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Archive des billets publi�s en avril 2007

30 avril 2007

Des fleurs pour la Ville de Qu�bec
Par Gerald Gobeil

D�coration florale 2008
Un embellissement floral aux couleurs du 400e !

Qu�bec, le 30 avril 2007 � Dans le cadre des c�l�brations du 400e anniversaire, la ville de Qu�bec sera plus belle que jamais ! Avec le projet D�coration florale 2008, la Ville souhaite cr�er, de mai � octobre 2008, un embellissement floral embl�matique des f�tes � la grandeur du territoire.

� En 2008, c�est toute une r�gion qui sera en f�te! Imaginez une ann�e de festivit�s et de rencontres dans une ville qui sera le point de mire du monde entier, se r�jouit la mairesse de Qu�bec, Andr�e P. Boucher. L�impact visuel des touches d�orange et de rose aux balcons et dans les jardins sera du plus bel effet! Le projet D�coration florale 2008 est une belle occasion pour les gens de Qu�bec de s�approprier les f�tes du 400e anniversaire et de d�montrer leur enthousiasme � l��gard des c�l�brations.�


Des mosa�ques 3D � la grandeur du territoire

Huit mosa�ques florales en 3D seront r�alis�es, soit une par arrondissement. Trois d�entre elles tirent leur concept d��v�nements qui s�inscrivent dans la programmation des festivit�s, soit :

* Une valise, en lien avec l�exposition � 5 milliards d�humains �, au parc Roland-Beaudin (arrondissement de Sainte-Foy�Sillery);
*Une bouteille, en lien avec l�Op�ra urbain, � proximit� de l��tang de la c�te (arrondissement de Beauport);
*Des personnages, en lien avec le spectacle � Le chemin qui marche �, dans la rue Racine (arrondissement de La Haute-Saint-Charles).

Quatre mosa�ques �voqueront, par des objets simples, l�esprit de la f�te, le temps des vacances et les plaisirs de la nature :

* Des virevents, sur le pont Drouin (arrondissement de Limoilou);
* Des colverts, sur la rivi�re Saint-Charles, � la hauteur de la rue Bourdages (arrondissement des Rivi�res);
* Une chaise Adirondak, pr�s la biblioth�que de Charlesbourg (arrondissement de Charlesbourg);
* Un panier � pique-nique, � la marina de Cap-Rouge (arrondissement Laurentien).

Pour sa part, une reconstitution fleurie de la porte Hope, dans la c�te de la Canoterie (arrondissement de La Cit�) fera r�f�rence � l�histoire de la ville et � son caract�re fortifi�.

Un am�nagement floral � l�entr�e des ponts

Le visiteur qui arrivera � Qu�bec en franchissant l�un ou l�autre des deux ponts sera accueilli par un magnifique am�nagement de grandes mosa�ques 2D sur des terrains du minist�re du Transport du Qu�bec. La superficie totale de l�am�nagement �quivaudra � celle d�un terrain de soccer.

Dites-le avec des fleurs !

Dans le cadre du projet D�coration florale 2008, la Ville de Qu�bec mise aussi sur la participation des gens de Qu�bec en lan�ant sa campagne Dites-le avec des fleurs !

� Le geste est simple, la d�marche concr�te, r�sume M. Jacques Grantham, directeur de la division foresterie urbaine et de l�horticulture. Ornez vos bo�tes � fleurs et am�nagez vos plates-bandes d�annuelles dans la palette des couleurs du 400e ! �.

La campagne s�adresse non seulement aux citoyens mais aussi aux gens d�affaires, aux institutions, aux associations de quartiers et aux commer�ants.

La Ville pr�voit diverses actions pour mousser la participation populaire. Outre le concours de fleurissement Dites-le avec des fleurs, une journ�e de distribution se d�roulera, vers la mi-mai 2008, dans les huit arrondissements : sacs de compost, sachets de semences de capucines et plants d�arbres seront offerts gratuitement.

Des entreprises horticoles et des jardineries ont d�j� r�pondu avec enthousiasme � l�appel de la Ville afin d�assurer non seulement la disponibilit�, mais aussi la mise en valeur, sur le plancher, des fleurs s�lectionn�es.

Les partenaires confirm�s � ce jour sont :

- F�d�ration canadienne de l�arbre
- Conseil de l�industrie foresti�re du Qu�bec
- Bourbeau G�rard et Fils
- Composts du Qu�bec
- R�no D�p�t
- Rona l�Entrep�t
- Canadian Tire de Qu�bec
- Centre Jardin Moraldo
- Ferme B�dard et Blouin inc.
- Floralies Jouvence
- March� du Vieux-Port
- Qu�bec Multiplants
- Centre Jardin Hamel
- Centre Jardin de l�a�roport
- P�pini�re Moraldo et Fils
- Costco
- WalMart

En 2008, les fleurs aussi seront en f�te !

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29 avril 2007

Puis les pieds dans l'eau !
Par Francis Vachon
En quittant L'eau � la Bouche, nous nous sommes dirig�es vers la Place de la Bourse pour d�couvrir un am�nagement r�cent ... le Miroir d'Eau.

Puis les pieds dans l'eau !

Merci G�rald Gobeil

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28 avril 2007

Projet Le Delta 3: aspect final!
Par Jean Cazes

Grand format 800X486. Source: Le Soleil (�dition papier).

Image tir�e d'une publicit� publi�e dans Le Soleil de ce matin: il appara�t de plus qu'on en profitera pour "rafra�chir" les fa�ades des phases ant�rieures...

� consulter, ce billet.

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27 avril 2007

Fonctionnaires f�d�raux: Un nouvel immeuble
Par Jean Cazes

Pour une fois que je peux dire un bon mot sur ce gouvernement! Quartier Saint-Roch [billet]? Place Qu�bec? Le "site" � retenir demeure un myst�re...

Source: Radio-Canada (Qu�bec), 25 avril 2007.

Le gouvernement Harper construira le nouvel immeuble qui doit regrouper les 700 fonctionnaires f�d�raux de la r�gion.

Plusieurs groupes d'affaires ont d�j� d�montr� leur int�r�t pour cet �difice qui sera situ� au centre-ville de Qu�bec, � l'int�rieur d'un p�rim�tre d�limit� par le Grand Th��tre, la rivi�re Saint-Charles et le fleuve.

Le ministre des Travaux publics, Michael Fortier, pr�cise que ce projet en est � l'�tape des appels d'offres. Les groupes int�ress�s devront pr�senter un projet pr�cis, ainsi que le budget qui y sera associ�.

La suite.

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Le Samuel-Holland vendu pour 88 millions $
Par Jean Cazes

GE Capital est l�acqu�reur du complexe r�sidentiel Samuel-Holland dans le quartier Saint-Sacrement. Photo Le Soleil, Steve Deschenes.

