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Qui est le prochain?
31 janvier 2007
Encore de l'enfantillage en vue dans les prochains jours sur la sc�ne municipale? D�cid�ment... *soupir*
Source: Radio-Canada (Qu�bec), 31 janvier 2007.
La situation s'envenime entre le chef Max Gros-Louis et le groupe de citoyens qui s'opposent au projet d'h�tel-mus�e � Wendake.La r�cente d�claration du grand chef huron jette de l'huile sur le feu.
Max Gros-Louis menace d'�riger des barricades autour de la r�serve si le gouvernement ne lui accorde pas des cr�dits suppl�mentaires pour l'embauche de nouveaux policiers autochtones et la construction d'un nouveau poste de police.
Bruno Th�berge, porte-parole du groupe d'opposants, accuse le chef de vouloir prendre les voisins de Wendake en otage.
Il craint que le chef huron menace aussi de bloquer les routes si les gouvernements ne r�pondent pas favorablement � des demandes pour �ponger un �ventuel d�ficit du projet d'h�tel-mus�e.
Aussi, ce billet.
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30 janvier 2007
Source: Jean-Fran�ois N�ron, Le Soleil, 28 janvier 2007.
L�absence de parcom�tres, notamment sur une partie de la rue Saint-Joseph dans le nouveau Saint-Roch, fait l�envie de marchands d�autres grandes art�res commerciales. Ils y voient � une flagrante iniquit� � et r�clament maintenant � la Ville les m�mes avantages concurrentiels. (...)
La suite.
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29 janvier 2007
Source: Pierre Pelchat, Le Soleil, 29 janvier 2007.
Le laissez-passer gratuit dans les autobus pour les 20 000 �tudiants de l�Universit� de Sherbrooke conna�t un grand succ�s.En plus de r�gler des probl�mes aigus de congestion des stationnements, la gratuit� du transport en commun a permis de solutionner un probl�me de manque d�h�bergement pour les �tudiants. (...)
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Des millions pour la basse-ville
Un th��tre et des boutiques dans la �caverne� Dufferin
Source: Michel H�bert Le Journal de Qu�bec
Jean-Paul L'Allier risque d'avaler son caf� de travers en apprenant que la mairesse Boucher veut elle aussi un escalier, mobile et couvert, install� dans la falaise Dufferin et donnant acc�s � un th��tre souterrain, des boutiques et des liens pi�tonniers menant aux h�tels environnants et d�bouchant en surface pr�s de la rue Saint-Jean.
Pour le moment, l'administration Boucher-Marcoux garde ce projet sous le manteau � cause de la tourmente entourant le tournoi mondial de hockey, mais elle a d�j� obtenu l'assurance que la fameuse caverne lui sera bient�t c�d�e gratuitement par le gouvernement Charest.
Transports Qu�bec pr�voit terminer la d�molition des bretelles abandonn�es de l'autoroute Dufferin en mai, afin d'all�ger les acc�s autoroutiers � la haute ville et de proc�der � un r�am�nagement complet de l'entr�e dans la basse-ville, juste en bas de la �caverne�, o� le dramaturge Robert Lepage veut s'installer. L'administration Boucher-Marcoux a d�j� pr�vu d�penser neuf millions, auxquels s'ajoutera la facture du th��tre souterrain. Des informations non confirm�es font �tat de 2,5 millions � 3,5 millions en sus.
Acc�s
L'acc�s � ce th��tre se fera de deux fa�ons: � l'aide d'un escalier mobile couvert partant de la rue Saint-Vallier, en bas de la falaise, et � partir de deux escaliers partant du haut, � l'angle des rues Honor�-Mercier et C�te-de-la-Potasse. Deux villes de Chine collaboreront � l'am�nagement au sol d'inspiration asiatique.
Difficile de d�lier les langues pour parler de ce projet. �C'est le projet de la mairesse, on va la laisser l'annoncer�, nous a-t-on dit, mais quatre sources diff�rentes nous ont fourni des d�tails concordants.
Le diamant
On r�f�re au �tunnel� ou � la �caverne�, mais le Journal a appris que Robert Lepage l'a baptis� Le Diamant, en r�f�rence au cap du m�me nom. On y acc�derait donc par les escaliers ci-dessus mentionn�s et par un acc�s perc� dans le terre-plein � l'angle de la rue Saint-Jean, en face de l'h�tel Palace Royal. Le futur h�tel de la c�te d'Abraham y aurait aussi un acc�s souterrain.
Robert Lepage travaille activement � ce projet avec l'appui de la mairesse Boucher, qui voudrait, pour 2008, r�server au dramaturge qu�b�cois un accueil plus chaleureux que celui qu'a eu Guy Lalibert� et son Cirque du Soleil � Montr�al.
Le th��tre serait am�nag� dans la cavit� de la falaise creus�e jadis pour faire passer une autoroute, mais la duret� du roc avait d�courag� les autorit�s politiques. �tonnamment, ont constat� des experts, il y fait plut�t chaud en hiver et frais en �t�. Autour de 8 �C � 10 �C. Il faudrait tout de m�me chauffer l'endroit, l'�lectrifier, le climatiser, y installer des loges, des toilettes, etc.
Production
La troupe Les Gros Becs y pr�senterait 200 spectacles pour enfants par ann�e et des troupes �trang�res produiraient l� des pi�ces de Lepage. Entre Tokyo, Berlin et Montr�al, Robert Lepage dessine les croquis qu'il montrera sous peu � Mme Boucher.
Mercredi dernier, le ministre Michel Despr�s a annonc� que ces travaux co�teront 13,4 millions, dont environ 6 millions pour l'enl�vement des bretelles. Le reste irait � la reconfiguration du r�seau routier. La Ville y ajouterait au moins 9 millions, sans compter le Diamant de Lepage, �videmment. Le dramaturge ne veut pas accoler un chiffre pr�cis � son projet. La norme de construction d'un th��tre est d'environ 10 000 $ par place assise, ce qui porterait la facture du Diamant � 10 millions. Mais comme il n'a pas de murs � construire et que les structures de la caverne sont �comme neuves�, Qu�bec et Ottawa auront sans doute � �valuer un projet moins co�teux. �On ne sait pas combien �a co�tera. Ils vont faire une �tude de faisabilit� prochainement et on le saura ensuite�, disent les fonctionnaires.
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27 janvier 2007
Source: Val�rie Gaudreau, Le Soleil, 26 janvier 2007.
(...) Le moins que l�on puisse dire est que la soir�e d�hier avec son � 30 �C n��tait pas tout � fait la meilleure illustration des changements climatiques. Malgr� tout, quelques carnavaleux pr�sents au lancement officiel du 53e Carnaval de Qu�bec ont rappel� la menace au premier ministre Stephen Harper. Du bout de leurs mitaines, ils ont brandi des pancartes sur lesquelles ont pouvait lire � Et Kyoto ? � rappelant ainsi leur souhait de voir le Canada respecter ce protocole visant � r�duire les �missions de gaz � effet de serre. (...)
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Ce singulier b�timent fait actuellement l'objet d'importants travaux de transformation dans le cadre d'un vaste projet r�sidentiel qui, � tort ou � raison, suscite toujours de vifs d�bats...
Source: Paul-Louis Martin, Entre campagne et ville 1940-1950, Les Publications du Qu�bec, 1996, p. 124.
La prison des femmes. L'illusion parfaite cr��e � partir d'un film � l'infrarouge. Ne dirait-on pas une forteresse m�di�vale, plant�e au milieu des champs en culture, pour d�fier l'ennemi? Il s'agit plut�t de la Maison Gomin, construite au d�but des ann�es 1930, � Sainte-Foy, pour abriter des prisonniers. R�serv� ensuite aux d�tenues f�minines, l'�difice s'�l�ve de nos jours au milieu d'une vaste pelouse et continue de marquer de fa�on originale le paysage b�ti des environs.
