Les billets selon les arrondissements
La Cité
-Champlain
/ Vieux-port
-Haute-ville
-St-Roch
-St-Sauveur
-Vieux-Québec
Les Rivières
Ste-Foy-Sillery
Charlesbourg
Limoilou
Beauport
Haute-Saint-Charles
Laurentien
Les projets par catégorie
Commercial
Condo
Logement locatif & social
Maison / bungalow
Transport
Transport en commun
�diteur
Autres carnets urbains
-L�vis urbain
-Le Blog de Ste-Ad�le
-Montr�al urbain
-Trois-rivi�res urbain
-Montreal Weblog [EN]
-Li�ge urbain!
Qui est le prochain?
31 d�cembre 2006
**********
30 d�cembre 2006
Les "pessimistes" diront que l'ann�e 2006 a bien mal d�but� � Qu�bec avec la saga entourant la fermeture du Zoo et les r�sultats des �lections f�d�rales au niveau r�gional... J'en suis!
D'autres se r�jouiront par exemple de la perspective de spectacles de qualit� � rayonnement international qui se dessinent pour le 400e de Qu�bec et de la confirmation r�cente de la disparition des "fameuses bretelles" de l'autoroute Dufferin pour cet hiver, en principe... J'en suis itou!
Bref, il sera toujours aussi int�ressant, comme toujours je l'esp�re, de surveiller dans les prochains mois l'actualit� urbaine sur ce blogue cr�� par Francis! ;-)
Comme je pars de nouveau quelques jours � l'ext�rieur, je souhaite � tous et � toutes que de bonnes nouvelles pour une ann�e 2007 pleine d'agr�ables surprises dans notre ville, et bien s�r, "Longue vie � Qu�bec Urbain!"
Voir mon billet de 31 d�cembre 2005.
**********
28 d�cembre 2006
Source: Fran�ois Cattapan, Le journal de l'habitation, 21 d�cembre 2006.
Afin de combler les besoins croissants de services des r�sidants install�s � proximit� du nouveau boulevard Robert-Bourassa, un nouveau projet commercial baptis� le Carrefour des M�andres y est projet�. Le regroupement d'�difices commerciaux sera �rig� en 2007 le long du boulevard Robert-Bourassa, au nord des Galeries de la Capitale � Qu�bec, plus pr�cis�ment entre les rues Chauveau et Lebourgneuf. (...)
**********
Source: Radio-Canada (Qu�bec), 27 d�cembre 2006.
Le nombre de prestataires d'aide sociale a diminu� de moiti� au cours des 10 derni�res ann�es dans Capitale-Nationale, selon une recherche effectu�e par Radio-Canada. Il s'agit d'une des r�gions du Qu�bec qui enregistrent la plus forte diminution du nombre de b�n�ficiaires. Ce ph�nom�ne ne signifie toutefois pas qu'il y a beaucoup moins de pauvret�.Les �tudes montrent que dans la r�gion de Qu�bec, il y avait environ 62 000 prestataires d'aide sociale en 1996 et un peu plus de 33 000 en novembre dernier. Cette importante baisse s'explique principalement par la vigueur de l'�conomie, selon Claude Morin du minist�re de l'Emploi et de la Solidarit� sociale, et non par un resserrement des crit�res d'admissibilit� � l'aide sociale.
Or, tous les jours, un enfant sur quatre ne mange pas � sa faim dans les cartiers centraux de Qu�bec. Richard Foy, de l'organisme Pignon bleu, sert chaque semaine des d�jeuners � 3 600 enfants de 13 �coles primaires. L'itin�rance est un autre ph�nom�ne bien pr�sent dans le centre-ville de Qu�bec.
La chute est presque aussi importante dans la r�gion de la Chaudi�re-Appalaches, avec une r�duction de 44 % du nombre de prestataires.
Aussi, ce billet.
**********
Une image exceptionnelle de St�phane Harvey, prise en direction des ponts le 24 d�cembre dernier et publi�e dans TrekEarth.
Pour ma part, le jour de No�l (!), j'ai pris la photo ci-bas � Montmagny: � l'arri�re-plan, au-del� des champs labour�s et de l'estuaire du Saint-Laurent, le mont Sainte-Anne...
�a, c'�tait avant la bord�e de neige qui a bel et bien eu lieu mardi [billet]...
Les d�tails dans mon blogue m�t�o.
**********
23 d�cembre 2006
Oui je sais que ce billet n�a peu de rapport avec l�urbanisme, mais en regardant les nouvelles, j�avais le go�t de parler d�un sujet qui me tenait � c�ur. Pourquoi autant de d�penses en biens de consommations ? Quelques fois je me demande si on a oubli� le vrai sens de No�l ! [voir cet article de Cyberpresse]
� l�oppos�, certain on d�cid� de vivre cette f�te dans la simplicit� volontaire, [voir cet article ]sans �tre aust�re, ne point gaspiller. Bref une consommation responsable, permettant du m�me coup, dans chacun des cas ce qui est jet�s et recycl�s, n�embourbent point ces deux syst�mes de collectes. [voir ce billet] Et bien entendu, aussi moins de pollutions � la source.
Je souhaite aux lecteurs de Qu�bec Urbain un joyeux No�l et un joyeux temps des f�tes, que cette p�riode se vive dans la joie et l�amour.
**********
22 d�cembre 2006
Source: CCNQ
[...]Fruit du travail de la Commission de la capitale nationale du Qu�bec qui y a investi 200 000 $, cette nouvelle mise en lumi�re projettera dans la nuit les formes de ce haut lieu de la vie spirituelle de Charlesbourg, datant de 1828. La richesse de ce sanctuaire et les lettres de noblesse de ce bijou architectural con�u par l'architecte Thomas Baillairg� lui valent aujourd'hui cet �clairage nouveau[...]
**********
Comme je pars quelques jours du c�t� de ma belle-famille, je profite donc de ce billet pour souhaiter un "Joyeux No�l" � Francis, Carol, G�rald et � tous ceux et celles qui collaborent � Qu�bec Urbain � leur fa�on par leurs commentaires, sans oublier bien s�r nos nombreux visiteurs!
Une toute autre histoire � la m�me �poque, l'an dernier... [billet]. Mais ce n'est que partie remise: une grosse temp�te semble se dessiner pour mardi! ;-)
**********
La neige manque, c'est vrai. Par contre, les longues prises de vue (2 � 5 secondes) expliquent l'"absence" des visiteurs sur ces photos, pourtant nombreux hier � l'heure du souper � d�ambuler dans le secteur des rues Saint-Joseph et de la Couronne.
