur pied d�un plan concert� de trois ans en vue d�attirer plus d�immigrants dans la r�gion de Qu�bec et, surtout, de les retenir davantage.

Voir la suite.

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Source: Simon Boivin, Le Soleil, 7 novembre 2006

Place Qu�bec sera bel et bien mise en vente en d�but d�ann�e, a confirm� le pr�sident de la Soci�t� immobili�re du Qu�bec (SIQ), Marc-Andr� Fortier, hier. T�t en janvier, le bras immobilier du gouvernement du Qu�bec lancera un appel d�offres afin de se trouver un courtier expert dans les ventes de ce type. Le choix du bon candidat peut prendre entre deux et trois mois.

Apr�s quoi, Place Qu�bec, ses 172 000 pieds carr�s de locaux pour bureau, son stationnement de 1000 places et sa galerie marchande seront offerts aux int�r�ts priv�s. Depuis un certain temps, la SIQ faisait valoir que ce type de b�timent ne s�inscrit pas dans sa mission. � On a d�cid� de proc�der avec la vente, a indiqu� M. Fortier au Soleil. Cette d�cision a �t� approuv�e par notre conseil d�administration � la fin du mois d�octobre. �

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Source: Pierre Couture, Le Soleil, 7 novembre 2006.

La Maison Simons poursuit ses emplettes dans le Vieux-Qu�bec en acqu�rant un �difice de 13 000 pieds carr�s voisin � son magasin de la c�te de la Fabrique.

Il y a quelques jours, Simons a acquis de l�homme d�affaires Gr�goire Biron l��difice du 24, c�te de la Fabrique. Le b�timent de deux �tages, voisin du Simons du Vieux-Qu�bec, abritrait notamment la boutique La Corriveau.

Cet �t�, M. Biron avait d�ailleurs manifest� publiquement son d�sir de se d�partir de son commerce en raison d�une baisse soutenue de visiteurs ces derni�res ann�es dans la capitale.

Hier, personne chez Simons n��tait en mesure de commenter la transaction de 3 millions $ compl�t�e la semaine derni�re.

Voir ces deux billets.

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Source: Pierre Pelchat, Le Soleil, 7 novembre 2006.

Les projets ne manquent pas � l�a�roport de Qu�bec. En plus de la modernisation de l�a�rogare, la direction de l�a�roport Jean-Lesage envisage la construction d�un h�tel de 100 � 150 chambres reli� par une passerelle � la future a�rogare revamp�e. (...)

La suite. Aussi, ce billet.

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Source: Radio-Canada (Qu�bec), 7 novembre 2006.

Pour souligner les 400 ans de la fondation de Qu�bec, le Louvre a donn� mardi les d�tails de ce qui est qualifi� de collaboration sans pr�c�dent, et qui donnera lieu � une grande exposition au Mus�e national des beaux-arts de Qu�bec.

Intitul�e Le Louvre � Qu�bec: les arts et la vie, cette exposition sera pr�sent�e du 5 juin au 26 octobre 2008. (...)

La suite. Aussi, ce billet.

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Une vue rapproch�e sur un fond de ciel gris, � partir du pont Samson en fin de journ�e vendredi dernier...

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Source: Isabelle Mathieu, Le Soleil, 7 novembre 2006

La Ville de Qu�bec n�a pas fini d��tre serr�e dans ses finances ; ses d�penses grimpent tellement plus vite que ses revenus qu�elle fera face � un manque � gagner de 24 millions $ d�s l�an prochain, et de 106 millions $ en 2020.

L��tude r�alis�e par le Conference Board du Canada � un organisme priv� sp�cialis� en analyses �conomiques � pour le caucus des grandes villes du Qu�bec a de quoi d�courager n�importe qui. Si rien ne change, les villes de Qu�bec, L�vis, Sherbrooke, Trois-Rivi�res, Gatineau et Saguenay seront plac�es devant un choix d�chirant : sabrer dans les services ou continuer de n�gliger les infrastructures.

� Qu�bec, le Conference Board �value que la faible croissance de la population et son vieillissement abaisseront le nombre de mises en chantier d�ici � 2020.

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S'il est vrai que bien des r�sidants du centre-ville d�veloppent des pr�jug�s envers les "banlieusards", reconnaissons que l'inverse est aussi vrai parmi ces derniers...

Pourquoi s'acharner � promouvoir l'id�e que "la ville, c'est pas fait pour les enfants", surtout quand on n'a jamais v�cu la r�alit� de la vie de quartier? C'est dr�le, mais les jeunes que je croise quotidiennement dans mon coin n'ont vraiment pas l'air de s'ennuyer, profitant de toutes les ruelles "sales et transversales", des parcs et des centres de loisirs qui font le charme et l'int�r�t de Limoilou!