Source: Pierre Couture, Le Soleil, 25 avril 2007.

Le complexe r�sidentiel Samuel-Holland passe dans le giron du g�ant GE Capital. La soci�t� am�ricaine vient de mettre la main sur les 809 logements du quartier Saint-Sacrement pour la rondelette somme de 88 millions $. (...)

Il faut dire que pour GE, la transaction du Samuel-Holland pourrait �tre strat�gique. Il faut se rappeler qu�� l��poque (2002) o� elle en �tait propri�taire, la SSQ pr�voyait construire pour la somme de 20 millions $ quelque 150 logements dans l�ancien �difice de la GRC [ci-bas].

Le projet avait toutefois soulev� le m�contentement du voisinage, notamment de r�sidants du Samuel-Holland, qui craignaient de perdre leur vue. Depuis, le projet a temporairement �t� mis sur la glace. (...)

La suite. Aussi, ce billet.

Grand format.

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26 avril 2007

Un milieu en mutation: Des �tudiants du Laboratoire de recherche en sociologie se sont pench�s sur les travailleurs et les artistes du quartier Saint-Roch
Par Jean Cazes

Grand format 800X600. Jardin de Saint-Roch. Photo: Jean Cazes, 21 juin 2006.

Source: Yvon Larose, Au fil des �v�nements, 26 avril 2007.

Depuis les ann�es 1990, la revitalisation du quartier Saint-Roch � Qu�bec s�est traduite, entre autres, par une augmentation consid�rable du nombre de travailleurs. Les rapports que ceux-ci entretiennent avec le quartier varient selon leur niveau socio-�conomique et leur lieu de r�sidence. C�est ainsi que les travailleurs issus des classes favoris�es ne fr�quentent, pour la tr�s grande majorit�, que la portion Est de la rue Saint-Joseph et �vitent les rues du Pont et de la Couronne o� la pauvret� s�affiche davantage. Voil� les principales conclusions auxquelles sont arriv�es Marie-France Harvey et Esp�rance Nizeyimana, �tudiantes de premier cycle en sociologie, � la suite d�une enqu�te r�alis�e � l�automne et � l�hiver dans le cadre du cours Laboratoire de recherche en sociologie. Leur mandat venait du Conseil d�arrondissement de La Cit�. L��chantillonnage comprenait 38 personnes. (...)

La suite. Aussi, ce billet.

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Ottawa: "Les itin�rants sont comme des pigeons", clame le maire O'Brien
Par Jean Cazes

Une autre personnalit� publique qui se d�fendra bien s�r en clamant haut et fort avoir �t� mal cit�e par les journalistes... et la r�putation d�une ville reconnue pour �tre progressiste (au sens noble du terme) solidement entach�e. Affligeant!

Que Dieu pr�serve Qu�bec de ce genre de dinosaure pourtant "d�mocratiquement" �lu!

Source: Le Droit, 26 avril 2007.

(...) Durant une entrevue, il [le maire] a compar� les itin�rants du centre-ville � des pigeons. Il discutait alors avec l'animateur du mot d'ordre qu'il a lanc� vendredi dernier aux citoyens, qui �tait de ne plus donner d'argent aux itin�rants, qui utilisent souvent ces sommes pour s'acheter des drogues dures.

"Nous avons fait cela avec les pigeons il y a entre 25 et 30 ans, et depuis, on ne voit pratiquement plus un pigeon autour d'ici, a-t-il d�clar� en ondes. Si on fait cela avec les gens qui qu�mandent, en ne leur donnant plus d'argent, ils vont arr�tent de se promener autour." (...)

Le conseiller B�dard demande d'ailleurs au maire de s'excuser.

"Plusieurs itin�rants vivent des situations tr�s difficiles et ils souffrent beaucoup. Ces gens ont aussi droit au respect. En disant de telles choses, on oublie de parler du v�ritable enjeu, qui est de trouver des solutions pour aider les sans-abri." (...)

La suite. Aussi, ce billet.

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AGRANDISSEMENT DU MUS�E DES PLAINES: Le monast�re des Dominicains sera d�truit
Par Jean Cazes

C�est toute l�aile ouest et toute l�aile sud, partie arri�re du monast�re (au bas et � droite de la photo) qui tomberont sous le pic des d�molisseurs, d�ici un an. � photo MNBA.

Source: R�gis Tremblay, Le Soleil, 25 avril 2007.

Le monast�re des Dominicains de la Grande All�e sera d�truit pour faire place au futur pavillon du Mus�e national des beaux-arts du Qu�bec. De l�imposant ensemble architectural existant ne subsisteront que l��glise et le presbyt�re, les seuls b�timents qui pr�sentent une valeur patrimoniale, annonce le directeur g�n�ral du Mus�e, John R. Porter. (...)

Le dg tient � souligner que le dessin du futur pavillon, tel que publi� dans Le Soleil du 23 f�vrier, qui le repr�sentait comme un �norme cube blanc, n�est absolument pas r�v�lateur de l�aspect du b�timent � construire. � Ce n��tait qu�une projection du volume qu�il occupera ! � (...)

La suite. Aussi, ce billet.

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�tat des travaux: le Faubourg Giffard (2)
Par Jean Cazes

Grand format 800X600. Photo: Jean Cazes, 26 avril 2007.

Ici, une vue en direction SO sur le chantier.

Voir aussi ce billet.

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25 avril 2007

On consulte
Par Gerald Gobeil

Pr�paration de trois plans directeurs de quartier
Participez � la d�marche de consultation

Qu�bec, le 25 avril 2007 � L�Arrondissement de Sainte-Foy�Sillery a entam� l��laboration de trois plans directeurs de quartier, en �troite collaboration avec les conseils de quartier de Sillery, de la Cit�-Universitaire et de Saint-Louis.

Cette approche d�mocratique vise � am�liorer la qualit� de vie dans le quartier, � g�rer la croissance du milieu b�ti et � proposer un cadre de r�f�rence pour orienter les d�cisions municipales.

Les membres des conseils de quartier souhaitent entendre les pr�occupations et les id�es de la population lors de s�ances de remue-m�ninges qui auront lieu en mai. Ces s�ances ont comme objectif de r�pondre � des questions concernant la vision que les r�sidantes et les r�sidants entretiennent sur le d�veloppement de leur quartier, les aspects � am�liorer et sur ce que devraient �tre les priorit�s.

Deux autres �tapes de consultation sont pr�vues dans ce processus de planification et de concertation : l�une, � l�automne 2007, portera sur les enjeux, les orientations et les objectifs des plans de quartier et l�autre, au printemps 2008, portera sur la cr�ation d�un plan d�action.

La participation des citoyennes et des citoyens est tr�s importante afin que les plans directeurs de quartier refl�tent leur vision et leurs pr�occupations.

