Le Forum

Les billets selon les arrondissements
La Cité
 -Champlain / Vieux-port
 -Haute-ville
 -St-Roch
 -St-Sauveur
 -Vieux-Québec
Les Rivières
Ste-Foy-Sillery
Charlesbourg
Limoilou
Beauport
Haute-Saint-Charles
Laurentien

Les projets par catégorie
Commercial
Condo
Logement locatif & social
Maison / bungalow
Transport
Transport en commun

s�parateur

�diteur


�diteur �m�rite
[blog photo]

Collaborateurs
Jean Cazes
Jaco
G�rald Gobeil
Alexis Fortin
Serge Alain
Carol Proulx
Vous?

s�parateur

Autres carnets urbains
-L�vis urbain
-Le Blog de Ste-Ad�le
-Montr�al urbain
-Trois-rivi�res urbain
-Montreal Weblog [EN]
-Li�ge urbain!

Qui est le prochain?

s�parateur

RSS
(qu'est ce que c'est?)

 

Canadian Blogs

Archive des billets publi�s en f�vrier 2007

28 f�vrier 2007

D�veloppement immobilier: Des promoteurs � la conqu�te de l'�le
Par Carol Proulx

Questions r�ponses des 5 plus grands constructeurs immobiliers de Montr�al. Je me demande si on pourrait transposer avec Qu�bec, si ont auraient les m�mes r�ponses ? A titre informatif !

Source: Isabelle Audet, La Presse, 28 f�vrier 2007

[...]Comment per�oivent-ils Montr�al? Quels projets caressent-ils? Voici, brique par brique, la vision de ceux qui modifient le paysage montr�alaispour des d�cennies, voire des si�cles.[...]

Voir la suite.

**********

H�tel-Dieu de Qu�bec: Charest promet 400 millions
Par Jean Cazes

Premi�re image publi�e. Source: Le Soleil, 2 novembre 2005.

Source: Radio-Canada (Qu�bec), 28 f�vrier 2007.

(...) Jean Charest a donn� les d�tails du projet, qui verrait le nombre de lits passer de 257 � 350, augmenterait la capacit� d'accueil de l'urgence et ajouterait deux salles d'op�ration � l'institution, en plus de moderniser l'�quipement. (...)

Jean Charest a d�clar� que ce projet permettrait de placer l'H�tel-Dieu � l'avant-garde des soins en canc�rologie, en cardiologie et en n�phrologie, entre autres, et de faire face � l'augmentation du nombre de cancers li� au vieillissement de la population.

Philippe Couillard, candidat dans Jean-Talon, a de son c�t� chiffr� ce projet d'agrandissement � autour de 400 millions de dollars. Les travaux, qui comprendront un volet de pr�servation de l'�difice patrimonial, doivent commencer en 2008. (...)

La suite. Aussi, ce billet.

**********

Qui suis-je, o� suis-je ? (X)
Par Carol Proulx

� vous de trouver !

**********

Dragone jouera sur les toits
Par Jean Cazes

Franco Dragone s�associera � des artistes de Qu�bec pour cr�er un spectacle sur les toits, les terrasses et sur toute la structure ext�rieure du Mus�e de la civilisation.

D�cid�ment, on risque d'avoir un �t� 2008 des plus int�ressants c�t� culture et musique. Derni�re rumeur? Mon dernier coup de foudre, Arcade Fire, avec David Bowie!!

Source: Julie Lemieux, Le Soleil, 27 f�vrier 2007.

Le c�l�bre metteur en sc�ne Franco Dragone s�associera � des artistes de Qu�bec pour cr�er un spectacle sur les toits, les terrasses et sur toute la structure ext�rieure du Mus�e de la civilisation afin de faire de cet immeuble un des � phares � de Qu�bec pendant les F�tes du 400e .

Le concepteur du spectacle de C�line Dion � Las Vegas et de plusieurs prestations du Cirque du Soleil promet que les visiteurs seront �blouis par cet �v�nement exclusif qui aura lieu dans la capitale du 15 mai au 2 novembre 2008.(...)

La suite. Aussi, ce billet.

**********

27 f�vrier 2007

Sc�nes urbaines: Dans le brouillard
Par Carol Proulx



Sc�nes urbaines d'ailleurs ! Laquelle pr�f�rez-vous ?

**********

La cl� dans la porte du StarCit�
Par Francis Vachon

Source: Normand Provencher, Le Soleil

pr�s avoir ferm� la moiti� de ses salles de cin�ma des Galeries de la Capitale, le groupe Fortune a pris tout le monde par surprise, hier matin, en mettant la cl� dans la porte du m�gacomplexe StarCit�. Pour les cin�philes de la capitale, il s�agit d�une perte de 24 �crans en moins d�un mois.

Suite du texte

Le Starcit� n'�tait-il pas le seul cin�ma de la r�gion � pr�senter des films en VOA?

**********

26 f�vrier 2007

Un monde sans d�chets : Et si tout devenait recyclable ? Vraiment tout...
Par Carol Proulx

Dans le fond le probl�me � la source est notre consommation effrener inconsciente, souvent sans �tre responsable. De plus je m�imagine en quoi cela changera l�utilisation des sols ou terrains. En quoi cela affectera de mani�re positive la conception et l�application de l�urbanisme (surtout du nouvel urbanisme) ??? En quoi un quartier autant industriel, que commercial seraient le m�me apr�s ce genre de vision. Auraient-ils des endroits pr�cis genre un "Home depot pour permettre ce genre de r�cup�ration"

Source: Val�rie Borde l�Actualit�, janvier 2007

R�cup�rer les d�chets pour les recycler, c�est bien. Faire en sorte qu�il n�y ait plus aucun d�chet en intervenant d�s la conception des produits, ce serait encore mieux. Voil� l�id�e d�abord d�fendu par une poign�e d��cologistes, mais aujourd�hui prise tr�s au s�rieux par des designers industriels et quelques entreprises manufacturi�res.

Selon l�architecte William McDonough, pionnier en la mati�re, la plupart des efforts de recyclage actuels consistent surtout en du �d�cyclage� : avec les d�chets, on fabrique des produits � moindre grande valeur ajout�e, qui de cycle en cycle, finiront in�vitablement par atterrir au d�potoir ou � l�incin�rateur. � chaque cycle, un mat�riau comme le plastique perd en qualit�, ce qui oblige � recourir � une multitude d�additifs afin d�am�liorer ses performances. Avec comme r�sultat qu�un produit recycl� n�est pas forc�ment moins polluant.

Pour sortir de ce cercle vicieux, William McDonough propose d�imiter les cha�nes alimentaires de la nature, o� chaque organisme mort sert de nourriture � un autre organisme, dans une boucle sans fin. C�est l�approche dite �du berceau � la tombe�. L�organisme international �Zero Emsissions Research and Initiative� (ZERI) a d�j� con�u quelques usines sur ce principe en divers endroits du monde.

En Namibie, par exemple, les d�chets d�une brasserie servent � faire pousser des champignons, qui nourrissent des lombrics, qui engraissent � leur tour des poulets. Les d�jections des poulets sont trait�es : une partie devient source d��nergie pour la brasserie, l�autre alimente des algues, qui nourrissent des poissons. Sans d�chets, le complexe produit d�sormais de la bi�re, des volailles et des poissons, et il approvisionne en �nergie un village entier, en plus d�avoir cr�e des emplois. Copier la nature a du bon !

**********

Mon beau sapin
Par Gerald Gobeil

218 tonnes d�arbres r�cup�r�es

La Ville de Qu�bec a r�cup�r� 218 tonnes de sapins de No�l lors de la collecte sp�ciale qu�elle a tenue en janvier dernier sur tout son territoire. C�est 25 % de plus que l�an dernier! Ces arbres, r�duits en copeaux, serviront � faire du compost. Merci � toute la population pour cette belle collaboration.

Source: Bulletin municipal de la Ville de Qu�bec

**********

25 f�vrier 2007

fresque murale: Refaire l�histoire � coups de pinceaux
Par Carol Proulx

Source: Fran�ois Simard, Qu�bec Hebdo, 20 f�vrier 2007

Un des murs du centre d�accueil du Parc nautique de Cap-Rouge prendra des couleurs sous les pinceaux d�une dizaine d��l�ves des �coles secondaires Les Compagnons-de-Cartier et De Rochebelle qui y r�aliseront une imposante fresque rappelant la riche histoire de ce secteur. Les jeunes artistes seront � l�oeuvre d�s juin et l�oeuvre devrait �tre inaugur�e � la rentr�e automnale.

Voir la suite.

**********

24 f�vrier 2007

Gens de Qu�bec, r�veillons-nous !
Par Carol Proulx

Comme dirais Jean Cazes, un petit bijou d'�ditorial, � saveur �cologique. M�me si c�est l�autre bord du fleuve, nous sommes concern�s aussi.

Source: Le Soleil, 24 f�vrier 2007

Au lendemain de la publication du rapport du GIEC sur les changements climatiques et de la visite de David Suzuki, �cologiste canadien de renom, bien au fait de la d�t�rioration acc�l�r�e de notre environnement local et global, le projet de Rabaska appara�t brutalement comme, non seulement une ind�cence, mais comme une �norme b�tise.

La suite.

**********

Pas de projet immobilier au Jardin zoologique
Par Carol Proulx

Source: Denis Fortin, Quebec Hebdo, 22 f�vrier 2007

Contrairement aux affirmations des membres du groupe SOS Zoo, il n�est pas question pour le gouvernement du Qu�bec de c�der � des promoteurs immobiliers les terrains du Jardin zoologique du Qu�bec ferm� depuis pr�s d�un an d�j�.

C�est du moins ce qu�ont affirm� l�attach� politique du d�put� provincial de Charlesbourg, Andr� Huot, de m�me que le responsable des communications de la Commission de la Capitale nationale, Denis Angers.

Voir la suite.

