Archive des billets publi�s en mars 2007

Pertinent d�foulement, ce matin, d'un "sage" chroniqueur que j'aime bien! ;-)

Laisser la neige fondre par elle-m�me (Larry Hodgson, Le Soleil, 30 mars 2007.)

Je viens d�arriver de ma marche quotidienne, marche rendue d�sagr�able et salissante par des citoyens qui ne m�ritent pas ce nom : les � pelleteux de neige �. Tous les printemps, on les voit � l��uvre, debout sur leur gazon qui lancent la neige sur les trottoirs et la chauss�e. (...)

Un gazon encore couvert de neige est prot�g� du froid et sera alors en bien meilleur �tat l��t� venu. La fonte lente de la neige infiltre le sol peu � peu et lui assure une charge d�eau qui l�aidera par la suite � mieux affronter de potentielles s�cheresses des mois plus tard. Si on enl�ve la neige t�t dans la saison, le gazon sera beaucoup plus sujet � souffrir de s�cheresse estivale. (...)

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La photo ci-haut et les autres ci-bas illustrent bien la singularit� de cet �lot de campagne et son caract�re inusit� dans le paysage urbain de Qu�bec.

H�las! Le potentiel r�cr�o-touristique de la Ferme SMA aurait pu �tre pleinement d�velopp� dans un coin de la ville qui en a vraiment besoin!

Cette nouvelle "urbaine" est selon moi la plus triste survenue � Qu�bec depuis un an, soit au moment de la fermeture du Zoo [billet]...

Voir ce billet. Ci-bas, la localisation de la Ferme SMA.

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Source: Radio-Canada, 29 mars 2007.

(...) Au Qu�bec, � la veille du 31 mars, qui marque le d�but de la p�riode de signatures de nouveaux baux, les propri�taires immobiliers rappellent qu'il appartient aux propri�taires de d�cider s'ils d�sirent ou non interdire de fumer dans leurs logements.

En fait, apr�s consultation aupr�s de la R�gie du logement, la Corporation des propri�taires immobiliers du Qu�bec consid�re que le propri�taire est le seul juge du droit de fumer ou non dans un logement. (...)

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Source: R�gys Caron, Cano� (Le Journal de Qu�bec), 27 mars 2007.

La construction d'un r�seau de transport par tramway, � Qu�bec, n�cessiterait le creusage d'un tunnel sous le boulevard Ren�-L�vesque � partir du Grand Th��tre et dont la sortie serait dans le haut de la c�te d'Abraham.

Le manque d'espace sur la colline parlementaire ainsi que la pente de l'avenue Honor�-Mercier rendent n�cessaire la construction de ce tunnel sur une longueur d'environ un kilom�tre au co�t de 60 millions de dollars, soit le double du co�t d'am�nagement d'un kilom�tre de voie de tramway en surface. (...)

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Merci � G�rald Gobeil pour cette information!

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Source: Fran�ois Bourque, Le Soleil (Chronique), 27 mars 2007.

(...) � travers le r�sultat d�hier soir, on d�tecte aussi la fracture entre la haute ville et la basse ville de Qu�bec. L�ADQ a balay� toute la r�gion mais n�a pas r�ussi � prendre la colline parlementaire, les circonscriptions de Taschereau et de Jean-Talon lui ayant �chapp�. Il y a l� un symbole fort. (...)

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Source: �ric Moreault, Le Soleil, 27 mars 2007

La distribution des bacs roulants pour le recyclage a g�n�r� une augmentation moyenne de 28 % des mati�res r�cup�r�es � Qu�bec. Mais il est encore trop t�t pour d�terminer si le tonnage de d�chets exp�di�s � l�incin�rateur a diminu� d�autant. Puisque l�objectif premier de Qu�bec �tait de faire augmenter le recyclage, � c�est encourageant �, a comment� Marie-Christine Magnan, porte-parole de la Ville.

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� quand quelques choses de ce genre, ou autre �nergie de type renouvelable ici � Qu�bec ?

Source: Radio-Canada (Mauricie) 28 mars 2007

La Ville de Trois-Riv��res, la Soci�t� de d�veloppement �conomique de Trois-Rivi�res et l'entreprise EH2: �nergie Hydrog�ne songent � utiliser l'hydrog�ne comme source d'�nergie.

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Source: Le Soleil

Les essais du petit autobus �lectrique effectu�s depuis un mois et demi dans le Vieux-Qu�bec sont concluants. Le v�hicule assembl� en Italie peut affronter sans probl�mes les rigueurs de notre hiver et circuler dans les c�tes abruptes.

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Le RTC a aussi mis en ligne une page sp�ciale sur le microbus

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Source: Le Soleil

La r�fection du v�n�rable pont de l��le d�Orl�ans attendra apr�s 2008. Le projet de plusieurs � dizaines de millions � doit encore franchir plusieurs �tapes et, id�alement, suivre la construction d�un terminal maritime pour les traversiers et bateaux de croisi�re, � Saint-Laurent de l��le.

Ce projet de terminal est n� � d�un besoin premier de s�curit� publique. Apr�s le 11 septembre 2001, nous avons constat� que l��le d�Orl�ans est particuli�rement vuln�rable parce que le seul acc�s est le pont �, explique Luc Bergeron, directeur r�gional pour la capitale nationale de Transports Qu�bec.

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Source: Le Soleil

Les r�sidants et les commer�ants avoisinant l�autoroute Dufferin-Montmorency devront s�y faire � compter des prochains jours : l��limination des bretelles d�acc�s inutilis�es va se traduire par un chantier lourd, parfois bruyant, souvent poussi�reux, qui provoquera des entraves � la circulation.

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Dans cette liste en �volution des projets d'au moins cinq �tages, voici ce "petit nouveau" en construction: l'immeuble Mica, premi�re phase de deux immeubles. � noter que Qu�bec Urbain a d�j� fait mention de cet �difice [billet] qui apparemment, ne comptait que trois �tages dans sa planification � l'�poque...

Cet inventaire fait suite � cette deuxi�me mise � jour. Je vous invite toujours � enrichir cette liste, soit en nous signalant des omissions, soit en nous alimentant en "scoops"!

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MISE � JOUR AU 28 MARS 2007:
9 PROJETS

1) Agrandissement Le Delta sur Laurier ("Occupation 2008") � 10 �tages [billet du 4 novembre 2006]:

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2) Complexe Plaza Qu�bec sur Laurier ("Disponible d�s d�cembre 2008") � 10 �tages [billet du 26 avril 2006]:

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3) Le 2796 Laurier � 10 �tages ("Disponible d�s d�cembre 2007") [billet du 18 octobre 2006]:

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4) Ajout � la biblioth�que Gabrielle-Roy sur de la Couronne ("Projet conditionnel � l'approbation de la Ville") � 9 �tages [billet du 5 janvier 2007].