Voir aussi ce billet.
**********
Source: Isabelle Mathieu, Le Soleil, 21 d�cembre 2006.
La d�molition des bretelles cul-de-sac de l�autoroute Dufferin-Montmorency est assur�e ! Le minist�re des Transports et la Ville de Qu�bec se sont enfin entendus sur le projet qui co�tera 40 millions $ et embellira un coin mal-aim� du centre-ville.Plus de deux ans apr�s le d�bat sur le projet place de France du maire L�Allier, les bretelles de Dufferin, inutilis�es depuis 30 ans, viennent d��tre condamn�es.
Apr�s des mois d��tude, le minist�re a finalement donn� son accord � la fin de la semaine pass�e, � temps pour que la mairesse Andr�e Boucher puisse l�inscrire dans son programme triennal d�immobilisations.
Le minist�re des Transports payera 11 millions $ et la Ville de Qu�bec assumera 9 millions $. �trangement, du temps o� la controverse de l�escalier faisait rage, les fonctionnaires du minist�re �valuaient les co�ts � plus de 50 millions $...
Aussi, ce billet.
**********
21 d�cembre 2006
Source: Pierre Couture, Le Soleil, 20 d�cembre 2006.
L��conomie de la r�gion de Qu�bec a tourn� rapidement en 2006 en enregistrant une croissance de 3,2 % de son produit int�rieur brut (PIB). Elle n�a toutefois pas connu de gain net d�emplois, soutient le Conference Board.� On peut dire qu�au Canada, en 2006, Qu�bec a �t� la championne � l�est de la Saskatchewan �, souligne Mario Lefebvre, directeur des pr�visions m�tropolitaines du Conference Board.
Le taux de ch�mage de la r�gion est d�ailleurs � son plus bas depuis des d�cennies. Si la tendance se maintient, la moyenne annuelle devrait s��lever � 5,1 % en 2006. L�an dernier, cette moyenne annuelle s��tait arr�t�e � 5,6 %.
Aussi, ce billet.
**********
C'est bien s�r � la blague que j'ai "souhait�" de joyeuses P�ques � mes coll�gues de travail au sortir de notre d�ner de... No�l, d'o� j'ai pris cette photo illustrant un paysage quelque peu surr�aliste � cette �poque de l'ann�e! ;-)
Voir ce billet.
**********
20 d�cembre 2006
Pour faire suite � la premi�re partie, voici un autre point de vue concernant ce que l'on qualifie de nouvel urbanisme. Avec un point de vue plus personnel.
Bien entendu selon moi, les Europ�ens poss�dent une longueur d�avance sur nous, Nord-am�ricains, surtout en mati�re de qualit� d'environnement. De plus en plus on demande aux urbanistes et architectes du monde de se pencher sur diff�rents facteurs ou ph�nom�nes environnementaux, tels le r�chauffement climatique:
"Plus de la moiti� de la population mondiale vivra dans une ville en 2030, contre seulement 10% en 1900. Le 21e si�cle sera urbain. Mais la ville de 2030 ressemblera assez peu � celle du XXe si�cle: de plus en plus �tal�e et multipolaire, diverse et fragment�e, p�n�tr�e de r�seaux et ins�r�e dans les circuits mondiaux d��change, autonome vis-�-vis des Etats-nations, pr�occup�e de son "empreinte �cologique" mais aussi des tensions sociales en son sein, cette ville se r�invente en profondeur. Les technologies jouent un r�le important dans cette mutation, qu�il s�agisse d�aider les citadins � organiser l��cheveau complexe de leurs relations, leurs occupations et leurs d�placements ; de favoriser une production et une distribution de plus en plus flexibles, en ! temps r�el et connect�e � de multiples r�seaux ; et d�organiser l��change entre les citoyens avec, ou parfois contre, les institutions de la ville"
L'extrait ci-haut est tir� du site http://www.a-brest.net. Il est certain, � la lumi�re de cet article, que la ville doit �tre r�invent�e:
"Le paradigme du d�veloppement durable oriente d�j� en profondeur les r�flexions et pratiques des acteurs de l�urbanisme, toutes cat�gories confondues, � qui l�on demande d�sormais de maintenir la qualit� de l�air, de g�rer l�eau, de traiter les d�chets, d��conomiser l��nergie, de privil�gier la qualit� de vie des habitants, de pr�server la biodiversit� urbaine, de chasser le bruit, de renforcer l�accessibilit� Dans les prochaines ann�es cette tendance se renforcera, quel que soit le r�gime urbain. Certains pays ont mis en pratique ces principes dans le cadre d�exp�rimentations d��co-quartiers, comme celui de BedZed, [voir ce billet] en Angleterre, ou de construction d�une �co-ville, comme celle de Dongtan en Chine (500 000 habitants pr�vus en 2050)."
Je nuance toutefois: je ne suis pas tout � fait d�accord avec la vision et l�utilisation de la technologie telles qu'expliqu�es dans l'article car trop souvent, cette technologie fut con�ue et utilis�e, d'apr�s moi, au d�triment de l��tre humain. Comme disait Einstein: "Le progr�s technique, c�est comme une hache dans les mains d�un psychopathe." Il est certain qu�il faudra sortir de l'orni�re du d�j� connu pour innover, am�liorer tant soit peu le milieu et la qualit� de vie des gens habitant dans les agglom�rations urbaines. Cela suppose aussi de changer notre fa�on de voir et de faire l�urbanisme.
Toujours � propos du nouvel urbanisme, voici ce que Marie-Odile Tr�panier, directrice de l'Institut d'urbanisme de la Facult� de l'am�nagement � l'Universit� de Montr�al, a d�j� soulign�:
" Ce qui me para�t le plus probl�matique chez nous, c�est qu�on est encore dans un d�bat tr�s polaris� : la m�chante banlieue oppos�e au bon centre-ville. La v�rit�, c�est que la banlieue est extr�mement diversifi�e comme les quartiers centraux. Il faut plut�t intervenir de fa�on fi n e. Le nouvel urbanisme propose des principes importants et pas seulement des applications formelles. Ce que je crains dans le nouvel urbanisme, c�est qu�on s�accroche trop aux formes. (N.D.L.A : contenant sans contenu) Il ne faut pas y voir uniquement une nouvelle fa�on de faire des lotissements en banlieue. Parce que faire des lotissements de banlieue en demi-cercles ou en grilles orthogonales, ce n�est pas suffisant. Le nouvel urbanisme doit �tre le lieu o� l�on pense la ville autrement pour la rendre plus conviviale et o� l�on cherche � mieux int�grer les gens, les activit�s et les �quipements. "
Personnellement, pour conclure, je crois qu'on devrait pousser plus � fond ce concept de nouvel urbanisme et l'appliquer dans nos environnements urbains existants. D�velopper une v�ritable symbiose entre humains et milieu, cela suppose �radiquer ce qui peut nous ali�ner, nous les humains : la liste des "irritants" � combattre est longue, j'en conviens! En cons�quence, tous les champs de comp�tences pluridisciplinaires de l�urbanisme devraient travailler de concert: reste � savoir si les d�cideurs politiques suivront cette nouvelle vague...et aussi le reste...