Aussi, ce billet.
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26 janvier 2007
Source: Jean-pascal Lavoie, Qu�bec Hebdo, 26 janvier 2007
L�ouverture du boulevard Robert-Bourassa permet aux citoyens de Loretteville d�esp�rer b�n�ficier d�un parcours rapide d�autobus vers Sainte-Foy d�s l�automne prochain. Le conseiller Raymond Dion croit qu�il s�agit de l�occasion r�v�e pour d�velopper une mini-gare intermodale au coin Racine-Caron.
Voir la suite.
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Source: site de la Commission de la Capitale nationale.
Qu�bec, le 24 janvier 2007. � Pour une quatri�me ann�e cons�cutive, le vernissage de l'exposition des images gagnantes du concours de photographie Le fleuve Saint-Laurent aura lieu ce soir, d�s 18 heures, � l'Observatoire de la Capitale situ� au 31e �tage de l'�difice Marie-Guyart, � Qu�bec. Les 16 images prim�es et les 20 photographies ayant m�rit� une mention d'honneur seront expos�es sur place jusqu'en avril prochain. (...)
La suite.
Merci � G�rald Gobeil pour l'information!
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25 janvier 2007
Nouvelle confirm�e ce matin, h�las!
Ayant oeuvr� longtemps dans le millieu communautaire de Qu�bec, j'ai assist� � la petite histoire de ce commerce alternatif qui a d�j� eu "pignon sur rue" dans les d�funtes galeries Sainte-Anne. J'adresse donc mes sympathies � ses artisans et employ�s...
Source: Jean-Fran�ois Cliche, Le Soleil, 23 janvier 2007.
Il semble bien que la ressourcerie La Commode de Place Fleur-de-Lys, la plus grande � Qu�bec, devra fermer ses portes sous peu, d�apr�s des informations obtenues par Le Soleil.Un communiqu� envoy� hier � plusieurs personnes, mais pas aux m�dias, annonce en effet une � grande vente de fermeture � et adresse � tous un � merci sp�cial pour tout le soutien et l�encouragement que vous nous avez donn�s au cours des 6 derni�res ann�es �.
Le document �tait accompagn� d�un courriel du directeur g�n�ral de l�entreprise, Jacques Beaudet, pr�cisant que � les ventes que nous ferons dans les prochains jours nous permettront entre autres de payer nos employ�s �.
Aussi, ce billet.
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Source: Simon Boivin, Le Soleil, 24 janvier 2007.
Il n�y aura pas de � mini-zoo �. La formule n�aurait pas �t� rentable. Les coups de t�l�phone ont commenc�, hier, pour offrir � d�autres zoos ce qu�il reste d�animaux dans la serre indo-australienne.Le sc�nario du maintien de plus de 200 esp�ces d�oiseaux, petits mammif�res et reptiles dans la serre avec un prix d�entr�e � 5 $ a �t� � d�finitivement �cart� �. Cela n�aurait pas permis aux installations de faire leurs frais.
� �a co�tait les yeux de la t�te �, a assur� une source pr�s du dossier, qui souligne que le gouvernement du Qu�bec ne voulait pas avoir � financer un � minizoo � encore d�ficitaire ann�e apr�s ann�e.
Voir ce billet.
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24 janvier 2007
Cons�quence directe de la concurrence entre ces supers et tapageurs m�gacomplexes de cin�ma que l'on a construits au bout du monde dans des champs de patates ces derni�res ann�es?
Personnellement, je souhaite toujours de bonnes nouvelles pour le cin�ma Charest... � 20 minutes de marche de chez moi, l� o� tous les autobus convergent; bref, au coeur de la "civilisation"! ;-)
Source: Jean-Fran�ois Cliche, Le Soleil, 23 janvier 2007.
Le groupe Fortune, propri�taire du cin�ma des Galeries de la Capitale, a d�cid� de fermer la moiti� des 12 salles que comprend le cin�ma � pour des raisons d�affaires �.La fermeture prendra effet � la fin du mois, a pr�cis� hier au Soleil le patron de l�entreprise, Robert Sudermann, lors d�un entretien t�l�phonique.
L�homme d�affaires, qui louait l�espace au centre commercial, ignore ce qu�il en adviendra.
� Ce n�est pas une grosse nouvelle. (...) C�est vraiment une d�cision d�affaires, et nous croyons que c�en est une bonne �, a affirm� M. Sudermann, sans s��tendre sur la nature pr�cise de ces raisons.
L�entreprise Fortune est d�tenue par les fr�res Robert et Peter Sudermann.
Aussi, ce billet.
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Quelques pistes de r�flexions et d'innovations...
Source: Pierre Thibault, Le Soleil, 24 janvier 2007
Comment imaginer aujourd'hui la maison que mes enfants habiteront? J'ai fait le m�me type d'exercice avec mes �tudiants l'automne dernier en leur demandant de r�ver Qu�bec en 2020. Si l'on veut que la ville �volue, il faut d�j� savoir dans quelle direction.
Voir la suite.
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Pendant que l'on fait la promotion de cet �v�nement sportif extr�me � Qu�bec, tr�s appr�ci� il faut le dire l'an dernier par les amateurs, Le Soleil nous apprenait ce matin que des conseillers municipaux de Toronto veulent rendre obligatoire le port du "casse" pour ceux qui font... de la tra�ne sauvage! Comme quoi le ridicule, lui, ne tue pas... ;-)
Source: site du Red Bull Crashed Ice.
Les amateurs de sensations fortes les plus rapides lors des qualifications se lanceront dans une course urbaine glac�e remplie de courbes �troites, de sauts saisissants et de pentes abruptes. L��v�nement demande de l'habilet� sur patin, de l'agilit�, de la force et beaucoup de sang-froid.Pour d�terminer le gagnant, une suite de courses � quatre patineurs �liminera progressivement les 64 patineurs qualifi�s pour ne garder que les 4 meilleurs pour la finale. Les participants doivent avoir 18 ans ou plus.
L'acc�s � la comp�tition est gratuit pour tous les spectateurs.
Aussi, ce billet.
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23 janvier 2007
Cette "bo�te carr�e" en construction et non identifi�e, face au Village des Valeurs, annoncerait-elle une timide relance de ce vaste coin abandonn� de la ville?
Ceci dit, un peu � l'est, Le Soleil r�v�lait r�cemment (article): "Apr�s des ann�es d�inertie, un geste concret pour la relance du secteur D�Estimauville : la Ville de Qu�bec entame les d�marches pour acqu�rir l�ancien Canadian Tire." Rappelons que l'immense terrain o� se retrouve ce commerce (ci-bas), jadis principalement occup� par les d�funtes Galeries Sainte-Anne, a fait un jour l'objet d'un vaste projet mixte habitations/bureaux...
Voir ce billet.
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19 janvier 2007
Source: CCNQ
Par ce lien on peut voir le chantier, en date de la fin novembre 2006.
http://www.promenade2008.qc.ca/Fr/Evolution_Photos_Enchantier.asp
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Source: Radio-Canada (Qu�bec), 19 janvier 2007.
Pour ne pas "pogner les nerfs", je m'abstiendrai ici d'�mettre des commentaires... ;-)
Le ministre f�d�ral de l'Industrie, Maxime Bernier, dresse un bilan positif de la premi�re ann�e au pouvoir de son gouvernement.Devant la chambre de commerce de Qu�bec, jeudi, le d�put� conservateur de Beauce s'est dit convaincu que son parti sera en mesure de conserver le pouvoir lors des prochaines �lections.
Maxime Bernier soutient que son parti a respect� ses engagements notamment en ce qui concerne l'a�roport de Qu�bec, le 400e anniversaire et la reconnaissance du Qu�bec � l'UNESCO.
Aussi, ce billet.
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Les grues sont maintenant dress�es sur le chantier de la phase I, laquelle comprendra 250 logements pour un co�t d'environ 30 millions $.