Pour toute information ou pour s�inscrire au fichier �lectronique d�abonn�s :
641-6411, poste 2518, guillaume-a.simard@ville.quebec.qc.ca.

Le calendrier des rencontres

S�ances de remue-m�ninges pour l��laboration des plans de quartier
* Conseil de quartier de Sillery
Le mardi 1er mai, 19 h 30
Centre Brulart, 1229, ave du Chanoine-Morel, dans la grande salle


* Conseil de quartier de la Cit�-Universitaire
Le mercredi 23 mai, 19 h 30
Club de l�Âge d�Or de Notre-Dame-de-Foy, local 101
792, rue Jacques-Berthiaume

* Conseil de quartier de Saint-Louis
Le mardi 29 mai, 19 h 30
Centre artistique Sainte-Foy
936, avenue Roland-Beaudin, local 109 (au-dessus de l�ar�na)

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La Rel�ve devenue Le Bunker dispara�t
Par Jean Cazes

Autre lieu culte qui dispara�t, et que de souvenirs pour le vieux nostalgique qui sommeille en moi de ce bar o� l'on diffusait des vid�os d'une bonne musique rock, celle des Yes, Rush, Van Halen et U2 du milieu des ann�es 80...

�a, c'�tait avant les cellulaires, l'internet, le botox et la t�l�r�alit�; une �poque o� au sortir de l'universit�, cent candidats devaient se battre pour un seul emploi �videmment non syndiqu�... �a y est, je radote! :-))

Source: Guy Benjamin, Le Soleil, 24 avril 2007.

Un endroit fr�quent� par les universitaires, les c�g�piens, et parfois par des jeunes du secondaire depuis 35 ans a ferm� ses portes en fin de semaine. V�ritable institution � Sainte-Foy, La Rel�ve, devenue r�cemment Le Bunker, dispara�t. (...)

La Rel�ve ne s�est pas renouvel�e au fil des ans, opine pour sa part �ric C�t� pour expliquer la baisse d�achalandage. Celui qui a fait de l�animation et de la promotion � cet endroit explique que les jeunes sont attir�s par des bars plus modernes comme le Star Bar � la Pyramide, et l�Ozone du boulevard Laurier. (...)

La suite. Aussi, ce billet.

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24 avril 2007

Le Marigot rena�t en Domaine de la Faune
Par Carol Proulx

Source: Denis Fortin, Qu�bec Hebdo, 23 avril 2007

Question de r�tablir la cr�dibilit� du projet aupr�s des diverses instances, les repr�sentants des quatre entreprises propri�taires du nouveau Domaine de la Faune (ex-Complexe int�gr� Le Marigot) ont confi� la t�che de relancer le projet � Robert Desjardins. En poste depuis le 1er f�vrier 2007, le nouveau gestionnaire du projet a eu carte blanche pour mener � bien ce qu�il consid�re comme �tant un d�fi des plus int�ressants.

La suite. Voir aussi ce billet.

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Nouveau (et �ph�m�re?) quotidien alternatif � Qu�bec...
Par Jean Cazes

source: Radio-Canada (Qu�bec).

Journal de Qu�bec: Lock-out sur fond de convergence. (Source: Radio-Canada (Qu�bec), 24 avril 2007.)

(...) Malgr� leur situation, les employ�s en lock-out ont tout de m�me r�ussi le tour de force de publier mardi leur mouture du Journal de Qu�bec. Le num�ro alternatif M�dia Matin est constitu� de 23 pages d'informations sans publicit�. Les syndiqu�s ont l'intention de publier 40 000 exemplaires de ce journal quotidiennement. (...)

La suite. Aussi, ce billet.

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20 avril 2007

Ferme SMA: Les vaches sont mises � l'encan
Par Jean Cazes

Photo: Jean Cazes.

Source: Radio-Canada (Qu�bec), 20 avril 2007.

Une page de l'histoire agricole de Qu�bec s'est tourn�e vendredi. La ferme SMA a mis � l'encan son troupeau de 200 vaches Holstein. Les agriculteurs du Qu�bec ont �t� invit�s � participer � cette vente qui s'est poursuivie durant toute la journ�e. (...)

La ferme SMA (Saint-Michel-Archange) avait �t� cr��e par les Soeurs de la Charit� en 1893. Elle servait � approvisionner en produits laitiers, viandes, fruits et l�gumes l'h�pital Saint-Michel-Archange, aujourd'hui Robert-Giffard, situ� sur ses terres. Les activit�s de la ferme permettaient aussi de donner du travail � certains patients.

La ferme SMA �tait la ferme la plus proche du centre-ville de Qu�bec.

La suite. Aussi, ce billet.

Par ailleurs, en compl�ment d'informations et sous un angle diff�rent, cet article du magazine La Terre de chez nous: La ferme S.M.A. ne sera bient�t qu'un souvenir (Pierre-Yvon B�gin, 12 avril 2007).

Merci � G�rald Gobeil pour sa pr�cieuse collaboration!

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Sc�ne urbaine: graffiti sous le pont de l'autoroute Laurentienne...
Par Jean Cazes

Grand format 800X600. Photo: Jean Cazes, 20 avril 2007.

Ce reflet de lumi�re et surtout ce "tag", disons, tr�s contemporain appos� dans un endroit des plus saugrenus: difficile pour moi de ne pas succomber � la tentation. Sans malice... et aucune mauvaise intention! ;-)

Voir aussi ce billet.

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La fiert� prend la porte
Par Francis Vachon
Combien de jolies maisons anciennes sont tomb�es sous l�emprise ravageuse du PVC et des portes givr�es orn�es d�une outarde? C�est pas cher, c�est propre, �a s�entretient bien, �a ne rouille pas. Vrai, mais c�est affreux et �a d�nature des quartiers au grand complet! Personne ne peut vraiment �tre fier de son balcon en PVC achet� en kit chez Home Depot. La fiert� ce n�est pas une question de moyens financiers. N�importe quelle visite d�une sortie d��glise d�un village portugais ou d�une r�ception de noce dominicaine vous le prouvera.

Texte complet

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19 avril 2007

Derni�re phase de la d�molition du mail Centre-Ville (3)
Par Jean Cazes

Grand format 800X600. Photo 1: Vue en direction NE. Photo: Jean Cazes, 19 avril 2007.

Voici donc la suite III de ma s�rie amorc�e le 17 mars dernier...

Grand format 800X600. Photo 2: Vue en direction S. Photo: Jean Cazes, 19 avril 2007. Grand format 800X600. Photo 3: Vue en direction O. Photo: Jean Cazes, 19 avril 2007. Grand format 800X600. Photo 4: Vue en direction NE. Photo: Jean Cazes, 19 avril 2007. Grand format 800X600. Photo 5: vue en direction SE. Photo: Jean Cazes, 19 avril 2007.

Ci-bas, la localisation approximative des images immortalis�es en ce 19 avril.

Voir ce billet.