**********

23 f�vrier 2007

Consignation universelle ! : Plus question d�envoyer les voitures � la casse
Par Carol Proulx

Source: Michel Rabagliati Magazine L�Actualit�, janvier 2007

Votre bagnole a rendu l��me ? Vous l�envoyez non pas � la ferraille, mais chez le constructeur. Car votre voiture est consign�e. Comme une bouteille de cola !Un fantasme ? Pas totalement. La consignation de tous les produits non biod�gradables, du t�l�phone portable � la camionnette, est une id�e qui fait son chemin. Son application donnerait aux entreprises la responsabilit� finale de se d�barrasser de leurs produits parvenus � la fin de leur vie utile. Vieilles peintures, vieilles moquettes et ordinosaures retourneraient au fabricant d�origine, qui devrait � ses frais, s�en d�faire de fa�on �cologiquement responsable.

L�Union europ�enne a ainsi adopt�, en 2000, la directive VHU (v�hicules hors d�usage), qui oblige les constructeurs � prendre en charge leurs voitures �d�c�d�es�. En 2015, au moins 95% de chaque v�hicule devra �tre r�utilis� ou recycl�. Des initiatives semblables mijotent dans les domaines de l��quipement �lectronique, des solvants, des tissus d�ameublement...

Dans un ordre d�id�e en marge de cet article, vous connaissez les 3R ! (r�duire, r�employer, recycler) Bien il existe les 4R (non non ce n�est point une joke !) Le 4e R est une suite logique des trois premiers. �Restauration� qui a deux volets soit en premiers lieux de changer des comportements et attitudes qui ne sont plus en harmonie avec les d�fis du 21e si�cle, et aussi restauration dans le sens de restaurer les endroits, terrains qui ont soi �t�s contamin�s, ou boulevers�s Par L�homme.

**********

"Ils sont pr�ts, elles sont pr�tes", sur le boulevard... Charest!
Par Jean Cazes

Affichage �lectoral sur le boulevard Charest. Photo: Jean Cazes, 23 f�vrier 2007.

Entendu hier sur les ondes de la radio de Radio-Canada: les clubs de tir � l'arc (!) seraient friants de ce type de panneaux, apr�s leur premier usage... Une fa�on comme une autre de les recycler, quoi, puisque le "vert" est � la mode dans la pr�sente campagne �lectorale provinciale! ;-)

Aussi, ce billet.

**********

Transport en commun: La CMQ veut faire des am�liorations
Par Jean Cazes

Source: Radio-Canada (Qu�bec), 23 f�vrier 2007.

La Communaut� m�tropolitaine de Qu�bec (CMQ) veut am�liorer le transport en commun entre les deux rives.

En plus de projeter la construction d'un terminus dot� d'un immense stationnement � la t�te des ponts, l'organisme r�gional veut mettre en place une ligne m�tropolitaine interrives de type M�trobus. Le prolongement des voies r�serv�es aux autobus jusqu'aux ponts permettrait par ailleurs de rendre le trajet plus rapide et d'�viter les embouteillages � la t�te des ponts.

L'organisme souhaite aussi multiplier les dessertes, afin d'am�liorer la fr�quence des autobus sept jours sur sept.

Ces projets n�cessiteraient des investissements de plus de 8 millions de dollars qui pourraient en partie �tre financ�s � m�me le fonds de 130 millions de dollars mis en place lors de la nouvelle politique du transport collectif.

**********

Le Mus�e sur Grande-All�e
Par Jean Cazes

Le nouveau pavillon du Mus�e national des beaux-arts, qui pourrait voir le jour en 2011, occupera le site actuel du monast�re des Dominicains, sur Grande All�e.

Source: Nicolas Houle, Le Soleil, 22 f�vrier 2007.

Le Mus�e national des beaux-arts aura d�sormais un acc�s direct sur Grande All�e. L�institution acquerra aujourd�hui le site du monast�re des Dominicains, voisin de l��glise Saint-Dominique, en vue d�y construire un pavillon de 90,3 millions $. (...)

La suite. Aussi, ce billet.

**********

22 f�vrier 2007

La solution au non-respect des voie-r�serv�es au transport en commun?
Par Francis Vachon

**********

Un quartier r�sidentiel sur le campus universitaire?
Par Francis Vachon

Source: Le Soleil

Le Conseil d'administration de l'Universit� Laval a accept� en principe le plan d'am�nagement d'un nouveau quartier dans le secteur nord-est de son campus, pr�s de l'avenue Myrand.

Du m�me coup, le Conseil a accept� le principe de la r�alisation d'une premi�re phase constitu�e par la construction de 150 unit�s de logement pour �tudiants dans ce quartier, sous forme d'appartements. L'universit� pourrait ainsi r�pondre aux besoins des �tudiants-parents, par exemple, ce qui ne lui est pas possible de faire pr�sentement avec ses quelques 2300 chambres r�parties dans ses quatre r�sidences.

Suite de l'article

**********

Le guide Achetez usag�!
Par Jean Cazes

Source: www.achetezusage.com.

Source: site du Plan de gestion des mati�res r�siduelles de la Communaut� urbaine de qu�bec - Rive Nord.

Acheter usag�, un bon geste pour l'environnement et votre budget. Le pr�sent r�pertoire contient les noms, adresses, num�ros de t�l�phone et adresses Internet (lorsque disponibles) de quelque 200 entreprises o� vous pouvez acheter, � bon prix, une multitude de biens usag�s en bon �tat.(...)

Aussi, ce billet.

**********

Saint-Sacrement dit oui � la Cit� verte
Par Jean Cazes

Source: Isabelle Mathieu, Le Soleil, 21 f�vrier 2007.

Les gens de Saint-Sacrement donnent leur accord, avec quelques r�serves, au projet de la Cit� verte sur le site des Soeurs du Bon-Pasteur, un futur quartier de 700 � 800 unit�s d�habitation.

Si l�arrondissement La Cit� accepte de changer le zonage, c�est une v�ritable nouvelle paroisse, � peu pr�s de la taille des Jardins M�rici, qui viendra s�ins�rer au milieu du quartier Saint-Sacrement, � c�t� de l�h�pital Jeffery Hale.

Et, � 200 millions $ d�investissement priv�, c�est de loin le principal projet r�sidentiel dans la haute ville de Qu�bec.

Aussi, ce billet.

**********

20 f�vrier 2007

Salons de jeux: Rien ne va plus
Par Jean Cazes

Source: Radio-Canada (Qu�bec), 20 f�vrier 2007.

(...) La direction r�gionale de sant� de la Capitale-Nationale (DRSP) croit que le futur salon de jeu de l'hippodrome de Qu�bec risque de faire augmenter les probl�mes psychosociaux et de sant� dans la r�gion.

Elle se pr�occupe du fait que le salon de jeu soit situ� dans un des quartiers les plus pauvres de la ville et sur le site d'Expo-Cit�, qui est fr�quent� par les familles. Dans le secteur vis�, 44 % des gens vivent sous le seuil de la pauvret�.

En cons�quence, la Sant� publique recommande de limiter les heures d'ouverture de l'endroit en soir�e seulement. On sugg�re aussi d'interdire la publicit� et la commandite associ�es � ce salon de jeu. (...)

La suite. Aussi, ce billet.

**********

D�neigement: Qu�bec d�laisse les rues priv�es
Par Jean Cazes

4e Avenue. Photo: Jean Cazes, 15 f�vrier 2007.

Source: Radio-Canada (Qu�bec), 20 f�vrier 2007.

La Ville de Qu�bec maintient sa d�cision de ne plus d�neiger les rues priv�es de son territoire � compter du 1er juin. Plusieurs r�sidents de rues priv�es ont tent� sans succ�s de convaincre le conseil municipal du bien-fond� de ce d�neigement. Ils ont plaid� qu'ils paient les m�mes taxes que les autres propri�taires. (...)

La suite. Aussi, ce billet.

**********

19 f�vrier 2007

Montr�al: Les Bougon de la location
Par Jean Cazes

Source: La Presse.

"Acticles sensationnalistes!" diront certains. En tout cas, ces histoires d'horreur r�fl�tent une r�alit� qu'on peut �videmment transposer � Qu�bec et qui laisse � r�fl�chir...

Source: Katia Gagnon et Hugo Meunier, La Presse, 19 f�vrier 2007.

L�an dernier, apr�s un reportage sur les taudis de Montr�al [l'autre c�t� de la m�daille], nous avons �t� inond�s de courrier : oui, disaient en substance vos messages, les pratiques douteuses des mauvais propri�taires devraient �tre sanctionn�es. Mais, disiez-vous aussi, les mauvais locataires existent.

En effet. Bon an, mal an, pas moins de 80 000 propri�taires portent plainte � la R�gie du logement contre un locataire. La moiti� de ses plaintes concernent le non-paiement du loyer. Sur 1,3 million de m�nages locataires au Qu�bec, c�est peu, plaide le porte-parole de la R�gie du logement, Jean-Pierre Leblanc. Mais pour les propri�taires dont la vie est litt�ralement empoisonn�e, par les mauvais locataires, c�est beaucoup. (...)

La suite.

**********

17 f�vrier 2007

Sc�nes urbaines: Qu�bec tous le monde descend...
Par Carol Proulx

Au revoir !!!

**********

Architecture: Quand un sculpteur se lance dans la construction
Par Carol Proulx

Ah ! voila le genre d'innovation que peuvent cr�er des gens, et qui change le style de maison traditionnel de brique ou de bardeau de PVC. Ou comment avoir une ville artistique, ou bien donc originale.

Source: Simon Diotte, La Presse, 16 f�vrier 2007

Pendant des ann�es, Robert Lachance faisait du grand art: de la sculpture �organo-m�canique�. Expositions diverses � Montr�al, Vancouver, New York, mais peu de ventes. Un jour, � la recherche d'un atelier pas cher, il ach�te un b�timent en ruine � Saint-Scholastique, dans les Basses-Laurentides.