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5) Immeuble de GM D�veloppement sur Charest (construction initialement pr�vue � l'automne 2006...) � 9 �tages [billet du 17 mai 2006]:

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6) Complexe de la Capitale phase V sur le boulevard des Galeries ("Occupation 2007-2008") � 6 �tages [billet du 21 novembre 2006]:

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7) �difice Lebourgneuf sur le boulevard du m�me nom (mise en chantier ind�termin�e) � 6 �tages [billet du 19 janvier 2007]:

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8) �difice Mica (phase I), sur le boulevard Lebourgneuf (en construction) � 5 �tages [DERNIER AJOUT]:

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9) Agrandissement �difice La Capitale sur Saint-Amable ("... au cours des prochains mois...") � nombre d��tages ind�termin� [billet
du 27 avril 2006].

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Source: Lise Fournier, Le Soleil, 27 mars 2007.

Le projet de tramway est sorti grand gagnant, hier, au 16e forum �conomique de la Chambre de commerce de Qu�bec. Sur les 21 projets pr�sent�s, le tramway est celui qui a scor� le plus fort devan�ant la cr�ation d�un P�le d�excellence en technologie g�ospatiale, d�un centre international de th��tre sous l�autoroute Dufferin-Montmorency [billet] et l'agrandissement de l�H�tel-Dieu de Qu�bec [billet]. Au lendemain des �lections, quelque 150 personnes issues du monde des affaires ont fait l�exercice d�analyser une vingtaine de projets afin de cibler les plus rassembleurs sur le plan r�gional. (...)

La suite. Aussi, ce billet.

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Les Chinois nous montrent un bel exemple de choix radical et innovateur, m�me si en apparence ce n�est pas leur habitude. Ai-je besoin de dire que cela pourrait se faire ici � Qu�bec et que ce n�est point utopique !

Le seul hic, c�est l�impact de ce projet aura sur l��cologie de cette r�gion de la terre... Hum ! Bonne id�e au d�part, mais dans le mauvais endroit...

Source: Julie Desne, Agence France-Presse

Ce qui n'est encore qu'un bout de terre recouvert de champs de choux au large de Shanghai devrait devenir d'ici trois ans la premi�re cit� 100 % �cologique en Chine. Si tout se d�roule conform�ment aux plans pr�vus, cette �co-cit� commencera � �merger en 2009 dans le district de Dongtan, sur l'�le de Chongming, � l'embouchure du Yangtze.

�La Shanghai Industrial Investment Co. (SIIC) est venue nous voir pour que nous dessinions avec eux la ville de Dongtan�, raconte Dong Shanfeng, responsable du projet pour le cabinet d'urbanisme britannique Arup, partenaire du gouvernement de Shanghai. Le budget initial pr�voit un investissement de 1,3 milliard de dollars, qui pourrait drastiquement augmenter au cours des travaux.

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Source: Radio-Canada (Qu�bec), 26 mars 2007.

Les intentions de vote qui favorisaient les ad�quistes lors de r�cents sondages ont �t� concr�tis�es par les �lecteurs de la grande r�gion de Qu�bec.

Les citoyens de Qu�bec qui se sont rendus aux urnes lundi ont �lu 14 d�put�s ad�quistes, contre 3 du Parti lib�ral du Qu�bec (PLQ). Le Parti qu�b�cois n'a pas r�ussi � faire �lire plus de d�put�s qu'aux �lections de 2003 et conserve les circonscriptions de Taschereau et de Charlevoix. (...)

La suite. Aussi, ces deux billets (�lections f�d�rale et municipale).

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Matin�e grise, sur Qu�bec... et j'apprends en plus que ce c�l�bre �lot de patrimoine agricole va dispara�tre du paysage du secteur Destimauville. � mes yeux, une v�ritable catastrophe pour ce coin de la ville qui aura d�cid�ment (et plus que jamais) besoin d'un s�rieux coup de main de nos nouveaux d�cideurs locaux!

Source: R�jean Lacombe, Le Soleil, 26 mars 2007.

La plus urbaine des fermes qu�b�coises, la Ferme SMA, situ�e dans l�arrondissement Beauport, ferme ses portes apr�s plus de 100 ans d�existence, et 44 personnes se retrouvent sans emploi. (...)

La suite. Aussi, ce billet.

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Un artiste anglais anonyme pr�sente certaines de ses oeuvres. La section vid�o pr�sente certains de ses explois. Ne manquez pas "museums"!

Merci � G�rald Gobeil.

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Source: Genevi�ve Bouchard, Le Soleil, 23 mars 2007

Inscrit en 1985 sur la liste du patrimoine mondial de l'UNESCO, le Vieux-Qu�bec fait courir annuellement des millions de visiteurs vers ses charmes fortifi�s. Dans la mar�e touristique, une poign�e d'irr�ductibles r�sidants gardent le fort, conscients que leur pr�sence est gage de vitalit� pour ce quartier historique.

�Une des raisons pour lesquelles la ville a �t� cit�e par l'UNESCO, c'est qu'elle est encore un milieu habit� et vivant. Il doit y avoir un tissu de r�sidants complet et assez bien agripp� au sol�, opine le pr�sident du Comit� des citoyens du Vieux-Qu�bec, Louis Germain, comparant la population � la v�g�tation qui permet � la terre d'un talus de rester en place.

Voir la suite.

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On a fait �cho, r�cemment dans les m�dias, des d�lirants projets de tours pr�sent�s il y a quelques jours au Salon International de l'immobilier (MIPIM). Beaucoup de ces projets sont planifi�s ou en cours dans les �mirats arabes unis.

� titre d�exemples, outre le Burj Dubai, la plus haute tour de bureaux au monde en construction, on y �rigerait l�extravagant Pentominium: � Avec ses 160 �tages et ses 515 m�tres de hauteur, elle est l�immeuble r�sidentiel le plus haut du monde, avec une d�bauche de luxe (...) et un seul appartement par �tage � (Agence France-Presse)!

Aussi, ce billet.

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Des travaux de r�novation de 2,5 M $ sont actuellement en cours au Holiday Inn S�lect. Ils comprennent notamment le "rafra�chissement" des murs ext�rieurs de l'h�tel sis au coin de la Couronne et Saint-Joseph: exit, donc, la vitre "bl�me"!

Ci-haut, l'h�tel vu � partir de la rue du Roi. Ici, une vue en contre-plong�e � partir de la rue Saint-Joseph. En bas, une vue rapproch�e, toujours � partir de la rue Saint-Joseph, face � la biblioth�que.

Aussi, ce billet (Projets dans Saint-Roch).

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Une perc�e visuelle est d�j� visible sur la rue St-Domonique, juste � c�t� du M�tro.

Maintenant, il ne reste plus qu'� attendre et � refaire ces 3 m�mes photos une fois les travaux termin�s!