Rue Saint-Joseph et environs. Source: Google Map.

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Val-B�lair, future Silicon Valley de la D�fense ?
Par Jean Cazes

Source: Isabelle Mathieu, Le Soleil, 18 avril 2007.

Val-B�lair, prochaine Silicon Valley de l�industrie de la d�fense ? Possible, gr�ce � un investissement projet� de 80 millions $ et � l�arriv�e de 400 � 1000 chercheurs et techniciens.

Le petit parc industriel de Val-B�lair, aux trois quarts vide, vient de se trouver une vocation.

Technop�le D�fense et S�curit�, un regroupement d�une trentaine d�entreprises sp�cialis�es dans les produits militaires et de s�curit�, veut s�y installer. (...)

Technop�le D�fense et S�curit� veut construire trois b�timents de trois �tages d�ici la fin de 2008. Ces b�timents seront verts, avec jardin sur le toit, mat�riaux durables et stationnements souterrains. (...)

La suite.

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18 avril 2007

Hors sujet: Besoin de 2 photographes
Par Francis Vachon

Avec 100000 visites par mois, Qu�bec urbain est sans doute le meilleur moyen pour trouver 2 photographes pour m'assister (� 150$ par jour) du 31 mai au 3 juin prochains lors du Championnat du monde de Taekwon-do. D�tail sur mon blog

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17 avril 2007

D�ficit de Qu�bec: Les employ�s de la ville se d�fendent
Par Jean Cazes

Source: Radio-Canada (Qu�bec), 17 avril 2007.

Les 5400 employ�s de la ville de Qu�bec refusent de porter sur leurs �paules le poids du d�ficit annonc� lundi pour l'ann�e 2006. La mairesse de Qu�bec, Andr�e Boucher, a indiqu� que l'augmentation de la masse salariale depuis les fusions expliquait en bonne partie le d�ficit de 12,4 millions de dollars auquel la ville est confront�e. (...)

La suite.

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16 avril 2007

Sc�ne urbaine: les gars d'l'Hydro � l'oeuvre!
Par Jean Cazes

Grand format 800 X 600, le long du boulevard des Capucins. Photo: Jean Cazes, 16 avril 2007, 11h07.

Apr�s New-York et la Nouvelle-Angleterre, le Qu�bec, � une �chelle moindre, est affect� par les intemp�ries: un m�lange de pr�cipitations et surtout, des vents violents atteignant les 100 km/h par endroits, cons�quences d'une temp�te exceptionnellement puissante.

Ci-haut, une sc�ne prise en fin de matin�e dans le secteur de Limoilou.

� lire, ces deux articles (Radio-Canada et Cano�). Aussi, ce billet.

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Branch�s sur la vie urbaine
Par Carol Proulx

Source: Mich�le Laferri�re, Le Soleil, 13 avril 2007

Les architectes de la firme ABCP ont quitt� leurs bureaux de Saint-Roch. Ils ont � franchi la limite psychologique � du boulevard Langelier pour s�installer, en juillet, dans l�ancien �difice de l�Arm�e du Salut. Leur pr�sence dans Saint-Sauveur pose les jalons de l�ennoblissement du quartier.

L� o� il y avait des gros conteneurs pleins de v�tements usag�s, il y aura un jardin � l��t�. � �tre branch� sur l�urbain et y participer �, comme le formule l�architecte Bernard Serge Gagn�, c�est une somme de gestes symboliques : d�ner dans un jardin am�nag� le long d�un boulevard, travailler � la vue des passants dans un �difice amplement vitr�, stimuler la curiosit� des voisins avec un mur d�acier corrod� et des gros g�raniums align�s le long d�une fen�tre.

La suite.

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15 avril 2007

Aquarium: Sur une pente ascendante
Par Carol Proulx

Source: Radio-Canada (Qu�bec)

Apr�s trois ann�es successives de baisses d'achalandage, l'Aquarium du Qu�bec est parvenu � stopper l'h�morragie. L'institution a connu une augmentation de client�le d'environ 8 % l'an dernier. Environ 170 000 personnes ont fr�quent� les lieux.

La suite.

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14 avril 2007

Sc�ne maritime
Par Carol Proulx


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S'INSPIRER D'AILLEURS: Contrer l'exode urbain, vers un d�veloppement ax� sur les transports en commun � Montr�al
Par Carol Proulx

Source: Simon Diotte, La Presse, 10 avril 2007

La Ville de Montr�al entend mettre en pratique les principes du TOD, acronyme pour Transit Oriented Development - en fran�ais �d�veloppement ax� sur les transports en commun�, pour d�velopper les alentours des stations de m�tro et des gares de train de banlieue sur son territoire.

Le but: maximiser l'utilisation du transport en commun et freiner l'exode des urbains vers la banlieue.

La suite.

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BASSIN-LOUISE: Le projet de plage prend forme
Par Jean Cazes

Grand format 800 X 358. Source: Le Soleil.

Source: Pierre Pelchat, Le Soleil, 13 avril 2007.

Le projet d�une plage publique gratuite au bassin Louise se pr�cise. Les promoteurs �valuent qu�il en co�terait environ 30 millions $ pour le r�aliser � m�me des fonds qui proviendraient du gouvernement f�d�ral.

Le projet consiste � scinder le plan d�eau en deux par un terre-plein. L�endroit, que l�on propose de nommer � parc-plage Jacques- Amyot � en l�honneur du c�l�bre nageur de Qu�bec, serait am�nag� pour accueillir 6000 baigneurs dans la section ouest. La marina serait d�plac�e, sans perte de places � quai, du c�t� oppos� plus pr�s de l��cluse. (...)

La suite. Aussi, ces deux billets.

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13 avril 2007

INDICE RELATIF DU BONHEUR: La ville de Qu�bec au huiti�me rang
Par Jean Cazes

Grand format 800 X 600, rue Saint-Jean, vue en direction NE. Photo: Jean Cazes, 21 juin 2006.

� mes yeux, Qu�bec est la ville la plus int�ressante, la plus agr�able de tout le Qu�bec, et pourtant, je suis natif de Montr�al...

Mais objectivement, jusqu'� quel point faut-il accorder de l'importance � des indices si serr�s entre les villes au palmar�s?

Source: Pierre Pelchat, Le Soleil, 12 avril 2007.

Les r�sidants de Qu�bec ne sont peut-�tre pas aussi moroses qu�on le pense. C�est ce qu�un vaste sondage dit en pla�ant la ville de Qu�bec au huiti�me rang du palmar�s o� les gens se disent les plus heureux. (...)

La suite. Aussi, ce billet.

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"�loge du Bungalow": diffusion sur TV5 ce week-end et la semaine prochaine
Par Jean Cazes

Source: www.virage.ca.