En le r�novant de fond en comble, il se d�couvre une passion pour la construction. Et il constate, lors de la revente, que l'immobilier est pas mal plus payant que l'art.

Ce qui fait qu'aujourd'hui, M. Lachance a compl�tement abandonn� les arts plastiques pour faire vivre sa famille. En lieu et place, il construit des maisons uniques, qui se pr�sentent comme des oeuvres d'art, o� le syst�me D est mis � l'honneur. Car cet autodidacte ne fr�quente par les superentrep�ts de la r�novation. S'il a besoin d'un luminaire, il va s'en construire un avec des mat�riaux recycl�s. �J'ai toujours �t� habitu� � travailler avec peu de moyens. Je r�cup�re tout et je le recycle dans la construction�, raconte l'�nergique monsieur.

Voir la suite.

**********

Sc�ne urbaine: ambiance techno � la Place D'Youville
Par Jean Cazes

Place D'Youville: patinoire et Palais Montcalm. Photo: Jean Cazes, 10 f�vrier 2007.

Autre sc�ne croqu�e le soir du D�fil� du Carnaval en haute-ville [billet]. En arri�re-plan, le "nouveau" Palais Montcalm (la Maison de la Musique) dont l'ouverture est officiellement annonc�e pour le 17 mars prochain!

Aussi, ce billet.

**********

Patrimoine religieux: Des condos? Que nenni!
Par Carol Proulx

Source: Radio-Canada (Qu�bec)

Les nombreuses �glises catholiques qui ferment leurs portes au gr� du d�clin de la pratique religieuse ne pourront plus �tre d�truites ou encore converties en condos.

Voir la suite.

**********

16 f�vrier 2007

Patrimoine: Trois bijoux m�connus du quartier Montcalm
Par Carol Proulx

Source: Jean Nicolas Pattoine, Le Soleil, 14 f�vrier 2007

Avant l'avenue Cartier, le mus�e du Qu�bec et l'anneau des plaines d'Abraham, le quartier Montcalm �tait lieu de vill�giature pour les riches propri�taires d'immenses r�sidences. Construites au XIXe si�cle et occup�es par la bourgeoisie anglaise, ces opulentes villas ont, les unes apr�s les autres, �t� victimes de d�molition, expansion urbaine �oblige�. Mais trois d'entre elles ont r�sist� � l'envahisseur.

Voir la suite.

**********

On a cartographi� �l��nigme de la capitale�
Par Jean Cazes

Source: Au fil des �v�nements.

Source: Yvon Larose, Au fil des �v�nements, 15 f�vrier 2007.

Dans la ville de Qu�bec, le vote s�av�re tr�s diff�rent selon le lieu de r�sidence et le comportement �lectoral est influenc� par les opinions dominantes qui ont cours o� l�on r�side. (...)

La suite. Aussi, ce billet.

Merci � G�rald Gobeil pour nous avoir communiqu� cette information!

**********

Sc�nes urbaines: Les remparts de Qu�bec
Par Carol Proulx

Super grand format 1280x638, Carol Proulx

...

**********

15 f�vrier 2007

Sc�nes urbaines: beaut�s et p'tites mis�res de l'hiver qu�b�cois (13)
Par Jean Cazes

Grand format 640 X 480, secteur Limoilou, 15 f�vrier 2007. Photo: G�rald Gobeil.

"Maximum... 50 cm!" Voil� le titre de la photo ci-haut prise aujourd'hui sur la rue Saint-Jean par notre d�vou� coll�gue G�rald Gobeil. Merci!

Pour ma part, je vous propose la sc�ne ci-bas croqu�e sur la 4e Avenue (vers 9h00). Et pour ceux et celles que �a int�resse, je pr�pare dans les prochains jours, � temps perdu, un dossier sur cette belle temp�te dans mon blogue m�t�o! ;-)

Aussi, ce billet.

Grand format 800 X 600, secteur Limoilou, 15 f�vrier 2007, 09h02. Photo: Jean Cazes.

**********

Un microbus �lectrique � Qu�bec
Par Gerald Gobeil

Entr�e en vigueur du Programme de gestion int�gr�e des d�placements dans le Vieux-Qu�bec
Un microbus �lectrique � l�essai � compter d�aujourd�hui

Qu�bec, le 15 f�vrier 2007 � La Ville de Qu�bec et le R�seau de transport de la Capitale (RTC) ont annonc� l�acquisition d�un microbus �lectrique qui sera soumis � un programme d�exp�rimentation dans l�arrondissement historique de la capitale � compter d�aujourd�hui.

Ce programme d�essai est dot� d�un budget de pr�s de 600 000 $, dont 355 000 $ sont consacr�s � l�achat du v�hicule. Il constitue le premier �l�ment d�un �ventuel parc de v�hicules utilisant ce mode de propulsion.

Ce projet s�inscrit dans le Programme de gestion int�gr�e des d�placements dans le Vieux-Qu�bec, qui sera r�alis� au cours des deux prochaines ann�es. Des investissements totalisant 12,2 M$ y seront consacr�s, soit 2 M$ du minist�re des Transports du Canada, 4,175 M$ du minist�re des Transports du Qu�bec, 5,7 M$ de la Ville de Qu�bec et 325 000 $ du R�seau de transport de la Capitale.

Un pas de plus vers la mise en service d�un parcours �cologique

M. Fran�ois Picard, 2e vice-pr�sident du comit� ex�cutif de la Ville de Qu�bec, a tenu � rappeler que � L�achat d�un v�hicule, m� par un mode de propulsion, moins polluant et plus silencieux, est un des �l�ments cl�s du Programme de gestion int�gr�e des d�placements dans le Vieux-Qu�bec. Ce programme, �labor� conjointement en 2003 par la Ville de Qu�bec et le RTC, vise � r�duire le nombre de v�hicules circulant dans l�arrondissement historique et � doter ce secteur particulier d�autobus contribuant � conserver un environnement de qualit� �.

Pour sa part, le pr�sident du conseil d�administration du RTC, M. Gilles Marcotte a mentionn� que : � Le projet d�offrir � la population un service de navette �cologique, en collaboration avec la Ville de Qu�bec, s�inscrit dans les orientations strat�giques du RTC pour am�liorer et moderniser le transport collectif � Qu�bec �.

Les recherches visant � acqu�rir un v�hicule dot� d�une technologie propre et r�pondant aux exigences du projet, ont �t� men�es en Am�rique du Nord et en Europe avec la complicit� du Centre d�exp�rimentation des v�hicules �lectriques (CEVEQ). Organisme � but non lucratif, le CEVEQ poss�de une solide expertise dans le domaine et accompagnera la Ville de Qu�bec et le RTC � titre d�expert conseil tout au long des essais routiers, des analyses techniques et du processus d�acquisition des v�hicules.

Le programme d�essais se d�roulera au cours des mois de f�vrier et mars 2007. La performance du v�hicule, sa capacit� � r�pondre � la g�ographie du territoire et � s�adapter � la rigueur de notre climat seront � l��tude.

Cette d�marche est essentielle avant de faire l�acquisition des sept autres v�hicules n�cessaires pour exploiter un service de navette � l�int�rieur des fortifications, service que l�on d�sire offrir gratuitement d�s 2008.


Annexe A �
Fiche technique microbus � plancher bas m� � l��lectricit�

Fabricant : Technobus S. p A.
Mod�le : Gulliver


Longueur ext�rieure du v�hicule : 5,30 m (17,5 pieds)
Largeur ext�rieure : 2,03 m (6,5 pieds)
Hauteur au point le plus haut : 2,85 m (9,5 pieds)
Hauteur du plancher : 35 cm (14 pouces)
Vitesse maximale : 33 km/h
Pente maximale : 16 %
Autonomie : 100 km/12 heures
Temps de recharge : 8 heures
Largeur des portes : 1,26 m (4 pieds)
Capacit� de passagers : 10 assis - 10 debout


R�seau de transport de la Capitale

**********

L'immeuble commercial � Qu�bec
Par Gerald Gobeil

Immobilier: Qu�bec, ville ouverte
La Presse
Jean-Nicolas Patoine

Qu�bec, l�irr�ductible. La ville dont le parc immobilier sommeille � l�abri de l�investissement �tranger. Vrai?

Faux ! Depuis cinq ans, le paysage de l�immobilier commercial a radicalement chang� dans la Vieille Capitale. Un grand nombre d�immeubles � bureaux, commerciaux et industriels sont pass�s entre les mains de fonds de placements canadiens attir�s par la bonne sant� �conomique de Qu�bec.

Les acheteurs de l�ext�rieur paient de tr�s, tr�s, tr�s gros prix�, observe Steve Gilbert, directeur de la section r�gionale du Groupe Altus Helyar, qui a r�alis� une �tude du march� immobilier de la r�gion de Qu�bec.

�M�me que les propri�taires locaux ne pensaient jamais vendre leur portefeuille � des prix comme ceux-l�, ajoute-t-il.

D�ailleurs, en 2006 seulement, les entreprises cot�es � la Bourse de Toronto ont r�alis� des acquisitions de plus de 150 millions $ sur le march� de l�immobilier commercial de Qu�bec.

��a engendre une nouvelle dynamique, explique Guillaume Neveu, directeur r�gional de l�Institut de d�veloppement urbain du Qu�bec. Les anciens propri�taires locaux d�gagent des capitaux (de leurs ventes). Ces gens-l� ne resteront pas inactifs trop longtemps. Certains vont r�investir dans le march� et lancer de nouveaux projets de d�veloppement.�

M�me les grandes entreprises familiales toujours prosp�res � encore tr�s nombreuses �n��chappent pas au changement. Cominar, qui poss�de le quart des immeubles commerciaux dans la r�gion de Qu�bec, est devenue soci�t� publique en 1998. Cette transformation a permis � l�entreprise dirig�e par Michel Dallaire de garnir son portefeuille. D�ailleurs, elle pourrait bient�t acqu�rir la soci�t� Alexis Nihon, ce qui en ferait le propri�taire immobilier le plus important au Qu�bec, avec 204 immeubles.