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Eh oui, les travaux de r�am�nagement de la Pointe-�-Carcy ont d�j� d�but�. La premi�re �tape semble porter une attention toute particuli�re � l'Agora. Une belle simulation visuelle se trouve sur le site Sauvons l'Agora

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Exceptionnellement, permettez-moi un commentaire bien personnel � propos d'une rubrique du journal Le Carrefour de Qu�bec o� l'on pr�sente � chaque semaine une image comment�e d'un lieu jug� "d�labr�" ou "laid" dans le paysage urbain de Qu�bec...

Dans mon �thique � moi, un peu comme on le fait � l'occasion dans Qu�bec Urbain ou La Presse, que l'on porte un regard s�v�re sur l'architecture d'une institution, sur un �lot � l'abandon, sur l'infrastructure routi�re ou un parc public financ� par nos taxes, soit! Mais que l'on vise comme cette semaine l'aspect ext�rieur d'un restaurant du quartier Saint-Sauveur tout en laissant sous-entendre que "ce que l'on y sert � l'int�rieur ne serait gu�re app�tissant" soul�ve chez moi un probl�me de morale.

Il est vrai que j'ai d�j� critiqu�, par exemple, certains commerces de Qu�bec [billet], sauf que ce qui me d�range surtout, ici, c'est le ton utilis�, l'absence de nuance, la "phrase choc"!

Pour conclure sur une note constructive, il m'est aussi arriv� de citer quelques bons articles dans Le Carrefour, comme dans ce billet. Mais l�, vraiment, je dis: "Un peu de maturit�, SVP!"

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Source: Julie Lemieux, Le Soleil, 20 mars 2007.

(...) Le Mouvement injectera en outre 1 million $ pour refaire une beaut� au parc situ� entre le Centre des congr�s et l�h�tel Hilton, qui avait bien besoin d�une cure de rajeunissement. Cette promenade accueillera une r�plique de la statue d�Alphonse et Dorim�ne Desjardins, qu�on retrouve pr�sentement � L�vis. (...)

La suite.

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Photo ci-haut: une vue bien d�gag�e, spectaculaire mais provisoire, sur l'immeuble Les Flandres [billet], le "gratte-ciel" r�sidentiel de Limoilou r�cemment r�nov�!

Ce vaste terrain accueillera bient�t une nouvelle �cole...

Aussi, ce billet.

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La partie restante du toit du mail Saint-Roch sera enlev�e dans quelques jours. La ville pr�voyait entreprendre les travaux mardi, mais une inspection a r�v�l� la fragilit� d'un vieux b�timent au 839 St-Joseph. Le propri�taire devra prendre les mesures pour renforcer le b�timent et �viter qu'il ne s'�croule lorsque le toit du mail sera enlev�.

Source: Radio-Canada

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Aux derni�res nouvelles [billet], c'est ici, sur le "stationnement Dorchester", face au Gutenberg [billet], que ce tramerait l'implantation d'un immeuble de quelque 300 000 pi2 visant � accueillir, d'ici 2010, 700 fonctionnaires f�d�raux...

Voir aussi cet autre billet.

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Source: Ren� Barry (Comit� de sauvegarde du site de la Maison Gomin), Qu�bec Hebdo ("Tribune libre"), 20 mars 2007.

Ayant carr�ment recours � l�intimidation, le promoteur et propri�taire du site de la Maison Gomin, monsieur Michel Boutin, a brandi la menace de ce qui pourrait survenir si jamais les citoyens d�cidaient de s�opposer � lui.

Dans un d�pliant d�une arrogance peu commune, distribu� dans les quartiers St-Sacrement et Saint-Thomas d�Aquin, et intitul� Connaissez-vous bien les enjeux de votre quartier? L�homme d�affaires Michel Boutin manipule non seulement la menace mais �galement la d�sinformation: il y fait en effet miroiter que des b�n�fices reli�s � son projet de changement zonage du site patrimonial de la Maison Gomin, tout en d�crivant le sc�nario catastrophe qui surviendrait si jamais les citoyens d�cidaient d�exercer leur droit de se prononcer par r�f�rendum sur son projet. (...)

La suite. Aussi, ce billet.

Merci � G�rald Gobeil pour cette information!

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Bel article, certes, mais une remarque constructive, ici, pour ce "webzine": pourquoi pas une image d'introduction (ci-haut) diff�rente de la classique sc�ne du Ch�teau Frontenac qui est par ailleurs "en dehors" du sujet principal?

Qu�bec, c�t� Saint-Roch. (Source: Baudouin Galler, Weekend.be, 6 mars 2007.)

Du Vieux Port au tr�s branch� quartier Saint-Roch, Qu�bec profite d'une revitalisation urbaine audacieuse. Encore moribond il y a peu, le bas de la ville est devenu un des lieux les plus excitants de la capitale de la � Belle Province �. (...)

La suite.

Merci � G�rald Gobeil pour l'information!

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Pour faire suite au billet pr�c�dent, cette vue sur la transformation en cours de la Maison Gomin avec, en arri�re-plan � gauche, la "R�sidence C�t� Jardins" en construction.

Malgr� plusieurs "accommodements raisonnables" du promoteur, de l'incertitude persiste concernant la construction d'une phase de six �tages en bordure du boulevard Ren�-L�vesque...

Voir aussi ce billet.

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En r�f�rence aux commentaires de certains lecteurs de Qu�bec Urbain, sur l'utilisation de l'auto versus TEC, et de son trop grande importance

Source: �ric Moreault, Le Soleil, 18 mars 2007

L�an pass�, Qu�bec a install� 210 pancartes devant les �coles et les CPE pour inviter les parents � �teindre le moteur de leur v�hicule. Les gouvernements sup�rieurs sont encore bien loin de telles actions concr�tes. En fait, tout porte � croire que les villes seront � l�avant-plan du combat contre les �missions de gaz � effet de serre (GES).

Cette lutte sera gagn�e dans les villes ou ne le sera pas du tout, d�clarait r�cemment le flamboyant Ken Livingstone en d�voilant le plan londonien de r�duction des GES. Efficacit� �nerg�tique r�sidentielle et mesures contraignantes aux v�hicules polluants � plus cher pour stationner et le p�age pour acc�der au centre-ville � sont au c�ur de son action.

Londres va investir 178 millions $ sur trois ans pour diminuer de 60 %, par rapport au niveau de 1990, les �missions de la capitale britannique d�ici � 2025. Le maire souhaite �galement que 25 % de l��nergie consomm�e dans sa ville soit produite localement.

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Plusieurs mois ont pass� depuis mon passage dans ce secteur: surprenant, l'impact visuel de cet imposant immeuble en "U" en construction (R�sidence C�t� Jardins), au nord de la Maison Gomin [billet], en lieu et place du d�funt Centre jeunesse Tilly...

Voir aussi ce billet.