2003. Documentaire (52 min). Ce film documentaire pose un regard socio-historique sur le bungalow, cette forme d�habitation qui va gagner la faveur populaire et s�imposer massivement au Qu�bec apr�s 1950. Il en explore les qualit�s et les d�fauts tout comme son impact sur le paysage b�ti. En filigrane, on suit les tentatives de la r�alisatrice qui voudrait bien obtenir le classement d�un bungalow en tant que monument historique qu�b�cois. (Source: Les Productions Mirage.)

Oeuvre de Danielle Pigeon, ce documentaire sera de nouveau diffus� dimanche (21h30), mercredi (14h00) et vendredi (09h00) sur les ondes de TV5.

Voir aussi ce billet. Merci � G�rald Gobeil pour cette information!

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12 avril 2007

Qui suis-je, o� suis-je?
Par Jean Cazes

Grand format 800X600. Photo: Jean Cazes.

Cette figure est discr�tement expos�e quelque part dans les quartiers centraux de Qu�bec...

Et en r�ponse au dernier "Qui suis-je...", il s'agissait en effet d'un ornement de l'�glise Saint-Jean-Baptiste:

Grand format 800X600. Photo: Jean Cazes, 30 mars 2007.

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Le taux de ch�mage descend � 4,8 %
Par Jean Cazes

Source: Pierre Couture, Le Soleil, 11 avril 2007.

(...) Les donn�es d�voil�es par Statistique Canada d�montrent que la r�gion de Qu�bec affiche toujours l�une des �conomies les plus florissantes au pays, flirtant m�me avec les villes de l�Ouest.

Au classement g�n�ral, Qu�bec occupe maintenant le 10e rang des r�gions m�tropolitaines canadiennes d�tenant le plus faible taux de sans-emploi. Les villes de Victoria (C.-B.) (3,2 %), de Calgary (3,3 %) et d�Edmonton (3,5 %) tr�nent au sommet. (...)

Une situation qui diff�re de celle observ�e en 2003, alors que le taux de ch�mage avait atteint en mars la barre des 8 %. � On est aussi loin du taux de 12,1 % observ� en mai 1995 �, souligne l�analyste Vincent Ferrao de Statistique Canada. (...)

La suite. Aussi, ce billet.

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11 avril 2007

Un tramway d'ici 2011... � Montr�al
Par Francis Vachon
Redonner de la vigueur au Havre de Montr�al, lieu de fondation de l'industrie canadienne, est l'une des ambitions de la m�tropole et ce, depuis des ann�es. La renaissance de ce quartier au fort potentiel socio�conomique est maintenant sur les rails avec le retour probable du tramway d'ici quatre ans et la transformation de l'autoroute Bonaventure en boulevard d'ici trois ans: des r�alisations qui attireront des investisseurs pour des adresses de prestige et des touristes en qu�te de rues pacifi�es.

Un demi-si�cle apr�s sa mise au rancart, le tramway retrouvera les rues de Montr�al d'ici 2011, si tout va bien: en tout cas, une premi�re ligne situ�e dans le Vieux-Montr�al fera partie de l'ambitieux Plan de transport de la Ville de Montr�al qui sera d�voil� au d�but du mois de mai, a appris La Presse.

Suite du texte

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CIN�MA CHAREST: Od�on veut �courter son bail
Par Jean Cazes

� Trouvez-moi une ville de la taille de Qu�bec qui n�aurait plus de cin�ma au centre-ville �, se demande le conseiller municipal Pierre Maheux. Photo: Le Soleil, Jocelyn Bernier.

Triste nouvelle en perspective? C'�tait �crit dans le ciel que plusieurs des monstrueux cin�mas �rig�s dans les champs de patates (et au bout du monde!) ces derni�res ann�es allaient dispara�tre pr�matur�ment [billet]. Mais au centre-ville...

Ma suggestion: consid�rant le profil des nouveaux r�sidants, travailleurs et �tudiants du quartier, voil� une belle occasion d'implanter en ce lieu un "Clap II" au rez-de-chauss�e, et pourquoi pas, englob� dans un nouvel immeuble multifonctionnel digne du "Nouveau Saint-Roch" avec logements et bureaux aux �tages!

Source: Isabelle Mathieu, Le Soleil, 10 avril 2007.

Le cin�ma Place Charest fermera-t-il ses portes dans un proche avenir ? Chose certaine, Cin�plex Od�on veut louer le cin�ma du centre-ville pour seulement deux ans au lieu de cinq. (...)

Le conseiller municipal du secteur, Pierre Maheux, qualifie de � path�tique � et de � d�cision tr�s discutable �, la fermeture possible du Charest, le dernier cin�ma du centre-ville. � Trouvez-moi une ville de la taille de Qu�bec qui n�aurait plus de cin�ma au centre-ville, demande-t-il. S�ils ferment, c�est comme si Cin�plex Od�on faisait le contraire de ce que les pouvoirs publics veulent faire, i.e. revitaliser le centre-ville. �

Un citoyen sur deux de l�arrondissement La Cit� n�a pas de voiture, fait remarquer le conseiller Maheux. Ils n�auront acc�s en autobus qu�aux cin�mas Cartier et Le Clap. (...)

La suite.

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D�MOLITION DES BRETELLES DE L�AUTOROUTE: Deux fresques devront �tre sacrifi�es
Par Jean Cazes

Grand format 800 X 600. Le Jardin d��den (d�tail). Photo: Jean Cazes, 10 septembre 2004.

Source: Claude Vaillancourt, Le Soleil, 10 avril 2007.

La d�molition des piliers des parties de l�autoroute Dufferin-Montmorency qui aboutissent dans le cap Diamant, dans la basse ville de Qu�bec, entra�nera la disparition de deux des gigantesques fresques qui ornent le boulevard Charest � cet endroit. (...)

Peinte sur le pilier sud qui borde le boulevard Charest, la fresque Le Jardin d��den est issue de la premi�re g�n�ration des murales sous l�autoroute, en 2000. L�artiste peintre chevronn�e H�l�ne Fleury, la grande initiatrice du projet, y a mis son talent, tout comme Pierre Lafor�t, un autre de ces artistes visionnaires. � Le dessin est inspir� d�une �uvre de J�r�me Busch, dit Denis Nadeau. Mais ce qu�il y a de paradoxal, dans ce cas-ci, c�est qu�on peut y lire une citation latine pleine de sens, Ars longa, vita brevis, du physicien grec Hippocrate, qui veut dire que l�art perdure alors que la vie est courte. � (...)

La suite. Aussi, ces deux billets.

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10 avril 2007

Qu�bec a son insectarium
Par Jean Cazes

Georges Brossard � l'insectarium de Qu�bec. Source: Radio-Canada.

Source: Radio-Canada (Qu�bec), 10 avril 2007.

Qu�bec a maintenant son propre insectarium qui a �t� inaugur� mardi matin dans l'arrondissement de Charlesbourg.