Comme disait Francis dans l'un de ces billets, "il y a des humains derri�re chaque ville": la ville trouve son existence dans l'humain. Au sens politique et social du terme, pas d�humains, pas de ville, et dor�navant, il ne faudra plus l'oublier! Un consensus se dessine: l'urbanisme ne rime plus seulement qu'avec infrastructures, routes et b�timents. Cela est d�pass�, nous sommes au 21e si�cle, et nous avons de nouveaux d�fis � relever. " Thinking outside the box ! "
Merci � Jean Cazes pour sa collaboration
**********
Source: Julie Lemieux, Le Soleil, 19 d�cembre 2006.
Les n�gociations avec les membres de U2 pour leur participation aux F�tes du 400e de Qu�bec viennent de franchir une autre �tape. Les alli�s du promoteur du projet, Nemex Network, rencontreront le responsable des tourn�es du groupe irlandais en janvier pour parler business, ce qui prouve l�int�r�t de U2 pour ce spectacle.
Le pr�sident du bureau torontois de l�agence Feldman, Vinny Cinquemani, qui travaille avec Nemex pour faire venir U2 � Qu�bec, semblait optimiste, hier, apr�s avoir discut� avec les collaborateurs du groupe. � Le calendrier de 2008 est ouvert pour un spectacle � Qu�bec le 26 juillet. Jusqu�� pr�sent, c�est tr�s positif. Mais on en saura plus en janvier �, a rapport� au Soleil le pr�sident de Nemex, Karl Talbot.D�autres n�gociations vont aussi bon train avec Sum 41, Simple Plan, Rush et Justin Timberlake pour qu�ils participent � ce m�gaspectacle-b�n�fice de 12 heures sur les plaines d�Abraham. Un �v�nement � saveur internationale qui aura pour objectif d�aider les gens dans la pauvret�, tout en soulignant les 400 ans de Qu�bec.
Aussi, ce billet.
**********
19 d�cembre 2006
Cette int�ressante information, je l'ai vue derni�rement sur le Forum Qu�bec de Skyscraperpage.com. Merci � Mathieu! Un gros bolo bien personnel toutefois � ceux qui y �mettent certains commentaires imb�... pardon, immatures!
Source: Comit� populaire Saint-Jean-Baptiste.
Au cours des derniers mois, le comit� am�nagement du Comit� populaire Saint-Jean-Baptiste a imagin� les premi�res esquisses d�un projet pilote de rue partag�e dans le quartier. Ce projet vise � offrir un espace public de qualit� aux r�sidant-es, tout en rendant plus convivial le passage des pi�ton-nes. (...)
Les d�tails. Aussi, ce billet.
**********
Source: Radio-Canada (Qu�bec), 19 d�cembre 2006.
Le Groupe Germain veut conqu�rir le march� canadien de l'h�tellerie.En partenariat avec Grenville Properties Limited, cette entreprise familiale qu�b�coise sp�cialis�e dans les h�tels-boutiques de prestige investira 110 millions de dollars pour construire un complexe de 20 �tages � Calgary. (...)
Par ailleurs, des journaux ont �voqu� mardi un partenariat entre le Groupe et Maple Leaf Sports & Entertainment Lt�e de Toronto. Il s'agit de la construction d'un h�tel de 171 chambres, Le Germain Maple Leaf Square, qui sera reli� au Centre Air Canada, au coeur de la Ville Reine, o� les Maple Leafs disputent leurs parties de hockey. (...)
Le Groupe Germain poss�de quatre h�tels, dont deux dans la ville de Qu�bec, un � Montr�al et un autre � Toronto.
**********
Je trouve comique et incoh�rent de se plaindre de la circulation, autant automobile ou du transport en commun, car comme c'est sous-entendu dans l'article, on peut penser que bons nombres de r�sidents utilisent l'automobile au lieu du r�seau du RTC. Encore un"pas dans ma cour"
Source: Jancimon Reid, Qu�bec Hebdo, 14 d�cembre 2006
La circulation automobile effr�n�e sur les rues de la Broussaille, de Bogota, de la Belle-Arriv�e et de la Rive-Bois�e Nord soul�ve l�indignation des r�sidants du secteur Les M�andres qui voient d�un mauvais �il le passage de trois parcours d�autobus du R�seau de transport de la Capitale (RTC) dans les rues du quartier.
Utilis�e � tous vents par les automobilistes comme voie de contournement pour �viter l�intersection Saint-Jacques/Chauveau, la rue de Bogota � Neufch�tel a vu sa circulation automobile augmenter pendant les heures de pointe ainsi que sa qui�tude chavirer lors des p�riodes de constructions.
Voir la suite.
**********
Source: Fr�d�rick Masson, Qu�bec Hebdo, 7 d�cembre 2006
Quel est le nom du premier habitant � s��tre install� dans le faubourg Saint-Jean? Qu�y avait-il entre 1823 et 1834 sur l�actuel site de l��glise Saint-Jean-Baptiste? Qu�est-ce que le coin flambant? Tant de r�ponses qui se retrouvent dans la brochure intitul�e �Histoire de raconter - Le faubourg Saint-Jean�, un tout nouvel outil pour d�couvrir l'histoire et les richesses patrimoniales de ce secteur historique de la capitale.
Voir la suite.
**********
Source: Denis Fortin, Qu�bec Hebdo, 14 d�cembre 2006
L��tat actuel de l��glise Bon-Pasteur et la somme de 500 000 $ � investir dans sa r�novation sont deux des raisons qui ont incit� les membres de l�assembl�e de fabrique Bienheureux-Jean-XXIII � annoncer le 11 d�cembre dernier la fermeture � compter du 31 d�cembre 2007 de l��glise Bon-Pasteur.
Voir la suite.
**********
18 d�cembre 2006
J'en ai fait mention dans ce billet r�dig� en septembre: ce sera finalement une autre r�sidence pour a�n�s!