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Source: Radio-Canada (Qu�bec), 18 mars 2007.

La nouvelle salle du Palais Montcalm, sobre, �l�gante et � l'acoustique presque parfaite, a finalement �t� inaugur�e samedi soir � Qu�bec, au son de l'ensemble les Violons du Roy, pour lequel la nouvelle salle deviendra la r�sidence permanente. (...)

La suite. Aussi, ce billet.

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Vieille nouvelle, mais quand m�me pertinente !

Source: �ric Cl�ment, La Presse, 20 f�vrier 2007

Si le gouvernement du Qu�bec et la Ville de Montr�al collaboraient au succ�s de l'autopartage plut�t que de le tol�rer, cela pourrait r�duire les �missions de CO2 dans l'atmosph�re de 168 000 tonnes par an, ce qui d�passerait par six fois les objectifs du Plan d'action qu�b�cois sur les modes de transport alternatifs, cr�� dans le cadre de Kyoto.

Voir la suite.
Voir aussi ce billet.

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Br�ve mais parfois impressionnante, la "Temp�te de la Saint-Patrick", ce matin!

Voir aussi ce billet, de m�me que mon blogue m�t�o pour les d�tails...

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C'est vraiment la fin d'une �poque qui s'amorce, dans Saint-Roch: hier, les travaux �taient d�j� impressionnants, dans la section Est de ce qui reste du mail...

Ci-bas, la localisation des images.

Voir aussi ces deux billets.

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Int�ressant article, ce matin: je pr�ciserai certains points soulev�s lors de billets ult�rieurs, les prochains jours...

Source: Isabelle Mathieu, Le Soleil, 13 mars 2007.

Dix ans d�j� que le quartier Saint-Roch a perdu son air de Plywood City, avec trous b�ants et b�timents placard�s.

Le centre-ville plonge dans une nouvelle �tape de croissance ces jours-ci qui, si tout va bien, lui am�nera plus d�un millier de nouveaux travailleurs et r�sidants.

Les pelles m�caniques ont d�j� commenc� � grignoter les 40 % restant du mail Saint-Roch. On commencera � voir des bouts de ciel mardi.

En novembre, les belles fa�ades en pierre de la rue Saint-Joseph auront �t� lib�r�es. Les propri�taires de la vingtaine de b�timents seront en pleine r�novation pour essayer d�attirer des nouveaux commerces et compl�ter l�art�re marchande du � Nouvo Saint-Roch �.

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Nouvelle culturelle, certes, mais difficile pour moi de la passer sous silence! Voil� une triste perte pour Qu�bec, je peux vous le confirmer, ayant assist� � quelques reprises � la performance de ce groupe des plus dynamiques et festifs, notamment au Festival d'�t�... :(

Source: Val�rie Lesage, Le Soleil, 13 mars 2007.

(...) La production de trois albums, bien accueillis par la critique, et la reconnaissance de l�industrie � l�ADISQ a honor� Chants de mine en 2004 en lui d�cernant le F�lix de l�album alternatif de l�ann�e � n�ont pas suffi � donner � Pol�mil Bazar un v�ritable succ�s public. En tout cas, pas un succ�s suffisant pour que les membres du groupe puissent vivre de leur musique. (...)

D�autre part, Pol�mil Bazar �tant un groupe engag� et r�solument � gauche, il ne pouvait �videmment pas compter sur des concerts corporatifs pour augmenter ses revenus. (...)

La suite.

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L'immeuble ci-haut qui a fait r�cemment l'objet de ce billet retrouvera sa vocation d'antan: une bonne nouvelle, donc, pour les citoyens de Limoilou, touch�s il y a quelques ann�es par la perte de plusieurs �piceries de quartier!

Source: Pierre Champagne, Le Soleil (Affaires), 13 mars 2007.

Les copropri�taires de l'Intermarch� de Saint-Roch, �ric Courtemanche et R�jean Perron, ouvriront un autre supermarch� arborant les m�mes couleurs, mais deux fois plus important, l'�t� prochain, au 800, boulevard de la Canardi�re, dans un local qui abritait, jadis, un supermarch� Dominion. (...) La place retrouvera donc sa vocation premi�re, celle d'un march� d'alimentation de 14 000 pi2 qui donnera de l'emploi � une quarantaine de personnes. Un investissement de 2 millions $. (...)

Aussi, ce billet.

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Conf�rence sur le patrimoine b�ti des communaut�s religieuses de la ville de Qu�bec

Qu�bec, le 14 mars 2007 � La Ville de Qu�bec invite la population � une conf�rence sur le riche patrimoine b�ti des communaut�s religieuses de Qu�bec. Cette conf�rence gratuite aura lieu le mercredi 28 mars, � 19 h, � l�auditorium Joseph-Lavergne de la biblioth�que Gabrielle-Roy, 350, rue Saint-Joseph Est, dans l�arrondissement de La Cit�. D�une dur�e d�une heure, la conf�rence sera suivie d�une p�riode de questions.

� l�aide d�exemples concrets et de cas types, M. Martin Dubois, consultant en patrimoine de la firme Patri-Arch, nous livrera les points saillants d�une imposante �tude r�alis�e par cette �quipe multidisciplinaire sur 56 propri�t�s appartenant � diverses communaut�s religieuses et situ�es sur le territoire de la ville. Chacune de ces propri�t�s a fait l�objet d�une analyse patrimoniale compl�te : historique, urbaine, paysag�re et architecturale.

La Ville esp�re que cette �tude � la plus vaste et la plus compl�te jamais r�alis�e au Qu�bec sur des propri�t�s de communaut�s religieuses � aidera les communaut�s dans la planification et la prise de d�cision concernant l�avenir de leurs propri�t�s. Elle devrait aussi permettre d�alimenter les �changes entre les communaut�s religieuses et la Ville ou d��ventuels promoteurs.

L��tude compl�te comprenant 56 cahiers, le rapport de synth�se et le recueil de recommandations est disponible pour consultation sur support DVD dans le r�seau des biblioth�ques de la Ville de Qu�bec ainsi qu�au Centre de documentation du Service de l�am�nagement du territoire de la Ville de Qu�bec, 295, boulevard Charest Est.

L��tude et la conf�rence s�inscrivent dans le cadre de l�Entente de d�veloppement culturel intervenue entre la Ville de Qu�bec et le minist�re de la Culture et des Communications. L�Entente de d�veloppement culturel porte sur l�acc�s et la sensibilisation aux arts, � la culture et au patrimoine. Elle concerne �galement la recherche et la mise en valeur du patrimoine, la consolidation des acquis en mati�re de culture et le rayonnement culturel de la capitale. Cette entente triennale est assortie d�une enveloppe de 20,9 M$.

Pour assister � la conf�rence, il suffit de r�server au Service de la culture de la Ville de Qu�bec : 641-6181.