Un brin de myst�re

Ouverte sur le monde, Qu�bec demeure malgr� tout myst�rieuse. Pr�sentement, le taux d�inoccupation des loyers commerciaux � s��l�ve � � 3,2 % dans les immeubles � bureaux et � 3,4 % dans les immeubles industriels. Un seuil historiquement bas. �Demain matin, si vous nous demandez un local de 25 000 pi2, il faut le construire�, illustre Michel Dallaire. Pourtant � et �trangement �, le prix des loyers peine � monter.

�C�est le reflet d�un march� tr�s conservateur, lance Jean Morency, pdg de SSQ Soci�t� immobili�re. Les gens sont tr�s prudents dans leurs investissements. Ils posent des gestes r�fl�chis.�

De son c�t�, Michel Dallaire estime que les loyers restent stables car la majorit� des locataires sont de petites entreprises qui occupent en moyenne 3000 pi2 et qui n�ont pas toujours une grande capacit� de payer.

La forte pr�sence du gouvernement comme locataire explique aussi le bas prix des loyers, selon Guillaume Neveu et Steve Gilbert. � elle seule, la Soci�t� immobili�re de Qu�bec (SIQ) loue un espace de 4 900 000 pi2 dans la r�gion de Qu�bec, en plus d��tre propri�taire de 6 000 000 de pi2. C�est 35 % de tout son parc immobilier : une plus grande part que Montr�al (25,6 %). Cette omnipr�sence lui donne un fort pouvoir de n�gociation.

�On ne sait jamais quelle orientation le gouvernement va prendre, mentionne M. Gilbert. Vont-ils faire des coupures drastiques de postes ? Les propri�taires sont sur leurs gardes.�

Probl�me de visibilit�

Malgr� son d�veloppement, Qu�bec est absente de la plupart des �tudes des grandes firmes nationales de courtage en immobilier, ce qui la prive sans doute de nouvelles entreprises et de nouveaux investisseurs.

Pour illustrer le ph�nom�ne, Guillaume Neveu exhibe une �tude pancanadienne de la firme J.J. Barnicke. En plus des m�tropoles, de petites villes telles Kingston, Waterloo, Saskatoon et Victoria sont bien en �vidence. Mais Qu�bec brille par son absence. � On essaie de renverser la tendance �, insiste M. Neveu.

De l�action sur le boulevard Laurier

Malgr� tout, certains secteurs sont dynamiques. Revitalis�, le quartier Saint-Roch a attir� de nombreux investisseurs. Deux fiducies de placement canadiennes, Whiterock et Allied Properties, ont r�cemment acquis des b�timents du centre-ville.

Et le boulevard Laurier bourgeonne. Cominar a construit une tour adjacente � sa Place de la Cit�. SSQ Immobilier vient d�inaugurer l��difice Roland-Giroux � o� si�ge Hydro-Qu�bec � qui a pris la place de l�ancien bunker de Radio-Canada. Trois autres projets sont sur le point de voir le jour.

� C�est l�entr�e de la ville, dit M. Morency pour expliquer l�effervescence pr�s des centres commerciaux. Et il y a encore quelques espaces dans la trame qui permettent le d�veloppement. De plus, on sait que cette art�re va rester importante pour Qu�bec. �

Sur l�autre rive...

Rive-Nord et Rive-Sud, m�me combat ? Au fil des entrevues se d�gage l'impression que le d�veloppement se fait plus facilement � L�vis, o� les projets sont nombreux. Mais personne n'ose le confirmer clairement.

� Sur la Rive-Sud, il y a des choses qui se passent, dit quand m�me M. Neveu. Il y a une dynamique diff�rente entre Qu�bec et L�vis. La ville de Qu�bec est mature, le d�veloppement immobilier est en grande partie compl�t�. � L�vis, il y a encore de grands espaces � consolider. �

Cominar d�veloppe en ce moment une dizaine de projets sur la Rive-Nord et la Rive-Sud. Michel Dallaire pr�f�re ne pas comparer l�une et l�autre, mais il estime toutefois que, dans les deux cas, � la fusion des villes a alourdi le processus �.

**********

Sc�nes urbaines: beaut�s et p'tites mis�res de l'hiver qu�b�cois (12)
Par Jean Cazes

Grand format 800 X 600, secteur Limoilou, 14 f�vrier 2007, 20h57. Photo: Jean Cazes.

Depuis la fin de la matin�e, il serait tomb� environ 25 cm de neige (jusqu�� 21h00), celle-ci �tant abondante sur une courte p�riode en mi-soir�e. Mais consid�rant les attentes � Qu�bec pour les amateurs de "gros temps" (comme moi!) envers cette d�pression majeure remontant la c�te Est et l�absence de vents forts, c�est plut�t d�cevant...

Mais bon, voil� quand m�me la premi�re chute de neige d�importance depuis le 8 janvier (17 cm) en cet hiver bien � sec �. De plus, une forte poudrerie devrait s�vir demain matin au revers de la "Temp�te de la Saint-Valentin" qui continue � se creuser en progressant vers le nord...

Dossier (Radio-Canada). Aussi, ce billet.

Grand format 800 X 600, secteur Limoilou, 14 f�vrier 2007, 21h01. Photo: Jean Cazes.

**********

14 f�vrier 2007

Sc�nes urbaines: Qu�bec illumin�
Par Carol Proulx

Super grand format 1280x532, Carol Proulx, novembre 2006

...

**********

Pour en finir avec la morosit�...
Par Carol Proulx

Source: Damien Rousseau, Qu�bec Hebdo, 2 f�vrier 2007

Admettons d'entr�e de jeu que pendant de trop longues ann�es la morosit� a r�gn� en ma�tre sur la ville de Qu�bec.

Avec la fin du cabotage sur le Saint-Laurent, le port de Qu�bec s'est vid�, laissant des dizaines d'entrep�ts d�saffect�s pendant que ses bureaux d'affaires autrefois prestigieux ont migr� vers la haute-ville ou les nouveaux �difices de Sainte-Foy. Puis, dans les ann�es 1970, Saint-Roch est tomb� � son tour au profit des centres commerciaux de banlieue, au point o� le quartier fut surnomm� �plywood city�. Qu�bec Mer et Monde a lamentablement foir�, la cr�ation d'entreprises �tait au point z�ro et les Nordiques ont quitt�. Bon!

Voir la suite.

**********

LA FRANCE AUX F�TES DU 400E: La longue marche entre l�escalier et le Mus�e
Par Jean Cazes

Jean-Pierre Raffarin a confirm� que la France am�nagerait et d�corerait le rez-de-chauss�e et la mezzanine du Mus�e de l�Am�rique fran�aise. Phototh�que Le Soleil.

Source: Julie Lemieux, Le Soleil, 13 f�vrier 2007.

(...) Pour la mairesse Andr�e Boucher, il ne fait pas de doute que la r�novation du Mus�e de l�Am�rique fran�aise et la cr�ation d�un Centre de la francophonie des Am�riques est une id�e beaucoup plus all�chante que le fameux escalier qui a tant fait jaser. (...)

La suite. Aussi, ce billet.

**********

13 f�vrier 2007

Sc�nes urbaines: Sur les toits (2)
Par Carol Proulx

Dans le quartier latin...

**********

It's time to talk about urban density
Par Francis Vachon

Sam Sullivan, maire de Vancouver. Ce n'est pas le premi�re fois que Qu�bec urbain se tourne vers Vancouver pour s'inspirer!

As mayor of one of Canada's biggest cities, Vancouver, I am frustrated with the nature of the debate on global climate change in this country. Over the past several months, I have watched as environmental organizations, government agencies and the media provide advice on how Canadians can make small changes to our lifestyles, yet continue living in a fundamentally unsustainable fashion.

Instead of telling Canadians to simply check the air pressure in their tires to ensure better mileage, or put energy efficient light bulbs in their suburban homes, we should be talking about how better urban planning and densification of our cities can significantly reduce our impact on the environment.

Not once have I seen any prominent national news coverage on the link between increased urban density and the impact on our global ecology. It is time that we have this debate.

My concern for the environment was the primary reason I introduced the concept of Eco Density to the citizens of Vancouver in June, 2006. After several months of planning, this innovative program will be launched this month with multiple events and workshops aimed at engaging our citizens in developing new plans for future residential development, through an environmental lens.

As noted by Professor Patrick Condon, who holds the James Taylor Chair in Landscape and Liveable Environments at the University of British Columbia, Vancouver has become the first city in North America to formally establish an official policy of well-planned high quality densification.

Prior to becoming mayor, in my 13 years as a Vancouver city councillor, the "D" word was not popular. In fact, the mere mention of increased density often meant the kiss of death for a civic politician's career. But, with an ageing population, rising home prices and an increased public interest in protecting our local and global environment, the time has come for us to embrace density as a tool to make cities more sustainable and livable.

Why do we need to embrace density? The science is very clear on the link between density and the environment. Densification reduces urban sprawl. When people live closer to where they work, they travel less often in carbon-emitting vehicles and they produce fewer carbon emissions. Increased density also leads to neighbourhood town centres becoming economically viable with an increased selection of local shops and services.

Although many Canadians are accustomed to the traditional suburban form -- detached homes with garages and expansive lawns -- it is not sustainable to continue stripping our agricultural land and forests to develop vast tracts of single family neighbourhoods. By continuing this pattern of development, we are hard-wiring our dependency on fossil fuels well into the next century.

Increased suburban development also places significant demands on limited infrastructure funding for critical public amenities such as transit, community centres, libraries and parks. In sprawling communities, infrastructure is instead allocated to bridges, roads and sewers, which do little to improve our quality of life.