L'insectarium situ� sur le boulevard du Lac sera ouvert au public d�s jeudi. Le fondateur de l'insectarium de Montr�al, Georges Brossard, en est le parrain d'honneur. (...)

La suite. Aussi, ce billet.

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Un autre (et dernier?) regard sur le "Myst�re de Qu�bec"...
Par Jean Cazes

Voici cette fois l'opinion et l'analyse d'un intellectuel chevronn� qui je le pense, ralliera les multiples tendances d'opinions qu'on retrouve fr�quemment sur Qu�bec Urbain...

Le myst�re de Qu�bec pour les nuls. (Source: Denis Vaugeois - �diteur, ancien parlementaire et ministre dans le gouvernement de Ren� L�vesque, Le Devoir, 5 avril 2007.)

Les m�dias montr�alais, parfois tr�s dou�s pour fabriquer des raccourcis, ont d�cr�t� que la population de la r�gion de Qu�bec avait un comportement politique inexplicable. (...)

Qu�bec est un petit milieu o� les injustices sont faciles � observer. Les �carts de salaires et de conditions de travail se vivent au quotidien. Les fonctionnaires provinciaux savent qu'ils gagnent beaucoup moins que leurs homologues municipaux. Les travailleurs du priv� n'osent se comparer ni aux uns ni aux autres. Un bon jour, ils constatent tout simplement que leur voisin vient de prendre sa retraite � l'�ge de 50 ans et qu'il pourra dor�navant jouer au golf � plein temps. (...)

� Qu�bec, la cerise sur le g�teau, ce furent les fusions municipales. Pour un parti dont la d�marche devrait �tre essentiellement identitaire, le m�pris pour l'attachement des gens � leur ville d�passe l'entendement. Le PQ avait-il vraiment besoin de rayer de la carte autant de villes charg�es d'histoire? (...)

C'est un mauvais moment � passer. Dans l'imm�diat, la balle est dans le camp syndical. Si on ne se bat pas pour une vraie solidarit�, une meilleure productivit�, si on n'accepte pas de petits sacrifices dans l'int�r�t commun, on peut faire une croix sur l'avenir du Qu�bec, faire une croix dans la mesure, bien s�r, o� les musulmans et les juifs l'autorisent.

La suite. Aussi, ce billet.

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�tat des travaux: nouveau CHLSD Saint-Charles (1)
Par Jean Cazes

Grand format 800 X 600, CHLSD Saint-Charles en construction. Vue en direction NO. Photo: Jean Cazes, 31 mars 2007.

Depuis peu, une imposante grue domine le secteur de l'h�pital de l'Enfant-J�sus.

Je n'ai toutefois aucune id�e de l'aspect que prendra cet �tablissement de 128 lits une fois construit au co�t de 21 M $...

Voir ce billet.

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09 avril 2007

Michel Dallaire - PDG de Cominar
Par Francis Vachon

Profil de Michel Dallaire, PDG de Cominar, la plus important firme immobili�re de Qu�bec

MARK CARDWELL SPECIAL TO THE GAZETTE

QUEBEC � Michel Dallaire laughs when asked about the gaudy Popsicle colour that adorns his company�s fleet of trucks and the front of its corporate headquarters here in the provincial capital.

MichelDallaire4.jpg
Photo Francis Vachon pour The Gazette
�It�s supposed to be fushia, but people tell me it�s more like pink,� the 44-year-old president and chief executive officer of Cominar REIT, Quebec�s largest � and now one of Canada�s biggest � owners and managers of commercial properties, said in a recent interview.

�I can�t tell because I have trouble seeing different shades of colour. But I do know that it�s distinctive � and it gets noticed.�

The same could be said about the way Dallaire does business, although he doesn�t seem to have any problems with his vision there.

Less than a year after taking over the company from his ailing father and firm founder, Jules, who died in August, Dallaire closed the biggest deal in Cominar�s history with the purchase in February of the lion�s share of Montreal�s Alexis Nihon REIT.

Under the terms of the $592million deal, which was done in partnership with Halifaxbased Homburg Invest, Cominar acquired 35 industrial and 19 office buildings � 6.5 million square feet of prime Montreal commercial real estate. For its part, Homburg got retail properties such as the twin-tower Place Alexis Nihon in the city�s downtown core.

The deal padded Cominar�s already impressive portfolio of 143 high-quality properties � most of them in the Montreal and Quebec City areas � totalling more than 10.3 million square feet.

Divided almost evenly between office buildings, industrial plants, shopping malls and mixed-use buildings, the company�s leasable space has more than tripled since the Dallaires took it public in 1998, pushing the gross book value of its real-estate assets to $735.7 million at the close of 2006.

According to Dallaire, the Alexis Nihon deal had its genesis in the fall of 2005, when he and his father met with former Nihon CEO and major shareholder Paul Massicotte.

He said they reached an agreement in January 2006, but negotiations hit a snag a month later.

�We couldn�t agree on a price,� said Dallaire, who resisted an urge to go over Massicotte�s head and deal directly with Nihon�s board.

He added that he was surprised to learn in October that the retiring Massicotte had sold his stock to Homburg.

The situation became even more confused when ING Canada announced that it was also interested in acquiring Nihon�s real-estate assets.

To break the logjam, Dallaire and his advisers contacted and talked to both suitors, suggesting various ownership scenarios.

�It was a complicated transaction, but at the end of the day it was a win-win arrangement for everyone,� he told The Gazette.

�Once (Homburg) told me (they) wanted Place Alexis Nihon, I said: �Fine, I�ll take the rest of the portfolio.�

�It�s important to respect people in any process,� he added. �If you respect people, they respect you.�

In many ways, that belief � not the company�s wacky corporate colour � is the most recognizable trademark of Cominar and the family that built it.

It began with Jules Dallaire, who left home at 17 and worked for two years as a carpenter in a mine in northern Ontario to raise the seed money he needed to start building houses in 1958.

He switched to the commercial sector in 1972, when he built Le Louisbourg, a 20storey, 160-unit apartment building that housed the first condos in the province.

Jules Dallaire later added commercial construction to his quiver, building small warehouses, office buildings and malls, becoming Quebec�s biggest commercial real-estate owner in the process.

Of the 60-plus buildings he built in the Quebec City area during his 40-year career, Dallaire told this journalist a decade ago that he was most proud of Place de la Cit�, a $100-million shopping centre he built in Ste. Foy in 1988.

�In this business you have to roll with the punches,� he said then. �You have to keep all your options open, always be ready to move to a plan B, C or D. You keep moving and improvising until your problem is solved. Most of all, you always have to respect the people you�re in business with � lenders, suppliers, contractors, renters, everybody.�

Like his late father, whom he refers to by his first name, Michel Dallaire started working for Cominar at 14, when he wielded a pick and shovel during the construction of a warehouse.