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Source: Pierre-Andr� Normandin, Le Soleil, 13 mars 2007.

L��talement urbain s�accentue dans la r�gion de Qu�bec. Depuis 2001, la banlieue a connu une croissance deux fois plus grande que la ville centre, r�v�lent les donn�es du recensement 2006 de Statistique Canada.

Si la r�gion a suivi la croissance du reste de la province, c�est justement gr�ce aux municipalit�s en p�riph�rie. La population de Qu�bec a en effet cr� de 3,1 %, contre 6,7 % dans sa banlieue imm�diate.

� Les gens veulent de plus en plus avoir les avantages d�une vie � la campagne tout en �tant � proximit� de la ville �, analyse Laurent Martel, d�mographe pour Statistique Canada. Les donn�es du recensement 2006 semblent marquer une acc�l�ration du ph�nom�ne dans l�ensemble du pays.

Reste que l��talement urbain dans la r�gion de Qu�bec est moins important qu�� Montr�al. Les Montr�alais repr�sentent d�sormais � peine 44 % de leur r�gion m�tropolitaine. � Qu�bec, les citoyens de la ville centre comptent encore pour les deux tiers de leur r�gion.

Aussi, cet article, de m�me que ce dossier sur le site de Statistique Canada.

Merci � G�rald Gobeil pour sa collaboration!

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Source: Radio-Canada (Qu�bec), 13 mars 2007.

M�me s'il ne reste plus de traces du Red Bull Crashed Ice, les commer�ants de la c�te de la Montagne � Qu�bec ne d�col�rent pas.

Sept marchands r�clament de la Ville de Qu�bec et de l'organisation une indemnisation pour les pertes qu'ils estiment avoir subies avant, pendant et apr�s la comp�tition de patinage extr�me. (...)

La suite. Aussi, ce billet.

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Il semble donc qu'on assistera � la disparition ce qui �tait devenu, au fil des ans, une autre sorte d'"institution" dans ce secteur du Vieux-Qu�bec, au m�me titre (mais d'une toute autre vocation!) que la Cour, le Bilboquet, le Foyer ou le Vendredi Treize de mon temps! ;-)

Source: Pierre Champagne, Le Soleil (Affaires), 28 f�vrier 2007.

L'Arcade de jeux �lectroniques qui occupait l'immeuble situ� au 1044, rue Saint-Jean, serait sur le point d'�tre vendu � la coop�rative des producteurs de sirop d'�rable Citadelle. (...)

Les jeux �lectroniques et m�caniques seront donc remplac�s par les produits de l'�rable et par ce qui pourrait ressembler, � l'�tage, � un genre de mus�e de l'�rable. (...)

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Un projet "PACTE Myrand" d�natur� en vue, � l'exemple du plan original du secteur du Campanile?

Source: Radio-Canada (Qu�bec), 12 mars 2007.

Des promoteurs lancent deux autres projets d'habitation en bordure du chemin Sainte-Foy, pr�s de la rue Mayrand.

La semaine derni�re, l'Universit� Laval a d�voil� son projet PACTE Myrand qui pr�voit la construction de 1500 logements ainsi que l'am�nagement d'espaces publics et commerciaux dans le secteur nord-est du campus.

Cette fois, les promoteurs souhaitent implanter un projet de cohabitation, une formule d'habitation conviviale et �cologique d�velopp�e au Danemark.

Michel Desgagn�, qui caresse ce projet depuis des ann�es, explique qu'il s'agit de la construction de 35 maisons en rang�e et en copropri�t�s avec des aires et m�me une maison communes. Selon lui, le projet se veut �cologique, interg�n�rationnel et convivial et faciliterait le bon voisinage.

Par ailleurs, une coop�rative d'habitation serait situ�e dans le m�me secteur. Le projet comprendrait 180 logements, dont la moiti� serait r�serv�e aux �tudiants.

Les promoteurs donneront plus de d�tails concernant leur �ch�ancier l'automne prochain.

Voir aussi ce billet.

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Source: Isabelle Mathieu, Le Soleil, 8 mars 2007.

Les fils �lectriques sont l� pour rester dans le faubourg Saint- Jean-Baptiste. Faute d�aide gouvernementale, la Ville de Qu�bec enterre pour de bon son projet d�enfouir les nombreux fils qui encombrent les rues du faubourg Saint-Jean-Baptiste. Les travaux �taient �valu�s � plus de 80 millions $.

� l�aube du 400e, l�administration municipale souhaitait �liminer cette forme de pollution visuelle sur 10 kilom�tres de rue de ce quartier, que visitent 500 000 touristes tous les ans.

Le programme gouvernemental qui subventionnait 90 % des co�ts d�enfouissement a �t� aboli en 2003 et aucune mesure propos�e par Hydro-Qu�bec n�est assez int�ressante, juge la municipalit�.

Aussi, ce billet.

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C-haut, une image trouv�e dans les derni�res pages du Forum Qu�bec du site Skyscraperpage.com. On voit que ce futur (?) h�tel est contigu au p�t� d'immeubles (� droite) qui abritaient le c�l�bre restaurant Laurentien [billet] et au sommet desquels tr�ne depuis plusieurs mois l'annonce d'un petit projet d'espaces � bureaux...

Ci-bas, le site vis�: excusez l'ombrage! ;-)

Remarques constructives: nt�ressante, l'image ci-haut, mais aucun d�tail n'y est rattach�. Et encore une fois, Citron, question de rigueur, pr�cisez la source!

Aussi, ce billet.

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C'est avec beaucoup de nostalgie et de souvenirs, je l'avoue, que j'assisterai au d�mant�lement de ce qui reste du mail...

Ce "chantier" fera vraiment jaser dans les prochains mois; je me r�serve pour celui-ci quelques reportages photos, un peu comme je l'ai fais pour les derni�res phases de revitalisation des berges de la Saint-Charles [billet].

La d�molition du mail reprend. (Source: Lise Fournier, Le Soleil, 8 mars 2007.)

Les travaux de d�molition de ce qui reste du mail Saint-Roch d�butent la semaine prochaine. On pr�voit avoir enlev� le toit et les colonnes de b�ton d�ici la fin avril. (...)

La suite. Aussi, ce billet.

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Je suppose que c'est le genre de densification que certains lecteurs de Qu�bec Urbain ont �mis comme id�e dans leurs commentaires. Le seul hic, d'apr�s l'image c'est le rapprochement des blocs entre-eux. Peu de vue d�gag�e pour certain. Sauf la fen�tre du voisin. Et c�t� vert, il ne semble point avoir rien dans ce domaine. Dommage!!! Mais dans l'ensemble cela pourrait �tre int�ressant. Surtout si on pouvait transposer ce genre de projet ici � Qu�bec, mais en incluant des �l�ments verts dans les �difices..