Par ailleurs, toujours du c�t� nord de la 18e Rue (pr�s de la rue Desroches) et vraisemblablement du m�me promoteur, on affiche le projet Les Condos du Faubourg (image ci-bas)...
Voir ce billet.
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Vous trouverez dans la page suivante, en ordre d�croissant de hauteur, les projets annonc�s d'au moins cinq �tages (leur esquisse s'il y a lieu, et les derni�res informations concernant leur mise en chantier) que j'ai recens�s ces derniers mois sur Qu�bec Urbain, incluant les informations fournies par nos lecteurs.
Cet inventaire fait suite � ce premier billet.
Je vous invite toujours � enrichir cette liste, soit en nous signalant des omissions, soit en nous alimentant en "scoops"!
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MISE � JOUR AU 19 JANVIER:
8 PROJETS
1) Agrandissement Le Delta sur Laurier ("Occupation 2008") � 10 �tages [billet du 4 novembre 2006]:
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2) Complexe Plaza Qu�bec sur Laurier ("Disponible d�s d�cembre 2008") � 10 �tages [billet du 26 avril 2006]:
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3) Le 2796 Laurier � 10 �tages ("Disponible d�s d�cembre 2007") [billet du 18 octobre 2006]:
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4) Ajout � la biblioth�que Gabrielle-Roy sur de la Couronne ("Projet conditionnel � l'approbation de la Ville") � 9 �tages [billet du 5 janvier 2007].
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5) Immeuble de GM D�veloppement sur Charest (construction initialement pr�vue � l'automne 2006...) � 9 �tages [billet du 17 mai 2006]:
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6) Complexe de la Capitale phase V sur le boulevard des Galeries ("Occupation 2007-2008") � 6 �tages [billet du 21 novembre 2006]:
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7) �difice Lebourgneuf sur le boulevard du m�me nom (mise en chantier ind�termin�e) � 6 �tages [billet du 19 janvier 2007 - DERNIER AJOUT]:
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8) Agrandissement �difice La Capitale sur Saint-Amable ("... au cours des prochains mois...") � nombre d��tages ind�termin� [billet
du 27 avril 2006].
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Source: Julie Lemieux, Le Soleil, 18 janvier 2007.
L�annulation du Championnat mondial de hockey en mai 2008 serait catastrophique pour l�industrie touristique de Qu�bec, estime l�Association h�teli�re de la r�gion. Plus de 14 000 nuit�es d�h�tels ont d�j� �t� r�serv�es jusqu�� maintenant, une perte qui serait irr�cup�rable � seulement 16 mois de l��v�nement. (...)
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18 janvier 2007
Merci � Emeric pour nous avoir signal� ce projet (site de Impact Gestion Immobili�re), lequel serait situ� sur le boulevard du m�me nom, pr�s des Galeries de la Capitale, et voisin d'un autre immeuble existant de m�me gabarit: l'�difice ING...
L'hypoth�tique "�difice L�bourgneuf" fera l'objet sous peu de la seconde mise � jour du dossier LE POINT SUR LES TOURS � BUREAUX PROJET�ES EN 2007!
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Source: Baptiste Ricard-Ch�telain, Le Soleil, 17 janvier 2007.
Une bonne partie du p�t� de maisons situ� entre les rues Turnbull et Claire-Fontaine sur la Grande All�e pourrait �tre ras�e pour laisser place � des logements de luxe. Un projet pilot� par le pharmacien Michel Cadrin.D�j�, toutes les personnes �g�es des �difices de la R�sidence Grande All�e ont lev� le camp. � Maman a �t� la derni�re b�n�ficiaire � quitter (fin d�cembre) �, signale Bernard Marier. Il faut dire qu�un grand projet de construction de 250 � 350 unit�s sur cet emplacement est en train de m�rir. �valuation : 30 � 50 millions $.
� Elle a d�cid� de partir parce qu�elle �tait la seule dans la b�tisse. � � 92 ans, elle �tait � tr�s perturb�e �, ajoute-t-il. La famille l�a donc conduite dans une autre r�sidence priv�e en attendant qu�une place se lib�re dans le r�seau public.
Aussi, ce billet.
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Cela se remarque dans n'importe quel banlieue du Qu�bec, d'ailleurs en descendants le boul. Pierre-Bertrand, � partir du Gros Hector on remarque � notre gauche une enfilade de maison identique... Beurk !!!
Source: Lucie Lavigne, La Presse, 17 janvier 2007
Tout le monde a d�j� eu un choc en d�couvrant une enfilade de maisons neuves et identiques en banlieue. L'effet est saisissant, pour ne pas dire hallucinant. Mais les propri�taires vous diront qu'elles ne sont pas toutes pareilles.
Il est vrai qu'ici et l�, on trouve des diff�rences: la brique des fa�ades, les bardeaux des toitures ou les persiennes peuvent �tre d'une couleur diff�rente de celles des voisins. Mais c'est � se demander si le constructeur n'avait pas qu'un seul plan � proposer.
Voir la suite.
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En compl�ment d'information pour ce billet publi� r�cemment!
Voir aussi LE POINT SUR LES TOURS � BUREAUX PROJET�ES EN 2007.
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Source: Jean-Fran�ois Cliche, Le Soleil, 17 janvier 2007.
Bien que le projet de d�veloppement du terrain des s�urs du Bon-Pasteur n�cessite un changement de zonage, la Ville de Qu�bec pourra y donner son feu vert sans obtenir l�aval des citoyens par r�f�rendum, a-t-on appris hier lors de la premi�re s�ance de consultation publique sur le sujet.Ce projet, nomm� � Cit� verte � et promu par la SSQ, pr�voit la construction de plus de 700 unit�s de logement � cet endroit, au co�t d�environ 100 millions $. Il comprend l��rection d��difices d�une dizaine d��tages, ce qu�interdit le zonage actuel. Dans ce secteur o� la plupart des logements ont trois �tages ou moins, ces plans suscitent l�inqui�tude des r�sidants, qui craignent de voir leur milieu de vie d�figur�.
Normalement, lorsque la r�alisation d�un projet demande un changement de zonage, les citoyens concern�s peuvent demander la tenue d�un r�f�rendum. Mais dans le cas de la Cit� verte, une modalit� l�gale permettrait � la Ville, si elle le d�sirait, d�avaliser le projet sans tenir de pl�biscite.
Aussi, ce billet.
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Par une temp�rature de -34 C� finalement un pont de glace se forme peu � peu. **********
C'est "frette" en ... Pour prendre des photos !
17 janvier 2007
Image ci-bas:
Par un froid matin d'hiver, des habitants de la rive sud de Qu�bec traversent le fleuve Saint-Laurent pour se rendre en ville, o� ils pourront �couler leur marchandise. � cette �poque, le fleuve �tait recouvert d'une couche de glace sur laquelle les habitants des deux rives circulaient ais�ment en tapant la neige. (Source: Mus�e national des Beaux-Arts du Qu�bec.)
Voir ce billet. Aussi, mon blogue m�t�o.
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16 janvier 2007
Pour faire suite au deux billets d�j� fait sur le sujets, et pour d�montrer que ce genre de projet, on ne peut point ke faire tout seul. Si pourrait avoir de plus en plus de contacteur qui d�veloppe une expertise de ce genre, ce serait int�ressant de voir l'avenir des maisons de ville.
Source: Isabelle Audet, La Presse, 15 janvier 2007
En d�marrant la construction de leur maison �cologique, au printemps dernier, Alexandre Thibodeau et Marie-�ve Cloutier pr�voyaient l'habiter ce mois-ci. Un � un, les retards se sont accumul�s, repoussant le d�m�nagement � l'�t� prochain. N�anmoins, le moral reste bon. La Presse, qui suit le chantier depuis le d�but, est retourn�e � Bolton-Ouest pour vous tenir au courant de l'�volution de cette maison qui pourrait �tre une des premi�res certifi�es LEED au Canada.