"Les Jardins de la Noblesse" (475, boul. de l'Atrium) ont fait l'objet de la publicit� ci-bas dans Le Soleil de samedi dernier.
**********
17 d�cembre 2006
Que se passe t'il ici � Qu�bec ??? Un changement dans nos habitudes de consommations seraient tr�s souhaitable
Source: Isabelle Mathieu, Le Soleil, 13 novembre 2006
Avec la popularit� grandissante du recyclage et du compostage, on s�imagine que la quantit� de d�chets diminue. Mais c�est le contraire qui se passe � Qu�bec...
La quantit� d�ordures envoy�es � l�incin�rateur et aux sites d�enfouissement de Saint-Tite-des-Caps et de Saint-Joachim aura augment� d�environ 1,7 % en 2006, a expliqu� hier Beno�t Delisle, responsable de la gestion des mati�res r�siduelles, lors de l��tude du budget municipal.
� Dans nos pr�visions, on s�attendait � recevoir environ 288 000 tonnes de d�chets et on va en avoir eu � peu pr�s 293 000 tonnes, relate M. Delisle. �a augmente de fa�on significative, malgr� les efforts de recyclage, de compostage et dans les �cocentres. �
**********
16 d�cembre 2006
... Il faut dire cependant qu'il faisait temp�te, il y a deux semaines!
Voir aussi ce billet.
**********
15 d�cembre 2006
Source: Radio-Canada Qu�bec, 15 d�cembre 2006.
Selon Environnement-Canada, l'hiver tarde � s'installer. Le m�t�orologue Ren� H�roux indique que les chances que la r�gion de Qu�bec vive un No�l blanc semblent diminuer � cause des temp�ratures douces. (...)
**********
Source: Fran�ois G. Cellier, CondoL�gal.com, 13 d�cembre 2006.
Tendance lourde et irr�pressible, ph�nom�ne en plein essor, la vie en copropri�t� est en train de se tailler la part du lion au Qu�bec. Ann�e apr�s ann�e, les chiffres le d�montrent clairement, de plus en plus de consommateurs optent pour ce type d�habitation. (...)... le ph�nom�ne se propage �galement dans d�autres villes qu�b�coises comptant 100 000 habitants et plus. C�est le cas de Qu�bec, Sherbrooke et Gatineau, qui connaissent elles aussi une pouss�e irr�sistible en faveur de la copropri�t�. Le mouvement est moindre qu�� Montr�al, certes, mais il sera int�ressant d�en observer l��volution au cours des prochaines ann�es. (...)
La suite.
Merci � G�rald Gobeil pour nous avoir signal� cet article!
**********
Source: �ric Moreault, Le Soleil, 14 d�cembre 2006.
Montr�al et Qu�bec figurent toutes deux dans les 10 premi�res positions d�un classement �tablissant les 50 premiers pollueurs de l�eau au Canada. Outre les villes, l�industrie des p�tes et papiers figure en bonne place pour en ce qui concerne les rejets polluants.
Montr�al et Qu�bec se retrouvent respectivement aux troisi�me et huiti�me rangs, en raison de l�importance des rejets d�ammoniac et de phosphore des usines de traitement d�eaux us�es.Le phosphore est g�n�r� en grandes quantit�s par les excr�ments. Il a beaucoup fait parler de lui ces derniers mois car il acc�l�re le vieillissement des plans d�eau (eutrophisation) et cause les �pisodes de cyanobact�ries � plus de 70 au Qu�bec, dont les lacs Saint-Joseph et Saint-Charles.
En fait, 6 des 10 premiers rangs sont occup�s par les grandes villes canadiennes. Qu�bec peut au moins se consoler en pointant que la toxicit� de ses rejets a diminu� entre 2003 et 2005. Montr�al, au contraire, figure au top cinq de ceux dont la toxicit� des rejets a augment� m�me si elle �limine 70 % du phosphore.
Voir aussi ce billet.
**********
14 d�cembre 2006
Ci-haut, agrandissement de l'�difice Genivar, l'un des moins, disons, banals dans un secteur de la ville (une mer d'asphalte, en fait!) domin� par de tristes constructions qui �pousent le plus pur "style" power center...
Par ailleurs, tout pr�s (photo ci-bas), selon Le Soleil de ce matin, "L'immeuble de la soci�t� en faillite Flamidor (...) vient d'�tre vendu pour la somme de 1,35 million $ au promoteur immobilier F�lix Roussin, des immeubles Roussin."
Aussi, ce billet.
**********
Source: H�l�ne-Andr�e Bizier (2006), Une histoire du Qu�bec en photos, Montr�al, Fides, page 27.
Au cours de la premi�re d�cennie du XXe si�cle, plus d'une soixantaine d'incendies accidentels graves sont recens�s au Qu�bec. Le feu se d�clare plus fr�quemment pendant la saison froide et, dans la plupart des cas, des �tincelles jaillissant des chemin�es d�fesctueuses ou mal entretenues sont en cause. (...)
Voir aussi, sur le m�me sujet, cette autre publication.
Au fait, ce b�timent existe-t-il toujours, et � quel endroit? Merci par ailleurs � Mme Bizier et Fides pour m'avoir permis de contribuer modestement � ce magnifique ouvrage en y publiant ma photo "Premi�re belle temp�te du mill�naire, rue Saint-Jean" (p. 297), prise il y a un an [billet].
**********
Source: Pierre Pelchat, Le Soleil, 13 d�cembre 2006.
Les tarifs pour monter � bord des autobus du R�seau de transport de la Capitale (RTC) seront augment�s de 2% � compter du 1er mars prochain.Le conseil d�administration de l�organisme pr�sid� par le conseiller municipal Gilles Marcotte a adopt�, hier, � l�unanimit�, la nouvelle grille tarifaire qui fait passer le co�t du laissez-passer mensuel de 65 $ � 66,35 $ et du laissez-passer pour �tudiant de 43,65 $ � 44,55 $.
� On veut laisser les tarifs � un niveau raisonnable pour les usagers �, a r�pondu M. Marcotte � un citoyen lors de la r�union du conseil d�administration.
Voir aussi ce billet.
**********
13 d�cembre 2006
Source: Radio-Canada (Qu�bec), 13 d�cembre 2006.
La r�gion m�tropolitaine de Qu�bec se situe au 4e rang de 20 r�gions m�tropolitaines du Canada et du nord-est des �tats-Unis pour sa performance �conomique, selon une �tude du Conference Board du Canada.Les villes de Vancouver, Edmonton et Calgary occupent les premiers rangs. (...)