Source: Isabelle Audet, La Presse, 9 mars 2007

L'ancien terrain de l'usine GM � Boisbriand accueillera ses premiers propri�taires r�sidentiels avant la fin de l'ann�e. La municipalit� et le promoteur, Faubourg Boisbriand, peaufinent ces jours-ci les plans d�finitifs du secteur r�sidentiel.

Voir la suite.
Voir aussi ce lien.

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Beaucoup de jeunes, dit-on, veulent quitter Qu�bec pour l'Alberta "parce qu'icitte, y s'passe rien!". D'autres choisiraient plut�t la m�tropole car ici, "on peut pas vivre sans auto"... Sans auto, vraiment?

Sur ce, je m'appr�te � aller faire ma traditionnelle tourn�e de photos de mon vendredi de cong� au centre-ville... � pied, bien s�r, en attendant de sortir mon v�lo! ;-)

Partir n'est pas la solution (Source: Olivier Tremblay, Le Soleil, Carrefour des lecteurs, 9 mars 2007.

Dans Le Soleil du 7 mars, cinq jeunes dans la mi-vingtaine, qui disent avoir quitt� Qu�bec pour Montr�al en raison notamment de l'impossibilit� d'y vivre sans voiture, ont suscit� plusieurs interrogations en moi. Bien que je sois d'accord avec le projet de tramway et que je sois d��u de la r�action de Mme Boucher et de M. Despr�s, je ne suis pas s�r que de quitter pour Montr�al soit la solution! Au contraire, je leur dirais plut�t: restez � Qu�bec, impliquez-vous, soyez innovateurs, investissez les partis municipaux ou provinciaux et promouvez vos id�es!

Aller � Montr�al n'aide en rien � la r�solution du probl�me. De plus, je reste pantois sur la question de l'impossibilit� de vivre � Qu�bec sans voiture. O� viviez-vous? Moi, je r�side et travaille dans les quartiers centraux, et ce, sans difficult�. Je n'ai pas besoin de voiture, les transports en commun me suffisent et si j'avais besoin d'une auto, les nombreux points de service de Communauto [billet] seraient l� pour me d�panner. �videmment, si vous viviez loin en banlieue et que maintenant, vous �tes en plein sur l'�le de Montr�al, peut-�tre faites-vous une mauvaise comparaison. Les gens de Brossard et de Pierrefond ne s'attendent pas � la m�me qualit� de service de transport en commun que ceux de Rosemont ou de C�te-des-Neiges. M�me chose ici: quand vous vivez dans Montcalm ou Saint-Sauveur, vous �tes mieux desservis que dans les nouveaux d�veloppements de Pointe-Sainte-Foy ou au nord de Val-B�lair!

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Option int�ressante, pour ceux qui optent absolument pour la banlieue, tant qu'a parler du tramway, bien il y aussi le train de banlieue. (TOD) Autre projet qui pourrait �tre fait, mais je sais que depuis un certain nombre d�ann�e, on a d�manteler bon nombre de tron�on de chemin de fer dans la r�gion.

Source: Simon Diotte, La Presse, 5 mars 2007

L'ouverture de nouvelles gares force la banlieue � se red�finir. Au lieu de faire du d�veloppement centr� uniquement sur les d�placements en automobile, comme on le fait depuis plus d'un demi-si�cle, de nouveaux projets ax�s sur l'utilisation des transports collectifs voient le jour. Et ils connaissent un franc succ�s. Pleins feux sur une petite r�volution dans la construction immobili�re.

Claude Valiquette et sa conjointe ne pensaient jamais r�sider en banlieue �loign�e. Mais avec le train de banlieue, qui sert de cordon ombilical vers le centre-ville de Montr�al, la chose autrefois impossible est devenue r�alit�. Ils ont achet� r�cemment une maison de ville � Mont-Saint-Hilaire, � cinq minutes � pied de la gare de train. ��a ne me prend que 45 � 50 minutes pour me rendre au travail. Et ce n'est pas du temps perdu, j'en profite pour lire�, affirme M. Valiquette, avec satisfaction.

Voir la suite.

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Quelle �difice ?

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"Nouveau service de covoiturage interurbain pour le Qu�bec et les Maritimes", Amigo Express est une nouvelle alternative en mati�re de transport. Compl�mentaire � Allo-Stop, le "pionnier en mati�re de covoiturage au Canada", l'entreprise a d�j� un an d'existence!

� �couter sur la page d'accueil du site d'Amigo Express, l'entrevue de Catherine Lachauss�e avec son fondateur, Marc-Olivier Vachon, � l'�mission (toujours aussi int�ressante) "�a me dit de prendre le temps" (Radio-Canada).

Voir aussi ce billet.

Merci � R�jean Lemoine, chroniqueur urbain, pour m'avoir fait d�couvrir cette entreprise par le biais de son �mission!

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L�impact sur la qualit� de l�air ainsi que sur le milieu si cela s�applique autant dans l�urbain que le rural, imaginez respirer un air plus pur, � c�t� d�une usine ! A moins que les compagnies veulent payer plus, ce qui m��tonnerais... Cela peut-il s�appliquer aussi au moyen de transport toutes cat�gories confondues ? Cela inciterait peut-�tre certaines personnes � revenir vivres dans les agglom�rations urbaines ? Cela pourrait-il entrer dans la conception du nouvel urbanisme ??? Peut-�tre m�me permettre l'�tablissement d'usines qui respectent l'environnement pr�s de zone r�sidentielle. Bref...

Certains lecteurs de QU diront que c�est utopique, mais voila de cela 15 ans on aurait trait� d�illumin� les gens qui auraient affirm� qu�ils y auraient des bars sans fum�e. � cette �poque on fumait dans les h�pitaux. L�utopie d�aujourd�hui est peut-�tre les r�alisations de demain !

Source: Fran�ois Desjardins, revue L'Actualit�, janvier 2007

La surconsommation de ressources naturelles est � ce point inqui�tante que les entreprises devront t�t ou tard passer par une r�volution de nature �cologique. Comment les y obliger ? Au lieu de taxer les revenus, taxons l�utilisation des ressources et le gaspillage !

L�homme d�affaires et auteur-vedette am�ricain Paul Hawken ainsi que les �cologistes Amory et Hunter Lovins, th�oriciens du capitalisme naturel, sonnent l�alarme. �Au d�but de la r�volution industrielle, la main d�oeuvre �tait surexploit� et relativement rare, alors que les stocks de capital naturel �taient abondants et inexploit�s�, �crivent-ils dans leur livre-manifeste, Natural Capitalism: Creating the Next Industrial Revolution (le capitalisme naturel: comment cr�er la prochaine r�volution industrielle). �Aujourd�hui, la situation s�est invers�e.�

Ce capital naturel est constitu� par l�eau, l�air et tout ce que l�on consid�re comme organisme vivant-et qui n�a jamais eu de valeur comptable pour les entreprises. Et si on le taxait ? Selon les partisans du mouvement, l�effet serait double. Il entra�nerait des �conomies d��nergie sans pr�c�dent de la part de l�industrie et lierait celle-ci � une notion de d�veloppement durable. La gestion actuelle des ressources est si inefficace, �crivaient d�ailleurs les trois auteurs dans la Harvard Business Review, en 1999, que �seulement 1% des mati�res mobilis�es au profit de la population am�ricaine servent � fabriquer un produit et sont toujours utilis�es six mois plus tard�.