Voir la suite.
Voir aussi ce billet.
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Vous trouverez dans la page suivante, en ordre d�croissant de hauteur, la liste des projets d'au moins cinq �tages (et leur esquisse, s'il y a lieu) que j'ai recens�s ces derniers mois sur Qu�bec Urbain. De ces immeubles planifi�s, certains semblent toutefois accuser un certain retard...
Je vous invite � enrichir cette liste en nous signalant des omissions ou en nous alimentant en "scoops"!
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MISE � JOUR AU 16 JANVIER:
7 PROJETS
1) Agrandissement Le Delta sur Laurier � 10 �tages [billet du 4 novembre 2006]:
2) Complexe Plaza Qu�bec sur Laurier � 10 �tages [billet du 26 avril 2006]:
3) Le 2796 Laurier � 10 �tages [billet du 18 octobre 2006]:
4) Ajout � la biblioth�que Gabrielle-Roy sur de la Couronne � 9 �tages [billet du 5 janvier 2007].
5) Immeuble de GM D�veloppement sur Charest � 9 �tages [billet du 17 mai 2006]:
6) Complexe de la Capitale phase V sur le boulevard des Galeries � 6 �tages [billet du 21 novembre 2006]:
7) Agrandissement �difice La Capitale sur Saint-Amable � nombre d��tages ind�termin� [billet du 27 avril 2006].
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15 janvier 2007
Source: Jean LaRoche, Journal de Qu�bec, 15 janvier 2007
La vieille grange et la cr�che Saint-Vincent-de-Paul, pr�sentes sur le terrain des soeurs du Bon-Pasteur, dans Saint-Sacrement, pourraient finalement �tre sauv�es. C'est du moins ce que recommande le comit� d'urbanisme de la ville de Qu�bec, dans le contexte de l'�laboration du plan d'am�nagement de la Cit� verte, qui pr�voit la construction de 723 unit�s d'habitation sur le terrain situ� entre l'h�pital Jeffery Hale et l'avenue Monk.
Voir la suite.
Voir ce billet.
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Source: Jancimon Reid, Qu�bec Hebdo, 13 janvier 2007
Pour rem�dier � la carence de desserte du transport en commun dans le secteur nord de la ville, le R�seau de transport de la Capitale (RTC) �tudie la possibilit� de cr�er le M�trobus 887. Un parcours que le conseiller Pierre Blouin esp�re voir se prolonger jusqu�� la route Sainte-Genevi�ve.
Question de desservir comme il se doit le secteur de la Haute-Saint-Charles, le RTC planche depuis quelques ann�es sur le projet d�ajout d�un parcours M�trobus pour relier de fa�on efficace le boulevard l�Ormi�re au secteur Sainte-Foy.
Voir la suite.
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14 janvier 2007
13 janvier 2007
Saviez vous qu�il existe une revue s'intitulantContinuit�, publi� par Le Conseil des Monuments et Sites du Qu�bec, traitant du patrimoine, pas seulement historique, mais aussi de patrimoine urbain moderne ? De plus on discute aussi un peu d�urbanisme.
Voici quelques extraits du num�ro de printemps 2006, Insertion architecturale en milieu ancien
Le pass� conjugu� au pr�sent par Jacques White
S�inspirer du milieu
Les particularit�s des lieux expliqueraient d�abord celles des projets qu�on y trouve. Form�es � prendre en compte la sp�cificit� des milieux o� ils interviennent, les architectes proposent aujourd�hui des solutions qui s�en inspirent. Tel n�a pas toujours �t� le cas. Au Qu�bec comme ailleurs, le mouvements moderne a l�gu� une architecture internationale g�n�rique en nette rupture avec le pass�. Concurremment aux grands travaux d�infrastructures publiques, il a eu pour effet de transformer radicalement les villes et villages qui, jusque-l�, �voluaient harmonieusement. [�]
Qu�bec ou l�int�gration en mutation
[�] Un des milieux o� elle se pratique avec le plus de constance et de rigueur est la ville de Qu�bec, o� on pr�conise toujours une approche prudente pour les quartiers anciens. La reprise int�grale ou l�g�rement modifi�e des d�tails traditionnels est retenue, sinon impos�e comme solution par d�faut. La coh�rence des projets d�insertion y est donc peut-�tre plus marqu�e qu�ailleurs.
Or si cette approche a permis de maintenir le charme des vieux quartiers, elle s�accompagne d�effets secondaires importants. D�une part, en raison des adaptations cumulatives des mod�les traditionnels aux normes, aux mat�riaux et aux proc�d�s contemporains, un �style � s�est insidieusement d�velopp� que l�on reconna�t comme celui de Qu�bec, mais dont l�authenticit� peut-�tre mise en doute.
D�autre part, la forte pression exerc�e dans un m�me sens sur les architectes et les promoteurs peut d�courager la recherche d�innovation � long terme. [�]
Autre extrait d�un autre article de la revue Continuit� :
La peur du faux
Pierre Larochelle s�en prend aussi � la notion d�authenticit�, trop r�pandue selon lui et qui pousse souvent les architectes � innover � tous prix, par crainte de faire du � faux �. � Dans la pratique de l�architecture aujourd�hui, il y un pr�jug� tr�s important qui condamne l�utilisation de formes traditionnelles sous pr�texte que ce sont des faux. Or m�me si ce n�est pas n�cessairement ce qui �tait l�, �a s�inscrit dans la suite. � Cette position ne signifie pas pour autant de s�opposer � tous changement, nuance M. Larochelle. Seulement, il estime qu�une pr�occupation doit primer : � concilier les changements requis par l��volution des besoins avec les imp�ratifs du maintient des caract�res h�rit�s qui expriment l�identit� et la m�moire des lieux �.[�]
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12 janvier 2007
A quel �difice appartient cette facade ?, O� est-elle situ� ?
A noter que la prochaine "batch" de qui suis-je, s'�tendra � la grandeur de la ville de Qu�bec, pas seulement le centre-ville.
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Source: Damien Rousseau, Qu�bec Hebdo, 12 janvier 2007.
Morosit�, vraiment?
Un sondage L�ger Marketing r�alis� exclusivement pour Qu�bec Hebdo et publi� samedi dans le cahier sp�cial VISION 2007, indique que la grande priorit� des Qu�b�cois en mati�re de d�veloppement �conomique est l�am�lioration du syst�me de sant�.Quelque 34% des r�pondants � cette vaste enqu�te ont pr�f�r� ce choix � la protection de l�environnement (12%), l�am�lioration du syst�me de l��ducation, la lutte � la pauvret� ou les baisses d�imp�t qui chacune recueille l�approbation de 10% des r�pondants. Le d�veloppement �conomique et la cr�ation d�emplois suivent avec 9% d�appuis populaires et le remboursement de la dette (6%) termine le palmar�s des priorit�s �conomiques pour l�ann�e 2007.(...)
La suite.
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S�rement quelques march�s publiques de plus � Qu�bec ? En tous cas �a relance le d�bat.
Source: Presse Canadienne (PC)
Pour rendre l'alimentation des Qu�b�cois plus saine, le minist�re de l'Agriculture, des P�cheries et de l'Alimentation souhaite rapprocher les consommateurs des produits frais en favorisant les liens directs avec les agriculteurs et en multipliant le nombre de march�s publics dans les villes et villages, selon ce qu'indique un plan strat�gique rendu public il y a quelques semaines.
Voir la suite.
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Source : Fran�ois Cattapan, Qu�bec Hebdo, 10 janvier 2007
Le march� locatif demeure serr� dans la r�gion m�tropolitaine de recensement (RMR) de Qu�bec, selon une r�cente enqu�te sur les logements locatifs. En effet, le taux d'inoccupation �tait de 1,5 % en octobre 2006, en faible progression comparativement � 1,4 % un ans auparavant.