**********
Source: Cyberpresse, 8 d�cembre 2006.
Dans son dernier �regard objectif sur l'habitation� dans la r�gion m�tropolitaine de Qu�bec, la Soci�t� canadienne d'hypoth�ques et de logement (SCHL) a d�nombr�, l'�t� pass�, 3363 pancartes, soit 335 de plus qu'en 2005.Tandis que la demande de propri�t�s r�sidentielles se stabilise, l'offre cro�t. C'est pourquoi on plante plus de pancartes. Parce que, entre autres raisons, �plusieurs m�nages veulent profiter de l'importante prise de valeur de leur propri�t� au cours des derni�res ann�es pour en acheter une nouvelle, mieux adapt�e � leurs besoins ou encore pour redevenir locataires�.
Copropri�t�s
Sur le march� de la revente, par ailleurs, les copropri�t�s sortent des rangs. Elles ont du succ�s. Il y a 15 ans, elle repr�sentaient 9 % de toutes les ventes sur le r�seau interagences. De janvier � septembre de cette ann�e, leur part de march� atteint 21 %.
D'apr�s la SCHL, ce mode de propri�t� pla�t aux personnes vieillissantes qui veulent s'affranchir de certaines t�ches d'entretien tout en cherchant la s�curit� et � d'autres qui y voient une fa�on �conomique d'acc�der � la propri�t�.Quant � leur appr�ciation, elle devrait �tre, cette ann�e, moindre (5,4 %) que les maisons jumel�es ou en rang�e (7,1 %) et les maisons seules (8,1 %). L'an prochain, les augmentations seront probablement de 3,2 %, 5 % et 6 % respectivement.
Les copropri�t�s tra�nent de la patte en raison du nombre moyen de vendeurs par acheteur, qui est de 7,6 par opposition � 3,3 pour les maisons jumel�es ou en rang�e et de 5,5 pour les maisons seules. � 3,3, on parle d'un march� en surchauffe. C'est aussi le cas (3,0) pour les maisons seules de 100 000 $ � 150 000 $.
En revanche, les copropri�t�s de 200 000 $ et plus sont en difficult�. En effet, le ratio �vendeurs par acheteur� est de 12,5. Ainsi les premiers c�dent-ils le contr�le au second. De la m�me mani�re pour les maisons seules (11,1), dans la m�me fourchette de prix.
Et tandis qu'il faut 92 jours pour vendre un condo de 200 000 $ et plus, il en faut 74 pour un autre dont la valeur oscille entre 125 000 $ et 150 000 $. En contrepartie, il en faut 38 en moyenne pour les maisons jumel�es ou en rang�e, mais 50 pour celles de plus de 150 000 $.
Voir aussi ce billet.
Merci � G�rald Gobeil pour nous avoir signal� cet article!
**********
12 d�cembre 2006
Source: Julie Lemieux, Le Soleil, 11 d�cembre 2006.
La r�fection de l�Agora et son maintien dans le Vieux-Port co�tent beaucoup plus cher que pr�vu. Tellement plus cher que le gouvernement f�d�ral a d� refaire ses devoirs et retravailler les plans de l�am�nagement de la Pointe-�-Carcy afin de minimiser les frais de ce legs pour 2008.Selon le pr�sident du conseil d�administration de la Commission des champs de bataille nationaux, Andr� Juneau, le gouvernement f�d�ral est � pris � avec l�Agora. L�ensemble des travaux de r�am�nagement de la Pointe-�-Carcy devaient mener � un investissement de 16,4 millions $, mais les co�ts de r�fection de l�amphith��tre ont �t� sous-estim�s. Le gouvernement doit donc faire face � un d�passement du budget pr�vu et plancher sur de nouvelles solutions.
� Quand ils ont vu ce que �a co�tait (de r�nover l�Agora), �a leur a fait peur. C��tait irr�aliste de d�molir et de tout reconstruire � ce prix-l� �, a affirm� M. Juneau, lors d�une entrevue au Soleil. L�information a �t� confirm�e par une autre source pr�s du dossier.
Aussi, cet autre billet.
**********
11 d�cembre 2006
Source: Pierre Pelchat, Le Soleil, 10 d�cembre 2006.
Le co�t �lev� du projet de tramway vient en t�te des motifs invoqu�s par les personnes (26 %) qui sont oppos�es au projet, selon le sondage r�alis� pour le R�seau de transport de la Capitale.Ensuite, c�est la priorit� � am�liorer le service (22 %), l�inutilit� de modifier le r�seau actuel (13 %) et le fait que la ville est trop petite et que le tramway prendra trop de place (10 %) qui sont au nombre des principales raisons pour �tre en d�saccord avec le projet.
En 2003, une �tude tra�ant les grandes lignes du projet de tramway a �tabli � 650 millions $ le co�t total du projet. Plus de la moiti� du budget a �t� r�serv� pour les infrastructures et les am�nagements urbains. Ce projet n�cessitera le d�placement de plusieurs conduites d��gout et d�eau afin que la circulation du tramway ne soit pas interrompue en raison d�un bris d�aqueduc ou du remplacement de tuyaux d��gout. L�achat des wagons co�tera plus de 74 millions $. Ces chiffres sont d�j� d�pass�s puisque l��tude remontre � quatre ans.
Voir aussi ce billet.
**********
10 d�cembre 2006
Pour faire suite aux multiples commentaires re�us r�cemment en r�action � certains billets, voici donc quelques d�finitions et concepts d'urbanisme qui � mon point de vue, peuvent �clairer certains lecteurs. Beaucoup en effet - et ce n'est pas une critique! - n'ont pas la m�me conception de ce que c'est, l'urbanisme, notamment en regard de son �volution � l'aube du 21e si�cle. Bien entendu, ce billet bien personnel ne pr�tend pas faire le tour de la question: il vise simplement � se faire une id�e g�n�rale d'un sujet qui m�rite d'�tre examin� � fond,(quelques fois en dehors des sentiers battus) consid�rant toutes les r�flexions qu'il suscite au sein de Qu�bec Urbain...
Sur Wikip�dia, on retrouve une br�ve description de l'urbanisme. Cette science serait donc qualifi�e de pluridisciplinaire, pouvant �ventuellement incorporer entre autre le champ de la psychologie, c'est-�-dire, en quelque sorte, l�influence du milieu sur l��tre humain, et l�influence de l��tre humain sur le milieu.