Plusieurs lignes de l'article "Montr�al, ville pour enfant?" (Mario Girard, La Presse, 27 septembre 2006) se transposent naturellement au cas des quartiers centraux de Qu�bec, en particulier dans l'extrait sous-titr� "Vive les ruelles" reproduit dans la page suivante. Un plaidoyer pour l'"engagement citoyen"!

Dans chaque quartier de la ville on retrouve des petits parcs. C�est sans compter la pr�sence des grands espaces verts comme le parc La Fontaine et le mont Royal. Ces lieux sont tr�s fr�quent�s par les familles. Mais Montr�al a une particularit� int�ressante sur le plan urbanistique : ses ruelles.

� Les ruelles sont un espace de socialisation par excellence, explique Sylvie Jutras. L�enfant a le contr�le de la gestion du priv�. C�est un lieu d�exp�rimentation et un espace public Personne ne peut me dire : tu n�as pas le droit d�y d��tre. �

Dans ces ruelles, un v�ritable esprit communautaire se d�veloppe. � Combien de fois il est arriv� qu�avec mes voisines on se dise : �peux-tu jeter un coup d��il dans la ruelle ? �, raconte la professeure. On pouvait s��changer des services. �a devenait l�extension de son chez-soi. �

Dans d�autres villes de plus petite envergure, les enfants utilisent les culs-de-sac pour se cr�er une aire de jeu. � Des �tudes ont d�montr� que les quartiers o� on retrouve ce type de lieu sont davantage investis par les familles, dit Mme Jutras. Il y a une territorialit� qui est beaucoup plus forte. � (...)

Arlinda Pereira est �ducatrice dans une garderie du centre-ville depuis une vingtaine d�ann�es. Celle qui est aujourd�hui grand-m�re croit que les parents ont un pouvoir sur la ville. � Il faut que les parents s�approprient la ville, dit-elle. Il faut suivre l�exemple de ces parents qui revitalisent les ruelles. C�est � eux de faire cela. � (...)

� lire aussi, ce billet.

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Source: Gilles Angers, Le Soleil, 3 novembre 2006

Plus de citadins que jamais veulent s'installer � la campagne ou s'en approcher, tout en �tant pr�s des services. Les autres r�vent d'un solarium ou d'une verri�re qui s'avance dans la cour. Un sondage, effectu� derni�rement par L�ger Marketing pour le compte de la Soci�t� d'habitation du Qu�bec (SHQ), r�v�le que les propri�taires qui veulent d�m�nager (46%) d'ici les cinq prochaines ann�es pr�f�reraient une maison situ�e � la campagne (35%) ou en banlieue (24%). Contre 22% et 24% chez les locataires qui acc�deraient � la propri�t�. Ce qui d�note une lassitude de la ville et de son agitation.

La maison de sondage est plus affirmative encore:dans cinq ans, l'attrait de la campagne aura surpass� celui de la banlieue et de la ville pour les propri�taires qui d�m�nageront ou qui envisageront de le faire.

Voir la suite.

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Source: Site TVA/Cano�, 3 novembre 2006

La Ville investit 50 millions $ pour r�nover son incin�rateur et allonger sa dur�e de vie. L'incin�rateur est d�j� vieux de 32 ans et on s'accordait pour dire qu'il �tait encore bon pour une dizaine d'ann�es. Avec cet investissement, on croit pouvoir prolonger sa vie utile d'entre 25 et 30 ans. � noter qu'en cette �re de recyclage et de revalorisation, la capacit� de traitement de l'incin�rateur ne sera pas augment�e.

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Source: Radio-Canada Qu�bec, 3 novembre 2006

Le R�seau de transport de la capitale (RTC) met en place d�s dimanche un nouveau parcours, le 75, sur le prolongement de l'autoroute du Vallon. Ce service sera offert tous les jours et permettra un lien direct avec les Galeries de la Capitale et les terminus Les Saules et Beauport.

La semaine prochaine, les usagers pourront utiliser le service gratuitement. Entre temps, des activit�s inaugurales sont pr�vues, samedi, aux abords du nouvel axe routier du Vallon. Des autobus du RTC feront la navette, aux 20 minutes, � partir des bureaux d'Hydro-Qu�bec.

La mairesse de Qu�bec, Andr�e Boucher, le ministre des Transports, Michel Despr�s, et le premier ministre Jean Charest inaugureront dans la m�me journ�e ce nouveau segment de 4,2 kilom�tres. Ils profiteront de cette inauguration pour officialiser le changement de nom de l'autoroute qui portera d�sormais le nom de Robert-Bourassa.

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Source: Pierre-Andr� Normandin, Le Soleil, 4 novembre 2006

L�inauguration hier du nouvel axe Robert-Bourassa � Qu�bec a soulign� la d�gradation du r�seau routier qu�b�cois. Fra�chement prolong�e de 4,2 km, l�autoroute devra subir une importante cure de rajeunissement sur son principal �changeur, a reconnu le ministre des Transports, Michel Despr�s.