Recently, I made a presentation to my fellow Canadian mayors at the Federation of Canadian Municipalities' Big City Mayors Caucus, urging them to adopt Eco Density or similar policies of high quality densification in their communities.

Clearly, all levels of government, the business community and individuals need to take immediate action if we are going to address climate change. But we need to do more than simply tinker around the edges.

At a local level, cities should be seeking every opportunity to immediately use density as a tool to ensure we provide new and innovative forms of housing so that people can live closer to where they work. Through the creative use of our zoning powers, cities have a responsibility to become a major partner in the battle against climate change. But that will mean showing leadership beyond our three-year mandates and making the tough but necessary choices which may not always prove popular.

I also believe that provincial and federal governments should be demanding that cities commit to carbon-reducing strategies such as Eco Density before they provide infrastructure funding.

For too long, cities have built out to the far edges of our downtown cores, and then run cap in hand to senior levels of government demanding billions of new infrastructure dollars to fund these unsustainable planning and zoning decisions. Although it would be a departure from the status quo, future investments in infrastructure should be directly linked to the environment.

Cities need to be part of the solution and the time for action is now. It is my hope that through the Eco Density initiative, Vancouver will not only continue to be one of the most livable cities; we can become a world leader in battling climate change.

**********

Sc�ne urbaine: en attendant la "Temp�te de la Saint-Valentin"...
Par Jean Cazes

Photo: Jean Cazes, 12 f�vrier 2007.

Ils sont nombreux � sillonner ruelles, terrasses et corniches de mon quartier populaire!

L'un de ces minous m'observe d'un oeil interrogateur alors que je tente, en ce froid matin lumineux, d'immortaliser la "poussi�re de neige" soulev�e par une soudaine rafale.

� consulter, mon blogue m�t�o.

**********

La Saint-Charles au c�ur des discussions
Par Carol Proulx

Si la Saint-Charles, dans son projet de revitalisation est une de nos fiert�s, qu'est ce que cela serait, si d'autres projets du genre, soit con�u ici � Qu�bec, pour am�liorer notre environnement, et la qualit� de celui-ci ? En tous cas j'esp�re que les d�cideurs politiques ne resteront point assis sur leurs lauriers.

Source: Fr�d�rick Masson, Qu�bec Hebdo, 12 f�vrier 2007

La rivi�re Saint-Charles a �t� au c�ur des discussions entre la chef de l�opposition � la Ville de Qu�bec, Ann Bourget, et le scientifique et environnementaliste David Suzuki, lors du passage de ce dernier dans la capitale il y a quelques jours � peine.

Voir la suite.

**********

Architecture verte: Se chauffer pour 35 $ par mois
Par Carol Proulx

Comme je l�ai d�j� dit, ce serait bien de voir de plus en plus, ce genre de construction ici � Qu�bec. Me semble que c�est le temps de le faire, et que cela ne soit pas trop co�teux. Il y s�rement des gens ou compagnies pr�t � ce genre de construction. Ont a besoin de leaders ou bien de visionnaires dans l�action, pour changer notre mode d�habitation.

Source: Isabelle Audet, La Presse, 12 f�vrier 2007

Le bureau Rayside Architecte a construit dans l'arrondissement de Ville-Marie l'un des �difices les plus �cologiques � Montr�al. Le nouveau propri�taire occupe le rez-de-chauss�e et a am�nag� quatre logements aux deux �tages sup�rieurs. Les locataires profitent donc directement des avantages �nerg�tiques du b�timent.

La brique grise et les lattes jaunes de l'�difice lui conf�rent un air juv�nile qui tranche avec les immeubles bruns de la rue Ontario Est. C'est toutefois derri�re son parement que le b�timent diff�re principalement des autres. Ses caract�ristiques environnementales permettent � ses occupants d'�conomiser environ 50 % de l'�nergie et de l'eau habituellement n�cessaires pour alimenter un �difice de m�me taille.

Voir la suite.
Voir aussi ce lien pour des photos.

**********

Qui suis-je, ou suis-je ?
Par Carol Proulx


Qu'est ce que l'on voit ! et dans quel secteur de la ville ?

**********

Lifting de 24 millions $ � l�hippodrome
Par Jean Cazes

L�hippodrome sera dot� d�un bar sportif d�allure moderne, avec plusieurs �crans au plasma. On tentera d�attirer les 35 � 55 ans qui aiment sortir en groupe.

Source: Isabelle Mathieu, Le Soleil, 12 f�vrier 2007.

Attractions Hippiques investira plus de 24 millions $ dans la r�novation et la relance de l�hippodrome de Qu�bec ; elle fait le pari d�attirer des � gangs de chums �, pas n�cessairement maniaques de chevaux. (...)

La suite. Aussi, ce billet.

**********

12 f�vrier 2007

Sc�nes urbaines: un samedi au Carnaval
Par Jean Cazes

Place Carnaval. Photo: Jean Cazes, 10 f�vrier 2007.

Avant-derni�re journ�e pas trop froide, enfin, pour la derni�re �dition du Carnaval de Qu�bec!

Ci-haut, la Place Carnaval, sur le site les Plaines (o� cette sculpture sur neige a v�ritablement s�duit le public) au sein duquel le groupe Suro�t (photo) a offert de r�chauffantes prestations de rock celtique!

Ci-bas, le D�fil� de nuit de la Haute-ville, sur Ren�-L�vesque.

Aussi, ce billet.

D�fil� sur Ren�-L�vesque. Photo: Jean Cazes, 10 f�vrier 2007.

**********

Agrandissement de la Biblioth�que F�lix-Leclerc: Exposition des maquettes pr�sent�es au concours d�architecture
Par Carol Proulx

Source : Ville de Qu�bec, 12 f�vrier 2007

La Ville de Qu�bec invite la population � visiter l�exposition des planches et maquettes des quatre (4) finalistes du concours d'architecture visant l'agrandissement de la Biblioth�que F�lix-Leclerc. Cette exposition se tiendra � la salle Adagio de la Biblioth�que F�lix-Leclerc, au 1465, rue de l'Innovation, dans le secteur Val-B�lair, du mardi 13 f�vrier au dimanche 4 mars prochain inclusivement.

**********

L�arch�ologue Ren� L�vesque n�est plus
Par Jean Cazes

� l'exemple des Luc-Andr� Godbout et Phil Latulippe de ce monde [billet], ce passionn� personnage restera � tout jamais incrust� dans la m�moire collective des Qu�b�cois de ma g�n�ration...

Source: Laurie Richard, Le Soleil, 11 f�vrier 2007.

Il a cherch� le tombeau de Samuel de Champlain pendant plus de 25 ans. Il n�aura malheureusement pas r�ussi � percer le myst�re. L�arch�ologue amateur Ren� L�vesque est d�c�d� hier matin, des suites d�un cancer. (...)

La suite. Aussi, ce billet.

**********

11 f�vrier 2007

Sc�nes urbaines: Silhouette de ville (2)
Par Carol Proulx

...

**********

Sc�ne urbaine: La danse de Richard
Par Francis Vachon

**********

10 f�vrier 2007

Appel � la rel�ve en conception int�gr�e de b�timent
Par Carol Proulx

Il y a espoir de voir de plus en plus collaborer des domaines pluridisciplinaires ensemble pour soit un nouvel urbanisme vert, soit donc simplement am�liorer le milieu ainsi que la qualit� de vie des gens.

Source: Le Journal de l'habitation, 10 f�vrier 2007

Pour la deuxi�me �dition du concours ��cologez�, l��cole de technologie sup�rieure (�TS) et �quiterre pr�sentent un concours de conception int�gr�e de b�timent �cologique d�envergure nationale. Ce concours, qui se tiendra les 24 et 25 f�vrier prochains, favorise la collaboration pluridisciplinaire entre �tudiants canadiens provenant des domaines de l'architecture, du g�nie, du design, de l'environnement et de l'urbanisme pour la conception d�un b�timent vert.

Voir la suite.

**********

Transport collectif : Une strat�gie � l'endroit des employeurs
Par Carol Proulx

Source: Radio-Canada (Qu�bec) 10 f�vrier 2007

Le Regroupement qu�b�cois pour le d�veloppement urbain, rural et villageois viable lance les Strat�gies Mobili.T, qui visent directement les employeurs afin qu'ils favorisent l'utilisation par leurs employ�s des transports collectifs et alternatifs.

Voir la suite.

**********

RABASKA: Beauport avait �t� envisag�e
Par Carol Proulx

Source: Pierre Pelchat, Le Soleil, 9 f�vrier 2007

Rabaska a envisag� d�installer son terminal m�thanier sur les battures de Beauport avant d�opter pour la Rive-Sud. C�est ce qu�ont indiqu�, hier, les repr�sentants du port de Qu�bec qui ont pr�sent� un m�moire devant le BAPE dans le contexte des audiences publiques sur le projet Rabaska.

Voir la suite.

**********

Sc�nes urbaines: Sur les toits
Par Carol Proulx

...

**********

09 f�vrier 2007

Parc des Champs-de-Bataille: Pr�s de 5 millions pour les plaines
Par Jean Cazes

Source: Radio-Canada.

Source: Radio-Canada (Qu�bec), 9 f�vrier 2007.

La ministre de la Francophonie et des Langues officielles, Jos�e Verner, annonce vendredi matin des investissements de 4,73 millions de dollars pour pallier aux probl�mes d'infrastructures sur les plaines d'Abraham. (...)

La suite. Aussi, ce billet.

**********

Sc�nes urbaines: Silhouette de ville
Par Carol Proulx

Autre journ�e tr�s froide Bbrrr !

**********

Pourquoi pas un tel projet dans Saint-Roch?
Par Jean Cazes

The Elysian. Source: emporis.com.

J'aime consulter � temps perdu le site Emporis pour voir ce qui se trame ailleurs comme immeubles. Et par hasard, je viens d'y d�couvrir cet audatieux �difice (The Elysian) qu'on �rige � Cork, deuxi�me ville en importance de l'Irlande (123 000 habitants) et de taille comparable � Sherbrooke, Saguenay ou Trois-Rivi�res...