Voir la suite.
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Source: Julie Lemieux, Le Soleil, 11 janvier 2007
Tous les espoirs sont encore permis pour la pr�servation de la redoute de Montcalm. La Ville de Qu�bec planche pr�sentement sur un plan d�am�nagement du secteur et le conseil d�arrondissement de Beauport soutient que le zonage lui permet de limiter la construction domiciliaire sur ce lieu historique.
Voir la suite.
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11 janvier 2007
Source: Le Soleil, 11 janvier 2007.
La Ville de Qu�bec et ExpoCit� �valuent � 35,8 millions $ les gains additionnels qu�elles empocheront, durant les 20 prochaines ann�es, avec la remise aux normes de l�hippodrome et l�implantation en f�vrier 2008 d�un important salon de jeux � leurs installations situ�es tout pr�s du Colis�e.Les travaux de r�am�nagement de l�endroit commencent ces jours-ci, indique le directeur g�n�ral d�ExpoCit�, Mark Sparrow.
Ce gros lot, tant esp�r� par la Ville au cours des derni�res ann�es, fait suite � la d�cision du gouvernement Charest de privatiser les hippodromes qu�b�cois, en plus de permettre � Loto-Qu�bec d�y installer des centaines d�appareils de jeu vid�o pour financer l�ensemble de l�op�ration.
Aussi, ce billet.
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Port de Qu�bec, un bel apr�s-midi de d�cembre 2006 **********
10 janvier 2007
Source: Radio-Canada (Qu�bec), 10 janvier 2007.
Devant les membres de la chambre de commerce des entrepreneurs de Qu�bec, le vice-pr�sident et �conomiste en chef du Mouvement Desjardins, Fran�ois Dupuis, a dress� mercredi un bilan positif de l'�conomie de la r�gion de la Capitale-Nationale.Selon lui, la capitale a gagn� la bataille contre le ch�mage. Pour une sixi�me ann�e cons�cutive, Qu�bec surpasse Montr�al � ce sujet de m�me que pour la croissance du produit int�rieur brut par habitant. (...)
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Source: Julie Lemieux, Le Soleil, 10 janvier 2006
� la veille du 400e anniversaire de Qu�bec, les vestiges du quartier g�n�ral et de la redoute fran�aise occup�s par Montcalm pendant la Conqu�te de 1759 pourraient �tre transform�s en condos. Ces terrains historiques, situ�s � Beauport pr�s de l�ancien centre Cinqui�me saison, ont �t� vendus � la soci�t� immobili�re Olymbec, qui n�a toutefois pas encore sign� le contrat.
La suite.
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09 janvier 2007
Quel contraste entre la photo ci-haut, prise en fin de journ�e samedi, et celle en bas immortalis�e hier matin!
Dix-sept cm � l'a�roport, jusqu'� 30 dans les r�gions plus � l'est. Enfin! diront plusieurs... Restera, restera pas, cette neige? Il y a fort � parier que oui, pour Qu�bec. Mais dans le secteur de Montr�al, c'est encore le gazon qui r�gne, un peu � l'image de ce que l'on voyait dans la grande r�gion de Qu�bec dimanche, comme ce paysage de "d�but mai" observ� au sud de Montmagny...
Voir aussi ce billet, de m�me que l'article suivant dans Le Soleil.
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C'est sous ce titre qu'est pr�sent� cette esquisse "pr�liminaire" d'immeuble sans nom de "69 condominiums et 191 studios et appartements pour gens retrait�s" dans l'en-t�te d'une publicit� de Constrobourg publi�e dans le Journal de l'Habitation du 4 janvier 2007.
D�j� en construction � l'angle du boulevard Lebourgneuf et de la rue Le Mesnil, il s'agirait vraisemblablement, � ma connaissance, du premier �difice r�sidentiel de plus de 4 �tages � voir le jour dans ce secteur de la ville. Toutefois, en date d'aujourd'hui, aucun d�tail sur le site du promoteur...
Voir aussi ce billet.
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Bassin Louise par un bel apr�s-midi de d�cembre 2006 **********
Le Vieux-Qu�bec a-t-il vendu son �me?
Isabelle Porter
�dition du journal Le Devoir
Qu�bec -- Le Vieux-Qu�bec n'est plus ce qu'il �tait. Les �tudiants et les artistes sont partis. Les salles de spectacles ferment les unes apr�s les autres, et les Am�ricains y ach�tent des appartements � prix fort qu'ils n'habitent parfois que quelques jours par an. Des r�sidants du coin commencent � se demander si leur vieux quartier ne risque pas de devenir une ville fant�me.
Dix-neuf d�cembre � la chic p�tisserie Paillard, rue Saint-Jean. � quelques jours du cong� de No�l, des touristes et des fonctionnaires sirotent leur expresso en grignotant des brioches avec bonheur. Or, aussi d�licieuses soient-elles, les gourmandises de Paillard laissent un go�t amer aux r�sidants du Vieux-Qu�bec...
En effet, le nouveau magasin a pris la place de l'ancienne �picerie Richelieu, la seule qui restait dans la zone intra muros. �Maintenant, �a me prend 40 minutes aller-retour pour aller m'acheter du papier-toilette�, remarque Martin T�tu, un jeune producteur de spectacles qui r�side dans �le Vieux� depuis l'enfance. �Il n'y a plus de commerces de proximit�. Aujourd'hui, une entreprise qui veut s'installer dans le Vieux-Qu�bec a tout int�r�t � cibler les touristes, parce que les r�sidants ne sont plus assez nombreux.�
L'agent immobilier John Vasilakos a grandi dans le Vieux-Qu�bec lui aussi. C'est lui qui a vendu l'�picerie Richelieu l'�t� dernier. �C'est s�r que l'�picerie marchait tr�s bien, mais les propri�taires �taient l� depuis trente ans et ils voulaient passer � autre chose.� � son avis, il s'agit d'un mouvement inexorable. ��a va devenir de plus en plus difficile pour les petits propri�taires. Leurs immeubles ont besoin de travaux. Il y a moins d'ouvrage, les taxes montent, les assurances montent et les prix de vente au d�tail, eux, ne bougent pas. Les petits commerces vont fermer un par un.�
Le Walt Disney de Qu�bec
Mais pour les agents immobiliers actifs dans le secteur, les affaires sont bonnes. Les prix augmentent et la client�le est l�. �Il y a un 4 et demi qui a �t� vendu � 500 000 $�, note M. Vasilakos. �C'est une beaut�, le Vieux-Qu�bec, c'est Walt Disney!� lance-t-il avec un grand sourire.
Il y a � peine dix ans, le Vieux-Qu�bec avait encore son lot d'appartements � prix abordables. De belles aubaines pour les �tudiants, les artistes et les artisans. On se rendait dans le quartier pour fl�ner, bouquiner et tra�ner dans les caf�s. Mais cette �poque semble en passe d'�tre r�volue. N'�tait le mythique caf� Chez Temporel, on l'aurait peut-�tre oubli�e.
Non seulement la boh�me ne vit plus dans le quartier, mais elle a de moins en moins de raisons de venir s'y amuser. Les bars et salles de spectacles tombent comme des mouches. Apr�s le D'Auteuil et la Fourmi Atomik, le dernier bar alternatif de la rue Saint-Jean -- L'Arlequin -- fermait ses portes d�but d�cembre. Cet automne, la direction de l'H�tel Clarendon sonnait le glas des soir�es jazz du Bar l'Emprise, une v�ritable institution locale. Quant � l'arcade o� se regroupent les ados -- La R�cr�ath�que --, M. Vasilakos vient de la vendre � un regroupement de producteurs de sirop d'�rable. L'arriv�e r�cente d'un nouvel �tablissement -- Le Velvet -- en remplacement du d�funt Kashmir semble �tre l'exception qui confirme la r�gle.