Voir la suite.

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J�avoue que j�ai h�sit�, avant de publier ce billet, sachant que cela pourrait soulever des passions. Mais la question demeure : avec toutes ces revendications, aura t�il accroissement de l��talement urbain, ou changement de vocation de certain territoire� Bref.

Source: Pierre-Andr� Normandin, Le Soleil, 4 novembre 2006

La nation huronne-wendat r�clamera un territoire de 100 km2 pour compenser la perte de la Seigneurie de Sillery. Les r�sidants de Qu�bec peuvent dormir tranquille, le chef Max Gros-Louis n�a aucune intention d�agrandir Wendake en les expropriant.

Apr�s cinq ans de recherches historiques, la nation autochtone pr�sentera de nouvelles revendications territoriales au gouvernement f�d�ral d�ici mars 2007. Les Hurons souhaitent ainsi �tre compens� pour la perte aux mains des J�suites des terres re�ues du roi de France en 1651. Celles-ci couvrent une importante partie de Sillery, Sainte-Foy, Loretteville et du lac Saint-Charles, soit une bande de 5 km le long du fleuve sur 20 km dans Qu�bec.

Voir la suite. Voir aussi cet autre article du m�me auteur.

Et pour ceux qui veulent voir ces "fameux documents" voir ce site.

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Source: Michel B�dard, Qu�bec Hebdo, 3 novembre 2006

Des fouilles arch�ologiques s�amorceront au d�but de la semaine prochaine autour de l��glise de la Nativit� de Notre-Dame, au coeur de l�arrondissement historique de Beauport. Selon le charg� de projet pour la Soci�t� d'art et d'histoire de Beauport, Pierre Drouin, cette intervention vise � localiser, entre autres, les vestiges de cimeti�res anciens et de la premi�re �glise de Beauport construite en 1676.

Voir la suite.

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Source: Eric Moreault, Le Soleil, 3 novembre 2006

L�un des plus beaux parcs de la r�gion, celui du Haut-Fond, vient d��tre d�figur� par l�abattage ill�gal d�une centaine d�arbres par un citoyen. Saint-Augustin poursuivra devant les tribunaux et entend en faire un exemple en demandant le reboisement des lieux et une forte amende.

Voir la suite.

Je me passerais de commentaire sur ce genre d'incident... malheureux.

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Bon, personnellement, je pr�f�re un immeuble plus �lanc�, d'une quinzaine d'�tages... Il sera tout de m�me int�ressant de voir la suite!

� consulter, ce billet.

Merci � Yvan Dutil pour cette image tir�e de l'�dition papier de L'Appel.

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Source: Nadielle Kutlu, avec la collaboration de Pierre Frisko, Jobboom (Le magazine), octobre 2006.

En 2005, les Canadiens ont pass� en moyenne 63 minutes par jour � faire l�aller-retour entre leur travail et leur domicile, selon Statistique Canada. (...)

Selon l�enqu�te Origine-Destination r�alis�e en 2003 par l�Agence m�tropolitaine de transport [Montr�al], portant sur le mode de d�placement des travailleurs :

6 % des travailleurs utilisent un mode non motoris� (marche, v�lo, etc.);

94 % optent pour un mode motoris� (auto, transport en commun), parmi lesquels 82 % utilisent l�automobile et 20 % le transport collectif.

(Les r�ponses multiples expliquent le total sup�rieur � 100 %.)

Selon une enqu�te de Statistique Canada, 25 % de la population canadienne prend une heure et demie pour faire l�aller-retour entre le travail et le domicile, une hausse impressionnante par rapport � 1992, o� cette proportion �tait de 17 %. Toronto re�oit la palme d�or des plus longs d�placements avec une moyenne de 79 minutes. Montr�al arrive bon deuxi�me avec des allers-retours de 76 minutes, une hausse de 14 minutes par rapport � 1992. (...)

La suite.

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Une image "travaill�e" avec Photoshop? Que non, 100% naturelle, cadeau d'une soudaine averse de neige et d'un rayon de soleil inopin�!

Un peu plus � l'est, toujours sur Saint-Joseph, les ouvriers s'affairent � pr�parer l'�dition 2006 de la mise en lumi�re de cette magnifique art�re commerciale...

� consulter, ce billet. Aussi, mon blogue m�t�o.

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Source: Julie Vaillancourt (journaliste) et Roger Archambault (r�alisateur), Radio-Canada (�mission La Facture, 17 octobre 2006).

Un consommateur cherche une maison. Dans un quartier de la banlieue de Montr�al, il voit une grande affiche sur laquelle il est inscrit: � Interdit aux enfants! �. Une telle affiche n'existe pas, car la loi interdit formellement ce genre de discrimination. Des quartiers qui refusent les enfants, il y en a toutefois au Qu�bec. La facture en a trouv� deux dans la r�gion montr�alaise. (...)