De plus en plus, (sur d'autre site tel celui de la Ville de Gatineau entre-autre), on note l'�mergence de ce qu'on qualifie donc de "nouvel urbanisme"; un concept qui diff�re un peu d'un organisme � l'autre m�me s'il repose sur les m�mes principes de base:
"Le nouvel urbanisme ou l�urbanisme n�o-traditionnel vise
essentiellement � renverser les tendances de l��talement urbain et de la
pr�pond�rance de l�automobile qui s�est impos� au lendemain de la Seconde
Guerre mondiale en Am�rique du Nord. Un retour aux sources, le nouvel
urbanisme encourage la cr�ation et la r�habilitation d�espaces urbains
compacts, diversifi�s et int�ressants o� les r�sidents peuvent se d�placer
facilement selon le mode de leur choix, pr�f�rablement � pied, � bicyclette
ou en utilisant le transport en commun, et o� la qualit� de vie prend son
essor dans un cadre urbain de haute qualit�. Parce que les nouveaux
quartiers urbains qui s��rigent sur la base de ces principes rappellent le
village d�autrefois, on y r�f�re souvent comme �tant des "villages
urbains".
Donc voici r�sum�s les quelques principes de ce "nouvel urbanisme" tels que d�crits dans sur "Congress for new urbanism" et le site de la Ville de Gatineau:
1-Une mixit� et diversit� des usages et des r�sidents;
2-Des densit�s plus �lev�es;
3-Une accessibilit� pi�tonne accrue;
4-Une diversit� de l�habitation;
5-Une qualit� de l�architecture et du design urbain;
6-Un r�seau de transport intelligent;
7-Un d�veloppement urbain durable;
8-Et enfin un d�veloppement social inclusif.
... � suivre en deuxi�me partie!
**********
09 d�cembre 2006
"Artiste autodidacte, Roger C�t� a appris les rudiments de la photographie dans sa ville natale de La Tuque, o� ses voisins, sa famille, ses amis lui servent de premiers mod�les. Quelques ann�es plus tard, � Qu�bec, il entame une carri�re professionnelle, notamment dans le monde de la publicit� et de l'�dition. En 1988, lors d'un s�jour en Irlande, il a la chance de rencontrer le photographe de renomm�e mondiale Fergus Bourke, avec qui il d�couvre de nouvelles facettes de son m�tier. Aujourd'hui, son livre Qu�bec� pour la vie constitue l'aboutissement d'un projet qui lui tenait � coeur depuis longtemps : dire en noir et blanc, par la beaut� de ses gens, toute l'affection qu'il nourrit pour sa ville d'adoption."
"Simples citoyens ou acteurs importants de la communaut�, plusieurs personnes ont tenu � d�montrer leur attachement � la ville de Qu�bec, avec quelques mots aussi finement pos�s que les photographies de Roger C�t�. Il s'agit de Louisa Blair, Sylvie Drolet, France Ducasse, Paul Dumont, Jean-Simon Gagn�, Jean-Paul L'Allier, Sylvain Leli�vre, Louis-Guy Lemieux, Dani�le Marcoux, Claire Martin, Andr�e A. Michaud, Andr� Morency, Jean Provencher, Alain Roberge et Julie Stanton."
Qu�bec... pour la vie
de Roger C�t�
Ouvrage de 144 pages
Illustr�
Prix de d�tail : 54.95 $
ISBN 2-89448-482-8 (2006)
Merci � R�jean Lemoine qui par le biais de sa chronique du samedi matin nous a fait d�couvrir ce photographe "urbain"!
**********
Source: Radio-Canada (Qu�bec), 7 d�cembre 2006.
La Grande Guignol�e des m�dias � Qu�bec a permis d'amasser un peu plus de 140 000 $. L'an dernier, ce montant avait �t� atteint seulement le 22 d�cembre. Ce montant n'inclut pas les dons amass�s � bord des autobus du RTC. En ce qui a trait aux denr�es, seulement dans la journ�e de jeudi, les dons recueillis sont �valu�s � pr�s de 123 000 $.
Aussi, ce billet.
**********
08 d�cembre 2006
... cette fois � partir du segment fra�chement restaur� des berges de la rivi�re Saint-Charles (phase III), � l'est du pont Marie-de-l'Incarnation!
Voir aussi ce billet.
**********
07 d�cembre 2006
Apr�s la g�n�ration des enfants-rois, celle des "enfants-moumounes"? Et on se plaint, ensuite, qu'ils se terrent les beaux jours d'�t� dans les sous-sol � "jouer � l'ordi" et qu'ils deviennent s�dentaires... et gros! [billet] Quatre points de suture � 8 ans, ou deux pontages cardiaques � 40 ans: qu'est-ce qui co�te le plus cher, finalement, du point de vue collectif pour les "payeurs de taxes"?
L'article qui suit confirmerait-il cette tendance lourde que j'observe dans les parcs de Qu�bec depuis quelques ann�es, les bancs en bois des bonnes vieilles balan�oires de mon temps remplac�s par du caoutchouc mou qui paradoxalement, fait mal aux fesses? Interdira-t-on bient�t aux petits de grimper dans les arbres ou de jouer dans les ruelles sous pr�texte que c'est "dangereux"?
Je caricature � peine; ce sujet � mes yeux m�rite r�flexion... et pardonnez mon ton �ditorialiste, voire moraliste! ;-)
Source: Silvia Galipeau, La Presse, 4 d�cembre 2006.
Interdiction formelle de jouer � la �tag� dans certaines cours d'�coles primaires am�ricaines, r�v�lait derni�rement le l.a. times. Dans quelques parcs, on a aussi banni les balan�oires. Objectif? S�curit�. Ici et l�, des chercheurs sonnent l'alarme. Ils revendiquent quelque chose de hautement subversif. Tenez-vous bien: la r�habilitation du jeu et de ses incontournables �gratignures.Pas question d'aller au parc apr�s la tomb�e de la nuit. On ne se bouscule pas dans le module. Par les escaliers, la glissoire, fiston. Pas trop fort, la balan�oire, fillette. Et si nos enfants avaient besoin de se faire quelques petits bobos ici et l�, histoire de grandir enfin? (...)
La suite. Aussi, cet autre billet.
**********
Source: Au fil des �v�nements, 7 d�cembre 2006.
L�Universit� Laval et la Commission de la capitale nationale du Qu�bec ont d�voil�, mardi, les r�sultats du Forum �Les jeunes d�ici � Partir ou rester� qui a eu lieu sur le campus le 2 avril dernier, et rendu publics les actes de cette rencontre. Ce forum visait � sonder, de fa�on novatrice, la connaissance qu�ont les jeunes de moins de 35 ans des forces et des faiblesses de la ville de Qu�bec, ainsi que leur perception des enjeux majeurs que repr�sentent pour leur avenir l�exode des cerveaux, le vieillissement de la population, l�immigration stagnante et le mouvement mondial vers une �conomie du savoir. (...)