Mais peu de r�sidants vont pleurer le d�part des f�tards, conc�de le pr�sident du Comit� de citoyens du Vieux-Qu�bec (CCVQ), Louis Germain. Il faut dire que le bruit et l'agitation tr�nent au sommet de la liste de r�criminations des commer�ants et propri�taires...
Le ph�nom�ne de la location touristique
En fait, tout irait bien si les �tudiants n'avaient pas �t� remplac�s par des... fant�mes. �Je ne crois pas que ce soit une catastrophe que le Vieux-Qu�bec soit plus tranquille. Pour autant qu'il soit habit�. Je m'en fous de qui vient s'installer dans le quartier�, lance M. Germain. �Tout ce que je veux, c'est que ce soit vivant et habit� tel que le dit la Convention de l'Unesco sur les villes du patrimoine mondial. C'est ce qui est menac�.�
Le quartier attire de plus en plus d'investisseurs de l'ext�rieur. Charm�s, eux aussi par les attraits du coin, ils ont achet� des maisons qui sont souvent inhabit�es une bonne partie de l'ann�e. �Dans ma rue, j'ai trois voisins am�ricains. Ils ne sont jamais l�, tonne Beno�t Boss�, un urbaniste actif au sein du Comit� de citoyens. �Ils ach�tent, puis ils s'en vont.� D�s lors, la location des propri�t�s devient un enjeu de premier plan.
Certains agents immobiliers aussi sont pr�occup�s. �Beaucoup de propri�t�s sont vendues � des gens de l'ext�rieur parce que c'est une belle ville, mais il faut �tre alerte�, signale Louise B�dard, une coll�gue de M. Vasilakos. ��a prend un certain d�bit de gens pour faire vivre tout ce qui se trouve autour: les restaurants, les commerces, les galeries... � un moment donn�, � Prague, par exemple, il y avait des immeubles poss�d�s uniquement par des gens de l'ext�rieur et il n'y avait personne dedans. La Ville doit faire attention.�
Pour Mme B�dard, la cl� r�side dans ce que l'on appelle la �location touristique�, sa sp�cialit�. Suivant cette formule en vogue depuis quelques ann�es, les nouveaux propri�taires non r�sidants confient � des agents immobiliers le soin de g�rer la location de leur appartement ou de leur maison. Or, d�plore Mme B�dard, certains contrats de copropri�t�s interdisent de sous-louer. �Il y a un immeuble dans le Vieux-Qu�bec o� 50 % des propri�taires sont de l'ext�rieur. �a fait des immeubles � peu pr�s vides parce qu'ils n'ont pas le droit de faire de gestion de location. Par contre, les gens d�jouent �a. Ils louent � partir de chez eux � des gens et disent que ce sont des amis.�
Sur Internet, les offres de location sont faciles � trouver. �Appartement situ� dans le Vieux-Qu�bec � quelques pas du Ch�teau Frontenac, de la Grande All�e et des Plaines d'Abraham. Entre 700 $ et 2200 $ par mois. Disponible toute l'ann�e.� Le num�ro de t�l�phone est de la r�gion de Boston.
Quel avenir pour le �Vieux�?
Pour Louis Germain, �les agents immobiliers ont une responsabilit� dans la disparition des r�sidants du quartier� parce que �c'est dans leur int�r�t de vendre � des clients investisseurs et d'offrir ensuite des services de location�. M. Boss�, lui, se demande s'il ne serait pas possible d'imposer une taxe aux propri�taires de l'ext�rieur. �� Venise et � Banff, ils imposent une surtaxe.� Conseiller � la Ville de Qu�bec et r�sidant du quartier, Jacques Joli-Coeur n'est pas � l'aise avec l'id�e d'une �discrimination � l'�gard des �trangers� et souligne la �conduite exemplaire� de certains d'entre eux.
Afin de r�gler le probl�me, le Comit� de citoyens fonde beaucoup d'espoir sur le prochain Plan directeur du quartier qui doit �tre adopt� par le conseil municipal au printemps ou � l'�t� 2007. Fruit d'une longue consultation, le plan d'action pr�voit la mise en place de mesures pour augmenter le nombre de r�sidants permanents et en accueillir de nouveaux.
Mais au-del� des politiques, M. Germain s'insurge contre la mauvaise image qui colle au quartier comme lieu de r�sidence et qui d�courage les Qu�b�cois de venir s'y installer. �Un des gros probl�mes que l'on a, c'est que �a fait 30 ans que les gens se plaignent. Ce qui a compl�tement occult� les vertus du quartier. Les gens pensent qu'on ne peut pas y �lever des enfants, que c'est dangereux. R�sultat: la population de Qu�bec ne veut pas acheter les maisons qui sont � vendre ici.� M. Joli-Coeur abonde dans le m�me sens. �Des Qu�b�cois qui investissent dans les grandes propri�t�s du quartier, �a ne pleut pas. Il faut qu'on donne le go�t � ceux qui en ont les moyens de se porter acqu�reurs et de contribuer � pr�server le patrimoine mondial. Il y a peut-�tre des inconv�nients � vivre ici, mais c'est un cadre tellement exceptionnel.�
Parce que derri�re les craintes des uns et les critiques des autres, subsiste un attachement r�el pour un quartier qui ne fait pas r�ver les touristes pour rien... �Partir? Je ne sais pas, le probl�me, c'est que j'adore le Vieux-Qu�bec. J'en connais chaque pouce carr�, r�torque Martin T�tu avant de conc�der que l'on a atteint une situation o� �m�me l'amoureux total y songe�.
Collaboratrice du Devoir
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08 janvier 2007
Bateau en attente d'un temps plus cl�ment, au bassin Louise. **********
Qui suis-je, o� suis-je ? Un peu plus difficile cette fois-ci !
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07 janvier 2007
Source: Pierre-Andr� Normandin, Le Soleil, 6 janvier 2007
La saga du d�neigement est loin d��tre termin�e pour plusieurs citoyens de Qu�bec. La Ville a d�cid� de ne plus entretenir les 264 rues priv�es sur son territoire � compter du 1er juin prochain. Finies les r�parations de nids-de-poule en �t� et fini le soufflage de la neige en hiver.
Voir la suite.
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Traversier Qu�bec-L�vis par un bel avant-midi de d�cembre. **********
06 janvier 2007
Quel impact cette tendances aura sur le type d'habitation et de l'�talement urbain. Faudrait-il refaire et repenser les espaces urbains, pour le rendre plus attirants et plus conviviales ???
Source: Fran�ois Cattapan, Journal de l'habitation, 30 d�cembre 2006
Command� � l'occasion de la Journ�e mondiale de l'habitat, le 2 octobre dernier, un sondage portant sur les priorit�s des Qu�b�cois en habitation, r�alis� par L�ger Marketing pour le compte de la Soci�t� d'habitation du Qu�bec (SHQ), r�v�le que globalement les r�pondants appr�cient leur r�sidence. Les donn�es indiquent que 40 % la per�oivent comme un lieu de repos. M�me que, d'ici cinq ans, 73 % des Qu�b�cois passeront autant ou plus de temps � la maison.
Voir la suite.
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Source: Jean Pascal Lavoie, Qu�bec Hebdo, 5 janvier 2007
Le R�seau de transport de la Capitale (RTC) annonce une hausse de ses tarifs � compter du 1er mars 2007. Le RTC justifie cette hausse par la n�cessit� de bonifier son offre pour r�pondre � l'augmentation des passages.
Voir la suite.
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05 janvier 2007
Ah ! la "religion du condos" ! comme si les "condos" est le seul habitat possible.