Pour en savoir plus www.natcap.org

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Madame la Mairesse,

�uvrant depuis des ann�es pour la promotion des transports viables � Qu�bec, nous connaissons votre parti pris en faveur du transport collectif. Nous avons �t� d�autant plus d��us d�entendre dans les m�dias votre prise de position sur le tramway.

Nous ne comprenons pas votre position. Vous semblez acquise au tramway : selon vous, � un tramway [est] extraordinaire �, � �a [vous] r�pugne de dire non �, et pourtant, vous vous opposez au financement par le gouvernement provincial d�un r�seau de tramway � Qu�bec. Personne, que ce soit � Montr�al, Gatineau, Longueuil ou Laval, n�aurait rejet� cette opportunit� de faire avancer le projet et de d�velopper la r�gion.

Un projet pour l�ensemble de la ville

Le tramway n�est pas un projet � centre-ville contre banlieues �, c�est la colonne vert�brale du r�seau de transport collectif d�une ville dynamique et ambitieuse. La mise en place du tramway lib�rera des autobus, qui seront disponibles pour am�liorer le service partout ailleurs.

L�achalandage du transport collectif est en constante augmentation, et le d�veloppement du transport en commun fait l�unanimit� partout dans la soci�t� et aux diff�rents paliers de gouvernement. Il faut profiter de cette dynamique! Le d�veloppement du r�seau doit �tre continu dans les prochaines ann�es, pour soutenir la croissance. N�attendons pas, pour penser au tramway, que les nouveaux usagers du transport collectif se soient lass�s du service�
Pay� par le gouvernement du Qu�bec!

Vous dites que la ville de Qu�bec n�a pas les moyens de se payer ce r�ve qu�est le tramway. Mais ce n�est justement pas � la ville de payer! Le Programme d�aide gouvernementale au transport collectif des personnes pr�voit un taux de financement assum� par le minist�re des Transports de 100 % pour les modes � lourds � : tramway, m�tro ou train de banlieue (contre 50 % pour les autobus et 75 % pour les voies r�serv�es, garages, etc.). Ailleurs au Qu�bec, les acteurs locaux (�lus, chambres de commerce, etc.) se mobilisent pour b�n�ficier des budgets disponibles. Ainsi, plusieurs r�gions travaillent � se doter d�un transport collectif de qualit� sup�rieure :

• un m�tro � Laval (809 millions de dollars, 50 000 usagers)
  
• un train de banlieue � Terrebonne (300 millions, 11 000 usagers)
  
• un tramway sur la Rive Sud de Montr�al (1 milliard, 27 000 usagers/pointe)

Tous ces projets seront financ�s par les paliers sup�rieurs de gouvernement. Qu�bec va-t-elle �tre la seule grande ville � ne pas profiter de la manne? Les contribuables de Qu�bec veulent-ils vraiment que leurs imp�ts servent � financer des trains de banlieue � Montr�al? Si les gens de Qu�bec veulent un tramway dans 10 ans, c�est maintenant qu�il faut y penser, sans attendre que tout le budget disponible au gouvernement ait �t� d�pens� ailleurs.
Un leadership � assumer

Moderne, efficace, confortable et rentable, le tramway n�est pas seulement un mode de transport, mais doit �tre le vecteur d�une nouvelle fa�on d�am�nager la ville. C�est un outil de d�veloppement urbain, et l�occasion de repenser la ville pour une meilleure qualit� de vie. C�est, pour la r�gion, un investissement qui g�n�rera d�importantes retomb�es �conomiques, en plus d�en faire un chef de file en mati�re de d�veloppement durable.

En refusant le financement de l��tude d�avant-projet par le provincial, vous avez port� un coup au consensus qui tendait � faire du projet de tramway une priorit� r�gionale. C�est d�autant plus dommageable que cette p�riode de campagne �lectorale est un moment id�al pour faire valoir les besoins de Qu�bec dans le d�bat national. C�est � toute la communaut� de Qu�bec de demander aux gouvernements de s�engager � investir pour le tramway, et pas seulement pour une �tude. Et c�est � vous, �lu(e)s de Qu�bec, de d�fendre les int�r�ts de la ville et de la r�gion de Qu�bec.

Le tramway ne se fera pas sans un leadership politique fort. C�est pourquoi, ayant � c�ur le d�veloppement de Qu�bec, nous vous invitons, Madame la Mairesse, � revenir sur votre d�cision, et appelons tous les acteurs locaux � s�engager en faveur du tramway. Il est temps qu�� Qu�bec, un consensus se fasse autour de grands projets, sinon, c�est toute la r�gion qui va rester sur le quai.

Christian Savard,
Directeur d�Acc�s transports viables

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S'il y a un sujet r�current qui fait beaucoup jaser ces temps-ci, autant dans Qu�bec Urbain qu'au sein des d�cideurs des diff�rents paliers gouvernementaux (surtout en cette p�riode pr��lectorale), c'est bien et toujours la pertinence ou non d'implanter un tramway � Qu�bec! Au m�me moment, de multiples projets semblent se concr�tiser dans l'est du pays: Laval, Outaouais, rive sud de Montr�al et j'en passe...

Wikip�dia, on le sait, est une v�ritable petite mine de renseignements. En compl�ment d'informations, voici donc ce volumineux dossier que je vous invite � explorer. � consulter entre autres, la liste des tramways d�j� implant�s dans le monde!

Voir aussi ce billet.

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�a fait d�j� pr�s de deux ans qu'on parle de la transformation de ce b�timent (� gauche du Capitole, sur la photo), qui a notamment abrit� des salles de cin�ma dans les ann�es 80...

Source: Pierre O. Nadeau (Journal de Qu�bec), Cano� (info), 7 mars 2007.

Le Cabaret du Capitole sera d�moli pour faire place � un complexe h�telier; du m�me coup, d'importants travaux seront apport�s au Th��tre Capitole, car il ne faut pas confondre les deux lieux.

M. Jean Pilote, propri�taire du complexe de la place D'Youville, a confirm� au Journal, hier, l'acceptation d'une offre d'achats visant la vente du Cabaret de 560 places � une importante cha�ne h�teli�re de renomm�e internationale, qui envisage de raser l'�difice qui abritait autrefois le Cin�ma de Paris pour �riger une nouvelle structure pouvant atteindre huit �tages, de quoi permettre l'am�nagement d'une centaine de chambres. (...)