La suite.

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Source: Fran�ois Cattapan, Qu�bec Hebdo, 3 novembre 2006

� pr�s d'un an du grand rendez-vous, ce sont quelque 232 projets qui ont �t� d�pos�s � la Soci�t� du 400e anniversaire de Qu�bec avant la date limite de soumission, le 20 octobre dernier. �C�est avec beaucoup d�enthousiasme que les comit�s de s�lection, sp�cialement constitu�s afin d�examiner chacune des propositions, s�activeront tout au long des prochains mois�, a tenu � souligner Jacques Dupuis, directeur de la programmation associ�e. La Soci�t� entend faire l�annonce publique des projets retenus vers la fin du mois de f�vrier 2007.

Voir la suite.

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Source: Yan Turgeon, Voir Qu�bec, 2 novembre 2006.

Jacques Cartier peut bien rester dans la cale. Le parc Cartier-Br�beuf, lieu historique de l'hivernage de l'explorateur fran�ais en terre d'Am�rique, ne tirera pas un denier des comm�morations du 400e.

Limoilou sera-t-il le grand oubli� de la f�te? C'est ce que craint la conseill�re municipale Anne L�tourneau, qui a rencontr� la d�put�e conservatrice Sylvie Boucher pour d�noncer l'�tat lamentable du site patrimonial, propri�t� de Parcs Canada. (...)

La suite. Aussi, ce billet.

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Source: CCNQ, 2 novembre 2006

LA CAPITALE DU QU�BEC HONORE LE MAHATMA GANDHI

Qu�bec, le jeudi 2 novembre 2006 � C'est en pr�sence du premier ministre, Jean Charest, de la haute-commissaire de l'Inde au Canada, Shyamala B. Cowsik, de la ministre des Relations internationales, Monique Gagnon-Tremblay, du ministre des Transports et ministre responsable de la r�gion de la Capitale-Nationale, Michel Despr�s, ainsi que du pr�sident et directeur g�n�ral de la Commission de la capitale nationale du Qu�bec, Jacques Langlois, que le maire suppl�ant de la Ville de Qu�bec, Jacques Joli-C�ur, a d�voil� ce matin, � Qu�bec, un monument � la m�moire de Mohandas Karamchand Gandhi, le p�re de la nation indienne et ap�tre de la non-violence. (...)

Voir la suite.
Voir aussi ce lien.

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Source: Radio-Canada (Qu�bec), 1er novembre 2006.

Op�ration Nez rouge offrira pour une 23e ann�e son service de raccompagnement pour les personnes qui ont consomm� de l'alcool.

L'organisation insiste encore en 2006 sur l'importance de recruter des b�n�voles pour que l'op�ration soit un succ�s. L'an dernier, plus de 44 000 personnes ont accept� de devenir, pour quelques soirs, raccompagnatrices. (...)

La suite. Aussi, ce billet.

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Source: Pierre Asselin, Le Soleil, 1 novembre 2006

La statue de Samuel de Champlain quitte la terrasse du Ch�teau Frontenac pour permettre de refaire une beaut� au fondateur de Qu�bec, en pr�vision des F�tes du 400e anniversaire de sa ville.

Et Champlain s�est m�me permis un cadeau � l�administration municipale. En effet, la Ville avait pr�vu un budget de 600 000 $ pour les travaux, mais tout indique qu�on va pouvoir remettre l�ouvrage en �tat pour moins de 450 000 $, indiquait hier Alain Th�riault, porte-parole de la Ville. La soumission pr�sent�e par Ma�onnerie Dynamique se monte en effet � 380 000 $, auxquels s�ajoutent quelque 45 000 $ en frais d�architecte.

Le d�m�nagement de la statue avait �t� report� � deux reprises cette semaine en raison du mauvais temps, mais tout a finalement d�but� hier matin.

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Source: Fran�ois Simard, Qu�bec Hebdo, 1 novembre 2006

Le restaurant McDonald�s de L�Ancienne-Lorette, un des plus ancien de la cha�ne dans la r�gion, subit actuellement toute une cure de jeunesse. L��difice, situ� � l�angle du boulevard Hamel et de Duplessis, a �t� compl�tement ras� et sera reconstruit au cours des prochaines semaines. Le projet est �valu� � 2 M$ et le chantier devrait �tre compl�t� � la fin du mois de d�cembre. L��tablissement appartient � Ren� Boisvert qui poss�de plusieurs autres franchises dans la r�gion.

� suivre...

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� gauche, la Falaise Apprivois�e [billet]; au centre, l'auberge Le Vincent [billet]; � droite, l'�difice du Soleil.

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