Source: Gilles Angers, Le Soleil, 5 janvier 2007
Alors que la population du Qu�bec ne devrait augmenter que de 8 % d'ici 2021, le nombre des m�nages, lui, bondira de 22 %. Pour y faire face, estime la Soci�t� d'habitation du Qu�bec (SHQ), il faudra construire, d'ici l�, plus de 450 000 logements. Des condos, surtout. Non seulement, il y aura moins de monde dans chacun d'eux, mais, facteur aggravant, ils seront plus vastes. Car les gens aiment �tre �grandement�. Y compris les m�nages d'une seule personne qui, au reste, seront en surnombre.
La ministre des Affaires municipales et de l'Habitation, Nathalie Normandeau, l'appr�hende. Car cela sera de nature � compliquer l'organisation du territoire et � peser plus lourd sur les infrastructures.
Voir la suite.
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La fonte de la neige se poursuit; moins de 5 cm recouvrirait actuellement le sol de Qu�bec. Succ�dant � la pluie des derni�res heures, des bancs de brouillard se sont form�s sur les surfaces les plus froides, conf�rant au paysage du secteur du parc Cartier-Br�beuf une inqui�tante beaut�...
Pour lundi? Une possible temp�te sous forme solide, �h! oui, pourrait mettre fin (temp�rairement, comme le 26 d�cembre dernier) � l�exceptionnelle et fort m�diatis�e p�nurie de neige, tr�s en �vidence dans certains secteurs de la ville (ci-bas).
Voir ce billet et ces deux articles (Le Soleil et Radio-Canada). Aussi, plusieurs autres photos (� suivre) dans mon blogue m�t�o, de m�me que ce court vid�o (YouTube).
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C'est sous ce titre qu'�tait annonc�, il y a 19 ans, cette proposition d'investissement majeure... et vite abandonn�e que j'ai retrouv�e dans mes vieilles archives (ce qui explique la "qualit�" de l'image). Ce projet aurait compris notamment 200 condominiums, 300,000 p2 d'espace � bureau, 100,000 p2 d'espace commercial et 900 espaces � stationnement sous les �difices.
Depuis, beaucoup d'eau a coul� sous les ponts, et l'avenir de l'Agora fait toujours jaser [billet]!
Source: Marcel Collard, Le Soleil, 9 f�vrier 1988.
La compagnie Rocois propose de construire deux �difices (A et B) de chaque c�t� de la rue Saint-Paul qui serait prolong�e, un autre le long du bassin Louise (C) et un quatri�me en bordure de la rue Dalhousie (D), en mettant l'accent sur l'habitation et en assurant int�gralement le droit d'acc�s du public � la promenade et aux agoras. (...)
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DANS LES CARTONS DU PROMOTEUR
Un ��tage� de plus � la biblioth�que Gabrielle-Roy
Yannick Donahue
Source : Journal de Qu�bec
Le projet d'agrandissement de la biblioth�que Gabrielle-Roy se pr�cise: elle occupera trois des neuf �tages de la future tour � bureaux � �tre construite juste � c�t� de ses locaux actuels.
La firme GM D�veloppement entend �riger un �difice de neuf �tages sur l'actuel emplacement de l'auditorium et du centre d'exposition de la biblioth�que, dans lequel on retrouvera entre autres des commerces, des bureaux et le stationnement de la place Jacques-Cartier. Ce projet est conditionnel � l'approbation de la Ville.
La directrice de la biblioth�que Gabrielle-Roy, Marie Goyette, a r�v�l� au Journal de Qu�bec que l'�tablissement gagnerait l'�quivalent d'un �tage en espace suppl�mentaire. Les deux autres �tages seront occup�s par l'auditorium et le centre d'exposition, qui seront � refaire parce qu'ils auront �t� pr�alablement d�truits.
De plus, le hall recevra une cure de jeunesse tout en gagnant en taille.
�La biblioth�que aura 25 ans en 2008, indique Mme Goyette. Nous en profiterons pour proc�der � l'actualisation de nos services.� Au fil des ans, l'�tablissement n'a cess� d'ajouter des services pour suivre les progr�s technologiques: audiovisuel, �lectronique et multim�dia. Chose certaine, l'optimisation du volet multim�dia demeure une priorit�. �Nous souhaitons l'int�grer d'une fa�on plus harmonieuse�, dit la directrice.
L'am�nagement int�rieur de la biblioth�que changera.
La direction pr�voit cr�er une zone d'animation et une autre r�serv�e aux �tudes et � la recherche, question de r�soudre le probl�me du bruit. �Pr�sentement, les zones bruyantes et calmes cohabitent�, pr�cise Mme Goyette. Elle assure que le nouvel auditorium et le nouveau centre d'exposition seront � la fine pointe de la technologie, permettant de cr�er une synergie entre les divers secteurs. �Nous aurons plus de possibilit�s sur le plan de l'animation, croit-elle.
Nous am�liorerons du coup nos services jeunesse.�Par contre, la biblioth�que n'accueillera pas davantage d'expositions, mais la qualit� de leur diffusion augmentera. La galerie d'art sera aussi bonifi�e.
De plus, la biblioth�que compte accro�tre sa collection pour meubler l'�tage suppl�mentaire par l'acquisition de livres multilingues.
�Nous travaillons � la mise en valeur de la diversit� culturelle, affirme Mme Goyette. Pour les nouveaux arrivants, la biblioth�que constitue un lieu d'int�gration et d'appartenance.�
Au chapitre des nouveaux livres francophones, la direction mettra l'accent sur la documentation et les volumes de r�f�rence. Les oeuvres de fiction ne figurent pas au programme.
Une fois le chantier termin�, la place Jacques-Cartier sera r�am�nag�e. Mme Goyette ignore quelle facture aura la nouvelle place publique. Par contre, elle sait qu'elle sera assur�ment plus belle que l'actuelle place. �Elle n'est pas tr�s int�ressante. La nouvelle va "renipper" le coin�, opine-t-elle.
Aucun plan de la future tour
Aucun plan du complexe commercial et culturel � �tre �rig� � c�t� de la biblioth�que Gabrielle-Roy n'a �t� d�pos� � la Ville.
Agente d'information � l'arrondissement La Cit�, Denise B�rub� dit que le promoteur, en l'occurrence GM D�veloppement, a pr�sent� le projet aux autorit�s en novembre, lequel comprend deux options: une tour de 24 m�tres (six �tages) ou de 37 m�tres (neuf �tages). Mais pas de sch�ma ni de plan.
En novembre, le promoteur a obtenu du conseil d'arrondissement une d�rogation mineure lui permettant de construire une tour de 24 m�tres, le r�glement en vigueur limitant les structures � 22 m�tres.
Une consultation publique s'est d�roul�e en d�cembre � propos du projet de neuf �tages. Aucune d�cision n'a �t� prise depuis. �Une deuxi�me consultation publique pourrait avoir lieu prochainement, dit Mme B�rub�. La date n'a pas �t� fix�e.� Elle ajoute qu'aucun changement de zonage ne figure au programme, puisque le promoteur n'aura qu'� d�poser un plan de construction.
Selon Fran�ois Moisan, porte-parole de la Ville de Qu�bec, le Service du d�veloppement �conomique �tudie pr�sentement le projet. Si celui-ci l'approuve, le comit� ex�cutif se chargera de statuer sur son avenir. �Puisque le dossier n'a pas encore �t� approuv�, affirme-t-il, nous ne pouvons le commenter.�
N�anmoins, le porte-parole a dit que la Ville appuyait les initiatives dans ce secteur. �Tout ce qui se fait � Saint-Roch est positif, a-t-il lanc�. Cela suit les efforts de revitalisation d�ploy�s ces derni�res ann�es.�
Marie Goyette, directrice de la biblioth�que Gabrielle-Roy, signale que l'objectif vis� est d'ouvrir la nouvelle section � l'�t� 2008. Fran�ois Moisan assure que les autorit�s municipales ont d�cid� de refaire le stationnement de Place Jacques-Cartier, parce que celui-ci est d�suet.