La suite. Aussi, ce billet.

Merci � G�rald Gobeil pour m'avoir transmis cette information!

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Deviner ?

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Source: Paul Roy, La Presse, 5 mars 2007.

(...) C'est la circonscription des petits salaires et des soupes populaires. Des HLM et des �coles qui ferment. De la culture, des grandes �coles, des mus�es, du th��tre, de la technologie et de la politique. La circonscription des contrastes. Entre la basse ville et la haute ville. Entre la population qui y vit et celle qui y gagne sa vie - dont les 125 d�put�s de l'Assembl�e nationale. C'est aussi la circonscription la plus pauvre du Qu�bec. (...)

La suite.

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C'est un peu hors sujet, mais je trouvais int�ressants de constater qu'on peut innover dans n'importe quoi !

Source: Marc Allard, Le Soleil, 4 mars 2007

Hier matin, Robert Labb� s�est lev� � 6 h, juste pour voir une de ses machines d�neiger les rues de Charlesbourg. L�objet de son enthousiasme ? Une grosse lame � neige qui, fix�e � une chargeuse, peut bouger dans tous les sens. � C�est la nouvelle g�n�ration de gratte �, assure Patrick Bizeau, employ� de M. Labb� et repr�sentant du fabricant, Deslamco.

Selon les estimations de M. Bizeau, cette lame hydraulique et � multifonctions � permet d��conomiser 30 % du temps de d�neigement. Contrairement aux grattes traditionnelles, elle s�incline des deux c�t�s et ses ailes sont amovibles. Par cons�quent, le d�neigeur peut �viter les voitures plus facilement et n�est pas oblig� de repasser plusieurs fois dans la m�me rue.

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Source: Fr�d�rick Masson, Qu�bec Hebdo, 1 mars 2007

L�entreprise Cominar fera bient�t plusieurs heureux au Carrefour Saint-Sacrement, sis sur le boulevard Charest Ouest au pied de la c�te Saint-Sacrement. Tant les commer�ants que les travailleurs seront heureux d�apprendre que des travaux de d�molition sont pr�vus, en mars, afin de d�truire une partie du b�timent qui abritait autrefois le centre pour l�auto Automod. La destruction de la partie est de l��difice permettra la r�alisation d�un stationnement souterrain et d�un autre � ciel ouvert, lesquels rendront possible l�ajout de quelque 150 espaces de stationnement suppl�mentaires.

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Ah ! Que je r�ve de voir ce genre de projet innovateur ici, � Qu�bec, et au Qu�bec ! Mais voyant le retard de la province et surtout de la ville de Qu�bec, pour ce genre de projets, on peut se demander si nous vivons sur la m�me plan�te ?! Il y aurait s�rement des endroits int�ressants dans ou pr�s du centre-ville, pour permettre la construction de ce genre d�habitation.

On a � se rappeler le terrain vacant des anciennes Galeries Sainte-Anne, de la pointe-aux-Li�vres, ou bien donc pourquoi pas dans certains terrains contenant de vieux �difices commerciaux, industriels, qu�on pourrait reconvertir. Bref...

Source: �lodie Mazein, Agence France-Presse, 2 mars 2007

Les projets de construction de communaut�s �cologiques, ayant pour leitmotiv �z�ro carbone, z�ro d�chets�, fleurissent au Royaume-Uni avec des engagements de plus en plus pouss�s en termes de pr�servation de l'environnement et des b�timents de plus en plus vastes.

La r�ussite du projet pr�c�dent pousse en effet les concepteurs � aller toujours plus loin: la communaut� New England Quarter � Brighton (sud de l'Angleterre), qui a re�u son permis de construire fin f�vrier, abritera 172 appartements --dont 54 � caract�re social--, des entreprises, des espaces commerciaux et des espaces verts.

Le tout construit selon les dix principes �Habiter sur une seule plan�te� (One planet living, OPL), initiative conjointe du fonds mondial pour la nature WWF et de l'organisation de protection de l'environnement BioRegional.

Voir la suite.

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Que suis-je ?

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Un peu plus difficile cette fois-ci !!!

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Le dragon soufleur de La Bo�te � Pain sur la rue St-Joseph

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La photo ci-haut illustre bien s�r la t�m�rit� de l'un des participants du "Red Bull Crashed Ice" [billet] se pratiquant dans le blizzard en vue des comp�titions de ce week-end. En compl�ment d'information, ce vid�o (YouTube) montre bien l'intensit� de la temp�te face � la Gare du palais, en d�but d'apr�s-midi...

� consulter, les d�tails concernant la deuxi�me temp�te d'importance sur la r�gion (reportage sur Radio-Canada) et � venir, dans les prochains jours, de nombreuses autres photos et vid�os sur mon blogue m�t�o.

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Une autre petite facile !

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O� est situ� ce point de vue et qu'est ce que l'on voit ?

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Source: Claude Vaillancourt, Le Soleil, 28 f�vrier 2007.

Montr�al a son projet de train �lectrique reliant l��le � la Rive-Sud, Qu�bec peut bien r�clamer la r�alisation d�une �tude d�avant-projet d�un tramway pour l�agglom�ration de Qu�bec.

Vice-pr�sident du R�seau de transport de la Capitale, le conseiller municipal J�r�me Vaillancourt ne s�est pas g�n�, hier, pour r�clamer au gouvernement du Qu�bec le paiement du co�t d�une �tude approfondie sur le projet d�un tramway � Qu�bec, auquel pourrait participer le gouvernement f�d�ral, si bon lui semble.

� � Montr�al, on parle d�un projet o� l�on devra m�me construire un nouveau pont sur le fleuve pour permettre au train �lectrique de circuler. C�est �norme comme co�t (1 milliard $), c�est correct pour eux mais nous aussi, on a le droit de r�clamer notre part �, a claironn� le proposeur de la r�solution adopt�e � l�unanimit� par ses coll�gues. � Le projet de Qu�bec aura des retomb�es �conomiques importantes � Qu�bec et au Qu�bec. �

Aussi, ce billet.

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Depuis ce billet de Francis, on fait grand �tat de ce stimulant projet au coeur de Sainte-Foy: �a promet, et un champ, enfin, servira � autre chose qu'� construire des m�gaentrep�ts, des bungalows dispers�s ou de gigantesques cin�mas d�ficitaires!!

Pour le dossier complet, � consulter, le site de PACTE Myrand.

Source: Marie Caouette, Le Soleil, 28 f�vrier 2007.

D�ici deux ans, les premiers immeubles du nouveau quartier r�sidentiel de l�Universit� Laval devraient surgir de terre, le long de la rue de la Terrasse prolong�e jusqu�� l�avenue Myrand. L�immense chantier de 1500 logements, �valu� entre 120 et 150 millions $, pourrait durer jusqu�en 2030. (...)

La suite.

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