**********
Source: Nicolas Houle, Le Soleil, 6 d�cembre 2006.
Apr�s le d�Auteuil, les Oiseaux de passage, l�Autre caserne et le Kashmir, c�est au tour de l�Arlequin de cesser ses activit�s. Le bar-spectacles, qui a d�j� vu Gilles Vigneault et Marie-Claire Blais refaire le monde, affiche d�sormais � ferm� � dans son site Web, comme � sa porte. (...)
**********
06 d�cembre 2006
Deux photos provenant de mes archives datant fin ann�es 80. D�sol� pour le mauvais cadrage, mais j'�tais novice dans ces temps-l� avec un appareil photo format 110. Ah oui le spot de fum�e noir en plein ciel, c'�tait les coups de canon de la citadelle. **********
Un lecteur de Qu�bec Urbain nous �crit � propos de ces archives qu'ils nous a g�n�reusement fournies:
Un coll�gue de travail m'a pass� deux photos anciennes du pont de Qu�bec, prises par son p�re (Arthur Collin), probablement dans les ann�es 30 ou 40. Il avait d� escalader la structure pour pouvoir les prendre. D'ailleurs, selon Wikip�dia � Durant les ann�es suivant sa construction, il �tait monnaie courante pour les gens habitant � proximit� du Pont de Qu�bec d'y faire une promenade dominicale sur les plus hauts sommets de sa structure, telle pratique �tant � l'�poque tol�r�e. � (...)
Voir aussi ce billet.
Merci � Xavier Darras pour sa pr�cieuse collaboration!
**********
Source: Isabelle Mathieu, Le Soleil, 5 d�cembre 2006.
Les citoyens de Qu�bec �coperont d�une hausse de taxes de 5,4 % l�an prochain, la plus forte jamais impos�e depuis la fusion. Pas ma faute, se d�fend la mairesse Andr�e Boucher, qui pointe le laxisme de l�administration pr�c�dente et la gourmandise des employ�s municipaux.Au moment de son �lection, Andr�e Boucher avait promis de donner de grands coups de balai dans les finances de la Ville.
Les propri�taires auront plut�t l�impression de recevoir un � uppercut � en 2007, avec des hausses de taxes pour la r�sidence unifamiliale qui varient de 4,97 % � Beauport � 9,84 % � Lac-Saint-Charles. Dans ce dernier cas, l�augmentation est presque cinq fois plus forte que l�inflation !
Aussi, l'article suivant: Les syndicats vont �coper. Voir �galement ce billet.
**********
05 d�cembre 2006
Source: Radio-Canada (Qu�bec), 4 d�cembre 2006.
Inquiets de l'augmentation du nombre de sans-abri, des groupes communautaires et deux d�put�s p�quistes ont r�clam� la tenue d'une premi�re commission parlementaire sur l'itin�rance � l'Assembl�e nationale. L'objectif est de parvenir � un v�ritable plan d'action sur cet enjeu de soci�t�. (...)� Qu�bec, le
Regroupement pour l'aide aux itin�rants estimait en 2004 que le nombre de sans-abri atteignait 16 000 personnes. (...)
**********
Personnellement ce n'est pas mon genre d'habitation que je pr�f�re... Mais je suppose que cela pourrait donner des id�es pour palier temporairement la p�nurie de logement ici � Qu�bec...
Source: Bloomberg
Rose Mandungu r�vait de louer un bateau-logement sur un canal d'Amsterdam lorsqu'elle a commenc� ses �tudes universitaires. Mais la seule place qu'elle a pu trouver fut un conteneur converti. �Je cherche un meilleur endroit o� habiter�, explique l'�tudiante en criminologie qui a emm�nag� l'an dernier dans l'un des 380 conteneurs d'acier diss�min�s sur un chantier naval infest� de rats et de coquerelles.
Mais ce n'est pas de sit�t que mademoiselle Mandungu, 20 ans, pourra quitter le premier village de conteneurs �tabli � Amsterdam. C'est qu'il y a 150 pr�tendants pour chaque tranche de 100 maisons � louer dans la capitale n�erlandaise, selon le minist�re n�erlandais de l'Habitation.
Voir la suite.
Voir aussi ce billet.
**********
04 d�cembre 2006
Plus de 15 millions $ sont investis dans ce chantier qui prend forme sur la 18e Rue.
**********
03 d�cembre 2006
D�tails techniques: Ce vid�o n'a PAS �t� r�alis� avec un camescope, mais bien avec une cam�ra num�rique tirant � 8 images par seconde, et coll� ensuite ensemble pour cr�er un effet vid�o. Pr�s de 3000 images ont �t� photographi� et environs 2000 ont �t� utilis� pour le montage final.
**********
Photographe � d�couvrir, pour ceux qui aime les photos urbaines de la ville de Qu�bec. Deux ouvrages: Qu�bec ville de lumi�re & Le Vieux-Qu�bec sous la neige.. Depuis plus de trente ans, le photographe Claudel Huot, un r�sidant de la basse ville, demeure toujours s�duit par la lumi�re �vocatrice de la cit� de Champlain. Sa production d�images construit un regard po�tique et intimiste du Vieux-Qu�bec. L�historien Michel Lessard, sp�cialiste de l�histoire de la photographie, lui aussi un amoureux de Qu�bec, resitue ces �uvres dans leurs contextes.
Artiste autodidacte multidisciplinaire, Claudel Huot �uvre particuli�rement en photographie depuis plus de trois d�cennies. Il parcourt les quartiers de la Vieille Capitale au fil des saisons et des lumi�res, � la recherche de paysages urbains intemporels. Ses photographies ont fait l�objet de plusieurs publications produites sous forme de cartes, d�affiches et de livres.
**********
02 d�cembre 2006
22, 6 M$ pour des travaux au Centre hospitalier Robert-Giffard
Source: Michel B�dard, Qu�bec-Hebdo
Des investissements de plus de 22,6 M$ seront consacr�s pour des r�novations majeures et le remplacement d�un syst�me de radioscopie au Centre hospitalier Robert-Giffard. Les travaux d�buteront en 2007 pour s��chelonner sur plusieurs ann�es.
Voir la suite.
La conversion du zoo en jardin tra�ne en longueur
Source: Fran�ois Cattapan, Qu�bec Hebdo
Apr�s l'inauguration en d�but d'automne du parc des Moulins, sur une portion de l'ancien Jardin zoologique de Qu�bec, l'annonce de la r�ouverture du site sous une nouvelle vocation �horticole� tarde toujours � venir.