Le promoteur a profit� de cette occasion pour d�poser son projet et r�pondre de la sorte � une p�nurie d'espaces � bureaux � Qu�bec. Il a �t� impossible, hier, de parler avec les dirigeants de GM D�veloppement, ceux-ci se trouvant � l'ext�rieur du pays.
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Hier, des employ�s s'affairaient aux derniers pr�paratifs pour compl�ter les travaux de construction de l'h�tel de glace � Ste-Catherine-de-la-Jacques-Cartier. Malgr� une temp�rature de pr�s de 10 degr�s aujourd'hui, les premiers clients coucheront bel et bien dans l'h�tel cette nuit.
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04 janvier 2007
Photo prise un 31 d�cembre au soir dans le quartier Petit Champlain. **********
Source: Fran�ois Simard, Qu�bec Hebdo, 4 janvier 2007
Si tout se d�roule comme pr�vu, le district Champigny sera bient�t dot� d�un centre communautaire. Attendu depuis un bon moment par les r�sidants du secteur, ce projet fait partie des ajouts apport�s par le Renouveau municipal de Qu�bec au Programme triennal d�immobilisations adopt� par les �lus tout juste avant No�l.
Voir la suite.
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La question que je me pose. Est-ce que les �tudiants de l'architecture peuvent sortir du cadre de pens� un peu classique qu'on leurs enseignent ? Ou qu'ils reproduiront seulement la ligne de pens� acad�mique sans chercher � innover ?
Source: Julie Lemieux, Le Soleil, 2 janvier 2007
Comment imaginez-vous Qu�bec en 2020 ? Comment pourrait-on rendre cette ville encore plus belle, plus branch�e sur son �poque, plus respectueuse de l�environnement ? Des �tudiants de troisi�me ann�e � l��cole d�architecture de l�Universit� Laval se sont pench�s sur cette question au cours du dernier trimestre. Et les r�sultats sont int�ressants. Sous la direction des architectes Pierre Thibault et Catherine McKinnon, ces jeunes ont r�v� Qu�bec en 2020, ont corrig� ses faiblesses et mis en valeur ses points forts afin de lui permettre de traverser les 400 prochaines ann�es en beaut�. Voici donc quelques �chantillons du fruit de leur imagination.
Voir la suite.
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Source: Gilles Angers, Le Soleil, 2 janvier 2007
L'ann�e 2006 aura encore �t� fertile dans le domaine de l'immobilier, malgr� un atterrissage en douceur. Pendant que la revente maintient le rythme, les mises en chantier se replient.
Le taux d'inoccupation, lui, se redresse l�g�rement, alors que la r�no reste �nergique. Quelques nouveaux produits et mat�riaux font leur place. Les changements climatiques forcent � revoir la fa�on de b�tir. Les derniers mois ont aussi vu s'installer un int�r�t certain pour la construction verte, le d�veloppement durable et le recyclage. Le Soleil vous propose de revenir sur quelques faits saillants de 2006 sur le monde de l'habitation. Et la semaine prochaine, regard sur 2007 et les ann�es � venir.
Voir la suite.
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Vous allez me dire quel rapport avec la ville ? En regardant au-del� de l�apparence, voil� le genre d�innovation, tous en r�cup�rant ce qui existe d�j� ! On pourrait voir ce genre de r�cup�ration pour des logements � prix modique ou pour d�panner lors de p�nurie de logements ?! Il y aurait quelques choses a explorer probablement.
Source: Isabelle Audet, La Presse, 26 d�cembre 2006
Pierre Morency en r�vait depuis ses �tudes en architecture, il y a presque 30 ans. L'�t� 2005, il a enfin d�tourn� trois conteneurs de la ferraille pour les transporter dans un entrep�t. Pendant un an, il en a am�nag� l'int�rieur et il en a fait son futur chalet : un b�timent surprenant arriv� par les airs sur le bord du lac Aylmer, dans la r�gion de Chaudi�re-Appalaches.
Debout devant la table de la salle � manger, Antoine, 7 ans, se concentre sur un ouvrage complexe fait de blocs. Il s�journe d'ailleurs dans un chalet semblable, fait de trois conteneurs empil�s comme des cubes.
Voir la suite.
Voir cet autre billet.
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� consulter, ces deux billets...
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Mon coup de coeur anticip� pour l'�dition 2007, si ce projet se r�alise: Renaud et les Cowboys Fringants sur la m�me sc�ne!
Source: Kathleen Lavoie, Le Soleil, 3 janvier 2007.
Dans la foul�e du Festival de cin�ma des 3 Am�riques et du Grand Rire, voil� que le Festival d��t� (FEQ) accro�t lui aussi sa pr�sence au centre-ville de Qu�bec et ce, d�s cette ann�e. C�est ce qu�a affirm� hier au Soleil le nouveau pr�sident du conseil d�administration de l��v�nement, Louis-Philippe Baillargeon.Apr�s l�organisation du Festival d��t�, qui �tablissait ses quartiers g�n�raux sur la rue Saint-Joseph il y a quelques ann�es, et l�Imp�rial, qui s�est ajout� aux endroits de l��v�nement en 2006, la place de l�Universit�-du-Qu�bec (situ�e pr�s du jardin Saint-Roch) bonifiera donc bient�t l�itin�raire du Festival en basse-ville.
� On veut que l�implication du Festival au centre-ville se traduise par une pr�sence plus concr�te. (�) C�est une volont� arr�t�e tr�s nette. C�est essentiel de le faire. Le Festival d��t� est n� intra-muros. C�est l� que le Festival a d�abord �t� cr��, � l�int�rieur des vieux murs �, a fait savoir le nouveau mandataire du FEQ.
Aussi, ce billet.
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03 janvier 2007
Source: Ren�e Larochelle, Au fil des �v�nements, 4 janvier 2007.
On dit que l�int�rieur d�une automobile en dit plus long sur son propri�taire que bien des discours. Si le d�sordre y r�gne, on en conclura que le conducteur a l�esprit brouillon. Par contre, un habitacle d�une propret� irr�prochable sera le plus souvent associ� � la rigueur, voire au perfectionnisme du propri�taire du v�hicule. Mais qu�on fasse partie du premier groupe ou du second, l�automobile reste dans tous les cas un espace priv�, une sorte de bulle o� l�on est � d�couvert en m�me temps qu�� l�abri. En m�me temps, les objets et accessoires de toutes sortes qui peuplent certains int�rieurs pourraient donner � penser que l�automobile constitue un prolongement de la maison, du bureau ou dans certains cas, de la remise. C�est ce dernier aspect qu�a examin� Marie-H�l�ne Gagnon, dans son m�moire de ma�trise en ethnologie. (...)
La suite.
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� partir des Plaines, vue en direction sud sur un fleuve Saint-Laurent sans glace; ph�nom�ne exceptionnel � cette �poque de l'ann�e...
Comme par hasard, TVA a abord� ce sujet, � l'heure du souper. Ne manquait que l'h�licopt�re! ;-)
Voir ce billet. Aussi, mon blogue m�t�o.
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02 janvier 2007
Source: Radio-Canada (Qu�bec), 2 janvier 2007.
La huiti�me �dition du March� de No�l au Vieux-Port de Qu�bec devrait �tre couronn�e de succ�s.M�me si le bilan final ne sera connu que dans les prochains jours, les organisateurs croient que 50 000 personnes auront visit� les producteurs cette ann�e. Cela repr�sente 5000 personnes de plus que l'an dernier.
Francis Villeneuve, adjoint aux communications du March� du Vieux-Port de Qu�bec, affirme que les gens de Qu�bec sont de plus en plus attach�s � l'�v�nement.
� Les produits locaux ont une cote d'amour dans le coeur des Qu�b�cois, c'est immanquable �, dit-il.
� compter du 4 janvier, ce sera au tour du March� d'hiver d'ouvrir ses portes jusqu'au 29 avril prochain.
Aussi, ce billet.
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