Je ne suis ni architecte, ni urbaniste. Mais histoire d'alimenter de saines et constructives discussions sur l'avenir des �lots � mettre en valeur en basse-ville, voici � mon point de vue un exemple d'immeuble qui pourrait s'exprimer � Qu�bec: �lanc�, transparent, exempt de brique beige (!), de taille "raisonnable" (17 �tages); bref, d'allure r�solument contemporaine! Je le verrais tr�s bien en particulier sur le site de l'actuel amphith��tre de la biblioth�que Gabrielle-Roy...

Voir ce billet.

**********

Parc technologique de Qu�bec: BD Diagnostic investit 39 M $
Par Jean Cazes

Source: site de BD Diagnostic.

BD Commits $34 Million for Major Expansion in Qu�bec (Thursday, February 08, 2007)

- 30,200 square feet of new manufacturing space expected
- Creation of 100 jobs anticipated over the next 3 years

BD (Becton, Dickinson and Company), a leading global medical technology company, today announced the commitment of $34 million for a major expansion of its BD Diagnostics manufacturing operation in Qu�bec, Canada. The investment will allow BD to transfer out of its current leased space and establish its own manufacturing facility to meet growing demand for BD�s molecular diagnostic tests for the rapid detection of bacterial organisms, including those known to cause healthcare-associated infections (HAIs). (...)

La suite de cette information (prise et r�sum�e dans Le Soleil). Aussi, ce dossier.

**********

08 f�vrier 2007

�tat des travaux: agrandissement du pavillon de la Jeunesse
Par Jean Cazes

Agrandissement du pavillon de la Jeunesse, fa�ade E. Photo: Jean Cazes, 8 f�vrier 2007.

Certes, sur le site Web d'ExpoCit�, on donne quelques d�tails relatifs � cet int�ressant projet en cours de quelque 13 M $, mais je n'ai pas trouv� d'esquisses...

Voir ce billet.

**********

Sc�nes urbaines: Regard vers l'avenir
Par Carol Proulx


En attente du meilleur...

**********

Les �glises de Qu�bec
Par Gerald Gobeil

L'heure est � l'�valuation pour les �glises de Qu�bec
Raymond Poirier

Source: Journal Voir
8 f�vrier 2007

R�mi Dion: "Il y a beaucoup de petits groupes qui ont besoin d'un lieu de rassemblement, et les �glises servent � �a. En prenant soin d'un b�timent, on s'assure que les gens auront des lieux de rencontre."
R�am�nagement. R�novations. Mise aux normes. Tout un d�fi attend les 63 �glises du dioc�se de Qu�bec, avec, au bout du compte, une facture qui risque bien de s'�lever � 23 M$. Mais ce d�fi, elles comptent bien le relever.

Pour l'instant, les diff�rentes paroisses du territoire pr�parent un plan directeur, question de bien cibler leurs besoins pour les ann�es � venir, et aussi d'appr�hender les moyens qui seront mis en oeuvre pour y arriver. Pour 2007, on pr�voit deux fermetures, soit Sainte-Maria-Goretti, dans la paroisse Saint-Charles-Borrom�e, et Bon-Pasteur, � Charlesbourg. Il s'agit des troisi�me et quatri�me �glises qui sont reconverties depuis l'an 2000. "Les paroisses qui poss�dent beaucoup d'�glises font le constat qu'elles en ont peut-�tre trop pour leur propre utilisation", explique R�mi Dion, responsable du D�partement des fabriques du dioc�se de Qu�bec. Il faut dire que, c�t� budget, plusieurs paroisses font face � une hausse quant aux co�ts d'�nergie ou d'assurances.
Malgr� tout, pour l'instant, elles r�ussissent � pr�senter des budgets �quilibr�s, tout en perdant peu � peu leur marge de manoeuvre financi�re. Actuellement, 29 fabriques voient un surplus dans leurs op�rations budg�taires courantes, contre seulement neuf qui sont d�ficitaires. "Bon an, mal an, la plupart r�ussissent � �quilibrer leur budget", note M. Dion. Budget qui, pour la grande majorit�, se situe entre 200 000 $ et 500 000 $ par an.

Toutefois, la grande partie de ce financement, soit 80 %, provient des campagnes de dons et d'offrandes. "La population et les catholiques r�pondent assez bien aux demandes d'aide annuelles. Les gens sont g�n�reux. Mais, lorsqu'on doit s'occuper d'un b�timent important, �a demande un effort
consid�rable, et, quelquefois, la paroisse n'a pas la capacit� de le faire", remarque R�mi Dion. Ainsi, pour des r�fections ou des r�novations d'envergure, nombre de paroisses doivent faire appel aux enveloppes issues du minist�re de la Culture et des Communications (MCC), par l'interm�diaire de son Fonds du patrimoine religieux, appuy� par la Ville de Qu�bec.

L'ENTENTE DE 1999

Il faut dire qu'en 1999, le dioc�se a sign� une entente avec ces deux parties, stipulant notamment que le Minist�re "fournira l'aide financi�re n�cessaire � la conservation et � la restauration de l'int�rieur et de l'ext�rieur des �glises de cat�gorie 1, et de l'ext�rieur des �glises de cat�gorie 2, en tant que biens patrimoniaux, tant qu'elles sont ouvertes au culte ou jusqu'� ce qu'une autre fonction y soit log�e". "Le Minist�re aide � la restauration des �glises dont la valeur patrimoniale est �lev�e", indique Claude Rodrigue, conseiller en communication au MCC. Sur le territoire, des �glises comme Saint-Roch ou Saint-Jean-Baptiste, ou encore Notre-Dame-des-Victoires, sont cot�es 1. Une �glise comme Sainte-Genevi�ve, � Sainte-Foy, sera cot�e 2, alors que, dans la m�me paroisse, La Visitation recevra une cote 3. Ces �valuations permettent ainsi d'orienter les priorit�s.

Le Fonds du patrimoine religieux a fourni, depuis sa cr�ation en 1995, pr�s de 150 M$ pour les �glises de la province, soit environ 12,5 M$ par an. "Le Qu�bec est la seule province � avoir un programme pour la restauration du patrimoine religieux", ajoute M. Rodrigue. Toutefois, pour avoir une valeur patrimoniale �lev�e, et donc �tre admissibles au programme, les �glises doivent avoir �t� b�ties avant 1945. Les autres peuvent �tre aid�es par le Fonds du patrimoine culturel, dont un volet touche les b�timents religieux. "Il s'agit d'une enveloppe provinciale de 10 M$ annuellement, cr��e en bonne partie gr�ce � la taxe sur le tabac", continue-t-il.

Le Fonds du patrimoine religieux, dont les orientations sont d�termin�es par les acteurs du milieu, est par la suite compl�t� financi�rement par la Ville de Qu�bec. "Nous ne sommes pas ma�tres d'oeuvre dans ce dossier: on suit les d�cisions du Fonds", souligne Fran�ois Moisan, conseiller en communication pour la Ville. Pour cette ann�e, un montant de 300 000 $ a �t� inscrit au budget.

FINANCEMENT � LA PETITE SEMAINE

Toutefois, ces fonds et leur renouvellement ne s'appuient pas n�cessairement sur une vue � long terme. "Il n'y a pas d'aide qui est projet�e dans le futur. Elle est accord�e annuellement", souligne Claude Rodrigue. Ainsi, selon R�mi Dion, la Ville et le Minist�re devront �ventuellement se doter d'une politique d'investissement � long terme afin d'aider les fabriques � assurer la survie de leurs infrastructures. "Ce qu'on demande, c'est un programme d'aide pour les b�timents. Il y a d�j� des efforts de faits, mais je pense qu'il va falloir augmenter le rythme de l'aide fournie", consid�re-t-il.

D'apr�s lui, au cours des 10 � 15 prochaines ann�es, 23 M$ devront �tre investis sur le territoire du dioc�se, simplement pour garder les �difices en �tat. "L�-dessus, les fabriques vont assumer leur part", pr�cise M. Dion. Elles ne pourront toutefois en assumer la totalit�, mais contribueront plut�t pour une moyenne de 50 % � 60 % du budget n�cessaire, selon les fabriques. "Chaque �glise est un cas particulier", commente-t-il.

DE NOUVEAUX BESOINS

Il faut dire, pour ajouter � la r�flexion, que les besoins des �glises ont bien �volu� au fil des ann�es. De plus en plus, les fabriques louent des espaces � des organismes communautaires, par exemple. "Et ce sont souvent des organismes de services, ils ont besoin de lieux d'accueil", pr�cise M. Dion. Les activit�s des paroisses ont, elles aussi, progress�. "C'est s�r qu'elles ont besoin d'un lieu de culte, mais elles en ont aussi de plus en plus besoin pour des activit�s de cat�ch�se", poursuit-il. Le d�fi, pour lui, est ainsi de prendre l'�difice et de lui permettre de mieux r�pondre aux besoins et � l'usage d'aujourd'hui.

Selon R�mi Dion, il faudrait ainsi cesser de voir l'�glise uniquement comme un endroit o� l'on va � la messe. "Il y a d'autres pratiques de nature pastorale. Aussi, d�j�, il y a une grande participation entre les paroisses et beaucoup de petits organismes sociocommunautaires", note-t-il, citant en exemple, entre autres, les Alcooliques anonymes, la Saint-Vincent-de-Paul, des organismes de distribution de v�tements. "Il y a beaucoup de petits groupes qui ont besoin d'un lieu de rassemblement, et les �glises servent � �a. En prenant soin d'un b�timent, on s'assure que les gens auront des lieux de rencontre. Parfois, c'est pour 5 ou 6 personnes, parfois c'est plut�t pour 500 ou 600 personnes", consid�re M. Dion.