�Jules always told me you have to learn from the ground floor up and I did � literally!� he said over coffee in a small conference room lined with Dallaire family photos, including one of Jules with golfer Fred Couples, and one of Michel with former U.S. president Bill Clinton.

The oldest of four children � all of whom have shares in Alpha, the family�s private holding company that owns several assets in the Quebec City area, including a bowling alley and two gyms � Michel Dallaire went on to study civil engineering at Universit� Laval.

He joined Cominar in 1986 as a project manager on the Place de la Cit� project. Since then, he has held several senior positions, including executive vice-president and, last spring, president and CEO, a position he assumed functionally in 2003, when cancer first forced his father to the sidelines.

The disease did not, however, stop father and son from continuing to work together on projects, including the Alexis Nihon deal and nine other incomeproducing properties that Cominar purchased in 2006 for $44.1 million

�My father and I were so close,� Dallaire, a father of three, said with visible emotion. �It�s been very hard on everyone.�

He believes, however, that his father would readily approve of the Alexis Nihon deal, which was followed by an announcement in mid-March that Cominar made a cool $10.4 million in profit in 2006, a 17-per-cent increase over the previous year.

�(The Nihon deal) fits nicely into our strategy of increasing our leasable space by expanding our property portfolio,� Dallaire said.

�We have a conservative growth strategy and we follow a very strict set of criteria for the selection of property we want to acquire.� Neil Downey agrees. A financial analyst with RBC Capital Markets, he said the Nihon deal � and the subsequent stability of stock price at the $24 mark � is a reflection of the Dallaires� sure-handed, sharp-eyed approach to business and the trust investors have in their continued stewardship of Cominar.

�(Cominar) is a wonderful success story as a family business and as a public company,� Downey said from Toronto.

He added that the company faces �another transformational step over the next three to four months� as it absorbs a 60-per-cent increase in size from the Nihon deal.

Dallaire, however, said the company is still looking over other acquisitions.

�If another good opportunity comes along,� he said, �we�ll act.�

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07 avril 2007

Une irr�ductible Chinoise
Par Jean Cazes

La maison convoit�e par les promoteurs immobiliers au centre de Chongqing est d�j� entour�e d'un �norme chantier. Photo � Keystone.

Sur ce, joyeuses P�ques! ;-)

Source: Laszlo Molnar, Le Matin (France), 27 mars 2007.

A Chongqing, au centre de la Chine, Mme Wu Ping tient t�te aux promoteurs immobiliers, qui ressemblent plus � des requins qu'� des hommes, selon les habitants. En refusant de vendre sa petite maison, elle bloque l'un des gigantesques chantiers de cette ville-champignon.

La soci�t� de construction a eu beau faire pression, notamment en creusant d�j� les fondations de son projet immobilier g�ant entourant enti�rement sa modeste demeure, elle tient bon. �Depuis deux ans je n'ai pas pu entrer chez moi � cause des travaux� a expliqu� la Chinoise. (...)

La suite.

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06 avril 2007

Derni�re phase de la d�molition du mail Centre-Ville (2)
Par Jean Cazes

Grand format 800X600. Photo 1: Vue en direction S. Photo: Jean Cazes, 6 avril 2007.

Voici donc la suite de ma s�rie commenc�e le 17 mars dernier, et en compl�ment de ce billet d'une autre s�rie, cette fois de Francis!

Grand format 800X600. Photo 2: Vue en direction NE. Photo: Jean Cazes, 6 avril 2007. Grand format 800X600. Photo 3: Vue en direction SO. Photo: Jean Cazes, 6 avril 2007. Grand format 800X600. Photo 4: Vue en direction NE. Photo: Jean Cazes, 6 avril 2007. Grand format 800X600. Photo 5: vue en direction O. Photo: Jean Cazes, 6 avril 2007.

Ci-bas, la localisation approximative des photos prises aujourd'hui.

Voir ce billet.

Rue Saint-Joseph et environs. Source: Google Map.

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L'�lot des Palais sera dot� d'un �crin de verre
Par Jean Cazes

Le consortium form� de la firme B�langer Beauchemin et de l'architecte Anne Valli�res ont imagin� un pavillon en verre, en bois et en pierres bien ancr� dans le milieu urbain. Trois parcs publics entoureront ce mus�e qui permettra d'exposer tous les artefacts que la Ville a conserv� au fil de ses 400 ans d'histoire. Source: Le Soleil.

Source: Julie Lemieux, Le Soleil, 4 avril 2007.

La mairesse Andr�e Boucher va au devant des critiques: oui, il y aura sans doute des d�passements de co�ts pour l'am�nagement de l'�lot des Palais et oui, le chantier risque de ne pas �tre termin� � temps pour les F�tes du 400e, a-t-elle pr�venu, jeudi, lors du d�voilement des plans d'architecture de ce legs de la Ville. (...)

M. B�langer et son �quipe [consortium firme B�langer Beauchemin et architecte Anne Valli�res] ont rafl� le premier prix de 100 000$ en imaginant un pavillon Jean-Talon en verre, en bois et en pierres bien ancr� dans le milieu urbain. Trois parcs publics entoureront ce mus�e qui permettra d'exposer tous les artefacts que la Ville a conserv� au fil de ses 400 ans d'histoire. Puisque les murs du b�timent seront vitr�s, les passants pourront voir ces vestiges sans devoir payer pour y entrer. (...)

La suite. Aussi, ce billet.

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05 avril 2007

Autre projet d'�difice � bureaux: Le 2828 Quatre-Bourgeois
Par Jean Cazes

Grand format. Source: societe-immobiliere.com

S'il voit le jour tel qu'annonc� � l'angle de la route de l'�glise et du chemin des Quatre-Bourgeois (mars 2008?), cet immeuble de quatre �tages et de 40 000 pi2 changera radicalement le visage d'un coin de la ville o� tr�nait � une r�cente �poque une petite chapelle...

Les d�tails de cette autre annonce de l'entreprise qui pilote par ailleurs deux projets d'�difices sur le boulevard Laurier. Aussi, ce dossier (Tours � bureaux � Qu�bec).

Merci � Carol Proulx pour m'avoir signal� ce projet!

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L�estime de soi revenue
Par Jean Cazes

Photo: Le Soleil.

Source: Alain Bouchard, Le Soleil, 4 avril 2007.

La reconstruction de Saint-Roch et l�arriv�e d�une nouvelle population plus fortun�e s�accompagnent de la reconstruction de l�image que les itin�rants et les pauvres du secteur ont d�eux-m�mes. (...)

Une certaine ambivalence devra n�anmoins �tre valid�e dans quelques ann�es, estime Mme Freedman [qui a men� l'�tude]. Le sentiment d�appartenance diminue au fil de l�embourgeoisement qui modifie le visage du quartier. � Les itin�rants deviennent d�sormais spectateurs de la rue Saint-Joseph �, apr�s en avoir �t� les acteurs, dit-elle. Et ils r�alisent avec le temps que cet embourgeoisement ne change rien � leurs probl�mes de pauvret�, de maladie et de solitude. (...)