Voir la suite.
Nouveau centre d�h�bergement de la Pointe Sainte-Foy
Source: Fran�ois Simard, Qu�bec Hebdo
Les travaux de construction du nouveau centre d�h�bergement de la Pointe Sainte-Foy sont amorc�s. Le d�put� de Louis-H�bert, Sam Hamad, a lanc� officiellement le chantier le 27 novembre dernier en pr�sence de plusieurs des artisans de ce projet de plus de 12 M$.
Voir la suite.
**********
Source: Pierre-Andr� Normandin, Le Soleil, 1 novembre 2006
La renaissance du d�Auteuil � Sainte-Foy n�y changera rien, la maison Loyola demeurera une plaie b�ante aux portes du Vieux-Qu�bec. En entrevue au Soleil, le propri�taire du b�timent d�saffect�, Jean Alart, se dit pr�t � vendre � perte... mais ne se sent pas press� pour autant.
Les tuiles ne cessent de s�abattre sur tout projet de r�ouverture du b�timent depuis l�effondrement de sa fa�ade en mai 2001. Les travaux de r�novation alors entrepris ont d� �tre annul�s apr�s la chute d�un deuxi�me mur, moins de deux mois plus tard. Toutes les d�marches pour obtenir des subventions ont abouti dans un cul-de-sac. Et depuis, aucun acheteur s�rieux ne s�est pr�sent�, selon M. Alart.
En fait, le seul acheteur v�ritablement int�ress� n�a pas un sou, d�plore-t-il. La Maison Dauphine, qui vient en aide aux jeunes de la rue, aimerait bien agrandir ses locaux pour ouvrir une �cole dans le b�timent voisin, inutilis� depuis plus de cinq ans. Mais les n�gociations entreprises voil� pr�s de trois ans tra�nent en longueur. � Ils souhaitent que je m�engage � leur vendre � un prix que j�estime raisonnable, m�me si je perds beaucoup (d�argent), mais eux ne s�engagent � rien �, r�sume M. Alart.
De r�centes n�gociations avec l�organisme ont � nouveau �chou�. Le propri�taire de la maison Loyola accepte l�id�e de vendre pour y voir une �cole ouvrir, mais il estime ne pas avoir les assurances n�cessaires.
**********
01 d�cembre 2006
Image classique de Qu�bec, on aime ou on aime pas !!! **********
Source: Michel LaFerri�re, Le Soleil, 1 d�cembre 2006
Martin Dubois �tait tout sourire, la semaine derni�re. Et pour cause! Il tenait enfin Habitat et espace vital au Qu�bec, le troisi�me livre de l'�cole d'architecture de l'Universit� Laval, dont il a une fois de plus supervis� la r�alisation.
Pour concr�tiser ce tr�s bel ouvrage de 260 pages, il a invit� les membres de l'Ordre des architectes du Qu�bec � lui soumettre leurs projets r�sidentiels les plus int�ressants depuis 1990. Il en a re�u 200. Et il en a retenu 100, qui sont pr�sent�s dans de courts textes, avec des photos couleur, ainsi que des plans et des coupes.
Voir la suite.
**********
Source: Simon Boivin, Le Soleil, 30 novembre 2006.
Robert Lepage peaufine son projet de transformation du tunnel sous l�autoroute Dufferin-Montmorency en espace de cr�ation et de diffusion artistique.Le metteur en sc�ne de renomm�e internationale a rencontr�, hier, la mairesse Andr�e Boucher et les ministres Michel Despr�s et Line Beauchamp, pour leur exposer certaines � hypoth�ses de travail �. (...)
**********
Profitant de ma journ�e de cong�, cette d�testable "surprise" m'attendait, h�las, ce matin...
Voir aussi ce billet.
**********
Source: Raymond Poirier, Voir Qu�bec, 30 novembre 2006.
La qualit� de l'air � Qu�bec est plut�t bonne. Chaque hiver, la population ne doit s'attendre qu'� environ cinq �pisodes de smog, ce qui est nettement sous la moyenne canadienne. Mais, actuellement stable, la qualit� de l'air pourrait bien se d�grader dans les ann�es � venir et avoir un effet direct sur la sant� des Qu�b�cois."Au Qu�bec, on a dormi sur nos lauriers depuis trop longtemps. La qualit� de l'air ne s'am�liore pas, elle se d�grade", fait valoir Andr� Belisle, pr�sident de l'Association qu�b�coise de lutte contre la pollution atmosph�rique (AQLPA) [billet]. Selon lui, le mal est connu. Et il en est de m�me de ses origines. (...)
**********
Source: Simon Boivin, Le Soleil, 30 novembre 2006.
"C�est l��quivalent de deux Place Qu�bec."... Ah! oui? Et si on en profitait, alors, pour relancer le projet d'agrandissement de cet immeuble annonc� (puis abandonn�) en 2002? [billet]
Le gouvernement f�d�ral est � la recherche de beaucoup d�espaces � bureau au centre-ville pour reloger ses 700 fonctionnaires en 2010.Ottawa a besoin d�un nouvel � �difice phare � au c�ur de Qu�bec. Son bail � la Gare maritime Champlain ne pourra �tre renouvel� et son �difice sur la route de l��glise est � v�tuste � et n�cessite des travaux.
� On va faire un appel aux promoteurs immobiliers et aux propri�taires � l�int�rieur du centre-ville de Qu�bec, a annonc� le ministre des Travaux publics, Michael Fortier, hier. On souhaite qu�ils nous fassent signe s�ils sont capables d�accommoder 200 000 pieds carr�s. C�est pas petit. C�est l��quivalent de deux Place Qu�bec. �
**********
Droit d'auteur concernant le mat�riel produit par Qu�bec urbain
Archives
avril 2007
mars 2007
f�vrier 2007
janvier 2007
d�cembre 2006
novembre 2006
octobre 2006
septembre 2006
ao�t 2006
juillet 2006
juin 2006
mai 2006
avril 2006
mars 2006
f�vrier 2006
janvier 2006
d�cembre 2005
novembre 2005
octobre 2005
septembre 2005
ao�t 2005
juillet 2005
juin 2005
mai 2005
avril 2005
mars 2005
f�vrier 2005
janvier 2005
d�cembre 2004
novembre 2004
octobre 2004
septembre 2004
ao�t 2004
juillet 2004
juin 2004
mai 2004
avril 2004
mars 2004