Et, pour le moment, l'�tat de ces b�timents est acceptable. "R�gle g�n�rale, ils sont en bon �tat, bien entretenus, mais ce qui fait peur � tout le monde, c'est que si on veut continuer � ce rythme-l� avec les infrastructures, avec les co�ts pour remettre aux normes, tout seuls, on n'est pas capables de relever ce d�fi-l�", d�plore R�mi Dion. Reste � voir si, autant du c�t� public que priv�, on r�pondra � l'appel.

**********

07 f�vrier 2007

Une "d�construction verte" pour l'�cole Saint-Fran�ois-d'Assise (1 de 2)
Par Jean Cazes

D�construction de l'�cole Saint-Fran�ois-d'Assise. Photo: Jean Cazes, 7 f�vrier 2007.

Source: site de la Commission scolaire de la Capitale.

Une nouvelle �cole � volet communautaire, b�tie selon les principes du d�veloppement durable - Les plans et devis de la nouvelle �cole du Vieux-Limoilou, sur le terrain de l�actuelle �cole Saint-Fran�ois-d�Assise (185, 13e Rue), sont en cours de r�alisation. Cette �cole, pourvue d��quipements modernes et conviviaux, assurera un environnement propice � la r�ussite scolaire des �l�ves et constituera une ressource importante pour la communaut�. (...)

Et tel que pr�cis� dans un d�pliant, "50% des mat�riaux seront r�cup�r�s ou recycl�s lors des travaux de d�construction, dans le respect des principes de d�veloppement durable."

La fin de ces travaux est pr�vue pour avril.

La suite. Aussi, ce billet.

**********

06 f�vrier 2007

Retour sur l'"�lot Petit Bedon", o� rien n'a boug� depuis quelques ann�es...
Par Jean Cazes

Coin Dorchester et Charest Est, vue en direction NE. Photo: Jean Cazes, 2 f�vrier 2007.

Voici le site d'un futur (?) immeuble dont on devait amorcer la construction l'automne dernier [billet]...

Aussi, ce dossier sur les projets de tours � bureaux.

**********

05 f�vrier 2007

Arm�e du Salut: La Maison Charlotte rouvre ses portes
Par Jean Cazes

Source: Radio-Canada.

Source: Radio-Canada (Qu�bec), 5 f�vrier 2007.

L'Arm�e du Salut inaugure son refuge tout neuf situ� dans la c�te du Palais � Qu�bec.

La Maison Charlotte, situ�e en face de l'H�tel-Dieu de Qu�bec, est de nouveau accessible aux itin�rants apr�s avoir subi des transformations majeures au co�t de 4,5 millions de dollars.

L'�difice comprend un dortoir pour hommes et une soixantaine de chambres priv�es, dont 18 sont r�serv�es aux femmes.

Les travaux ont dur� pr�s d'un an. Durant les r�novations, pr�s d'une centaine de pensionnaires avaient d� �tre relog�s dans d'autres maisons d'h�bergement.

Reportage audio. Aussi, ce billet.

**********

Fum�e de mer arctique
Par Jean Cazes

Vue en direction NE � partir du pont Drouin. Photo: Jean Cazes, 5 f�vrier 2007, 10h51.

Cette vue rapproch�e en direction de l'�le d'Orl�ans illustre bien l'effet du contraste entre l'air tr�s froid qui r�gnait au moment de la photo (-24C � l'a�roport � 11h00) et l'eau relativement "douce" du fleuve au large de Qu�bec.

D�tails dans mon blogue m�t�o et article de Radio-Canada.

**********

Labrecque capte Qu�bec, sa belle
Par Carol Proulx

Source:Le Soleil, Patrice Laroche

Source: Francis Higgins, Le Soleil, 4 f�vrier 2007

En d�pit du ciel d�gag�, l�horizon �tait embrum� d�un voile d�humidit� qui tamisait la lumi�re crue du soleil de midi. Une journ�e parfaite pour Jean-Claude Labrecque, qui a tourn� hier le � premier m�tre de pellicule � de sa future �uvre ma�tresse, une ode � la beaut� de Qu�bec.

L��quipe de tournage compos�e de 11 personnes (un petit groupe pour un film commercial, mais plut�t imposant pour un documentaire) �tait debout sur le traversier accost� au quai de L�vis. Le vent qui sifflait rendait le froid encore plus mordant. Attendant de croquer les images de la course de canots sur les glaces du fleuve, Labrecque supervisait sans grande attention l�installation de la cam�ra.

C��tait la premi�re �tape dans la cr�ation d�Infiniment Qu�bec, un documentaire o� la capitale tiendra le r�le principal. Un film qui devrait durer 80 minutes, sans narration, rien d�autre qu�un regard sur la ville sous son plus beau jour.

Le r�alisateur et cin�matographe a mis deux ans � pr�parer cet instant. Avant, il attendait l�argent, mais surtout le bon moment pour concr�tiser ce projet de 1 million $.

**********

La supr�matie de la voiture
Par Francis Vachon

Alexandre Laquerre nous envois ceci:

Passablement dans la m�me lign�e que � The End of Suburbia � le documentaire � Contested Street � se veut une critique de la place octroy�e � l'automobile dans le design des villes nord am�ricaines, principalement Manhattan, New York.

Ce film fait �tat d'un probl�me que la plupart des grands planificateurs urbains du 20e si�cle en Am�rique du Nord avaient: ils n'aimaient pas, et surtout ne voyaient pas, les villes pour ce qu'elles doivent �tre. La vision qu'ils avaient de la ville �tait un endroit o� l'on doit, le plus rapidement possible, se d�placer d'un point A � un point B, plut�t que de se soucier de la qualit� de vie de ses r�sidents. Comme les voitures vont �videmment plus vite que les pi�tons, l'automobile a �t� le point central des principaux projets de d�veloppement des 75 derni�res ann�es partout en Am�rique du nord.

Le r�alisateur fait d'abord un compte rendu de la situation � New York et invoque une incompatibilit� avec la croissance projet�e et le stress suppl�mentaire que cela imposerait sur le r�seau routier si rien n'est fait. �videment, la solution de construire de nouvelle route, plus large, plus rapide est �cart�e et des solutions alternatives qui se sont av�r�es viables dans des villes telles que Copenhague, Paris et Londres sont �tudi�es.

Bref, un contraste frappant avec les investissements promis il y a quelques jours par le gouvernement dans le r�seau routier Qu�becois.

Ne manquez pas la bande annonce!. Qui est celui qui nous organisme une repr�sentation dans son salon?

**********

04 f�vrier 2007

NOTRE-DAME-DE-PITI�: Une autre fermeture d'�glise en vue
Par Carol Proulx

Source: Anne Drolet, Le Soleil, 3 f�vrier 2007

Le d�compte qui devrait mener � la fermeture de l��glise Notre-Dame-de-Piti� est commenc�. Le cur� Fernand Lacombe confirme qu�il recommandera au dioc�se de Qu�bec de fermer le lieu de culte de la rue Saint-Vallier Ouest, dans le quartier Saint-Sauveur.

Voir la suite.
Voir aussi ce billet.

**********

Sc�ne urbaine: From Quebec, with love
Par Francis Vachon

**********

03 f�vrier 2007

Sc�nes urbaines: Petit-Champlain
Par Carol Proulx

Carol Proulx 2007

Petit-Champlain une journ�e de "week-end"

**********

Prix d'excellence 2007 en architecture: les espoirs de Qu�bec...
Par Jean Cazes


R�sidence Lalancette-Ruel. Source: www.oaq.com

Expos�s sous de multiples angles dans le site de l'Ordre des architectes du Qu�bec (OAQ), 30 projets finalistes comptent sur votre vote!

Parmi ceux-ci, quatre se retrouvent � Qu�bec:

- Le bureau de Qu�bec de ABCP - Architecture et Urbanisme (400, boulevard Langelier);
- Une nouvelle passerelle sur la rivi�re St-Charles (au sud de Loretteville);
- Le pavillon Gene H. Kruger de l'Universit� Laval (2425, rue de la Terrasse);
- La r�sidence Lalancette-Ruel (quartier Saint-Sauveur).

La p�riode de vote prendra fin le 30 avril 2007; le "Choix du public Loto-Qu�bec" sera annonc� sur le site de l'OAQ le 8 juin 2007.

Voir ce billet.

**********

La Pointe-�-Carcy... revue et corrig�e
Par Carol Proulx

Source: Fr�d�rick Masson, Qu�bec Hebdo, 2 f�vrier 2007

Quelques heures avant m�me l�annonce officielle, QU�BEC HEBDO a mis la main sur le plan final du r�am�nagement de la Pointe-�-Carcy, r�alis� � la suite de la d�cision du gouvernement du Canada de conserver l�Agora � son emplacement actuel. Ainsi, l�Administration portuaire de Qu�bec propose une agora transform�e et une place publique rajeunie, le tout sur un site totalement d�cloisonn�.

Voir la suite.

Voir aussi cet article du Soleil

**********

02 f�vrier 2007

En r�flexion sur mon avenir dans Qu�bec Urbain...
Par Jean Cazes

D'entr�e de jeu, je remercie encore et toujours Francis (maintenant de retour!) du privil�ge qu'il m'a offert, depuis le 9 mai 2005, de concevoir quelque 730 billets dont certains, il est vrai, ont suscit� de vifs d�bats ou cadraient tout � fait avec ma formation universitaire en g�ographie et en sciences de l'environnement: la liste de mes collaborations...

Je vais �tre franc: je songe depuis quelques mois � cr�er un blogue compl�mentaireQu�bec Urbain et dont le titre provisoire serait "Basse-ville de Qu�bec en �volution" (quartiers Saint-Sauveur, Limoilou et Saint-Roch)! Comme mai 2007 marquerait en principe le d�but de ma troisi�me �ventuelle ann�e pour QU - site que je consid�re toujours exemplaire -, je me donne trois mois de r�flexion...