La suite. Aussi, ce billet.

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04 avril 2007

Lac Saint-Charles: La Ville propose son plan d'action
Par Carol Proulx

Source: Radio-Canada (Qu�bec)

Lors d'une assembl�e d'information, mardi soir, une douzaine de fonctionnaires et d'�lus municipaux ont pr�sent� le plan d'action que la Ville de Qu�bec entend mettre en place pour prot�ger son r�servoir d'eau potable.

La suite.

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S'inspirer d'ailleurs: La verte Su�de tourne le dos � l'or noir
Par Carol Proulx

J'apporte cet article, pour bien faire comprendre qu'on peut toujours changer notre mode de transport et fa�on de faire, que ce soit en relation avec l'urbanisme, ou bien donc avec notre mode de vie de citadin...

Source: Fran�ois Cardinal, La Presse.

Le p�trole est une drogue dure � laquelle la plan�te est accro. Devrions-nous modifier nos habitudes avant que la ressource ne vienne � manquer? Notre journaliste Fran�ois Cardinal revient d'un s�jour en Su�de, seul pays au monde � avoir entam� une cure de d�sintoxication.

[...]Le d�fi est grand, mais moins utopique qu'on pourrait le croire. La Su�de, qui nage � contre-courant depuis 30 ans d�j�, l'a prouv�. Secou�e par la crise du p�trole dans les ann�es 70, le pays consomme en effet deux fois moins d'or noir aujourd'hui qu'� l'�poque.[...]

La suite.

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Souvenirs: la temp�te de neige des 3 et 4 avril 1975
Par Jean Cazes

Grand format 800 X 408. Photo: Andr� Belle-Isle, Le Soleil, 7 avril 1975.

D�go�t�s � l'id�e de devoir encore pelleter, demain matin, en ce d�but de printemps plut�t moche? Nombreux pourtant sont les "mononc'" et "matantes" nostalgiques comme moi qui conservent de vifs souvenirs d'enfance de ces temp�tes d'une force apparemment in�gal�e, depuis, qui ont paralys� la ville � plusieurs reprises dans les ann�es 70. � titre d'exemple, ce blizzard s'abattant sur Qu�bec quatre ans apr�s la "Temp�te du si�cle" [dossier et revue de presse]!

En r�sum�: 38 cm, visibilit� z�ro pendant au moins huit heures cons�cutives d�s l�apr�s-midi du 3, et rafale de 93 km/h � l'a�roport (voir les d�tails en statistiques).

Ci-haut, une sc�ne prise sur la 10e Avenue Est, le 5 avril 1975. En bas, coin de la Couronne et Prince-�douard, un mur de l'entrep�t abandonn� de J.-B. Baillargeon abattu par le vent.

Grand format 800 X 408. Photo: J.-M. Villeneuve, Le Soleil, 4 avril 1975.

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03 avril 2007

Mati�re � r�flexion : R�duction des GES
Par Carol Proulx

Source: Tir�e de l'�mission La vie en vert

"Le Victoria Transport Policy Institute de l�Ouest canadien a pens� un concept pour r�duire les gaz � effet de serre : � Pay-as-you-drive �. Il s�agit de faire payer les automobilistes au prorata de la distance parcourue chaque ann�e. Cette avenue serait-elle � explorer?"

Le seul hic dans cette vision c'est que les longues distances entre grand centre urbain est aussi compt� dans leur bar�me. Certains endroits n'ont aucun lien de transport alternatif entre ville ou village. C'est une avenue, mais dans le fond le vrai probl�me c'est le type de moteur du v�hicule qui devrait �tre chang� compl�tement.

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Les projets sont nombreux dans Limoilou
Par Carol Proulx

Photo Fr�d�rick Masson

Source: Fr�d�rick Masson, Qu�bec Hebdo, 29 mars 2007

La saison estivale s�annonce chaude dans l�arrondissement Limoilou. � quelques semaines de l�apparition des premiers bourgeons, la conseill�re du district Lairet, Ginette Picard-Lavoie, fait preuve de beaucoup d�enthousiasme � l�id�e de mettre sur pied les diff�rents projets qui donneront fi�re allure au secteur qu�elle repr�sente.

Voir la suite.

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Le troisi�me M�trobus en 2008?
Par Carol Proulx

Source: Pierre Pelchat, Le Soleil, 29 mars 2007

Le projet d�une troisi�me ligne M�trobus entre le secteur Beauport et la partie nord-ouest de la ville pourrait �tre devanc�. Il pourrait �tre mis en place l�an prochain au lieu de 2009 comme on l�avait pr�vu au d�part.

Le directeur g�n�ral du R�seau de transport de la Capitale, Normand Carrier, a indiqu� � la derni�re r�union du conseil d�administration du RTC que des discussions ont cours � ce sujet avec le conseil municipal de Qu�bec et le minist�re des Transports. Il n�a pas donn� d�autres d�tails.

La suite.

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Bretelles de l'autoroute Dufferin: l'avant et l'apr�s
Par Jean Cazes

Extrait d'image. Source: Transports Qu�bec.

Sur le forum Qu�bec de skyscraperpage.com, le rendu final du projet r�cemment amorc� suscite d'int�ressantes interrogations...

Extrait d'image. Source: Transports Qu�bec.

Aussi, ce billet. En compl�ment d'information: Autoroute 440 (Wikip�dia).

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Qui suis-je, o� suis-je?
Par Jean Cazes

Grand format 800X600. Photo: Jean Cazes, 30 mars 2007.

Burin�e par le passage des saisons, cette figure orne un immeuble historique bien connu de la Haute-Ville...

Aussi, ce billet.

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La fluoration sur la glace
Par Jean Cazes

Source: Isabelle Mathieu, Le Soleil, 2 avril 2007.

Dans ce nouveau d�bat qui anime notre belle ville, je soul�ve cette question toute simple qui rel�ve � mon avis du gros bon sens: en connaissez-vous, du monde qui boit de l'eau du robinet, et surtout en quantit� suffisante pour justifier la fluoration?

Le conseil municipal de Qu�bec se donne deux semaines suppl�mentaires avant de d�cider s�il va �tendre ou bannir la fluoration de l�eau potable sur son territoire.

Brandissant tous les avis favorables � la fluoration, la mairesse Andr�e Boucher a vainement tent� de convaincre ses coll�gues de voter sur le maintien et l�extension de la fluoration. � Les villes sont fusionn�es, les interconnexions des r�seaux d�aqueduc entre Sainte-Foy et Qu�bec ont �t� faites, il faut d�cider une fois pour toutes, affirme-t-elle. (...)

La suite.

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