Certes, la mission de mon �ventuel site risque de ressembler sur certains points � celle, toujours � bien d�finir selon moi, de Qu�bec Urbain, mais pour un secteur cibl� de la ville. Je souhaite � loisir y �mettre mes opinions engag�es, forg�es notamment � la suite d'ann�es de "militance" dans diff�rents organismes sociaux ou environnementaux de Qu�bec et L�vis.

D'autre part et surtout, c�t� pratique, je songe � me limiter � un coin de Qu�bec plus facile pour moi � explorer � pied ou � v�lo pour la photo et que je connais bien, puisque je r�side dans les quartiers centraux depuis 1991!

En conclusion et en attendant, histoire de me convaincre de rester ici, sans doute, je souhaite vivement recueillir vos commentaires et critiques (ne vous g�nez pas!) sur la pertinence, l'aspect visuel et surtout, le contenu de mes billets! ;-)

Aussi, ce billet.

**********

�tat des travaux: derni�re phase du complexe de l'Universit� du Qu�bec
Par Jean Cazes

Derni�re phase du complexe de l'Universit� du Qu�bec. Photo: Jean Cazes, 2 f�vrier 2007.

Ici, une vue en direction NE sur le seul gros chantier en cours dans le coeur de Saint-Roch...

Aussi, ce billet.

**********

Engouement pour la r�novation de fa�ades
Par Francis Vachon

Par Isabelle Mathieu, Le Soleil

La rue Saint-Joseph aura retrouv� une partie de son cachet d'antan pour les F�tes du 400e. En effet, les propri�taires des b�timents de la partie couverte du mail ont r�pondu avec enthousiasme � l'offre de la Ville de subventionner jusqu'� 80 % des travaux de r�novation de fa�ades. Pas moins de 21 des 23 propri�taires vis�s ont demand� une subvention et entreprendront des travaux pour mettre en valeur l'architecture de leur b�timent. Un tel engouement force la municipalit� � devancer son budget et � verser 1,5 million $ en subvention sur deux ans plut�t que trois. La Ville commencera � enlever la partie restante du toit du mail Saint-Roch au printemps. Elle encourage les propri�taires � terminer leur chantier avant le printemps 2008.

**********

Une Agora r�nov�e et plus confortable
Par Francis Vachon

Par Simon Boivin, Le Soleil

Une Agora renov�e, plus confortable et agr�ment�e d'un parc urbain sera pr�sent�e aux Qu�b�cois aujourd'hui comme concept final d'am�nagement de la Pointe-�-Carcy par Ottawa pour le 400e.

Selon les informations obtenues par Le Soleil, l'int�grit� de la sc�ne ext�rieure de l'agora, r�nov�e au co�t de 500 000 $ en 2004, sera conserv�e. Mais les bancs en "grilles de barbecue" seront remplac�s par quelque 3500 si�ges avec dossier r�sistants aux intemp�ries. Les bancs du parterre seront amovibles de mani�re � d�gager l'endroit pour certaines repr�sentations. Un espace pour des spectateurs debout est aussi pr�vu � l'arri�re, de m�me qu'un b�timent d'accueil.

Beaucoup de verdure est ajout�e. Un parc urbain recouvrira une bonne partie du site, laissant n�anmoins de la place pour une promenade le long du fleuve.
Lorsqu'il y aura un spectacle, une cl�ture enclavera l'ensemble de l'Agora et du parc pour emp�cher quiconque de se faufiler sans billet.

Un traitement de beaut� sera aussi donn� au "petit agora", qui fait face � la terrasse du restaurant Le Caf� du monde.

Une passerelle ferm�e longera l'Agora, puis bifurquera pour aller rejoindre le terminal de croisi�res. Cela permettra aux croisi�ristes �trangers d'aller se d�douaner avant de se lancer � la d�couverte de la ville. Lorsqu'un bateau accostera, une passerelle amovible le reliera � l'installation permanente.
L'�difice des douanes subira aussi une cure de rajeunissement, et plus d'espace sera d�gag� pour la circulation devant sa fa�ade.

Tel que l'�crivait Le Soleil hier, l'enveloppe budg�taire pr�vue de 16,4 millions $ sera respect�e et les travaux seront termin�s � temps pour les festivit�s de 2008. Les ministres Jean-Pierre Blackburn et Jos�e Verner proc�deront � l'annonce cet apr�s-midi.

A qui reviendra la gestion et l'exploitation de l'amphith��tre ? La question demeure enti�re. Genex communications a d�j� signifi� son intention de poursuivre le Port pour bris de contrat s'il ne lui redonne pas les droits d'exploitation jusqu'en 2024.

Les p�rip�ties entourant la vocation de Pointe-�-Carcy retiennent l'attention depuis belle lurette. En ao�t 2005, les difficult�s � rentabiliser la sc�ne ext�rieure et les inconv�nients du bruit pour l'industrie des bateaux de croisi�res ont �t� invoqu�s par le directeur du Port, Ross Gaudreault, pour justifier la fermeture de l'Agora. Il souhaitait que la zone devienne un parc familial avec fontaines et jeux d'eau.

En mai dernier, des consultations publiques tr�s courues ont �t� tenues. Les amateurs de spectacles et des r�sidants du Vieux-Qu�bec y ont tenu des positions diam�tralement oppos�es. Le rapport des commissaires, qui pr�sidaient les consultations a recommand� de d�placer l'Agora sur les plaines.
Finalement, en ao�t, le gouvernement conservateur a tranch�. L'Agora restera � Pointe-�-Carcy. Le temps aurait manqu� pour construire une nouvelle sc�ne ext�rieure sur les plaines pour le 400e. Les �lus ont �galement soulign� que la mobilisation de nombreux jeunes en faveur du maintien de l'Agora a pes� dans la balance.

**********

01 f�vrier 2007

Projet en cours: reconversion de l'�glise Saint-Paul-Ap�tre et coop�rative d'habitation (1)
Par Jean Cazes

Nouvelle coop d'habitation en construction sur la 8e Avenue. Photo: Jean Cazes, 1er f�vrier 2007.

� part l'extrait qui suit, je poss�de pour le moment peu d'informations sur ce b�timent r�sidentiel actuellement en construction, lequel sera annex� � cette �glise (� gauche) sise sur la 8e Avenue...

Source: le site �glise catholique de Qu�bec, section Patrimoine immobilier et religieux.

(...) L'�glise de Saint-Paul-Ap�tre a �t� vendue � un organisme en habitation sociale appel� un Toit en r�serve de Qu�bec. Apr�s les travaux de r�am�nagement de l'immeuble et de construction, la paroisse disposera pour une p�riode de dix ans de locaux pour le culte et les activit�s pastorales. (...)

Aussi, ce billet.

**********

Ottawa d�voile son plan pour l'Agora; Un plan de r�am�nagement de 16,4 millions$ qui respectera les attentes de chacun
Par Francis Vachon

Raymond Giroux et Julie Lemieux, Le Soleil

C'est demain le grand jour pour l'Agora du Vieux-Port. Le gouvernement f�d�ral confirmera alors son plan d�finitif pour l'am�nagement de la Pointe-�-Carcy, � Qu�bec.

Les ministres Jean-Pierre Blackburn et Jos�e Verner donneront les d�tails de cet investissement de 16,4 millions $, a confirm� hier le bureau du premier ministre � Ottawa.

Le gouvernement du Canada a d�j� annonc� la r�alisation de deux autres projets � Qu�bec, soit la baie de Beauport, le 13 octobre 2006, et le bassin Brown, le 8 septembre.

Ces initiatives s'inscrivent dans la volont� gouvernementale de redonner le fleuve aux gens de Qu�bec � l'occasion des f�tes du 400e anniversaire, l'an prochain.

Ottawa investira un montant de 110 millions $ pour cette occasion, dont 45,1 millions $ serviront � r�aliser les trois sites d'acc�s au fleuve.
Selon des sources f�d�rales, le concept de r�am�nagement de la Pointe-�-Carcy respecterait les attentes de chacun. Les travaux d�buteront au printemps et le tout sera r�alis�, dit-on, dans le respect du budget et des �ch�anciers pr�vus.

Inqui�tude

M�me si les plans ne sont pas encore d�voil�s, la grogne commence d�j� � se manifester. Dans un communiqu� publi� hier, le Conseil des monuments et sites du Qu�bec s'inqui�te de ce qui se trame derri�re des portes closes. Sans avoir vu les plans, le Conseil craint que le nouveau projet ne soit qu'une r�novation � grands frais de l'Agora.

**********

Actualit�s urbaines: calme plat � Qu�bec...
Par Jean Cazes

Ou bien je manque de sources d'informations ou alors, un peu � l'image de la m�t�o cet hiver, il ne se passe vraiment pas grand chose � Qu�bec ces temps-ci en mati�re de "nouvelles urbaines", notamment du point de vue "projets"...

En attendant, si vous avez des "scoops", ou des id�es de photos ou de reportages � nous sugg�rer et que vous jugez pertinents � la mission de Qu�bec Urbain, n'h�sitez pas � nous les communiquer! ;-)

**********

Droit d'auteur concernant le mat�riel produit par Qu�bec urbain

Archives
mai 2007
avril 2007
mars 2007
f�vrier 2007
janvier 2007
d�cembre 2006
novembre 2006
octobre 2006
septembre 2006
ao�t 2006
juillet 2006
juin 2006
mai 2006
avril 2006
mars 2006
f�vrier 2006
janvier 2006
d�cembre 2005
novembre 2005
octobre 2005
septembre 2005
ao�t 2005
juillet 2005
juin 2005
mai 2005
avril 2005
mars 2005
f�vrier 2005
janvier 2005
d�cembre 2004
novembre 2004
octobre 2004
septembre 2004
ao�t 2004
juillet 2004
juin 2004
mai 2004
avril 2004
mars 2004

Les projets majeurs à Québec

Ressources pour les résidents de Québec et des environs

Entretien et hébergement